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« Je condamne toute violence, mais là, je ne condamnerai pas les personnes qui manifestent et qui commencent la désobéissance civile (sic)… » En l’occurrence, des personnes qui commettent des violences. Sur le plateau de BFM TV, Sandrine Rousseau le dit, insiste, le répète à plusieurs reprises : « Je ne condamnerai pas. » Une sorte de « non possumus ». Pendant ce temps, les images défilent sous nos yeux et sous les siens : les images montrant les violences commises dans le Tarn par des opposants à l’autoroute A69. Des opposants, relate La Dépêche, qui déclarent : « S’il faut brûler des machines, on le fera. » Sandrine Rousseau n’est pas à une contradiction près. Ou plutôt, disons qu’elle fait une exception absolue qui permet de s’absoudre de toutes les lois : la défense de la planète. Objectivement, sincèrement, rationnellement, qui voudrait sur cette Terre la mort de la planète qui nous donne la vie ? Personne, évidemment. Le tout est de savoir si s’opposer par tous les moyens possibles à la construction d’un morceau d’autoroute entre Toulouse et Castres relève du sauvetage de la planète.
Dans cette édition de «ICI MOSCOU», Xavier Moreau commente avec ses invités les résultats préliminaires de la diplomatie de Trump. Quelle est la cohérence derrière son comportement en apparence erratique ?
Ce vendredi 4 juillet, à Saint-Genis-Laval, des verbalisations ont été dressées en raison du comportement dangereux de certains invités lors d’un cortège de mariage, qui n’ont pas tenu compte de la charte signée par les mariés visant à garantir le respect du code de la route et de la tranquillité publique.
Il arrive à peu près toujours la même chose à nos grandes villes régionales, une espèce de syndrome Hidalgo, un genre de modernisme de mauvais goût, façon art contemporain conceptuel, un art de la verrue, dont on se demande l’objectif, en dehors de défigurer le patrimoine, ce dont rêvent les tenants du macronisme compatible et qui les fait s’esbaudir devant des créations hasardeuses. Dans la fibre, ce Jean-Luc Moudenc, de la droite molle, maire de Toulouse, la ville Rose, avec sa place du Capitole, connue dans le monde entier, où trône pas loin, un Nougaro en bronze grandeur nature.
ZFE, voitures à piles et éoliennes qui blanchissent du pognon… On nous vend que tout ça éviterait les canicules, du moins ralentirait l’augmentation de leur fréquence. Vraiment ?
Les macronistes n'ont peur de rien. Accumulant échec sur échec, ils se voient pourtant toujours en haut de l'affiche. Cette pseudo-majorité du « socle commun » qui est censée nous gouverner depuis la dissolution vole en éclats un peu plus chaque jour, mais rien n'y fait : l'avenir leur appartient. Hier, c'était Pannier-Runacher qui traitait son collègue Retailleau de « populiste » pour s'être opposé aux délires des ayatollahs écologistes. Ce samedi 5 juillet, c'est l'ancien Premier ministre Gabriel Attal qui prenait date pour 2027.
Le bras Marie – chenal situé entre la rive droite et l’île Saint-Louis – concentre en temps normal 40 % du trafic fluvial parisien, avec jusqu’à 300 passages de bateaux-mouches par jour, soit un bateau toutes les deux minutes. Sur cette voie emblématique, les croisiéristes offrent habituellement aux touristes le grand classique : la remontée jusqu’à Notre-Dame. Un circuit très attendu qui sera quelque peu amputé cet été. (…)
L’insupportable situation actuelle, entre guerre en Ukraine, politique européenne contraignante et opaque, explosion de la délinquance et autres fléaux, semble devoir générer quelques récriminations et prises de conscience. Ursula Von-der-Leyen, toujours critiquée, réélue sur la base d’un « changement », est arrivée au bout de la confiance. Elle n’a pas bougé d’un pouce, arc boutée sur ses deux narratifs de prédilection, la transition énergétique et la guerre en Ukraine. Une motion de censure contre la Commission européenne a été déposée au Parlement européen et sera discutée et votée la semaine prochaine. Déposée par l’eurodéputé roumain Gheorghe Piperea, la motion de censure a été signée par des conservateurs et l’extrême droite, avec comme premier argument, le refus de la Commission de divulguer les SMS lors du Pfizergate. Elle a recueilli 74 signataires, dont les égéries Sarah Knafo et Virginie Joron, mais déjà, des manœuvres d’intimidation sont en cours pour faire revenir certains signataires sur leur décision. Des méthodes classiques de ce glauque milieu bruxellois de la commission dont les agissements n’étonnent plus personne.