Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 29

  • Sur le site officiel de l'Action française : écologisme : un délire sociétal, l’éditorial de François Marcilhac.

    Après l’adoption récente de la pro­po­si­tion de loi visant à ren­for­cer la lutte contre la mal­trai­tance ani­male, qui, entre bonnes inten­tions et délire anti­spé­ciste, aura pour consé­quence d’affecter des sec­teurs entiers de l’économie (tou­risme, éle­vage, com­merce) (et d’après leurs auteurs, ce n’est qu’une pre­mière étape), la mai­rie éco­lo­giste de Stras­bourg, dans une même logique anti­spé­ciste, se pré­oc­cupe davan­tage du sort bien­veillant à réser­ver aux rats et aux punaises de lit que de san­té publique, tan­dis que la mai­rie éco­lo­giste de Lyon, pré­tex­tant la crise sani­taire, impose aux enfants des menus sans viande. 

    Encore une fois les bobos, par leur poli­tique, ciblent les classes popu­laires, celles qui vivent dans les tau­dis infes­tés de rats et de punaises, et qui ne peuvent pas ache­ter de la viande à leurs enfants, ou n’achètent que de la viande pour ani­maux, lorsque les super­mar­chés consentent encore à en vendre. Mais qu’importe ? Nous savions déjà que délire socié­tal et injus­tice sociale vont de pair. C’était le socia­liste finan­ceur de Hol­lande Pierre Ber­gé qui décla­rait, en 2012 : « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour tra­vailler à l’u­sine, quelle dif­fé­rence ? » Ajou­tant, avec un cynisme d’une totale abjec­tion : « C’est faire un dis­tin­guo qui est choquant. »

    Car l’abjection, pré­ci­sé­ment, n’a plus de limites, même celles, peut-être hypo­crites, mais qui témoi­gnaient encore d’un sens du Bien, de la bour­geoi­sie de jadis.  Car c’est au nom même de la morale, voire de la sau­ve­garde de la Terre elle-même, c’est-à-dire au nom même du Bien, que la bour­geoi­sie actuelle pour­suit son œuvre de des­truc­tion de la socié­té. Et ils ont beau se cha­mailler, macro­niens et éco­lo­gistes ont conclu, en la matière, un pacte mor­ti­fère, ayant pour com­plices directs une gauche et une extrême gauche qui veulent aller encore plus loin sur tous les sujets (PMA, GPA, eutha­na­sie, anti­spé­cisme, immi­gra­tion­nisme, déco­lo­nia­lisme, « anti­ra­cisme », éco­lo­gisme), et pour com­plice indi­recte une droite qui s’est eutha­na­siée elle-même. Ain­si, dans l’attente que le texte sur la PMA pour toutes, l’extension de l’avortement jusqu’à la veille de la nais­sance et les mani­pu­la­tions géné­tiques sur les embryons soit défi­ni­ti­ve­ment adop­té à l’Assemblée, celle-ci se penche sur deux autres pro­jets d’une urgence abso­lue : l’inscription de la sau­ve­garde de la pla­nète à l’article 1er de la Consti­tu­tion, qui devien­dra bien­tôt un inven­taire à la Pré­vert et, bien évi­dem­ment, le pro­jet de loi « por­tant lutte contre le dérè­gle­ment cli­ma­tique et ren­for­ce­ment de la rési­lience face à ses effets » : en clair, la tra­duc­tion légis­la­tive des pro­po­si­tions du machin citoyen pour le climat.

    Car ce n’est rien com­prendre à l’écologisme que de ne pas voir, qu’avant d’être un com­bat « pour » la pla­nète, il est une cause socié­tale, visant, de même que les autres causes socié­tales évo­quées plus haut, à la trans­for­ma­tion des fon­de­ments la socié­té ou, plu­tôt, à leur des­truc­tion. De mêmes défen­seurs et une même logique les habitent : ce vieux rêve révo­lu­tion­naire de faire du pas­sé table rase et d’imposer, par la contrainte, un homme « nou­veau », voire bien­tôt « aug­men­té ». Peu importent alors les dis­pu­ta­tiones sco­las­tiques sur le fait de savoir si l’inscription à l’article 1er de la Consti­tu­tion que « [la France] garan­tit la pré­ser­va­tion de l’environnement et de la diver­si­té bio­lo­gique et lutte contre le dérè­gle­ment cli­ma­tique » empor­te­ra, ou non, une obli­ga­tion de résul­tat — en séance publique, le rap­por­teur a évo­qué une « quai-obli­ga­tion de résul­tat », objet juri­dique non iden­ti­fié…  C’est un uni­ver­sa­lisme patho­lo­gique sur fond de volon­ta­risme ubuesque dont témoigne sur­tout cet ajout à la loi fondamentale.

    Il en est de même du pro­jet de loi fleuve tra­dui­sant dans la loi les reven­di­ca­tions télé­gui­dées des 150 idiots utiles de la Conven­tion citoyenne pour le cli­mat… Ceux qui pensent que Macron s’est pié­gé lui-même en pre­nant le risque d’être désa­voué, et donc humi­lié, par la Conven­tion, qui l’a piè­tre­ment noté comme un mau­vais élève, n’ont rien com­pris à la démarche de Jupi­ter. Laquelle ? Court-cir­cui­ter une reven­di­ca­tion de démo­cra­tie directe par un machin à la léga­li­té dou­teuse tout en don­nant des gages à son élec­to­rat vert. Ce n’est pas seule­ment par ses insuf­fi­sances en matière de moyens (finan­ciers) que le texte pèche, s’agissant par exemple de la réno­va­tion ther­mique de l’habitat — nos bobos vivent dans des appar­te­ments ou des mai­sons bien chauf­fées et sans punaises de lit. — ou par son sou­tien idéo­lo­gique au véga­nisme, jugé plus « durable » (à savoir éco­lo­gique) qu’une ali­men­ta­tion nor­male. C’est avant tout par son indif­fé­rence totale à l’aménagement du ter­ri­toire. Mais pour­quoi en serait-il autre­ment ? Les bobos des métro­poles parlent aux bobos des métropoles…

    Il est arri­vé à Marine Le Pen d’évoquer la démé­tro­po­li­sa­tion… Un concept pri­mor­dial. Car la métro­po­li­sa­tion, elle a aus­si, est une idéo­lo­gie avant d’être une réa­li­té éco­no­mique et ter­ri­to­riale. Les Fran­çais l’attendent davan­tage sur ce ter­rain réga­lien que sur celui de son oppo­si­tion « à titre per­son­nel » à la chasse à courre…. D’autant que, lorsqu’on s’est offi­ciel­le­ment décla­ré à la can­di­da­ture suprême, on n’a plus d’opinion « à titre per­son­nel ». Du moins, si on a la dimen­sion d’un homme, ou d’une femme, d’Etat.

    Fran­çois Marcilhac

    https://www.actionfrancaise.net/2021/03/16/ecologisme-un-delire-societal/

  • États-Unis : dans les écoles pour élites, des parents terrorisés s’organisent face à la domination d’une idéologie antiraciste devenu folle 2/2

    153-6.png

    Brentwood, une école qui coûte 45 630 dollars par an, a fait les gros titres il y a quelques semaines lorsqu’elle a organisé des “sessions de dialogue et de renforcement de la communauté” ségréguées sur le plan racial. Mais lorsque je parle avec un parent d’un élève de collège de cette école, c’est du programme d’anglais de leur enfant qu’ils veulent parler. “Ils ont remplacé tous les livres sans rien dire et sans même en informer les parents.” Le programme ne comporte plus de classiques du style “The Scarlet Letter”, “Little Women”, “To Kill a Mockingbird” et “Lord of the Flies”. Parmi les nouveaux livres : “Stamped: Racism, Antiracism, and You”, “Cher Martin”, “Chère Justice”, et “Yaqui Delgado veut vous botter le cul”.

    Lire la suite

  • Confinement : le coup fatal de Macron ? – JT du jeudi 18 mars 2021

    L’Ile-de-France retient son souffle. Après avoir retardé l’échéance, le gouvernement devrait annoncer de nouvelles restrictions pour la région parisienne. Des restrictions qui ne seront pas sans conséquence.

    Nous prendrons ensuite la direction de la Bretagne où la criminalité gagne peu à peu du terrain. Une région qui jusqu’ici était relativement préservée par le phénomène des violences.

    Et puis nous reviendrons sur l’obsession des journalistes : le “complotisme”. Alors que les médias brandissent le terme pour décrédibiliser tout ce qui les dérange, de plus en plus de théories alternatives sont finalement reprises par les médias du système eux-mêmes. Un phénomène amusant.


    https://www.tvlibertes.com/confinement-le-coup-fatal-de-macron-jt-du-jeudi-18-mars-2021

  • Le pactole des données médicales, par Arnaud Raffard de Brienne

    données médicales santé

    La décision, incompréhensible à première vue, du gouvernement de confier l’hébergement des informations de santé de millions de nos concitoyens à Microsoft plutôt qu’à l’opérateur français OVH a de quoi légitimement choquer. Cette décision prise au début de l’été dernier à l’issue d’un processus de sélection pour le moins obscur confie à l’un des plus éminents membres des GAFAM – Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft – nos données les plus intimes du Health Data Hub, cette plate-forme destinée à la recherche médicale et statistique.

    Lire la suite

  • Marine Le Pen et le syndrome Gianfranco Fini

    face-a-darmanin-marine-le-pen-entre-logiciel-depasse-et-sous-motorisation-800x450.jpg.webp

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ « Elle ferait sans doute mieux de célébrer Napoléon que de flagorner de Gaulle. » Cette réflexion est assez révélatrice du dilemme de la présidente du Rassemblement national et de sa stratégie. Comment se dédiaboliser sans se confondre avec les autres ? Tout le monde étant devenu gaulliste, cela ne sert à rien de dire qu’on l’est aussi. Reconnaitre que Napoléon est le français le plus célèbre de l’histoire et un grand homme est devenu plus difficile face aux minorités dominantes. Quand on réfléchit sur la stratégie du RN, on pense bien sûr au syndrome italien et à la disparition de l’Alliance Nationale de Fini. A force de rejeter ses origines politiques, il a été avalé par les marais gluants de la partitocratie italienne accouchée sur les décombres du fascisme. Certes, l’époque a changé. Et l’on verra bien si Matteo Salvini va réussir là où Fini a échoué. Marine va sans doute surveiller de très près l’avenir du patron de La Ligue.

    Lire la suite

  • Guerre Fraude. Poutine est-il un tueur ? Biden va-t-il le liquider ? (Présent)

     
     
     
     

    Ce jeudi tous les médias titraient à peu près à l’identique : « Biden dit penser que Poutine est un tueur » (Le Figaro), « Biden pense que Poutine est un tueur » (L’Express), « Pour Joe Biden, Poutine est un “tueur” et en paiera le “prix” » (Le Point), « Joe Biden accuse Vladimir Poutine d’être un tueur » (20 Minutes), etc. Sommes-nous à la veille d’une troisième guerre mondiale ?

    Quand Donald Trump s’en était pris à Kim Jong-un, en 2017, les Occidentaux avaient levé les bras au ciel : « Une nouvelle guerre mondiale ? Il ne manquait plus que cela ! Trump va tout nous faire, la catastrophe est imminente. »

    Pourtant le président américain avait quelques raisons de taper du poing sur la table. Un étudiant américain, Otto Warmbier, avait été détenu pendant 18 mois en Corée du Nord. Il avait été renvoyé aux Etats-Unis alors qu’il était dans le coma, et il était mort peu après. Et il y avait le nucléaire.

    Lire la suite

  • Guerre Fraude. Poutine est-il un tueur ? Biden va-t-il le liquider ? (Présent)

     
     
     
     

    Ce jeudi tous les médias titraient à peu près à l’identique : « Biden dit penser que Poutine est un tueur » (Le Figaro), « Biden pense que Poutine est un tueur » (L’Express), « Pour Joe Biden, Poutine est un “tueur” et en paiera le “prix” » (Le Point), « Joe Biden accuse Vladimir Poutine d’être un tueur » (20 Minutes), etc. Sommes-nous à la veille d’une troisième guerre mondiale ?

    Quand Donald Trump s’en était pris à Kim Jong-un, en 2017, les Occidentaux avaient levé les bras au ciel : « Une nouvelle guerre mondiale ? Il ne manquait plus que cela ! Trump va tout nous faire, la catastrophe est imminente. »

    Pourtant le président américain avait quelques raisons de taper du poing sur la table. Un étudiant américain, Otto Warmbier, avait été détenu pendant 18 mois en Corée du Nord. Il avait été renvoyé aux Etats-Unis alors qu’il était dans le coma, et il était mort peu après. Et il y avait le nucléaire.

    Lire la suite

  • La catastrophe selon Jean Castex

    sans-titre-4-230x180.png

    Vu sur le SalonBeige

    Imaginez un peu cette catastrophe : avec Marine Le Pen élue, il y aurait des manifestations populaires dans toute la France avec des rond-points occupés, des émeutes à répétition dans les banlieues, des professeurs seraient menacés ou égorgés, la liberté scolaire attaquée, ainsi que la liberté d’expression, l’avis du peuple serait méprisé, l’avortement encouragé, l’embryon humain servirait de matériel, et, comble de la catastrophe, avec Marine Le Pen, une grippe deviendrait une pandémie, provoquant des interdictions en tout genre, des limitations de circulation…

    Vraiment, cette catastrophe fait froid dans le dos…

    La catastrophe selon Jean Castex
  • Fondements du nationalisme russe

    La Russie, dans son histoire, a toujours été étrangère aux dynamiques euro­péennes. Son nationalisme, son idéologie nationale, sont marquées par un double jeu d’attraction et de répulsion envers l’Europe en particulier et l’Occident en général. Le célèbre slaviste italien Aldo Ferrari nous le rappel­le : du Xe au XIIIe siècles, la Russie de Kiev est bien insérée dans le sys­tème économique médiéval. L’invasion tatare l’arrache à l’Occident, puis la Principauté de Moscou, en se réorganisant et en combattant les résidus de l’Empire Tatar, se veut une nouvelle Byzance orthodoxe, différente de l’Oc­cident romain ou protestant.

    Lire la suite