La France a des atouts extraordinaires à utiliser, à exploiter, à valoriser : le saisir et s’en convaincre, à l’inverse du fatalisme contemporain ou d’un certain masochisme franco-français entretenu par les partisans les plus mondialistes de l’Union européenne, c’est déjà faire un grand pas vers la résolution, sinon de toutes, mais d’une bonne part des questions économiques et sociales qui se posent à notre pays.
(La suite de mon intervention aux « Regards royalistes sur l’économie » d’Aix-en-Provence, le 22 février dernier.)