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  • Sur Valeurs Actuelles, une écolo démonte “les idées à la con” des khmers verts.

    Chroniqueuse dans les Grandes Gueules et ancienne candidate écolo sur les listes de Cédric Villani, Isabelle Saporta a littéralement démonté “les idées à la con” des nouveaux maires écologistes, après plusieurs déclarations polémiques sur le Tour de France et les arbres de Noël.


    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/09/17/sur-valeurs-actuelles-une-ecolo-demonte-les-idees-a-la-con-d-6263960.html

  • Dette publique: comment les États sont devenus prisonniers des banques 2/4

    Les États-Unis : « parasites de l'économie mondiale »

    Première puissance économique mondiale, les États-Unis sont frappés de plein fouet. Durant toute la dernière décennie, ils n'avaient pu servir de moteur à la consommation mondiale qu'en dépensant beaucoup plus que leur revenu national ne les y autorisait, ce qui fut l'une des causes des déficits qu'ils enregistrèrent dans leur balance de paiements courants. Ils ont, autrement dit, consommé beaucoup plus qu'ils ne produisaient (la part de la consommation dans leur PIB, beaucoup plus élevée que dans la plupart des pays européens, se situe autour de 70 %). Résultats des déficits historiques et un endettement colossal. À l'heure actuelle, toute dépense publique faite aux États-Unis est financée à hauteur de 42 % par l’emprunt ! Le 16 mai 2011, la dette américaine a crevé le plafond des 14294 milliards de dollars, ce qui a placé les États-Unis au bord du défaut de paiement. L'accord politique intervenu in extremis le 1er août entre les républicains et les démocrates a permis de relever ce plafond, mais l'échéance est seulement repoussée. L'accord ne porte d'ailleurs que sur la dette de l'État fédéral et sur la capacité du Trésor à rembourser les emprunteurs en faisant fonctionner la planche à billets, alors que les finances locales sont également menacées. Le président Obama a dû s'engager à un plan de réduction drastique de la dépense publique, ce qui devrait se traduire par des coupes opérées, non dans le budget militaire avec des soldats engagés sur trois fronts (Irak, Afghanistan et Libye), il est plus gigantesque que jamais -, mais dans les services publics et les programmes sociaux. Ces décisions n'ont pas empêché les agences de notation d'abaisser, pour la première fois de l'histoire, la « note » des États-Unis, ce qui provoqué un nouveau mini-krach boursier.

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  • L’opération Great Reset voulue par les mondialistes et la réélection de Trump comme grain de sable ?

    L’avis de Jeff Wayne sur l’opération “Great Reset” planifiée par les mondialistes au Forum économique mondial de Davos et sur le rôle de Donald Trump comme grain de sable pour enrayer cette machine mondialiste.


    https://www.medias-presse.info/loperation-great-reset-voulue-par-les-mondialistes-et-la-reelection-de-trump-comme-grain-de-sable/124932/

     

     

  • Grève à la SNCF : le summum de l’indécence !

    On se pince pour y croire : à l’appel de la CGT Cheminots, rejointe par SUD Rail, la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse, la SNCF sera en grève, de ce mercredi 16 septembre à 20 h jusqu’au vendredi 18 septembre à 7 h 55.

    C’est une grève dont on dit qu’elle sera fort peu suivie, et c’est tant mieux, mais qu’importe, au fond, car le seul fait qu’on appelle à la faire est, dans les temps que nous vivons, le summum de l’indécence.

    C’est, encore une fois, le moustachu Martinez, cette figure caricaturale qui ne représente plus rien ni personne de sensé, qui appelle au sabordage. Comme une grinçante boîte à musique, il rejoue son air en mouvement perpétuel : « Après la rencontre avec le Premier ministre, toujours rien de concret pour l’emploi et les salaires. Il faut passer des paroles aux actes », a-t-il tonitrué en sortant de Matignon, vendredi dernier. Qu’importent la crise sanitaire, le climat délétère, l’économie à la ramasse, le disque Martinez est rayé. Sa chanson tourne en boucle, réclamant « hausse des salaires, abandon définitif des réformes de retraites et de l’assurance chômage, réduction du temps de travail sans perte de salaire », à quoi il faudra ajouter, demain, sans doute, la contestation des futurs horaires d’hiver, comme c’est le cas quasiment chaque automne.

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  • Nos landes, de nostalgie et d'espérance...

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    En ces temps étranges et plutôt moroses, la littérature reste souvent un refuge, non pour seulement s’évader des contrariétés du moment, mais pour penser au-delà des mots d’ordre du « politiquement correct » et des injonctions du conformisme moralisateur toujours en recherche de sorcières à brûler… Et c’est ainsi que je relis les romans « chouanniques » de Barbey d’Aurevilly et de Jean de La Varende, tout en les complétant par les études historiques sur ce même sujet des chouanneries, signées de Roger Dupuy, de G. Lenôtre, d’Anne Bernet ou encore de Jean Guillot. Mais le roman n’est pas qu’une histoire, c’est aussi un merveilleux révélateur des temps évoqués et des cadres anciens, parfois effacés de nos mémoires autant que des paysages : ainsi, dans les premières pages de « L’ensorcelée », Barbey d’Aurevilly, ce royaliste nostalgique hanté par le tragique, décrit-il la lande de Lessay comme le témoin d’un monde condamné à disparaître sous la grande marée du progrès et de l’industrialisation. Et ses lignes presque désespérées, souvent passées inaperçues et peu citées par les critiques littéraires, me paraissent porter en elles un message qui ne peut laisser indifférent le vieux royaliste sensible à la préservation de la nature et de ses rythmes et aspects que je suis.

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  • Discours de l'Union fantôme

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    L'avis de Jean-François Touzé
    La plus grande ruse du diable, on le sait, est de faire croire qu'il n'existe pas. Le pire mensonge de l'Union européenne est de vouloir donner l'illusion de la réalité de ses pouvoirs qui ne sont, de fait, que l'extension continentale des directives étoilées du nouvel ordre mondial.
    En singeant le rite américain du Discours de l'Union comme l'avaient fait avant elle ses immédiats prédécesseurs, la Présidente de la Commission de Bruxelles, Ursula von der Leyen, espère donner consistance à la supercherie communautaire sans pour autant rendre possible la prise à bras le corps des grandes questions géopolitiques, diplomatiques, militaires, sécuritaires, identitaires, économiques, migratoires et éthiques dont la résolution serait pourtant vitale pour notre civilisation. Les récentes décisions en matière économique visant à établir un plan de relance sous forme de prêts et de subsides accordés par l'UE aux Etats membres et financés en monnaie de guenon participent de ces artifices.

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  • Dette publique: comment les États sont devenus prisonniers des banques 1/4

    La crise des dettes souveraines trouve son origine en 2008, quand les Etats ont dû intervenir massivement pour sauver les banques privées, suite à l'éclatement de la bulle spéculative des subprimes. L'heure de la grande explication a sonné II n'est plus temps de s'indigner mais d'agir.

    À l'automne 2008, se déclenchait une crise financière mondiale dont l'épicentre se trouvait aux États-Unis. Un an plus tard, de bons esprits déclaraient que le pire était passé et que la crise était virtuellement finie. Elle ne l'était pas. Elle se poursuit encore et n'est pas près de se terminer.

    Le plus dur n'est pas derrière nous, mais devant nous; les conséquences seront pires qu'en 1929. La première phase était née d'un excès de surendement des ménages américains. L'économie réelle fut mise en faillite sous l'effet de l'explosion de la dette privée, les entreprises étant frappées de plein fouet par l'effondrement de la demande, ce qui a entraîné une vaste récession planétaire. Aujourd'hui, ce sont les Etats qui sont surendettés. Au problème de la dette privée a succédé le problème de la dette publique, qui affecte aujourd'hui tous les pays occidentaux. Comment en est-on arrivé là ?

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  • Allongement du délai pour avorter. Pr Nisand : « La tête du fœtus est ossifiée et il faut l’écraser»

    Allongement du délai pour avorter. Pr Nisand : « La tête du fœtus est ossifiée et il faut l’écraser»

    Les députées Marie-Noëlle Battistel (PS) et Cécile Muschotti (LREM) rendent, ce mercredi 16 septembre, un rapport sur l’accès à l’avortement commandé par le gouvernement en juin 2019. Une proposition de loi, qui doit être présentée dans la foulée, devrait notamment porter les délais de recours à l’interruption volontaire de grossesse de douze à quatorze semaines de grossesse.

    Les auteurs du rapport s’interrogent sur ce qu’ils considèrent comme des freins à l’application de la loi Veil (malgré plus de 200 000 avortements chaque année).

    « En France, la principale explication aux difficultés d’accès à l’IVG résulte essentiellement du désintérêt à l’égard d’un acte médical peu valorisé. »

    « Seuls 2,9 % des généralistes et gynécologues et 3,5 % des sages-femmes » ont pratiqué un avortement en 2018.

    Les députés préconisent notamment d’ « allonger le délai de l’IVG chirurgicale de deux semaines, pour le faire passer de douze à quatorze semaines de grossesse, afin d’éviter que les femmes confrontées à des difficultés en début de parcours (errance médicale, délais de rendez-vous trop longs…), se trouvent hors délai et dans l’impossibilité de faire pratiquer une IVG en France. »

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  • Urgence à annuler les charges du 2ème trimestre 2020 !, par Nicolas Dupont Aignan.

    "Si le ministre de l’économie avait, avec moi ce matin, fait le tour des commerçants de Vigneux dans ma circonscription, il aurait peut-être compris les dégâts de sa politique ! Urgence à annuler, comme je le propose depuis des mois, les charges du 2ème trimestre 2020, si l’on veut éviter 1 million de chômeurs de plus."