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  • Chauffeur agressé à Bayonne : une foule immense à la marche blanche.

    L'épouse et les trois filles du chauffeur agressé ouvre la marche blanche avec plus de 6 000 personnes, ce mercredi à Bayonne © Crédit photo : Emilie Drouinaud

    Source : https://www.sudouest.fr/

    Ce mercredi soir, la famille du chauffeur de bus agressé dimanche à Bayonne, organise une marche blanche. Une foule immense, de plus de 6 000 personnes, accompagne le cortège sous les applaudissements.

    Ce mercredi soir, la famille du chauffeur agressé organise une marche blanche depuis l’arrêt de bus Balichon où il a été frappé dimanche soir, jusqu’à l’hôpital où il est admis, et se trouve en état de mort cérébrale.

    Une foule nombreuse, plus de 6 000 personnes, accompagne le cortège, sous les applaudissements, avec des gens tous habillés en blanc. De nombreux agents de Chronoplus et des élus sont présents.

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  • L’armistice de 1940 : des conditions inespérées malgré sa dureté

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    André Posokhow

    Les orientations stratégiques et politiques des belligérants après la chute de Paris.

    Du côté des Allemands, le choix d’un armistice acceptable.

    En juin 40, Hitler qui, vraisemblablement souhaitait traiter avec les Britanniques, préféra, pour obtenir un règlement politique, une autre solution que l’écrasement définitif de notre pays. Pour cela, soucieux d’éviter une résistance des colonies françaises et un ralliement de notre flotte à l’Angleterre, il préféra neutraliser la France et choisit la solution d’un armistice acceptable qu’il imposa à Benito Mussolini..

    Chez les Britanniques, Churchill imposa la lutte contre l’Allemagne.

    Fin mai, Churchill, partisan de la résistance à l’Allemagne, imposa, non sans difficultés, la poursuite de la guerre à son gouvernement.

    Retirant ses dernières troupes hors de France, replié sur son ile, il s’employa à contraindre le gouvernement français à aller jusqu’au bout d’un combat désespéré en invoquant la duperie de l’accord franco-anglais du 28 mars 1940. Sa grande préoccupation était le sort de la flotte française.

    Un président du conseil qui n’a pas été à la hauteur des évènements.

    Si ses responsabilités ministérielles passées ne confèrent pas à Paul Raynaud une responsabilité directe dans la défaite de la France, l’opinion générale est qu’il ne s’est pas montré à la hauteur des évènements en mai-juin 1940. Il est vrai que sa tâche était accablante.

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  • Thierry Mariani : en PACA, la droite et le RN « ont décidé de privilégier leurs accords plutôt que les consignes parisiennes, et c’est très sain »

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    Le député européen Thierry Mariani se réjouit, au micro de Boulevard Voltaire, du soutien apporté par le Rassemblement national au maire divers droite de Vedène, Joël Guin, pour éviter que la communauté d’agglomération du Grand Avignon ne tombe aux mains du maire socialiste d’Avignon Cécile Helle.

     

    Le RN a fait élire la droite pour les élections du grand Avignon. La gauche ne gouvernera pas. C’est bien la droite qui le fera grâce notamment aux voix du Rassemblement national. Le RN n’est pas rancunier avec ce qu’il s’est passé à Marseille…

    Il est intéressant de noter que les élus locaux ont tout simplement privilégié l’intérêt de leur commune et, pour certains, ont passé outre les consignes nationales. L’arithmétique du Grand Avignon était très simple. Si les élus du Rassemblement national avaient décidé d’être aux abonnés absents, l’agglomération du Grand Avignon serait passée dans les mains de madame Cécile Helle. Or, elle est l’exemple type des élus socialistes sectaires et d’une autre époque, pour la régularisation des sans-papiers et la tolérance à l’égard d’une certaine délinquance.

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  • Derrière la République des grandes gueules, par Ivan Rioufol

    Voici donc, pour la galerie, la République des grandes gueules. Avec Eric Dupont-Moretti à la Justice, Roselyne Bachelot à la Culture et Marlène Schiappa à la Citoyenneté, le chef de l’Etat a tenté, lundi soir, de mettre quelques paillettes à un gouvernement couleur muraille. Cette mise en scène vise à accrocher l’attention d’un public qui s’endort déjà à écouter le nouveau premier ministre, Jean Castex.

    Remarquons au passage qu’aucun membre des Républicains ne se retrouve dans le casting : une absence qui laisse deviner le peu d’attractivité qu’a rencontré ce gouvernement de crises, qui s’est heureusement débarrassé de Christophe Castaner, Nicole Belloubet et Sibeth Ndiaye. Il est vrai que rien n’est moins engageant que de monter sur le Titanic. Toute la question est désormais de savoir si l’opinion se laissera distraire par les prévisibles coups d’éclat de ces trois personnalités atypiques. Cela semble peu probable, tant la communication macronienne est devenue artificielle et lassante.

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  • Et si la crise actuelle durcissait notre monde néolibéral sans la changer fondamentalement ?, par Yves Morel.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    Le pseudo-libéralisme français a vite retrouvé les vertus de l’étatisme – c’est-à-dire le contrôle étroit du citoyen repeint aux couleurs de la responsabilité sociétale. L’État se perpétue, qu’importe le pays.

    À quoi ressemblera le monde après le grand chamboulement provoqué par la pandémie coronovirale ? En nos précédents articles, dans ces colonnes mêmes, nous nous sommes interrogés sur les changements majeurs que la crise actuelle pourrait provoquer dans notre société et notre système politique. Nous avons mis en avant le procès, découlant de cette crise, du néolibéralisme mondial, le renforcement du pouvoir de l’État, qui retrouve une manière de transcendance, la remise en question de notre mode de vie individualiste et hédoniste, et la nécessité d’une rupture d’avec un ordre politique et économique délétère et suranné.

    Et nous avons marqué également les limites du changement que nous étions en droit d’espérer. Nous avons pensé que les remises en question de notre modèle économique, social et politique, engendrées par la situation présente, ne déboucheraient cependant pas sur la renaissance civilisationnelle qu’elle semblait rendre possible, en raison d’une part de l’absence de renouvellement de nos dirigeants, tous coulés dans le moule libéral d’autre part de la désaffection de nos compatriotes à l’égard de la vie publique. Le scepticisme désabusé et la révolte amère caractérisent les Français de notre époque, et pas seulement eux, du reste.

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  • Censure de Trump et des républicains : un modérateur de Facebook balance

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    C’est le Snowden des réseaux sociaux : il a filmé et prouvé le net penchant anti-républicain et anti-Trump de la multinationale de Marc Zuckerberg qui se pose en plateforme numérique neutre alors qu’il s’agit d’un gigantesque aspirateur à données personnelles et une officine de renseignement directement liée au pouvoir profond, qui tente justement de déstabiliser Trump...


    Source : E&R

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/07/10/censure-de-trump-et-des-republicains-un-moderateur-de-facebo-6251006.html

  • KEMI SEBA ET LA MANIPULATION DE BLACK LIVES MATTER – Les Reportages de Vincent Lapierre

  • Sibeth Ndiaye, sortie du gouvernement et… de la cuisse de Jupiter

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    Ça fait un moment qu’on sait que  n’a pas grandi aux confins d’une banlieue lointaine de la région parisienne, que sa mère ne faisait pas des ménages à quatre heures du matin dans les tours de la Défense ou que son père ne vidait pas les poubelles de la ville de Paris à l’heure du laitier.

    Elle avait bien essayé, au début, lorsqu’elle avait été nommée secrétaire d’État, de nous faire le coup de la petite Cosette qui aurait grandi au pied des barres d’immeubles : « Avant même d’être française j’ai compté parmi les engagés de ce pays en Seine-Saint-Denis notamment où rien n’est simple mais tout est possible. Ce département j’y ai vécu, travaille et j’y ai appris… » C’était beau comme du Zola reconverti en animateur social mais ça avait pris moyennement. Difficile, aujourd’hui, de raconter des craques sur ses origines. Trois clics sur Internet et l’on vous dit si vous descendez de la reine de Saba ou si vous avez la chance inouïe d’être cousin au quinzième degré avec François Hollande.

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  • Culpabilité post-coloniale : on marche sur la tête !

    Après que la France a restitué les restes de 24 combattants algériens tués au début de la colonisation française au XIXe siècle, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a déclaré, samedi, attendre des excuses de la France pour la colonisation de l’Algérie : « On a déjà reçu des demi-excuses. Il faut faire un autre pas ! »

    Soyons justes : les pays colonisateurs ont pressuré les pays conquis et s’ils les ont développés, c’est moins par humanisme – n’en déplaise à Jules Ferry – que par souci économique. Alors, allons-y pour la contrition. Mais en face, les peuples musulmans, en matière de colonisation, de conquêtes, de massacres ou d’esclavage, sont-ils mieux placés pour donner des leçons ? Rappelons donc quelques réalités.

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  • Reprise de la réforme des retraites : Macron baise les mains qui l'ont fait roi.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    On aurait tort de voir dans la persistance avec laquelle Emmanuel Macron poursuit son plan de réforme des retraites l'effet de l'esprit diabolique qui préside, nous dit la sagesse romaine, au maintien arrogant dans l'erreur contre lequel nous mettait en garde Saint Augustin dans ses Sermons.
    Il serait tout aussi vain de tenter d'y déceler la moindre trace d'une volonté de préserver les équilibres sociaux liés au système des pensions par répartition.
    En relançant le débat par un nouveau cycle de négociations qui viennent s'ajouter aux quelques trois années de préparation d'une réforme mal ficelée, anti sociale, inéquitable et non financée, le Président de la République veut tenir une promesse. Non pas celle faite aux Français pendant sa campagne électorale de 2017 de maintenir les niveaux de retraites et d'en finir avec les régimes spéciaux — ce qui serait légitime et aurait dû sens — mais celle, plus discrète, faite aux marchés et aux fonds de pensions anglo-saxons : entamer le processus de transformation du système qui, à terme, devra laisser la place aux assurances privées conformément aux lois non écrites du globalisme financier planétaire.
    En faisant à nouveau de cette réforme une priorité absolue contre l'avis même du MEDEF pour une fois sur la même ligne que les centrales syndicales, et alors que les effets économiques et sociaux de la crise sanitaire ne profilent encore que les premiers contours de leur ombre effrayante, Macron adresse un signal fort aux vrais décideurs internationaux auquel il doit son mandat et dont il espère qu'ils assureront sa réélection dans deux ans.
    La méthode Castex qui espère sans doute, en ces temps difficiles, une moindre résistance syndicale, ne sera peut être pas la méthode Philippe. Sans doute ne sera-t-il plus question d'âge pivot, mais le but ultime reste le même: servir son dû au capitalisme mondial.