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Un constat réaliste qui passe mal chez nos élites. Pourtant, le salut de l’Europe ne peut venir que des partis qui n’ont jamais participé à son naufrage. Seuls les mondialistes au pouvoir sont comptables de l’effondrement du continent, relégué sur un strapontin dans la gestion des affaires de ce monde, y compris la guerre en Ukraine.
Il faut que ce soit la Maison Blanche qui ose dire la vérité à sa vieille alliée moribonde. L’Europe est comme une vieille star au crépuscule de sa vie, que plus personne ne regarde après que les années ont emporté à jamais sa gloire et sa beauté.
Ça tangue, à bâbord. Depuis l’ouverture de la commission d’enquête parlementaire portant sur le fonctionnement et la neutralité de l’audiovisuel public, Radio France traverse une zone de fortes turbulences. Audiences en berne, scandales et critiques en tous genres : rien ne va plus, à la Maison ronde ! Dans certaines entreprises, les crises sont l’occasion d’une remise en cause et d’ajustements destinés à mieux faire et à progresser. Pas à Radio France. Visiblement inapte à tout examen de conscience sincère, l’empire médiatique subventionné préfère nier ses torts et se victimiser.
Voilà le résultat brillant de la politique menée par l’UERSS et ses europathes qui détruisent tout, absolument tout ce qu’ils touchent.
Nous sommes tous européens et nous avons tous conscience de notre continuité géographique et historique. Mais cette Union européenne là est une entreprise de destruction massive aussi bien de nos différentes nations, que de nos économies et in fine de nos civilisations comme l’ont très bien fait remarqué nos amis américains !
L’Italie de Giorgia Meloni poursuit une politique d’immigration dite « choisie », resserrée autour des besoins économiques et d’une préférence marquée pour les ressortissants européens. Alors que les premières nationalités d’arrivants en 2024 restent les Roumains, Albanais ou Ukrainiens, le gouvernement restreint simultanément les droits des non-Européens, notamment en matière de regroupement familial ou d’accès à la nationalité.
La Russie a mis fin, par un décret publié vendredi 5 décembre, à plusieurs accords de coopération militaire vieux de plusieurs décennies avec le Portugal, la France et le Canada, selon les médias d’État russes. Les autorités russes ont déclaré que ces accords, signés entre 1989 et 2000, n’étaient plus «pertinents sur le plan stratégique».
Il semblerait bien que l’UE, telle qu’elle est actuellement, irrite au plus haut point les USA et peut-être même d’autres grandes puissances. Les récentes déclarations de Trump lui-même ou de ses proches laissent penser qu’une guerre larvée est déclenchée contre notre entité supra nationale. Après avoir avancé la fin civilisationnelle du continent Européen si rien n’est fait pour changer de cap, Trump vient d’annoncer qu’il n’autoriserait plus l’entrée dans son pays de ceux qui, de près ou de loin, seraient les acteurs d’une quelconque censure de la liberté d’expression. Visa refusé pour toute personne impliquée dans la répression d’opinions protégées par le premier amendement. Le message est clair et s’adresse principalement à l’Europe de Macron et d’Ursula Von-der-Leyen. Les seuls représentants s’acharnant à bâillonner toute forme de pensée contraire à leur norme, et prétextant, dans une inversion devenue leur marque de fabrique, la défense de la démocratie, quand il ne s’agit que de préserver leur main mise sur le pouvoir. L’ex-commissaire européen franco-sénégalais, Thierry Breton, ne devrait donc plus pouvoir mettre un pied aux US, compte tenu de ses dernières déclarations, notamment pour se féliciter de l’amende infligée par l’Europe à X, le réseau dirigé par Elon Musk. Breton ne manque pas d’air, lorsqu’il déclare « Nous sommes la démocratie qui respecte le plus la liberté de parole, peut-être beaucoup plus qu’aux États Unis. » Et de conclure par un hallucinant : « Pour nous la liberté d’expression est ce qu’il y a de plus important ». Eh oui, c’est pour cette raison qu’il la censure, logique.
L’Asie centrale fut à la mode en cette année 2025. Ursula von der Leyen a ouvert le bal des visites en avril pour tenter de placer quelques pions européens, en bonne super présidente d’une Europe qui se fédéralise à grands pas sous sa houlette martiale. Xi Jinping lui a succédé en juin pour vérifier que ses marchés, ses routes de la soie et ses bases militaires se portaient bien. Vladimir Poutine a fait le déplacement en octobre pour s’assurer que l’influence russe, même déclinante, y était toujours forte. Donald Trump, enfin, a clôturé les festivités en novembre : il ne s’est pas déplacé mais a reçu à la Maison Blanche les dirigeants des cinq pays qui composent la région et a annoncé des investissements colossaux dans les deux sens.
De 1920 à 1974, il a fallu attendre plus d’un demi-siècle avant qu’une Tahitienne soit élue Miss France. Elle s’appelait Edna Teipotemarama Tepavaaupoko.Ednapour les Popaa, c’est plus facile à retenir. S’ensuivit une nouvelle jachère jusqu’en 1991 avec Mareva Georges. Après, ce sera le tour de Vaimalama Chaves en 2019 et maintenant celui de Hinaupoko Devèze.
Après le Parlement européen, c’est en France que se construit l’union des droites. A l’approche des municipales de mars et à moins de 18 mois de la présidentielle, l’hypothèse gagne du terrain dans les esprits.
À l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les mesures coercitives unilatérales célébrée le 4 décembre, la Russie a vivement critiqué les sanctions occidentales, affirmant que les Européens ont perdu 1600 milliards d’euros, tout en échouant à déstabiliser l’économie russe.