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Salle Gaveau : Les dessous de la censure de Christine Kelly par Le Monde

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La captivité en URSS, un cauchemar pour les prisonniers de guerre allemands?
Les prisonniers de guerre allemands avaient à supporter des conditions bien moins atroces que celles réservées aux prisonniers soviétiques sur le territoire du Troisième Reich. Ils étaient même payés pour leur travail et avaient le droit de recevoir des colis et lettres en provenance de leur terre natale.Afin de mettre en œuvre l’opération Barbarossa, qui avait pour but l’invasion de l’URSS, l’Allemagne avait reçu l’appui d’un large éventail d’alliés, d’états satellites et de volontaires de toute l’Europe. Il n’est par conséquent pas surprenant que parmi les prisonniers de guerre en Union Soviétique on dénombrait des dizaines de nationalités : Allemands, Italiens, Roumains, Hongrois, Finlandais, Croates, Suédois, etc.
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Medvedev : les tentatives occidentales de ramener la Russie aux frontières de 1991 mèneront à une guerre mondiale avec 150 millions d'Américains noyés
Table des matièresUne tentative occidentale de reprendre des territoires à la Russie et de les ramener aux frontières de 1991 conduirait à une guerre mondiale utilisant toute la gamme des armes nucléaires stratégiques . Et tout d’abord, il s’envolera vers les pays les plus performants. Dmitri Medvedev l'a déclaré.
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Vitry-sur-Seine (94) : « Nez cassé, dents ébréchées, fracture de la pommette, défiguré… », un policier lynché par un délinquant multirécidiviste après un refus d’obtempérer suivi d’un début d’émeute (MàJ)

17/02/24
Un policier assailli par un groupe hostile s’est fait briser le nez et le suspect qu’il tentait d’interpeller a pris la fuite, vendredi soir. Un homme soupçonné d’appartenir à cette bande a été arrêté.
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Europe : des pays veulent partir ! (et les Français la détestent de plus en plus)
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BV décolle et n’est pas prêt de s’arrêter en 2024 : merci à nos fidèles soutiens !

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Majorité ignorée

Laurence de Charette
Ce sont ces « trop » qui les exaspèrent, ces prétendus « trop », dans une réalité pourtant sans cesse rétrécie par les « moins ». Si les économistes peinent à déterminer le bon indicateur pour définir les « classes moyennes», le réel, lui, s’en charge très bien : appartiennent aux « classes moyennes » ceux qui savent pertinemment qu’ils ne bénéficieront d’aucun dispositif, d’aucune aide – ou si peu-, parce qu’ils se situent systématiquement au-dessus, juste au-dessus, des seuils de solidarité, alors, précisément, qu’ils contribuent toujours plus au financement de la générosité publique – «Trop riches pour être pauvres, et trop pau-vres pour être riches », résumait bien Nicolas Sarkozy...
