L’OTAN passe discrètement « à autre chose » que l’Ukraine – vers une guerre froide contre la Chine, tandis que les États-Unis préparent une guerre froide de sanctions « sans précédent » contre Pékin.
Lors d’une récente interview, Nicholas Burns, l’ambassadeur des États-Unis en Chine, après avoir qualifié la Chine de « menace », a déclaré sans ambages : « Nous sommes le leader de cette région [indo-pacifique]. Et nous restons ». L’interviewer, Mike Gallagher, membre du Congrès des États-Unis, a décrit la nouvelle guerre froide des États-Unis comme n’étant pas un match de tennis courtois, mais une lutte existentielle pour la vie au XXIe siècle.