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Il est environ 18 h, ce mardi après-midi. Sébastien Lino regagne son domicile en scooter. Quelques heures de repos avant d’attaquer sa journée de boulot. Depuis dix-huit mois, le quadragénaire travaille comme veilleur de nuit dans un hôtel. Ce job lui convenait tout à fait »,note sa mère.
Lorsqu’elles seront publiées, ces lignes demeureront d’actualité quel que soit le sort qui aura été fait au plan de paix en vingt-huit points de Donald Trump, car elles visent la situation politique française au-delà du seul enjeu ukrainien. Les propos sacrificiels du chef d’état-major des armées, le général Fabien Mandon, tenus le jeudi 20 novembre, propos évidemment téléguidés par Emmanuel Macron, et qui ont suscité une légitime inquiétude, ont une portée politique d’une gravité extrême.
En révélant la somme stratosphérique dépensée par le gouvernement en 2024 pour sa communication – un milliard d’euros ! –, le JDD ne va pas arranger ses affaires avec le pouvoir, dont le mini-chef suprême veut la peau ainsi qu’à tous les médias du groupe Bolloré.
Face à l'escalade verbale récente en Occident, des efforts discrets sont déployés en coulisses pour transformer les paroles en actes. Plusieurs rapports récents indiquent que l'Occident a intensifié ses préparatifs en vue d'une guerre de grande ampleur contre la Russie, une perspective que de nombreux responsables politiques européens de premier plan nous ont si ardemment promise.
L’Office national des statistiques britannique (ONS) a indiqué que sur un an, de juin 2024 à 2025, l’immigration nette a chuté, au Royaume-Uni, de près de 69 %, conséquence de certaines décisions prises notamment par le gouvernement conservateur de Rishi Sunak, avant l’arrivée des travaillistes en juillet 2024. Si, sur cette période, le flux d’entrée d’étrangers reste considérable, soit 898.000 personnes, 693.000 départs ont été comptabilisés. Ce qui ramène à 204.000 le chiffre de l’immigration nette.
Un nouveau refus d’obtempérer. Un motard à bord d’un motocross a refusé de s’arrêter et a foncé sur des CRS au sud de Nantes (Loire-Atlantique) ce dimanche après-midi vers 15 heures, indique une source policière au Parisien, confirmant une information de Presse Océan. Les CRS ont fait usage de leurs armes à feu. Aucun blessé n’est à déplorer, y compris du côté des forces de l’ordre. Le motard est parvenu à prendre la fuite.
Si j’étais le président de la SNCF ce que je ne serais jamais que tout le monde se rassure j’aurais viré sur le champs le chef Chaudard de la 7ème compagnie qui serait venu me présenter un tel tracé et un tel plan digne de la stratégie de la tenaille dans la forêt de Machecoul.
Quand on veut relier Bordeaux à Lyon on ne passe pas par Paris, ou en tous cas la banlieue parisienne.
Le chef du gouvernement belge a tapé du poing sur la table ce jeudi 27 novembre. Dans un courrier au vitriol, Bart De Wever démolit point par point le projet d’Ursula von der Leyen visant à ponctionner les avoirs russes bloqués chez Euroclear pour renflouer l’Ukraine.
Sur quatre pages, le dirigeant flamand ne mâche pas ses mots contre ce «prêt de réparation», qu’il juge n’être qu’un habillage juridique pour une saisie de fonds souverains. C’est un précédent dangereux que la Belgique ne compte visiblement pas cautionner sans broncher.
Il faut redonner les facultés de coercition aux seuls juges, le spécifier constitutionnellement pour éviter toutes les dérives que la Macronie s’est autorisées et continue de le faire à un rythme à présent accéléré. Faire cesser les sanctions qui sont données par des organismes privés, ou semi-privés est une obligation dans un État dit de droit. Ces prérogatives ne doivent appartenir qu’au pouvoir judiciaire. Il est choquant de constater que l’ARCOM s’attribue le privilège de déterminer qui intervient à titre politique et qui n’est qu’un consultant lambda. Ainsi Philippe De Villiers est considéré comme un parti politique, alors qu’il n’est ni élu ni encarté. Peu importe, son temps de parole sera décompté. Pour le compte de qui ? Eh bien De Villiers à lui tout seul voyons. C’est un moyen illégal, mais légalisé pour la circonstance, pour l’écarter de l’antenne et réduire la portée de sa parole. C’est une censure grossière lancée, sous couvert d’équité. On lui impose un quota au motif qu’il disserte de politique, qu’il explique les rouages et devrait-on dire les roueries de notre société, bref qu’il pense, donc il gêne !