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  • Paris : un homme sauvagement tabassé par deux « jeunes » aux cris de « Sale juif ! », « On va te crever ! »… « L’un m’étranglait, l’autre me rouait de coups »

    C’est un déferlement de violences gratuites, de menaces de mort, de coups, de strangulations, d’insultes antisémites, « Sale juif! Sale fils de p…! Sale race! T’es un homme mort! On va te crever! ». David, la victime, 29 ans — « encore sous le choc, sonné » —, dit avoir « l’impression d’avoir vécu un viol ». « C’était un mauvais film dont je ne voyais pas la fin ». Il a déposé plainte.

    Les faits remontent à jeudi dernier. « Je venais chercher ma fille de 7 mois chez mes parents, rue Archereau (XIXe), se souvient David. Ils la gardent pour les vacances. Deux jeunes hommes, parfaits inconnus, plutôt bien habillés, la vingtaine, ont surgi derrière moi quand je tapais le digicode. Ils se sont engouffrés avec moi dans l’ascenseur. Arrivés à l’étage de mes parents, ils m’ont sauté à la gorge alors que je sortais. J’ai essayé de crier. Je n’étais qu’à quelques mètres de la porte de leur appartement. Ils n’entendaient pas. Les portes sont épaisses ».

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  • Erdogan rassemble des milliers de mercenaires djihadistes en Libye encadrés par des militaires turcs

    Les services de renseignements français – et bien d’autres – s’inquiètent du développement en Libye de l’armée de mercenaires encadrée par des militaires turcs.

    Sur base d’un accord signé le 22 novembre 2019 entre le gouvernement libyen et son homologue turc, Erdogan avait aussitôt commencé à déployer des militaires turcs en Libye avec un équipement important (blindés, avions de combat, hélicoptères).

    Aujourd’hui, ce sont environ 16.000 mercenaires qui se trouvent sur le sol libyen, encadrés par 3.000 militaires turcs. Et ces mercenaires qu’encadre l’armée turque sont des djihadistes. Beaucoup ont combattu précédemment parmi l’Etat Islamique. Il y a parmi eux des Syriens, des Algériens, des Tunisiens, des Soudanais,…

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  • La «Maison des médias libres» recalée à Paris : le bâtiment servira de centre d’hébergement pour migrants

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  • Adieu de Gaulle adieu

    Le vent de mai 1968 n'a pas fait voler que des pavés. Il a aussi fait entrer le gaullisme dans une zone de turbulences.

    Les anniversaires respectifs de mai 68 et du départ du général De Gaulle (28 avril 1969) vont se télescoper. En quelques mois, les mêmes commentateurs célébreront l'insouciance et l'audace des trublions germanopratins, puis loueront le prestige et l'auctoritas du vieux général. Cela donnera des scènes cocasses. Plus sérieusement, l'on aurait bien tort de séparer artificiellement ces deux événements les futiles barricades étudiantes d'un côté, la révérence élyséenne de l'autre. Car à bien des égards, la poussée des événements de mai peut être regardée comme la conséquence d'une décrépitude du pouvoir exercé, depuis une décennie, par l'ancien chef de la France Libre.

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  • Zoom – Thierry Nelias : 1870, l’humiliante défaite !

    Il y a tout juste 150 ans se déroulait la guerre franco-prussienne. Le conflit est frappé d’oubli ! Thierry Nélias, avec un solide goût pour l’histoire, nous fait revivre les événements qui se succèdent du 4 septembre 1870 au 28 mai 1871. En 10 mois, la France est envahie et martyrisée, Napoléon III capitule, Guillaume 1er est fait empereur d’Allemagne dans la Galeries des glaces de Versailles, Paris est bombardée et connaît une terrible insurrection… Et les conséquences de la guerre franco-prussienne vont être énormes ! Dans « 1870, l’humiliante défaite », Thierry Nélias vous tient en haleine !


    https://www.tvlibertes.com/zoom-thierry-nelias-1870-lhumiliante-defaite

  • Cet immigrationnisme des élites qui ruine la France, par Philippe Fabry.

    Source : https://www.causeur.fr/

    La spirale immigrationniste est un pacte tacite entre les grands groupes français et la caste des énarques. 

    En France, deux tiers des habitants sont opposés à l’immigration de masse : les sondages parus à l’automne dernier montraient que cette proportion de la population estimait que l’intégration ne fonctionnait pas, et qu’il y avait trop d’étrangers en France. La proportion varie quelque peu, mais grosso modo, une nette majorité de la population est défavorable à l’immigration de masse, depuis des décennies. Pourtant, celle-ci se perpétue et, surtout, n’est pratiquement plus remise en question dans le débat public.

    Il arrive certes à des polémistes de soulever la question, mais elle n’est pas politiquement débattue, c’est-à-dire soumise à une consultation démocratique. Lorsqu’elle est évoquée, c’est pour des ajustements à la marge, jamais pour interroger le principe et demander leur avis aux autochtones. De fait, depuis la fin des années 1970, c’est entre 200 000 et 300 000 personnes qui pénètrent chaque année sur le territoire national, dont plus de 60 % viennent d’Afrique.

    Le tonneau des Danaïdes

    Dans un pays qui se prétend démocratique, la contradiction entre une politique constante, aux conséquences si lourdes, si profondes et si durables sur le corps social, et l’hostilité à celle-ci de la majorité de la population ne peut qu’interroger. Il ne s’agit en effet pas d’évolutions sociétales, comme le mariage homosexuel ou la suppression de la peine de mort, qui peuvent être adoptées en dépit des préventions de la majorité et bénéficient ensuite d’un effet cliquet. Il n’y a pas d’effet cliquet en matière d’immigration : c’est une volonté toujours renouvelée. D’où vient-elle ?

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  • ( Mai 68) Une pulsion totalitaire

    Ils jouent, mais ce ne sont pas des marrants. Mai 68, nous en parlons comme d’une farce. Il fallait ajouter sue la farce répand des fantasmes que l’on est obligé de caractériser comme des fantasmes totalitaires… ou en tous cas sanglants…

    Mai 68 est une chose sérieuse et morale. C'est Gérard Fromanger qui le dit, qui créa l'Atelier Populaire des Beaux-Arts. « Il n'y avait aucun laxisme, c'était en fait très ordonné ! très moral ! Il n’était pas question de désobéir au vote d'une assemblée générale » (Matériaux pour l'histoire de notre temps, 1988). Cette discipline, ce respect de l'ordre, cette morale de l'action, cette mystique de l'homme nouveau en train d'être inventé en URSS, en Chine, à Cuba, constituent l'armature - et même l'armure - de Mai 68. Si brève qu'ait été l'insurrection, elle a forgé une génération libérée qui a pris le pouvoir en Mai 81.

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  • 6 août 1945 : ils savaient pourtant qu’ils avaient déjà gagné la guerre

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    Le 6 août 1945 à 2 h 45 (heure locale), un bombardier B-29 décollait de la base de Tinian, avec à son bord une bombe atomique à l'uranium 235 d'une puissance de 15 kilotonnes, surnommée Little Boy. L'équipage était composé de douze hommes, dont quatre scientifiques. Deux autres B-29 l'escortaient, emportant les instruments scientifiques destinés à l'analyse de l'explosion.

    La ville avait été peu bombardée pendant la guerre et les habitants avaient l'habitude de voir les bombardiers américains survoler leur ville pour se rendre vers le nord du pays. La bombe a été armée en vol et larguée à 8 h 15, à près de 9 000 mètres au-dessus de la ville. À 8 h 16 min 2 s heure locale, après 43 s de chute libre, la bombe a explosé à 587 mètres du sol, à la verticale de l’hôpital Shima, situé au cœur de l'agglomération, à moins de 300 mètres au sud-est du pont Aioi, initialement visé.

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  • Sept fusillades depuis fin juin : Grenoble miné par les règlements de comptes

    Les affrontements à coups de fusils d’assaut ont lieu en plein jour, parfois au milieu des passants. Une explosion de violence qui serait liée au déconfinement et à une lutte de territoires entre réseaux rivaux.

    « Grenoble, c’est le Chicago français. » C’est par cette formule choc que le syndicat de police Alliance qualifiait la capitale des Alpes en août 2018, suite à une série de règlements de compte et de meurtres. Deux ans plus tard, le scénario semble se répéter. Depuis fin juin, on dénombre en effet sept fusillades dans l’agglomération grenobloise. Avec un bilan très lourd : trois morts et quatre blessés.

    La première de ces fusillades a lieu le 27 juin sur la place Saint-Bruno. Des tirs retentissent en plein après-midi au beau milieu des passants et des terrasses de bars. Miraculeusement il n’y a pas de victime…

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1411873-sept-fusillades-depuis-fin-juin-grenoble-mine-par-les-reglements-de-comptes