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  • Covid-19 : bientôt la révolte ? – JT du lundi 28 septembre 2020

    Au sommaire de l’actualité de ce soir, retour sur les dernières décisions du gouvernement relatives au Covid-19. Alors que les restaurants et bars de nombreuses villes ont été contraints de fermer, la France fait toujours les frais de dysfonctionnements importants. Depuis plus de 8 mois, l’exécutif enchaîne les décisions contradictoires et suscite de plus en plus de défiance dans la population.

    Également dans cette édition, Nicolas Dupont-Aignan rempile pour 2022. Samedi, lors de son grand meeting de rentrée, le président de Debout la France a annoncé sa candidature pour la prochaine élection présidentielle.

    Et puis nous reviendrons également sur le résultat des élections sénatoriales. Un scrutin qui s’est déroulé en toute discrétion et où les partis traditionnels ont tiré leur épingle du jeu.


    https://www.tvlibertes.com/covid-19-bientot-la-revolte-jt-du-lundi-28-septembre-2020

  • Terrorisme musulman ? Ils découvrent, vraiment ?

    9710-20200930.jpgA en croire les déclarations de l’actuel ministre de l’Intérieur, Darmanin, et de Valls, qui occupa cette fonction de 2012 à 2014, le terrorisme musulman serait « maintenant » une réalité. En effet, dimanche 27 septembre 2020, en déplacement dans une synagogue, Darmanin déclarait sur LCI que « nous sommes toujours en guerre, que nous devons gagner cette guerre et que chacun doit être vigilant ». Le mot « guerre » revient beaucoup avec cet exécutif, peut-être désireux de sidérer la population. Darmanin insistait : « … nous sommes en guerre contre le terrorisme islamique et peut-être que nous l’avons collectivement mis derrière nous », pour préciser ensuite que ses services « ont su intervenir […] une fois par mois en moyenne pour un attentat déjoué ». Est-il conscient de l’horreur de cette déclaration ? Donc, en France, la religion musulmane menace mensuellement de tuer. Darmanin indique aussi que « le gouvernement n’a pas baissé la garde », répondant ainsi aux propos tenus la veille par Valls, selon qui « c’est toute la société française qui est placée par les djihadistes comme cible prioritaire ». Pour l’ancien Premier ministre, « la société s’est relâchée, nous nous sommes habitués à la violence ou à un antisémitisme virulent… ». Il appelle à « un sursaut », affirmant que « l’ennemi, c’est l’islamisme, le salafisme, les Frères musulmans, cet islam politique qui est un nouveau fascisme ». Il demande que l’on cesse « de s’excuser d’être Français et républicain ». En somme, ce que réclame la droite authentique depuis plus de 25 ans.

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  • De grands ancêtres politiquement très incorrects

    De grands ancêtres politiquement très incorrects.jpeg« Il conviendra de refouler impitoyablement tout étranger qui cherchera à s'introduire sans passeport ou titre de transport valable » Dérapage de Jean-Marie Le Pen ? Non, il s'agit d'une consigne donnée en 1937 par Marx Dormoy, ministre de l'Intérieur du Front populaire.

    « Il faut limiter, sur le plan ethnique, l'afflux des Méditerranéens et des orientaux », « priorité aux naturalisations nordiques », puis aussi « C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns […], mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Confidence imprudente de Philippe de Villiers ? Vous n'y êtes pas : ces propos ont été tenus par Charles De Gaulle, en 1945 et 1959.

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  • Une icône catholique ?, par Gérard Leclerc.

    Amy Coney Barrett

    © Rachel Malehorn / CC by

    Il est un terme qu’affectionnent certains médias, plutôt de sensibilité de gauche ou progressiste, c’est celui d’icône. Ce terme qui appartient au vocabulaire religieux s’est trouvé transposé sur le terrain politico-idéologique. Une icône, aujourd’hui, c’est une personnalité incontestable, un modèle, une référence qu’il serait malvenu de contester. Le plus souvent, il est attribué à une figure féministe, qui a joué un rôle dans l’évolution de la condition de la femme.

    Ainsi, le maire socialiste de Rouen envisage-t-il de remplacer la statue de l’empereur Napoléon Ier par une œuvre d’art dédiée à Gisèle Halimi, définie « comme figure de la lutte pour le droit des femmes ». Le type de l’icône actuelle. De même, Ruth Bader Ginsburg, la doyenne de la Cour suprême des États-Unis qui vient de mourir, a été immédiatement célébrée comme une icône en raison de son action en faveur des causes progressistes. Et une vaste campagne d’opinion s’est déclenchée pour magnifier sa mémoire en signifiant qu’il serait intolérable que son héritage fût désavoué.

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  • Grand Remplacement : La preuve par les prénoms, par Franck Deletraz

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    N’en déplaise à tous ceux qui, par pure idéologie ou par un aveuglement béat, s’obstinent à présenter le Grand Remplacement comme un prétendu « fantasme de l’extrême droite », les preuves de cette gigantesque substitution de population qui s’opère depuis des décennies dans notre pays aux dépens des Français de souche sont très loin de manquer. Au nombre de ces dernières figure notamment celle des prénoms attribués aux enfants, qui est doublement parlante : d’abord, parce qu’elle met en évidence le poids sans cesse croissant des enfants issus de l’immigration au sein de leur génération et de la population totale ; ensuite, parce que l’attribution d’un prénom étant devenu – comme l’a souligné Eric Zemmour – un « acte politique » et une « arme de conquête », elle montre l’absolu refus d’une part considérable de ces populations de s’assimiler au peuple français.

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  • Crise sanitaire : un ministre reconnait qu’il s’agit de discipliner les Français !

    « Les décisions, aujourd'hui, ne sont pas prises en fonction d'une réalité qui serait celle de la circulation du virus, mais pour dire qu'il faut continuer à être disciplinés comme vous l'êtes »

    Roxana Maracineanu, ministre déléguée aux Sports, s’est-elle rendue compte de la portée de ses propos ?

     

  • Des élections sénatoriales dans l’indifférence total

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    Les élections sénatoriales se sont déroulées dans l’indifférence la plus totale des Français. Dans la Ve République, l’exécutif l’emporte sur le législatif. Celui-ci n’existe que dans la mesure où il y a cohabitation et lorsque la majorité de l’Assemblée nationale soutient un gouvernement opposé au président de la République. Le quinquennat et l’élection des députés dans la foulée de celle du Président ont fermé cette hypothèse pour donner systématiquement au chef de l’État des majorités introuvables. Et cette fois, elle est à peine croyable par son mélange d’incompétence et de soumission. L’Assemblée vidée de son rôle de contrôle du gouvernement, comme l’ont montré les commissions d’enquête dirigées depuis l’Élysée, le , dont le rôle est marginal depuis 1959, incarne une opposition limitée dans la forme et presque nulle sur le fond. Certes, il peut bloquer toute modification parlementaire de la Constitution, mais ne peut que freiner les lois voulues par le pouvoir et par la majorité de l’Assemblée nationale qui finissent par s’imposer au bout de la « navette ».

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