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  • « Philippe de Villiers : Saint Louis est le mur porteur de la France »

    Philippe de Villiers a récemment consacré une biographie au chevalier de Charrette ; il récidive avec Le Roman de saint Louis, aussi vivant et documenté que le précédent. Monde et Vie l'a rencontré.

    Monde et Vie : Philippe de Villiers, pour quelles raisons avez-vous souhaité écrire une biographie de saint Louis ?

    Philippe de Villiers. Je me suis intéressé à saint Louis, parce que la France va commémorer cette année le 800e anniversaire de sa naissance, le 25 avril 1214 - et je pressens que cette commémoration va passer à la trappe de l’historiquement correct. D'autre part, quand la maison s'écroule, on cherche à tâtons, dans l'obscurité, le mur porteur; et saint Louis est celui de notre pays. Il nous a laissé l'idée que nous nous faisons, aujourd'hui encore, de la légitimité, de la justice, de l'autorité, de la France.

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  • Jean Castex prévoit de s’exprimer le 26 novembre sur le confinement

    La question de la réouverture des petits commerces agite l’exécutif. Alors que le pic épidémique de la deuxième vague semble derrière nous – comme l’a indiqué le ministre de la Santé, Olivier Véran – Bercy travaille à la présentation d’un nouveau protocole sanitaire permettant aux magasins de reprendre leur activité le plus tôt possible, notamment pour le Black Friday, sans attendre l’échéance du 1er décembre fixée par le premier ministre.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/jean-castex-prevoit-de-sexprimer-le-26-novembre-sur-le-confinement

  • On veut la messe publique : la mobilisation continue

    Et c’est Saumur qui ouvre le bal des manifestations de dimanche prochain :

    Lire ici le communiqué de la Conférence des évêques de France, qui précise

    Le Premier Ministre a fermement redit que les conditions sanitaires ne permettaient pas aujourd’hui une reprise des célébrations publiques. Il a chargé le ministre de l’Intérieur de préparer sans tarder, en lien avec les représentants des cultes, les protocoles nécessaires à une reprise maîtrisée à partir du 1er décembre selon ce que les conditions sanitaires permettraient.

    https://www.lesalonbeige.fr/on-veut-la-messe-publique-la-mobilisation-continue/

  • L’armée met en garde son personnel contre les empoisonnements et agressions par les livreurs Uber Eat et Deliveroo !

    Résultat de la folle politique de « diversité » : l’armée a peur sur son propre sol.
    Quel sera le prochain épisode ?

    Voici un communiqué (authentifié par nos sources dans l’armée) qui a circulé dans certaines unités, les faits relatés sont graves.

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  • Alain de Benoist : « Les garde-fous qui contenaient autrefois la violence sociale ont sauté les uns après les autres ! ».

    Après les « sauvageons » de Jean-Pierre Chevènement, voilà maintenant qu’on évoque, en haut lieu, l’« ensauvagement de la société ». Le fait que ce terme, employé par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, ait été emprunté au vocabulaire du Rassemblement national vous paraît-il significatif ?

    Comme Chevènement, Darmanin a visiblement voulu frapper les esprits. Mais il n’est pas exact de dire qu’il s’est inspiré du Rassemblement national. , à partir de 2013, a effectivement employé ce terme à plusieurs reprises, sans doute à la suite de Laurent Obertone qui avait publié, la même année, un livre intitulé Enquête sur un sujet tabou : l’ensauvagement d’une nation. Mais Obertone ne l’avait lui-même pas inventé. En 2005, la politologue Thérèse Delpech avait publié, chez Grasset, L’Ensauvagement : le retour de la barbarie au XXIe siècle. Beaucoup plus tôt encore, on retrouve le mot sous la plume de l’écrivain et poète martiniquais Aimé Césaire, selon qui la colonisation a « instillé dans les veines de l’Europe » le « progrès lent, mais sûr, de l’ensauvagement du continent » (Discours sur le colonialisme, 1950). De son côté, l’historien George Mosse, évoquant la « culture de la guerre » née dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, a employé le mot de « brutalization », que l’on a traduit en français par « ensauvagement ». Nous sommes donc devant un terme auquel on peut donner des significations bien différentes.

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  • [vidéo] GAFAM : les grands gagnants du confinement

    GAFAM

    Cette semaine dans C’est Cash, Estelle Farge et Olivier Delamarche s’intéressent aux entreprises à qui la crise semble clairement profiter : les GAFAM.

    Le deuxième confinement, en vigueur depuis le 30 octobre dernier, a contraint les commerces et les rayons vendant des produits dits «non essentiels» à fermer. Face à ces restrictions, les consommateurs se tournent vers internet pour consommer ce qu’ils ne peuvent plus acheter ailleurs. Amazon, qui a vu son chiffre d’affaires grimper de 37% au troisième trimestre de 2020, prévoit des ventes comprises entre 112 et 114 milliards de dollars d’ici la fin de l’année. Ces chiffres montrent que la tendance est à la digitalisation de l’économie, mais peut-on envisager que cette crise sanitaire bouleverse définitivement nos modes de consommation ?

    Il semble acquis aujourd’hui que les GAFAM sont les grands gagnants de la crise liée au Covid-19.

    https://fr.novopress.info/219640/video-gafam-les-grands-gagnants-du-confinement/

  • Le Grand Remplacement n’existe pas, mais le CSA l’estime à 25%

    Delphine Ernotte, dirigeante de France Télévisions, déclare au Monde :

    Nos publics revendiquent d’être mieux représentés, en matière de parité, de couleur de peau, de handicap, d’origine géographique et sociale. La distorsion entre la réalité et sa représentation à la télévision est trop grande. Nous allons donc évaluer la représentation à l’antenne afin de nous fixer des objectifs pour 2021. D’après le CSA, les personnes « perçues comme non blanches » représenteraient environ 25 % de la société française, contre 15 % à la télévision. On a un énorme rattrapage à faire. Ce sera le fil rouge de mon nouveau mandat.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-grand-remplacement-nexiste-pas-mais-le-csa-lestime-a-25/

  • Les deux faces du libéralisme (texte de 2015)

    Les deux faces du libéralisme.jpeg

    Près d'une centaine de personnes ont assisté le 5 décembre dernier à la conférence organisée à Montpellier à l'occasion de la sortie de La gauche du capital de Charles Robin. Sans surprise, le NPA a dénoncé une « bouillie confusionniste »

    L'auteur de La gauche du capital a grandi dans un quartier populaire de Béziers, où les garçons ont généralement le choix entre le rugby et le rugby Frondeur, il a choisi la philosophie et la boxe ! Tant mieux la philosophie y a gagné un cogneur, qui sait viser juste et droit.

    Lecteur attentif et curieux, toujours un œil qui traîne sur les dernières nouveautés d'éditeurs dissidents, webradios improbables, fanzines et webmagazines mauvais genre, l'ami David L'Épée a, le premier, dans ces colonnes (Éléments n°146, janvier-mars 2013), entrevu chez Charles Robin un jeune penseur en rupture de ban idéologique. À 26 ans, l'élève de Jean-Claude Michéa, qui a milité pendant quelques années au Nouveau parti anticapitaliste (NPA) d'Olivier Besancenot, venait de publier à compte d'auteur son mémoire universitaire sous le titre Le Libéralisme comme volonté et comme représentation. Enthousiaste, le collaborateur d'Eléments avançait alors à propos de ce jeune Biterrois inconnu : « S'il est vrai que la valeur des idées se reconnaît à l'engouement qu'elles suscitent chez les plus jeunes, tout laisse à croire que les thèses de Michéa ont de l'avenir. Non content d'être souvent lu ces dernières années par la jeune génération, il a trouvé en la personne de Charles Robin, doctorant de 26 ans à Montpellier, un successeur enthousiaste. » Deux ans plus tard, à l'heure où le même Charles Robin fait paraître aux éditions Krisis La gauche du capital, sans doute l'essai le plus percutant qu'on ait pu lire depuis bien longtemps, l'intuition de David L'Épée prend des airs de prémonition.

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  • Hold-up, le documentaire qui dérange les médias

    Hold-up - le documentaire

    17/11/2020 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Sorti mercredi 11 novembre, le documentaire intitulé « Hold-up – retour sur un chaos » produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, a connu un succès massif. Il traite de la gestion de la crise par le Gouvernement, en pointant du doigt les incohérences et contradictions faites concernant le port du masque, le confinement, les traitements ou encore l’hydroxychloroquine. La quasi-totalité des intervenants sont des personnels de santé connus, de différents pays, ce qui donne une certaine crédibilité aux propos tenus. Parmi eux Astrid Stuckelberger, professeur de médecine, accusé de complotisme a rapidement enflammé les médias.

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