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Les confessions d’un écologiste : pourquoi et comment il a menti en plaidant la cause du catastrophisme climatique
Militant américain de la cause écologiste, Michael Shellenberger publie un livre dans lequel il explique pourquoi et comment il a menti en plaidant la cause du catastrophisme. Témoignage censuré par la bien-pensance. Michael Shellenberger dénonce les déclarations apocalyptiques sur le climat qui sont scientifiquement erronées et politiquement contre-productives. Dans un article censuré par Forbes, il présente ses excuses pour avoir répandu la peur climatique. La version française du texte original en anglais de sa déclaration publiée sur le site du think tank GWPF, a été traduite par l’Association des climato-réalistes. Extrait :
Au nom des écologistes du monde entier, je voudrais m’excuser pour la peur climatique que nous avons créée au cours des 30 dernières années.
Le changement climatique se produit. Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est même pas notre problème environnemental le plus grave. Il peut paraître étrange que je dise tout cela. J’ai milité pour le climat pendant 20 ans et été un écologiste pendant 30 ans. Mais en tant qu’expert en énergie invité par le Congrès à fournir un témoignage objectif, et invité par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) à être expert examinateur de son prochain rapport d’évaluation, je me sens une obligation de demander des excuses pour la façon dont nous, les écologistes, avons trompé le public.
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El Alamein, Montgomery et Rommel 2/3
Dès le mois de mars 1941, Rommel passait à l'offensive. Wawell dut battre en retraite, perdant en avril Bardia et la Cyrénaïque. L'Afrika Korps poussa alors en avant sur trois colonnes le long de la côte vers Benghazi, le long de la route Msus-Mechili, et plus au Sud, sur la route Mechili-Derna. O'Connor se porta vainement au secours du général Neame qui, dans son inexpérience, s'était fait sérieusement bousculer. Le 6 avril O'Connor, qui se trouvait avec Neame dans sa voiture en reconnaissance en avant des lignes, perdit son chemin. Tous deux furent faits prisonniers. Le destin frustra l'Histoire du duel le plus fascinant entre Rommel et O'Connor. Le 9 avril, Wawell décida que la seule façon de bloquer l'avance ennemie était de tenir Tobrouk, défendu par le "brigadier" Harding et le général Morshead, de la 1ère Division australienne. Contournant Tobrouk, Rommel marcha alors droit sur l’Égypte, atteignant la frontière le 28 avril. Puis, essoufflés, privés les uns et les autres de carburant, Anglais et Allemands durent s'arrêter pour attendre leurs approvisionnements.
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Pierre-Yves Rougeyron : Karlsruhe vs BCE
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El Alamein, Montgomery et Rommel 1/3
Le maréchal britannique Montgomery 1887 1976) s'est taillé une grande réputation non seulement par ses mérites qui lui valurent d'être fait vicomte of Alamein mais aussi par son sens aigu de la publicité. Ses thuriféraires et ses propres écrits lui ont accordé le crédit de la victoire d'El Alamein, faisant de lui l'irrésistible vainqueur du maréchal Rommel. Une légende écornée par l'historien anglais M. Correlli Barnett dans son livre Les généraux du désert qui nous conte les vicissitudes de la campagne d’Égypte et de Lybie, commencée le 9 décembre 1940 par une première offensive du général O'Connor, et qui aboutit, le 3 février 1943, à la prise de Tripoli par Montgomery, ce qui contraignit l'Afrika Korps à battre en retraite sur la Tunisie.
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Guillaume Bernard : « Les boulets sont sortis, mais l’équipe reste macroniste »
À la suite du remaniement ministériel, Guillaume Bernard analyse le sens des nouvelles nominations, mais également « l’orientation idéologique » donnée par l’ordre protocolaire du gouvernement : en premier, les Affaires européennes, puis l’Écologie, l’Intérieur n’étant qu’en sixième position.
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Ce que les médias vous cachent : ces Noirs qui ont défendu hier et aujourd’hui le drapeau confédéré
Les récents incidents de Charlottesville sont l’occasion pour les médias dominants d’une fois de plus tenter de manipuler l’opinion publique.
Rappelons que ces incidents sont la conséquence d’une provocation absurde : la volonté de déboulonner la statue du Général Lee, commandant en chef de l’armée confédérée et véritable héros pour tout le sud des Etats-Unis.
Or, dans cette histoire, les médias dominants manipulent l’opinion publique à plusieurs titres.
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Un descendant des soldats Noirs de l’armée confédérée proteste contre le déboulonnage de la statue du Général Lee
Voilà une image insolite des Etats-Unis que vous ne verrez pas au journal télévisé d’une grande chaîne de télévision. Ce vieil homme, un Noir, faut-il le préciser, a revêtu l’uniforme gris de l’armée confédérée et arbore fièrement le drapeau sudiste. C’est l’un des descendants des soldats Noirs de l’armée confédérée durant la guerre de Sécession et il a passé ainsi des heures debout ce weekend pour protester contre le déboulonnage de la statue du Général Robert E. Lee, héros de la Confédération. C’est sur le socle de cette statue déboulonnée que le vieil homme est juché, dernier vestige d’une histoire que l’on tente d’effacer.
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Les Démocraties occidentales désarmées ? Le révélateur de Hong Kong.
Les Démocraties occidentales sont, comme dans les années 1930, faibles et trop souvent désarmées face aux puissances autocratiques ou totalitaires, et elles semblent n’avoir rien retenu de l’histoire, une fois de plus et peut-être une fois de trop : les provocations ottomanes du nouveau sultan Erdogan et la prise de contrôle presque totale du territoire de Hong Kong par la Chine de Xi Jinping marquent une poussée des régimes intolérants qui semble s’accélérer à l’occasion de ce déconfinement qui tourne à la déconfiture économique et idéologique des grandes démocraties occidentales, en partie minées par le communautarisme et le racialisme, deux systèmes idéologiques qui portent le même risque de désintégration des anciens modèles de civilisation sans remettre en cause, loin de là, les idéologies économiques dominantes de la société de consommation et du libre-échangisme mondialisé. L’américanisation des conflictualités internes à notre pays, par exemple, montre bien la porosité de nos sociétés, par les médias comme par la mondialisation elle-même, aux thématiques imposées par les gourous d’une gouvernance qui cherche, par tous les moyens (y compris ceux de la morale ou, plus exactement du moralisme, fort peu politiques s’ils s’avèrent néanmoins politiciens…), à contourner les gouvernements politiques des Démocraties tout en les culpabilisant pour mieux les affaiblir : une stratégie profitable aux Etats non-démocratiques qui s’engouffrent dans les brèches faites par les opinions publiques des Démocraties elles-mêmes, insouciantes du danger à moyen terme (dans le meilleur des cas) d’un effondrement total, qui pourrait être civilisationnel avant d’être militaire… Un effondrement qui n’est pas fatal, mais possible et plausible si l’on n’y prend garde.
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Éric Zemmour: «Ce que sont les écologistes français: verts à l’extérieur, rouges à l’intérieur».
Éric Zemmour. Jean-Christophe MARMARA
Source : https://www.lefigaro.fr/vox
L’engagement écologique des Verts s’arrête là où leurs convictions de gauche, voire d’extrême gauche, commencent.
Ils ont été les vainqueurs immodestes de ces municipales. Les Verts ont crevé les écrans de la soirée électorale du second tour des municipales. Rien de plus normal. D’abord leurs victoires à Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Besançon, etc., mais aussi leurs belles défaites à Lille ou à Toulouse, sont incontestables et spectaculaires. Par ailleurs, les médias ne s’intéressent qu’aux métropoles et le succès dans ces grandes villes vaut triomphe médiatique national.
On se souvient qu’en 2001, les seules conquêtes de Lyon et Paris avaient occulté la terrible défaite des socialistes sous Lionel Jospin alors premier ministre. À l’époque déjà - il y a vingt ans -, la gauche était plurielle ; mais les écologistes étaient la troisième roue d’un carrosse dont les rênes étaient entre les mains des socialistes. C’est cela qui a changé lors de ces municipales, comme un changement d’attelage : toujours l’union de la gauche, mais sous direction écologiste. Les Verts ont enfin réalisé leur rêve : faire aux socialistes ce que ceux-ci avaient fait aux communistes pendant les années 1970 et 1980, les remplacer comme patrons de la gauche.