Sophia Chikirou, parlementaire de la France insoumise (LFI) et compagne de Jean-Luc Mélenchon, a accusé l’État français de vouloir envoyer des chômeurs au front.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Sophia Chikirou, parlementaire de la France insoumise (LFI) et compagne de Jean-Luc Mélenchon, a accusé l’État français de vouloir envoyer des chômeurs au front.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je vous dis depuis quelques jours que quand il n’y a plus de sous, il n’y a plus sous.
Je vous dis depuis plusieurs années que les conséquences de la faillite ou les conséquences de la politique à mener pour éviter la faillite sont sensiblement identiques.
Je vous dis également depuis l’élection de Miléi que ce qui se passe en Argentine va être un laboratoire passionnant à étudier et à regarder en évitant les hurlements de type pensées sur étagères.
Je vous propose donc de parler de Miléi et puis après de Gabriel Attal.
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
À deux mois et demi environ des élections européennes du 9 juin, sondages et enquêtes d’opinion s’accordent sur l’avance de la liste du Rassemblement national (RN) conduite par son président, Jordan Bardella, prise sur la liste de la majorité présidentielle emmenée par Valérie Hayer. Selon les instituts et suivant les jours, l’écart varie entre huit et dix points. En 2019, Bardella devançait la macronienne Nathalie Loiseau de 0,92 point.
Invitée de BFM Alsace vendredi 29 mars, Floriane Varieras a dénoncé le transfert de personnes sans-abris de Paris à Strasbourg. Elle explique que le Bas-Rhin n’a pas les moyens d’accueillir tout le monde. (…)
par Julien de Monthémard
Pure émanation du chaos révolutionnaire, la guillotine en est devenue le véritable étendard. Un étendard sanglant compromettant singulièrement l’idéal initial et impulseur de la révolution, un idéal présenté comme l’incarnation de la justice populaire.
Conçue pour « mettre fin aux éxecutions inhumaines de l’Ancien Régime », elle ne permit que de les accelérer, de les systématiser et de les mécaniser à un rythme infernal, transformant ainsi la place publique en abattoir à ciel ouvert, où le bourgeois jouissait d’un droit supplémentaire, celui de vie et de mort sur ses semblables, et des petites gens. Ceux accusés de comploter contre la république naissante, les fidèles au Roi passèrent un à un, à la chaîne, sous le couperet tranchant de l’échafaud assoiffé.
La démission du proviseur de Maurice Ravel dans le XXe à Paris, à la suite de menaces islamistes, pour avoir exigé d’une lycéenne qu’elle retire son voile conformément à la loi, fait beaucoup de bruit. Alors, les politiciens au pouvoir donnent du menton. Jamais l’éducation nationale n’avait sombré dans un tel chaos: militantisme islamiste, violence, menaces de meurtre, effondrement du niveau. C’est en grande partie la faute des équipes au pouvoir qui sont censées diriger la France, notamment depuis 12 ans.