Quand un chef d’Etat met en cause les violences policières dans un entretien sur des réseaux sociaux suivis par des adolescents ou de tout jeunes gens (le média en ligne Brut, le 5 décembre dernier), quand ce même président, sur le même réseau en ligne, dénonce les contrôles au faciès et les discriminations, quand le même président, un an auparavant, au salon de la BD d’Angoulême, posait à côté du dessinateur Jul qui tenait un t-shirt attaquant la police, il ne faut pas s’étonner qu’un garçon de 19 ans, Ayoub A., multirécidiviste mais toujours traité avec une extrême indulgence, trouve normal d’abattre un policier. Il est clair pour des garçons de cet âge que les policiers appartiennent au camp des salauds. C’est le président qui le dit ou qui le laisse entendre. Ce sont ses profs qui l’assurent, peut-être, ce sont les médias qui le rabâchent en boucle.
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On a retrouve les Indo-Européens
Char solaire de Trundholm, retrouve au Danemark. Il est daté du premier âge du bronze, soit aux alentours de -1400.
L’éclairage de Xavier Delamarre, Propos recueillis par Alain de Benoist
Les études indo-européennes, en berne en France, reprennent des couleurs. Des chercheurs, avec à leur tête le linguiste Xavier Delamarre, ont lancé en 2014 une nouvelle revue savante, Wék’os, qui remonte le temps à travers nos racines grecques, latines, celtiques, germaniques, slaves, iraniennes, etc. Initialement publiée par Actes Sud, la revue parait désormais aux éditions Les Cents Chemins. La troisième livraison est annoncée pour la fin d’année.
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Alternative au vaccin Covid-19. La biotech nantaise Xenothera annonce une précommande de la France pour son traitement
Il aura fallu du temps pour que l’Etat se décide !
La biotech nantaise Xenothera, créée en 2014, a annoncé mardi 11 mai avoir signé un contrat de précommande avec le gouvernement français pour son traitement en développement contre le Covid-19. Ce contrat de réservation porte sur 30.000 doses du candidat-médicament XAV-19, précise la société dans un communiqué.
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Raoult lâche une bombe et Karine Lacombe délire en interview !
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On ne peut plus parler d’indépendance alimentaire de la France
La France produit elle assez pour nourrir tous les habitants ? Ce n’est pas si simple. Dans certains secteurs, la France importe de plus en plus:
- 60% des fruits que nous mangeons sont importés,
- la moitié des volailles,
- 40% des légumes
- un quart de la viande bovine.
Au rythme actuel, dans 2 ans, la France va devenir importatrice nette de produits agricoles. Du jamais vu depuis… 45 ans.
Si la France reste premier producteur en Europe, c’est grâce aux céréales et au vin. Mais pour le reste, la France est dépendante.
On ne peut donc plus parler d’indépendance alimentaire de la France. Et la France importe pour beaucoup ce qui fait tourner l’agriculture (engrais, machines, produits phytosanitaires, aliments pour bétail).
https://www.lesalonbeige.fr/on-ne-peut-plus-parler-dindependance-alimentaire-de-la-france/
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L’exemple du héros 2/2
Chaque instant est unique
Il vient en aide aux faibles et aux vieillards mais ne supporte ni les fainéants, ni les profiteurs et les voleurs. Il les considère comme des “fardeaux de la terre”, un poids pour la Terre-Mère. Il sait être courageux face au danger et patient devant les difficultés de la vie quotidienne sans pour autant rechercher l'affliction et l'adversité. Il sait profiter des joies de la vie là où il les trouve, en écoutant une chanson, après un baiser, devant un endroit idyllique ou l'hilarité d'un enfant par ce qu'il sait que chaque instant est unique et qu'il ne se reproduira peut-être jamais. De plus, il n'est pas stupide. Il sait utiliser son intelligence chaque fois qu'il en a besoin. Il représente la supériorité de l'Homme face à l'animal. Il sait rire avec ses propres malheurs, car le rire est comme le vent qui chasse les nuages de la misère et du défaitisme. Il essaie de résoudre seul ses problèmes tout en respectant la Nature qu'il considère comme vivante et sacrée.
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La colère gronde en terre bretonne... et bientôt les élections régionales !
Padrig MontauzierLa Bretagne, de par les compromissions des élus, leurs soumissions aux dogmes écologistes et aux désirs des lobbies des « énergies nouvelles », va-t-elle devenir une terre privilégiée des éoliennes ?Nous sommes à quelques jours des élections régionales et il serait bon que certains se positionnent ouvertement sur ce mécontentement, voire ce refus d’une très grande partie des Bretons contre l’implantation outrancière d’éoliennes en Bretagne. Non contents de défigurer les paysages, on s’attaque maintenant à nos côtes et à l’implantation en mer. Ce sont de multiples projets : baie de Saint Brieuc, au large de l’île de Groix, ou également le plus important en mer de Saint Nazaire.Bretons, la question que je me pose, et que vous devez également vous poser avant cette élection est la suivante : quelle est la position de la liste EELV écologiste (soutenue comme à son habitude par l’UDB, nos braves et dociles « soldats » d’une Bretagne qu’ils ne représentent pas et n’ont jamais représentée) ? Quelle est la position de ces « khmers verts », que certains (et je n’irai pas jusque là) désignent, depuis peu suite à leurs multiples déclarations délirantes, de « djihadistes verts » ? Une réponse s’impose !A quand le remplacement des hermines de notre drapeau national, Gwenn ha Du, par un semis d’éoliennes ?Mes amis patriotes bretons et défenseurs de notre Bretagne et de son peuple, merci de diffuser sans modération.Padrig Montauzier est directeur de la revue bretonne War Raok cliquez iciNDLR SN :Pour l'acheter cliquez ici
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Régionales : Muselier pactise avec les Marcheurs, mais les électeurs se rebellent
Comment conserver le soutien des Républicains, tout en pactisant avec les Marcheurs ? Renaud Muselier croit avoir trouvé la solution. Il vient de déposer sa liste en préfecture, confirmant, au micro de France Bleu Azur, que des membres de la République en marche y figurent bien, mais aucun ministre, ni parlementaire. Il espère ainsi amadouer son camp et dissuader Sophie Cluzel, la secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées, de déposer sa propre liste. Ce compromis, qui sent la compromission, ne rend pas service à son camp, mais place chacun au pied du mur et dans l’obligation de révéler, tôt ou tard, ses véritables intentions.
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Face à la colère de nos soldats…
Le Chef d’Etat-Major des Armées, le général François Lecointre (que nous avons surnommé « un docile parmi les fidèles » – d’Emmanuel Macron -) vient de découvrir que, pour ne pas avoir la fièvre, le mieux est encore de casser le thermomètre ! C’est, en tout cas, ce qu’il ressort de sa lettre aux militaires de nos forces armées, en date du mardi 11 mai, motivée par la publication d’une nouvelle tribune de soldats dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/05/10/un-million-de-personnes-lont-lue-et-plus-de-30-000-lont-signee/).
Au lieu de réfléchir aux mobiles de la colère exprimée une première fois le 21 avril dans une tribune de militaires à la retraite qui fit grand bruit (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/04/26/la-grande-muette-hausse-le-ton/) puis une deuxième fois le 10 mai, émanant cette fois de soldats d’active, il se contente dans cette lettre d’inviter les signataires anonymes de ce texte à quitter l’uniforme pour défendre librement leurs opinions : « Le plus raisonnable est certainement de quitter l’institution pour pouvoir rendre publiques en toute liberté ses idées et ses convictions », écrit le général Lecointre.
Le général constate :
« Depuis plusieurs semaines (…), l’obligation de réserve qui s’impose à tout militaire a été largement transgressée ».
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Entre souveraineté protectionniste et mondialisme, que va devenir la France ? par Jean-Patrick Grumberg.
Sur Facebook, le commentateur politique Francis-Claude Neri a mentionné mon nom dans une réflexion intéressante, à laquelle je réponds.
« Entre une souveraineté protectionniste qui serait ingérable, une mondialisation dont beaucoup ont compris qu’elles nous pénalise, il y a urgence à trouver une autre voie, plus réaliste, mais aussi plus ambitieuse, écrit Neri. D’autres pays du sud de l’Europe [l’Italie ndlr] sont dans la même situation et cherchent des réponses. C’est sans doute avec eux qu’on pourra les trouver, parce que nous partageons une communauté d’histoire, de culture et d’environnement. »
Cher Francis-Claude, merci de m’avoir mentionné dans votre commentaire, maintenant je suis obligé de réagir (humour ashkénaze).