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  • #LaRacailleTue : Twitter nouveau bastion de la vérité

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    La censure n’a jamais été aussi forte contre ceux qui osent dire les vérités qui dérangent. Les portes des médias se ferment, les opposants politiques sont ostracisés, écrasés sous un front plus antidémocratique que républicain. Les comptes des militants identitaires sur les réseaux sociaux sont fréquemment fermés sans raison valable. Les quelques rescapés du lavage de cerveau de l’Éducation nationale sont conspués, voire agressés physiquement lorsqu’ils dénoncent à juste titre la dangerosité de l’idéologie dominante. Les grands sages de la bien-pensance usent sans se lasser de la diabolisation pour tenter de masquer la chute de leur société, les limites de leur utopie.

    Mais la vérité triomphe toujours. Inventifs, les défenseurs de la  radieuse et paisible trouvent des moyens de contourner l’omerta qui voudrait les marginaliser.

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  • La France, homme malade de l’Europe ?

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    Ce n’est pas très agréable mais c’est une évidence ! La France est « l’homme malade de l’Europe » ! Depuis que le Tsar Nicolas 1er avait employé cette expression à l’encontre de l’Empire Ottoman, elle a fait florès. Elle désigne l’Etat qui s’enfonce, qui se noie, qui est à la veille de disparaître : les empires turc ou autrichien se sont ainsi disloqués après que ce diagnostic les eut visés . On n’imagine pas qu’un tel destin puisse advenir à notre pays… Et pourtant, des décennies de mauvaise gouvernance, une économie en capilotade, des finances vérolées, des services publics de moins en moins performants, une nation qui « s’archipélise », un peuple qui s’éloigne avec dégoût des isoloirs et des urnes… Les symptômes du mal sont nombreux et envahissants, mais l’oligarchie politique, administrative, financière et médiatique qui publie les bulletins de santé se veut rassurante. Un cancer ne peut pas être un bon médecin.

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  • Manipulation de la gauche « radicale » et antiraciste made in USA (et d’ailleurs ?)… BLM et Antifa USA, suivez le fric ! (F. William Engdahl)


    Retrouver la racine organique de la résistance !

    On ne le répètera sans doute jamais assez : a bas l’État, certes, mais tout autant à bas la marchandise, à bas l’argent et à bas le salariat ! C’est sur cette voie intransigeante que réside notre humanité organique enfin réalisée par la société des sociétés, dans la complémentarité de notre immense diversité…
    Tout le reste n’est que pisser dans un violon !

    ~ Résistance 71 ~

    Les Etats-Unis ont leur propre révolution de couleurs

    F. William Engdahl

    28 juin 2020

    source de l’article en français:

    https://www.mondialisation.ca/les-etats-unis-ont-leur-propre-revolution-de-couleurs/5646915

    Depuis les années 1980, la révolution de couleurs est le terme utilisé pour décrire une série d’opérations de changement de régime remarquablement efficaces menées par la CIA en utilisant des techniques développées par la RAND Corporation, les ONG « démocratie » et d’autres groupes . Elles ont été utilisées sous une forme rudimentaire pour faire tomber le régime communiste polonais à la fin des années 1980. Ces techniques ont ensuite été affinées et utilisées, avec de généreux pots-de-vin, pour renverser le régime de Gorbatchev en Union soviétique. Pour tous ceux qui ont étudié ces modèles de près, il est clair que les protestations contre les violences policières menées par des organisations amorphes portant des noms tels que Black Lives Matter ou Antifa sont plus que de simples mouvements de contestation spontanés. Des centaines de milliers de jeunes Étasuniens sont utilisés comme un boulet pour renverser non seulement un président étasunien, mais aussi, ce faisant, les structures mêmes de l’ordre constitutionnel étasunien.

    Si nous prenons du recul par rapport aux vidéos montrant un policier blanc de Minneapolis enfonçant son genou sur le cou d’un homme noir, George Floyd, et si l’on regarde ce qui s’est passé dans tout le pays depuis lors, il est clair que certaines organisations ou certains groupes étaient bien préparés pour exploiter cet horrible événement pour leur propre finalités.

    Les manifestations qui ont eu lieu depuis le 25 mai ont souvent commencé de manière pacifique pour être ensuite reprises par des individus violents bien entraînés. Deux organisations sont apparues régulièrement en relation avec les manifestations violentes : Black Lives Matter et Antifa (États-Unis). Les vidéos montrent des manifestants bien équipés, vêtus de noir et masqués (pas pour le coronavirus, bien sûr), vandalisant des voitures de police, brûlant des postes de police, brisant des vitrines de magasins avec des tuyaux ou des battes de baseball. L’utilisation de Twitter et d’autres médias sociaux pour coordonner les délits de fuite des foules de manifestants est évidente.

    Ce qui s’est passé depuis l’événement déclencheur de Minneapolis a été comparé à la vague d’émeutes de protestation dans les ghettos noirs en 1968. J’ai vécu ces événements en 1968 et ce qui se passe aujourd’hui est bien différent. On le compare davantage à la révolutionne couleurs yougoslave qui a renversé Milosevic en 2000.

    Gene Sharp : Modèle pour le renversement du régime

    En 2000, le Département d’État étasunien, aidé par sa Fondation nationale pour la démocratie (National Endowment for Democracy – NED) et par certains agents de la CIA, a commencé à former secrètement un groupe d’étudiants universitaires de Belgrade dirigé par un groupe d’étudiants qui s’appelait Otpor ! (Résistance !). La NED et ses diverses ramifications ont été créés dans les années 1980 par le chef de la CIA Bill Casey comme un outil secret de la CIA pour renverser des régimes spécifiques dans le monde entier sous le couvert d’une ONG de défense des droits de l’homme. En fait, ils reçoivent leur argent du Congrès et de l’USAID.

    Dans le cadre de la déstabilisation de la Serbie par le mouvement Otpor! en 2000, la NED et l’ambassadeur étasunien Richard Miles à Belgrade ont sélectionné et formé un groupe de plusieurs dizaines d’étudiants, dirigé par Srđa Popović, en utilisant le manuel « From Dictatorship to Democracy », traduit en serbe, du défunt Gene Sharp et de son Institution Albert Einstein. Dans un post mortem sur les événements en Serbie, le Washington Post a écrit :

    « Les consultants financés par les États-Unis ont joué un rôle crucial dans les coulisses de pratiquement toutes les facettes de l’anti-démocratie, en organisant des sondages de suivi, en formant des milliers de militants de l’opposition et en aidant à organiser un décompte des votes parallèles d’une importance vitale. Les contribuables étasuniens ont payé les 5 000 bombes de peinture utilisées par les étudiants militants pour faire des graffitis anti-Milošević sur les murs de toute la Serbie ».

    Des escouades de militants formés ont été déployées dans les manifestations pour prendre le contrôle des pâtés de maisons à l’aide d’écrans vidéo intégrés à un « casque intelligent » (intelligence helmet) qui leur donnent une vue d’ensemble instantanée de leur environnement. Des bandes de jeunes convergeant vers des carrefours ciblés en communication constante sur les téléphones portables, allaient alors affronter la police. Le gouvernement étatsunien a dépensé quelque 41 millions de dollars pour cette opération. Des groupes d’étudiants ont été secrètement formés aux techniques du manuel Sharp pour organiser des manifestations qui se moquaient de l’autorité de la police représentant le pouvoir, la montrant maladroite et impuissante face aux jeunes manifestants. Des professionnels de la CIA et du Département d’État étasunien les ont guidés dans les coulisses.

    Le modèle de Révolution de couleur Otpor! a été affiné et déployé en 2004 sous le nom de « Révolution orange » en Ukraine avec le logo et les écharpes de couleur, et en 2003 en Géorgie sous le nom de « Révolution rose ». Plus tard, la secrétaire d’État Hillary Clinton a utilisé ce modèle pour lancer le Printemps arabe. Dans tous les cas, la NED a été impliqué avec d’autres ONG, y compris les Fondations Soros.

    Après le renversement de MilosevicPopovic a créé un centre de formation sur la Révolution des couleurs, CANVAS ( Centre for Applied NonViolent Action and Strategies). Ce centre est une sorte de cabinet de conseil à but lucratif pour la révolution, et était personnellement présent à New York pour travailler avec Antifa pendant l’occupation de Wall Street, où l’argent de Soros a également été rapporté.

    Antifa et BLM

    Les protestations, émeutes, actions violentes et non-violentes qui ont balayé les États-Unis depuis le 25 mai, y compris une attaque aux portes de la Maison Blanche, commencent à prendre tout leur sens quand on comprend le manuel de la Révolution de couleurs de la CIA.

    L’impact des manifestations n’aurait pas été possible sans le soutien d’un réseau de responsables au sein du Parti démocrate, au niveau local et national, au point que le maire démocrate de Seattle a ordonné à la police d’abandonner plusieurs rues au cœur du centre-ville occupées par les manifestants.

    Ces dernières années, des fractions importantes du Parti démocrate à travers les États-Unis ont été tranquillement prises en charge par ce que l’on pourrait appeler des candidats de la gauche radicale. Souvent, ils gagnent avec le soutien actif d’organisations telles que Democratic Socialists of America ou Freedom Road Socialist Organizations. À la Chambre des représentants des États-Unis, le quart des nouveaux représentants qui s’expriment avec force autour d’Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY), Rashida Tlaib et Ilhan Omar, représentant de Minneapolis, sont tous membres ou proches des Democratic Socialists of America. Il est clair que sans la sympathie des responsables démocrates dans les villes clés, les manifestations organisés, par exemple,  par Black Lives Matter et Antifa n’auraient pas eu un impact aussi spectaculaire.

    Pour mieux comprendre la gravité du mouvement de protestation actuel, nous devrions nous demander qui a versé des millions au BLM. L’Antifa est plus difficile à examiner en raison de sa forme d’organisation explicitement anonyme. Cependant, leur manuel en ligne recommande ouvertement que les « cellules » locales de l’Antifa se joignent aux chapitres du BLM.

    OSRF : Suivez l’argent

    Le BLM a vu le jour en 2013 lorsque trois amis militants ont créé le hashtag #BlackLivesMatter pour protester contre les allégations de coups de feu tirés sur un adolescent noir non armé, Trayvon Martin, par le gardien d’un quartier hispanique blanc, George Zimmermann. Alicia Garza, Patrisse Cullors et Opal Tometi étaient toutes liées et financées par des groupes de façade liés à une organisation appelée Freedom Road Socialist Organization, l’une des quatre plus grandes organisations de gauche radicale aux États-Unis, issue d’un mouvement appelé New Communist Movement qui s’est dissout dans les années quatre-vingt.

    Le 12 juin 2020, la page internet de la Freedom Road Socialist Organization déclare :

    « Le temps est venu de rejoindre une organisation révolutionnaire ! Rejoindre Freedom Road Socialist Organization… Si vous avez été manifester dans la rue ces dernières semaines, il y a de bonnes chances que vous ayez réfléchi à la différence entre le type de changement que ce système a à offrir et le type de changement dont ce pays a besoin. Le capitalisme est un système qui a échoué et qui prospère grâce à l’exploitation, l’inégalité et l’oppression. L’administration réactionnaire et raciste de Trump a aggravé la pandémie. La crise économique que nous traversons est la pire depuis les années 1930. Le capitalisme monopolistique est un système qui se meurt et nous devons y mettre un terme. Et c’est exactement ce à quoi travaille l’organisation socialiste Freedom Road ».

    En bref, les protestations contre le meurtre présumé d’un homme noir par la police dans le Minnesota sont maintenant utilisées pour appeler à une révolution contre le capitalisme. La FRSO chapeaute des dizaines de groupes ambigus, dont Black Lives Matter ou BLM. Ce qui est intéressant dans les racines marxistes-léninistes de la Freedom Road Socialist Organization (FRSO), ce n’est pas tant leur politique de gauche que le financement de leur création par un groupe de fondations bien implantées et exonérées d’impôts.

    Alicia Garza, du BLM, est également membre du conseil d’administration ou de la direction de cinq différents groupes de façade de Freedom Road, dont le président du conseil d’administration de Right to the City Alliance pour 2011, le membre du conseil d’administration de l’École de l’unité et de la libération (SOUL), de People Organized to Win Employment Rights (POWER), Forward Together et le directeur des projets spéciaux de la National Domestic Workers Alliance.

    L’Alliance pour le droit à la ville (The Right to the City Alliance) a reçu 6,5 millions de dollars entre 2011 et 2014 de plusieurs fondations exonérées d’impôts et très bien établies, dont la Fondation Ford (1,9 million de dollars), les deux principales fondations exonérées d’impôts de George Soros, Open Society, et la Fondation pour la promotion d’une société ouverte (Foundation to Promote Open Society) (1,3 million de dollars). Egalement la Fondation Kellogg (cornflake-tied) pour 250 000 dollars, et curieusement, la Fondation Ben & Jerry’s (crème glacée) pour 30 000 dollars.

    Garza a également obtenu d’importantes subventions en tant que directeur exécutif du FRSO, POWER, où l’ancien « tsar des emplois verts » d’Obama, Van Jones, un « communiste » autoproclamé et un « nationaliste noir turbulent », maintenant à CNN, était au conseil d’administration. Alicia Garza a également présidé l’Alliance de la droite pour la ville, un réseau de groupes militants qui s’opposent à l’embourgeoisement des villes. Depuis 2009, ce front a reçu 1,3 million de dollars de la Fondation Ford, ainsi que 600 000 dollars des fondations Soros et encore, Ben & Jerry’s (50 000 dollars). Et l’ÂME de Garza, qui prétend avoir formé 712 « organisateurs » en 2014, lorsqu’elle a cofondé Black Lives Matter, a reçu 210 000 dollars de la Fondation Rockefeller et 255 000 dollars de la Fondation Heinz (ketchup et famille John Kerry), entre autres. Avec le Forward Together du FRSO, Garza a siégé au conseil d’administration d’une « organisation multiraciale qui travaille avec des dirigeants et des organisations communautaires pour transformer la culture et la politique afin de catalyser le changement social ». Elle a officiellement reçu 4 millions de dollars en recettes de 2014 et, de 2012 à 2014, l’organisation a reçu un total de 2,9 millions de dollars de la Fondation Ford (655 000 dollars) et d’autres grandes fondations.

    La cofondatrice de BLM, Opal Tometi, née au Nigeria, est également issue du réseau du FRSO. Opal Tometi a dirigé l’Alliance noire pour une immigration juste du FRSO. Curieusement, avec une « équipe » de deux personnes, elle a obtenu de l’argent de grandes fondations, dont la Kellogg Foundation pour 75 000 dollars et les fondations Soros pour 100 000 dollars, et, à nouveau, Ben & Jerry’s (10 000 dollars). Tometi a obtenu 60 000 dollars en 2014 pour diriger le groupe.

    L’organisation socialiste Freedom Road, qui appelle désormais ouvertement à une révolution contre le capitalisme à la suite du meurtre de Floyd George, a un autre groupe, The Advancement Project, qui se décrit comme « une organisation de défense des droits civils multiraciaux de la prochaine génération ». Son conseil d’administration comprend un ancien directeur de la sensibilisation des communautés du département étasunien de l’éducation de Barack Obama et un ancien assistant du procureur général pour les droits civils de Bill Clinton. En 2013, l’Advancement Project du FRSO a reçu des millions de la part de grandes fondations étasuniennes exonérées d’impôts, dont Ford (8,5 millions de dollars), Kellogg (3 millions de dollars), la fondation Hewlett du fondateur de l’industrie de la défense HP (2,5 millions de dollars), la fondation Rockefeller (2,5 millions de dollars) et les fondations Soros (8,6 millions de dollars).

    Major Money et ActBlue

    En 2016, année de l’élection présidentielle où Hillary Clinton affrontait Donald Trump, Black Lives Matter s’était révélé comme un réseau bien organisé. Cette année-là, la Fondation Ford et Borealis Philanthropy ont annoncé la création du Black-Led Movement Fund (BLMF), « une campagne de six ans de mise en commun des donateurs visant à collecter 100 millions de dollars pour la coalition Movement for Black Lives » dont le BLM était un élément central. A cette époque, les fondations Soros avaient déjà accordé quelque 33 millions de dollars de subventions au mouvement Black Lives Matter. Il s’agissait là d’une somme importante pour les fondations.

    Le BLMF s’est identifié comme ayant été créé par des fondations de prestige, dont la Ford Foundation, la Kellogg Foundation et les Soros Open Society Foundations. Elles ont décrit leur rôle ainsi :

    « La BLMF fournit des subventions, des ressources pour la construction du mouvement et une assistance technique aux organisations qui travaillent à faire avancer le leadership et la vision des jeunes leaders noirs, queers, féministes et immigrants qui façonnent et dirigent une discussion au plan national sur la criminalisation, le maintien de l’ordre et la race aux États-Unis ».

    La coalition Movement for Black Lives (M4BL), qui comprend Black Lives Matter, a déjà demandé en 2016 :

    « le financement des services de police, des réparations basées sur la race, le droit de vote pour les immigrants illégaux, le désinvestissement des combustibles fossiles, la fin de l’enseignement privé et des écoles à charte, un revenu de base universel et un collège gratuit pour les noirs« .

    Notamment, lorsque nous cliquons sur le site web de M4BL, sous leur bouton « donate », nous apprenons que les dons iront à quelque chose appelé ActBlue Charities. ActBlue facilite les dons aux « démocrates et aux progressistes ». En date du 21 mai, ActBlue avait donné 119 millions de dollars à la campagne de Joe Biden.

    C’était avant les manifestations mondiales du 25 mai de Black Lives Matter (BLM). Maintenant, de grandes entreprises comme Apple, Disney, Nike et des centaines d’autres pourraient verser des millions de dollars non déclarés à ActBlue sous le nom de Black Lives Matter, des fonds qui peuvent en fait servir à financer l’élection d’un président démocrate, Joe Biden. C’est peut-être la véritable raison pour laquelle la campagne de Biden a été soutenue à ce point par des électeurs noirs. Ce qui est clair, rien qu’à partir de ce compte-rendu du rôle crucial des fondations à gros budget derrière les groupes de protestation comme Black lives Matter, c’est qu’il y a un programme bien plus complexe à la base des protestations qui déstabilisent maintenant les villes à travers les États-Unis. Le rôle des fondations exonérées d’impôts liées aux fortunes des plus grandes sociétés industrielles et financières telles que Rockefeller, Ford, Kellogg, Hewlett et Soros indique qu’il existe un motif bien plus profond et bien plus sinistre pour expliquer les manifestations en cours que le simple scandale spontané ne le suggère.

    = = =

    Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !

    Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

    Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

    +

    4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

    Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

    Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

    Manifeste pour la Société des Sociétés

    Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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  • Immigration: plus de 112 000 étrangers ont été nationalisés en 2019 en France contre 75 refus

    La France est très généreuse pour octroyer la nationalité et ne rejette qu’un nombre infime d’étrangers.

    La France manque-t-elle d’exigence sur ses conditions d’accueil ? En 2019, l’Hexagone a octroyé la nationalité française à plus de 112 000 étrangers, dont 27 000 environ par mariage. Mais dans le même temps, seules 75 personnes ont vu leur demande rejetée, rapporte Le Figaro. Parmi elles, 13 étrangers ont été recalés pour un « défaut d’assimilation » autre qu’une maîtrise insuffisante de la langue de Molière et 62 pour « indignité ».

    (…) Valeurs actuelles

    https://www.tvlibertes.com/actus/immigration-plus-de-112-000-etrangers-ont-ete-nationalises-en-2019-en-france-cotnre-75-refus

  • Drieu est de retour : un entretien avec Thierry Bouclier

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    Notre Ami Thierry Bouclier, déjà auteur de plusieurs biographies parmi lesquelles celle de Jean-Louis Tixier-Vignancour et celle, plus récente, d'Alphonse de Chateaubriand, vient de nous offrir chez Pardès, dans la fameuse collection "Qui suis-je ?", un livre consacré à Pierre Drieu la Rochelle. Il a répondu dans la dernière livraison de la revue Synthèse nationale cliquez ici à quelques-unes de nos questions.

    Y a-t-il une actualité Drieu la Rochelle ?

    Oui, Drieu est toujours d’actualité, notamment en raison de la réédition progressive de son œuvre par les éditions Pardès. Ont déjà été réédités, dans une très belle collection, son essai Mesure de la France en 2017 et son roman atypique, L’Homme à cheval, en 2019. Son essai Notes pour comprendre le siècle et ses romans cultes, Le Feu follet et Rêveuse bourgeoisie, sortent, toujours dans la même collection, dans les prochains mois. Je les préfacerai tous les trois.

    Drieu n’est plus un maudit ?

    L’a-t-il jamais été ? Il a échappé, selon moi, au traitement subi par Rebatet et Brasillach. Malgré son engagement et les erreurs qu’il a pu commettre, son œuvre et sa personnalité, ont toujours fasciné. Il a constamment été étudié, et même porté au cinéma. Je pense notamment à l’excellent film de Louis Malle, Le Feu follet, sorti en 1963, avec le géant du cinéma français qu’était Maurice Ronet.

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  • Remaniement ministériel ? Plutôt un casting désinvolte !

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    Sous le général de Gaulle, les gouvernements étaient en grande partie fondés sur la compétence des ministres et sur leur stature personnelle acquise par leur parcours politique et intellectuel. Malraux à la Culture, Couve de Murville aux Affaires étrangères, Foyer à la Justice, Messmer à la Défense, Giscard d’Estaing aux Finances, Peyrefitte à l’Information, etc. L’appartenance partisane venait au second rang, devait demeurer discrète et contribuait à l’équilibre sans être le résultat d’un savant dosage.

    Quant à la spécialité professionnelle des ministres, on sait qu’elle n’est nullement une garantie : le passage de l’avocat Badinter à la Justice a été calamiteux, celui du magistrat Arpaillange, dont Santini disait que « si Saint Louis rendait la justice sous un chêne, lui c’était comme un gland », a été pire encore. Belloubet, « grande juriste » place Vendôme, et le médecin Agnès Buzyn à la Santé ont définitivement ruiné l’idée qu’il fallait des spécialistes professionnels à la tête des ministères. Il faut aussi et avant tout que le sens de l’État l’emporte sur l’idéologie et que la volonté acharnée du bien commun tire les titulaires d’un ministère vers le haut en les empêchant de papillonner devant micros et caméras.

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  • Les incohérences de la décroissance selon les écolos

    Merveilleux Covid-19 ! Merci mille fois ! Enfin, on a pu redécouvrir ce qu’était l’air pur, le chant des oiseaux et l’eau claire des rivières. 

    Le taux de CO2 a rapidement chuté et la pollution a diminué drastiquement dans les pays les plus pollueurs.
    On se serait presque cru, le temps du confinement, au bon vieux temps de nos arrière-grands-parents avec leurs charrettes et leurs bœufs comme seul moyen de locomotion.
    Étrange période ! Eux, les anciens, si proches de la nature, rêvaient de modernisme, de confort, de voyages.
    Mais voilà qu’aujourd’hui, en 2020, certains regretteraient presque ce mode de vie rustique, oubliant, au passage, sa rudesse.
    Parmi ces bobos utopistes, j’en connais une qui doit être bien heureuse !
    Notre Greta interplanétaire, égérie des écolos-bonne-conscience, verte à l’extérieur mais rouge à l’intérieur : comme les pastèques !
    Rouge, non pas de colère, mais de crypto-marxisme antifa-anti-tout.

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  • La belle histoire du jour

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    La photo d’un prêtre solitaire marchant le long de l’autoroute 81 aux Etats-Unis a suscité l’intérêt de milliers de catholiques cette semaine.

    Trempée de pluie, l’image apparaît comme une œuvre d’art : le noir de sa soutane, chargé d’eau, pourrait être des traces de peinture à l’huile. Le prêtre, maintenant identifié comme étant l’abbé John Killackey, était coincé dans une file de voitures le long de l’autoroute après que six véhicules ont été impliqués dans un accident, en Pennsylvanie, le 8 juillet.

    La circulation s’est apparemment arrêtée en raison de fortes pluies. Une voiture, ne remarquant pas la circulation à l’arrêt, a heurté le train de voitures et le conducteur a été grièvement blessé. Le père Killackey a marché entre les voitures et les camions, offrant de l’aide à ceux qui souffraient. L’abbé, membre de la Fraternité Saint-Pierre, a pu administrer les derniers sacrements à une personne, juste avant sa mort.

    L’abbé Killackey venait de célébrer le premier anniversaire de son ordination. Il est vicaire de la communauté Mater Dei de Harrisburg en Pennsylvanie. Les paroissiens ont été touchés par son dévouement et son témoignage tout au long de sa première année et n’ont pas été surpris d’apprendre son acte héroïque sur la route. Veronica Cecot, paroissienne, a déclaré:

    Nous sommes tellement bénis de l’avoir dans notre communauté religieuse.» «Priez pour le père, car je suis sûre qu’il doit être secoué par ce dont il a été témoin. Et priez pour tous les prêtres.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-belle-histoire-du-jour-4/

  • Liquidator à la relance, il fallait oser !

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    LE MAIRE, UNG RAND DISEUX ET PETIT FAISEUX QUI N'A JAMAIS TRAVAILLE DANS UNE ENTREPRISE ET QUI PARLE BIEN L'ALLEMAND !

    Le 19 décembre 2018, chez Jean-Jacques Bourdin, le ministre de l’Économie  déclarait qu’il trouverait « les solutions les plus originales » pour sauver l’usine Ford de Blanquefort et son millier d’emplois. Il faut croire que ce brillant diplômé de Normale Sup manque d’imagination puisque, ne lui en déplaise, l’usine Ford a bel et bien fermé, au grand dam du dépité Poutou qui regrettait que Le Maire ait lâché « les Ford ». Comme on dit chez moi, en Normandie (terre où le parachuté Le Maire est un élu fantôme), « c’est un grand diseux, mais un p’tit faiseux ».

    La liste des fermetures d’usines sous la « gouvernance » Le Maire est longue comme un jour sans pain : Ford, ArjoWiggins, Ibiden à Courtenay, CKB-TE Connectivity à Allones (en cours), Peugeot à Hérimoncourt, Michelin, Renault, France Tabac à Sarlat… sans parler de la casse sociale chez , Engie, Sanofi, etc. Et comment ne pas évoquer toutes ces cessions des rares fleurons industriels français comme STX France (les chantiers navals de Saint-Nazaire), la Française des jeux, ADP ? Bref, un bilan particulièrement impressionnant !

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