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  • "Sécurité globale" ou totalitarisme en marche ?

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Flouter le visage des policiers en opération comme le prévoit la loi "Sécurité globale"  ne me semble pas scandaleux.
    Foutre au trou ou à la porte ceux qui les agressent et les menacent me semblerait préférable.
    Guillotiner ceux qui les tuent serait le mieux.
    Pour le reste, cette loi, défendue par Gérard Darmanin et débattue depuis ce mardi dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale s'inscrit dans la longue liste des projets inutiles et hors sujet pour le rétablissement de l'ordre et de la sécurité des Français, mais ravageuse en termes de libertés publiques.
    L'utilisation systématique des drones lors des manifestations et l'élargissement du recours à des polices privées dotées de compétences d'interventions légales importantes sont à cet égard particulièrement inquiétantes qui participent d'un processus global de contrôle de la population de type Ceausescu dont la dictature sanitaire n'est qu'un élément.
  • Pas de messe avant début décembre : au bourricot catho, on ne desserre pas la bride !, par Gabrielle Cluzel.

    « Chacun sent bien que le deuxième confinement ne passe pas, dans le pays. Les sondages globaux sont faussés par le climat de peur », écrit, sur son blog, Maxime Tandonnet, dans un article intitulé L’Explosion qui approche.

    Si, comme il le dit, « un grondement sourd remonte des entrailles du pays », l’Histoire retiendra que des catholiques auront été les premiers à se lever pour protester, paisiblement mais fermement, avec une revendication commune claire – « On veut la messe ! » – dans la plupart des grandes villes de France : Tours, Bordeaux, Vannes, Luçon, Montpellier, Versailles, Saint-Brieuc, Draguignan, Chambéry, Moulins, Bois-Colombes, Rambouillet, Rennes, Valence, Angers, , Strasbourg, Lyon, Saint-Germain-en-Laye, La-Roche-sur-Yon, Bougival, Saint-Maur-des-Fossés, Toulouse…

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  • Passé-Présent n°287 : L’entrevue de Montoire, le face à face Hitler-Pétain

    Pétain-Hitler : L’entrevue de Montoire

    L’invité de Philippe Conrad, André Posokhow, décrypte la rencontre du 24/10/1940 entre le maréchal Philippe Pétain et le chancelier Adolf Hitler à Montoire-sur-le-Loir, dans le contexte de l’écrasante défaite militaire française que la politique de la IIIè République avait provoquée. La veille de cette entrevue, le dirigeant du Reich s’était vu refuser par le général Franco l’accès du territoire espagnol aux troupes allemandes, écartant ainsi une menace directe sur l’Afrique du nord. La réflexion sur les événements de cette période amène à réviser les idées reçues qui s’imposent encore de nos jours.

    1er novembre 1755 : La terre tremble à Lisbonne

    Troisième port européen, ville prospère au XVIIIème siècle, la capitale portugaise s’effondre le matin du jour des morts de l’an 1755. Des secousses sismiques d’une rare violence, suivis d’innombrables incendies et d’un raz-de-marée, détruisent 95% du territoire de la cité et causent la mort d’environ 60 000 lisboètes. Anne Sicard nous raconte en détail le déroulement de cette tragique journée.


    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n287-lentrevue-de-montoire-le-face-a-face-hitler-petain

  • Ils prônent « les valeurs de la vaccination » et s’en mettent plein les poches !

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    Je ne cesse de le dire : on vit vraiment une époque formidable. Tenez, rien que ce matin, les nouvelles les plus « époustouflifiantes » se bousculent au portillon rien que sur le sujet de la vaccination.

    On apprend, ainsi, que le gouvernement, ayant passé une commande de 90 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 à plusieurs fournisseurs, se voit contraint d’affronter une opinion habitée par le doute et de lutter contre les « fake news » qui pullulent sur la Toile. Or, les contestataires ont une tête penseuse, une dénommée Kim Glow, à laquelle ledit gouvernement « hésitait ce week-end à [lui] répondre, avant de renoncer ».

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  • OUI à la réouverture de TOUS les COMMERCES dès le 27 novembre. Laissez-nous travailler !

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    Patrick Binder

    Les lecteurs de Synthèse nationale, en particulier ceux d'Alsace dont il fut longtemps conseiller régional, connaissent Patrick Binder. Celui-ci dirige une entreprise de restauration, la "Brasserie du Rhin", et l'an dernier, à l'occasion de notre Rendez-vous Bleu Blanc Rouge, il s'occupait justement du banquet amical du samedi soir qui rencontra un vif succès. Il est donc bien placé pour attirer l'attention des pouvoirs publics sur la situation catastrophique que subissent les artisans et les commerçants actuellement. Il vient de publier une lettre ouverte à cet effet que nous reprenons bien volontiers sur ce site.

    R.H. 

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  • Toujours Stonehenge !

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    Un nouveau chapitre de l'histoire du célèbre site mégalithique de Stonehenge est en train de s'écrire. À moins de 3 km de là, dans une vallée faisant face à la rivière Avon, à Durrington Walls, les archéologues avaient déjà identifié une vaste structure préhistorique circulaire d'un diamètre de 500 mètres et d'une circonférence de 1,5 km, mais ils pensaient qu'il s'agissait seulement des restes d'un large talus ou d'un remblai. Le recours à des techniques de prospection géophysique de pointe, notamment un radar de pénétration du sol, vient de montrer que cette structure abrite en réalité quelque 90 grandes pierres couchées et enterrées sous un mètre de terre. Les plus grandes pierres mesurent jusqu'à 4,5 m de haut, l'ensemble étant disposé en forme de « C ». Les pierres manquantes pourraient avoir été utilisées pour construire Stonehenge, dont la première phase date d'environ 3000 ans av. notre ère, ce nouveau temple mégalithique remontant, lui, à 4500 ans av. notre ère. On ignore les raisons pour lesquelles il fut abandonné, mais sa construction avait probablement obéi aux mêmes considérations astronomiques que son successeur. Il reste maintenant à extraire les pierres du sol. Vincent Gaffney, de l'Université de Birmingham, et Wolfgang Neubauer, de l'Institut Ludwig Boltzmann de Vienne, qui dirigent le projet, estiment d'ores et déjà qu’il s'agit du « plus important monument mégalithique jamais découvert en Grande-Bretagne, et peut-être en Europe ».

    Sources The Guardian, 7 septembre 2015.

  • Islamisme à l’école: “Un tiers de mes élèves conteste le programme”, affirme une professeure de banlieue parisienne

    Dans un entretien à Ouest-France, une professeure témoigne de l’évolution alarmante de l’islamisme dans son école de banlieue parisienne depuis l’attentat contre Charlie Hebdo en 2015. Selon elle, « Un tiers d’une classe (…) conteste le programme, c’est effrayant, ça va être difficile à déconstruire ». Voici son témoignage:

    « Cela fait six ans que j’enseigne. J’aime ce métier que j’ai découvert par hasard, après avoir travaillé dans le milieu de l’événementiel. Mais j’ai l’impression que les choses évoluent, et pas dans le bon sens. Après l’attentat contre Charlie Hebdo, en janvier 2015, il y a eu spontanément une forme d’unité nationale. Bien sûr, on a entendu des phrases comme : Ils l’ont bien cherché. On a entendu des élèves le dire, mais c’était très rare

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  • Les ambassadeurs de Hongrie et de Pologne ont mis leur veto au projet de budget de l’UE pour sept ans

    Les ambassadeurs de Hongrie et de Pologne ont mis leur veto au projet de budget de l’UE pour sept ans

    Face à la volonté de l’UE de mettre en place un mécanisme permettant de priver de fonds européens les pays de l’Union accusés de violer l’Etat de droit, la Hongrie et la Pologne bloquent le budget et le plan de relance européens.

    Budapest et Varsovie ont mis leur veto pour s’opposer à la mise en place d’un mécanisme permettant de priver de fonds européens les pays de l’Union qui ne seraient pas dans la ligne idéologique (immigration, avortement, propagande LGBT…).

    Les chefs de gouvernement hongrois Viktor Orban et polonais Mateusz Morawiecki ont écrit une lettre aux dirigeants de l’UE. Le critère de l’Etat de droit

    “n’est qu’un prétexte, un beau mot qui sonne bien à l’oreille, mais il s’agit d’un asservissement institutionnel, politique, d’une limitation radicale de la souveraineté”. “Il s’agit de savoir si la Pologne sera une entité souveraine au sein de la communauté qu’est l’UE”.

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  • Solidarité royaliste avec les 863 de Béthune !, par Jean-Philippe Chauvin.

    Une fois de plus, une mul­ti­na­tio­nale montre le visage d’un capi­ta­lisme sans cœur mais pas sans inté­rêts, ceux de ses pro­prié­taires et de ses action­naires. Ain­si, l’entreprise de pneu­ma­tiques Brid­ges­tone a déci­dé de fer­mer son usine de Béthune et de sacri­fier ses 863 sala­riés, sans même jeter un œil aux pro­jets alter­na­tifs pro­po­sés par l’État et la Région.

    Cette fer­me­ture, même si elle se veut accom­pa­gnée de mesures de reclas­se­ment, est une véri­table tra­gé­die sociale pour la ville et les envi­rons, autant pour les ouvriers eux-mêmes que pour les entre­prises sous-trai­tantes et les com­merces avoi­si­nants : plus de 5.000 emplois sont ain­si mena­cés et fra­gi­li­sés, au moment même où la Répu­blique semble inca­pable de s’opposer à l’hégémonie des grandes pla­te­formes numé­riques étran­gères et qu’elle menace la sur­vie de nombre de com­merces de proxi­mi­té par sa poli­tique erra­tique de confi­ne­ment sans stra­té­gie de long terme.

    Pour faire entendre rai­son aux mul­ti­na­tio­nales mon­dia­li­sées et favo­ri­ser le tra­vail en France, encore faut-il un État qui soit non seule­ment stra­tège mais qui dis­pose d’une véri­table durée et d’un réel enra­ci­ne­ment social sus­cep­tible d’amortir les chocs sociaux et de pro­mou­voir des alter­na­tives indus­trielles cré­dibles quand une branche d’activités est mena­cée. Non un État « chef d’entreprise », non un État intru­sif, mais un État qui aide, qui sou­tient les ini­tia­tives en les valo­ri­sant, un État qui ne dirige pas tout mais qui s’appuie sur un réseau enra­ci­né d’entrepreneurs et de sala­riés moti­vés, et orga­ni­sés, non pour « reven­di­quer » mais pour ordon­ner les acti­vi­tés et les métiers.

    En atten­dant cette Monar­chie sociale et cor­po­ra­tive que nous tra­vaillons à ins­tal­ler en France, le com­bat d’urgence est de sou­te­nir, haut et fort, les pro­tes­ta­tions et les ini­tia­tives ouvrières et pro­fes­sion­nelles des sala­riés de Brid­ges­tone, et de « faire force » face aux mul­ti­na­tio­nales égoïstes et insou­cieuses du sort des tra­vailleurs et de la ville de Béthune.

    Source : https://www.actionfrancaise.net/