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  • Missiles : la stratégie du voyou

    Cette autorisation donnée par Biden d’utiliser des missiles longue portée contre la Russie, ressemble à une manœuvre désespérée et pour tout dire, à un coup foireux. Qu’est-il allé autoriser ce genre d’arme, alors qu’il est sur une fin de mandat, quel intérêt ? Il sait que Trump son successeur, est sur une autre ligne, alors qu’espère-t-il au juste et que peut-il espérer ? La manœuvre ressemble surtout à un va tout qui permettrait de faire sortir Poutine de ses gonds, tant on sait depuis le début que le but du jeu est d’obliger Poutine à perdre ses nerfs et à employer l’arme nucléaire, ce qui permettrait de justifier l’emploi de l’arme nucléaire également par les Américains. Le fait que dans un conflit nucléaire il n’y ait ni gagnant ni perdant, mais que des irradiés, n’a pas l’air de les préoccuper outre mesure. C’est surtout qu’une fois l’élection perdue, la seule solution pour ce parti Démocrate qui semble avoir beaucoup de choses à cacher et semble aussi avoir peur des comptes qu’on pourrait lui demander, est de faire annuler l’investiture de Trump, le 20 janvier prochain. Et un état de guerre pourrait le justifier. Si l’explication est alambiquée, elle semble plausible, sinon, on ne voit pas pourquoi Biden irait dans ce sens, alors que l’élection est perdue et que cette guerre est également perdue.

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  • La Russie a frappé l'Ukraine avec un nouveau missile balistique de moyenne portée, annonce Poutine

    Aux USA, les enfants aiment «jouer les Poutine», selon un conseiller du Kremlin - Sputnik Afrique, 1920, 21.11.2024

    La Russie a utilisé un missile balistique sans ogive nucléaire dans une frappe sur le territoire ukrainien en réponse aux attaques avec des armes occidentales, a déclaré Vladimir Poutine.
    Selon le chef du Kremlin, il s'agit d'un missile balistique de moyenne portée nommé Orechnik.

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  • De quoi la dette est-elle le nom ? Introduction au Forum de la Dissidence

    De quoi la dette est-elle le nom ? Introduction au Forum de la Dissidence

    Introduction au Xème Forum de la Dissidence, le samedi 16 novembre 2024, par Michel Geoffroy, polémiarque, essayiste.

    « Un peuple a le droit de se libérer des dettes odieuses ne répondant pas à un intérêt public. Il faudra s’en souvenir… »

    Le thème de ce Xème Forum de la Dissidence : « 3000 milliards de dette, ouvrons la chasse aux dépenses nuisibles » peut paraître technique. Pourtant, la question de la dette est devenue politique, car force est de constater qu’en France on a laissé filer la dette comme on a laissé filer l’immigration, la désindustrialisation, la délinquance ou l’effondrement de l’enseignement. Tout se tient en effet.

    Ces chiffres astronomiques ne signifient rien en eux-mêmes si on ne les compare pas

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  • L’UE et les écolos responsables de la destruction de nos industries et notre agriculture

    Résultat de recherche d

    En France, le fatal démantèlement de notre tissu industriel et agricole se poursuit donc inexorablement.

    Ainsi, un plan de discontinuité a été négocié entre l’État français et la Commission européenne. Cela fait suite à l’ouverture d’une enquête sur des aides de la France versées au leader du transport ferroviaire dans notre pays, Fret SNCF, et jugées illégales –  car, selon l’Union européenne, il est devenu illégal pour une nation d’aider ses entreprises ! Ce plan va provoquer la destruction du fret en France, remplacé par deux sociétés : Hexafret, pour le transport de marchandises et Technis, pour la maintenance des locomotives. 10 % des emplois – 500 – dans ce secteur sont menacés, même si la SNCF promet qu’il n’y aura pas de licenciement, sachant, selon le cynique, lâche et incompétent Jacques Chirac, que « les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent ».

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  • La France d’après. A l’élection présidentielle, les militaires ont voté Le Pen

    La France d’après. A l’élection présidentielle, les militaires ont voté Le Pen (1/1)

    La réédition de l’ouvrage de Jérôme Fourquet La France d’après (Points, octobre 2024) nous incite à nous replonger dans cette masse d’informations. Par exemple, le chapitre consacré au vote des militaires permet de se faire une idée sur les bureaux de vote situés à proximité d’une caserne. Et de constater un survote en faveur de Marine Le Pen. C’est le cas de Lanvéoc dans le Léon où est localisée une base aéronavale. Au second tour de l’élection présidentielle de 2022, Mme le Pen y réalise le score de 44,7 % (465 voix) contre une moyenne départementale de seulement 32,5 %, tandis que Emmanuel Macron termine en tête (575 voix, 55,29 %).

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  • Pourquoi l’OTAN a détruit la Libye il y a dix ans

    par Manlio Dinucci.

    Il y a dix ans, le 19 mars 2011, les forces USA/OTAN initiaient le bombardement aéronaval de la Libye. La guerre fut dirigée par les États-Unis, d’abord via le Commandement Africa, puis par l’OTAN sous commandement USA. En sept mois, l’aviation USA/OTAN effectue 30 mille missions, dont 10 mille d’attaque, avec plus de 40 000 bombes et missiles. L’Italie – avec le consensus multi-partisan du Parlement (Partito democratico au premier rang) – participe à la guerre avec 7 bases aériennes (Trapani, Gioia deL Colle, Sigonella, Decimomannu, Aviano, Amendola et Pantelleria) ; avec des chasseurs bombardiers Tornado, Eurofighter et d’autres, avec le porte-avions Garibaldi et d’autres navires de guerre. Avant même l’offensive aéro-navale, avaient été financés et armés en Libye des secteurs tribaux et groupes islamistes hostiles au gouvernement, et infiltrées des forces spéciales notamment qataris, pour propager les affrontements armés à l’intérieur du pays.

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  • Macron ne se résout pas à la victoire de Poutine en Ukraine

    Les bellicistes en charentaises ont les mains rouges. Après mille et un jours de guerre, l’Ukraine exsangue a perdu sa guerre contre la Russie. Les faits le montrent, même si l’aveu de la défaite est encore indicible pour ceux qui promettaient la victoire à ce peuple courageux. A dire vrai, l’issue était prévisible dès le premier jour du conflit, pour quiconque observait les forces en présence et restait sceptique sur les certitudes des experts parisiens. Une fois de plus, le paresseux unanimisme médiatique aura pris ses désirs pour des réalités. Les mêmes analystes qui pontifiaient sur la défaite de Donald Trump assuraient que Vladimir Poutine allait perdre et que la Russie allait s’effondrer avec lui, sous les assauts de l’Europe unie. Les militaires de plateaux des télévisions, qui prédisaient la déroute russe, ont encore du mal à reconnaître leurs erreurs.

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  • Droitisation de la Commission européenne

    Droitisation de la Commission européenne

    En 2004, lors de la création du Salon beige (déjà 20 ans !), le commissaire européen nommé à la justice par la gouvernement italien, Rocco Buttiglione, jetait l’éponge suite à une campagne de la presse gauchiste à son encontre, lui reprochant notamment ses prises de position publiques, sur l’homosexualisme, sa vision de la famille (« la famille existe pour permettre aux femmes d’avoir des enfants et d’être protégées par un homme qui prenne soin d’elles »). En 2007, revenant sur cette affaire, Buttiglione déclarait :

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  • La contestation agricole qui reprend… nous ne sommes pas surpris !

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    par Jean-Philippe Chauvin

    La reprise de la contestation agricole ces derniers jours n’est pas vraiment une surprise : les promesses faites aux agriculteurs l’hiver dernier sont largement restées lettre morte, d’autant plus depuis la dissolution hâtive et désordonnée de l’Assemblée nationale en juin dernier par le président de la République ! La résistance de la France face à la perspective de la signature du traité dit du Mercosur par l’Union européenne est-elle suffisante pour amoindrir la colère paysanne ?

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  • Donald Trump, ou le retour du Phoenix.

    Avec la réélection de Donald Trump, l’aigle qui symbolise les États-Unis a pris la forme d’un phoenix. D’abord, c’est la résurrection d’un homme politique dans un pays où la défaite est le plus souvent sans recours, puisque le fait n’avait eu qu’un seul précédent. Ensuite, c’est la possibilité de tenir la promesse d’un slogan qui a marqué toute sa vie politique : faire renaître l’Amérique à la grandeur. Il s’agit d’un événement prodigieux, là aussi inhabituel dans un pays où les alternances régulières s’effectuent dans le cadre d’une grande continuité, notamment en raison de l’équilibre entre l’exécutif présidentiel et le législatif du Congrès, souvent en opposition, l’un étant républicain et l’autre démocrate.

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