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L’assassinat de Philippine Le Noir de Carlan en décembre dernier avait remis sous les projecteurs le laxisme des juges. Un laxisme qualifié de meurtrier par certains : si la mort de l’étudiante ne peut être directement imputée à un dysfonctionnement dans la chaîne pénale et administrative, c’est bien la décision d’une juge des libertés qui avait ordonné la libération du suspect Taha Oualidat qui l’a rendu possible. Et dans tout ce qui touche à l’immigration, à quelque niveau que ce soit, on le retrouve : le pouvoir d’interprétation des juges. Chose qui n’a pas échappé à trois personnalités – Viktor Orbàn, Matteo Salvini, Elon Musk.






