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Washington a, rapporte le New York Times, non seulement livré des armes à l’Ukraine, mais a également assuré une planification militaire, fourni des coordonnées de cibles et assumé des responsabilités opérationnelles.
Un rapport du New York Times révèle ce qui a longtemps été considéré comme de la propagande russe : les États-Unis n’ont pas seulement soutenu la guerre en Ukraine, mais l’ont également façonnée opérationnellement. Cependant, cette reconnaissance des faits n’intervient pas par hasard et maintenant – elle fait partie d’une lutte de pouvoir géopolitique qui s’étend bien au-delà de Kiev.
Les partis allemands — les conservateurs de Friedrich Merz et le SPD de Lars Klingbeil — négocient actuellement la formation d’une coalition
Roumanie, Moldavie, France, maintenant Hongrie : après Georgescu, Le Pen, c’est au tour d’Orban d’être, à nouveau, dans l’œil de l’Union Européenne. Il faut punir Orban est le mot d’ordre bruxellois.
« Il faut régler le problème Orban »
L’UE fait face au Premier ministre hongrois : « Il faut régler le problème Orban » est le mot d’ordre de von der Leyen & Co. Le nouveau chancelier allemand, ancien de Black Rock, sera l’agent batailleur.
Le déficit du budget de l’Etat français s’est établi à 40,3 milliards d’euros fin février, selon les données publiées mercredi par le ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique soit une moyenne de 20 milliards d’euros par mois qui en fonction des mois et des rentrées fiscales n’est pas “linéaire”.
« Make America Wealthy Again », « Rendez sa richesse à l’Amérique »
Le canal de Panama, le Canada, le Groënland ou la paix en Ukraine, tout cela reste encore assez flou dans la politique internationale de Donald Trump. Mais pour ce qui est de la guerre commerciale qu’il promet à toute la planète, c’est ce soir que l’hôte de la Maison-Blanche déclenche les hostilités. C’est « le jour de la libération ».
Après l’effet de sidération, chez les militants et sympathisants sonnés mais combatifs, la résistance s’organise.
Depuis le verdict et la condamnation judiciaire de Marine Le Pen par le tribunal correctionnel de Paris, si l'on en croit les responsables du parti à la flamme, les sièges des fédérations du Rassemblement national semblent débordés. Facilement imaginable, à l’écoute de quelques réactions sur les ondes radiophoniques : « Je suis hors de moi, je n’ai jamais voté RN mais je peux vous garantir que si Bardella se présente à l’élection présidentielle, je vote pour lui ! » entend-on, sur RTL. Un auditeur au micro de Sud Radio avertit : « La démocratie est entachée. On va se révolter à notre façon... Il ne faudra pas s'étonner quand il y aura 20 millions de personnes dans les rues. »
Aucune condamnation à l’issue du procès. La chambre correctionnelle de Rennes spécialisée dans le crime organisé a prononcé la relaxe des six personnes qui étaient soupçonnées d’être liées à une fusillade mortelle à Nantes, en 2019, sur fond de narcotrafic.
Lors du G7, partiellement virtuel, du 24 février, le président des États-Unis a menacé les participants de quitter l’organisation si ceux-ci publiaient la déclaration qu’ils avaient préparée.
par Thierry Meyssan
Le bouleversement auquel nous assistons avec le Trumpisme touche à la fois les États-Unis, les relations nationales et la vie politique intérieure de leurs alliés. Il peut sembler étrange que des dirigeants européens critiquent le président des États-Unis pour sa politique dans son pays, en violation du principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d’un pays étranger. Cependant, s’ils ne souffrent pas de ses réformes chez lui, ils endurent les conséquences inavouables qu’elles provoquent chez eux. Celles-ci ne font que commencer.
La bagarre sur la suppression des zones à faibles émissions illustre à merveille le processus à cliquets de la machine européenne dont la fonction principale ces dernières années est celui de la contrainte maximum, par la norme, des populations européennes, jusqu’à l’établissement d’une forme de codage permanent des comportements tenant de la dictature rouge/verte. Ces zones rappelons le, sous couvert de tri des voitures polluantes, sont en réalité un tri des populations avec deux objectifs, l’un de gentrification des hypercentres urbains, qui vont rester à ceux qui ont les moyens de se payer une voiture, laquelle a pris en moyenne 12 000 euros d’augmentation sur les dix dernières années. L’autre de rejet des populations moyennes dans les zones périurbaines, avec obligation de mixité sociale, en réalité mixité ethnique et rationnement de la place, le tout aux titres écologiques, celui du carbone et l’autre des espaces naturels préservés. Sauf que le carbone n’a jamais été un polluant et en plus, les particules issues des pneus et des freins sont au moins aussi nombreuses que celles des pots d’échappement, quelles que soit le mode de propulsion. Les premières conclusions ne montrent en plus pas d’améliorations très significatives dans les zones déjà mises en place.
Le quotidien The New York Times vient d’avouer l’implication directe des États-Unis contre la Russie dans la guerre en Ukraine.
Le Times a confirmé ce qui est un secret de polichinelle pour nombre d’entre-nous : les États-Unis étaient bien en guerre contre la Russie sur le territoire ukrainien et sur le territoire russe.
Dimanche, le New York Times a publié un long article démontrant l’implication des États-Unis dans la guerre en Ukraine.
(le texte en gras italique est tiré du Times)
Cet article, titré «L’histoire secrète de la guerre en Ukraine», relate que : «l’Amérique a été impliquée dans la guerre bien plus intimement et largement qu’on ne le pensait auparavant» et a été «impliquée dans le meurtre de soldats (et de civils) russes sur le sol russe souverain».