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Après des condamnations pour sept cambriolages, un délinquant est reparti en prison pour quatre nouveaux faits
C’est un as du cambriolage que les policiers de Bordeaux ont pu arrêter. Ils ont remonté sa piste grâce à l’ADN qu’il a laissé sur les lieux de ses délits.
Ah ! Ces grands soirs de la démocratie subventionnée où vingt associations, selon ceux qui savent compter sur leurs doigts, vingt-deux selon les manifestants, réussissent l’exploit de rassembler tout juste cinquante personnes sur une place du Pas-de-Calais pour protester contre Caroline Parmentier ! Un exploit d’autant plus remarquable que chacune de ces officines bénéficie d’un soutien étatique, régional, municipal ou bruxellois. Il y avait là le nec plus ultra du monde associatif sous perfusion, flanqué de drapeaux inclusifs, de slogans millésimés 1985 et de pancartes « IVG = liberté », bien évidemment brandies par les derniers survivants du mitterrandisme associatif. Un bel alignement de planètes pour un flop d’anthologie.
Taxons taxons, il en restera toujours quelque chose. Devant la désertification des commerces dans Paris et le nombre croissant de friches, la socialo Anne Hidalgo a trouvé la solution pour obliger ces chiens de propriétaires à louer leurs biens ! Taxer les locaux vacants depuis plus de deux ans ! Parce que c’est bien connu, si on inflige une sanction financière à un propriétaire cela va faire venir les commerçants. Par contre, infliger des sanctions financières aux voyous d’importation, n’est jamais la solution pour qu’ils se tiennent tranquilles. En pure socialo stalinienne, adepte de la régulation économique par l’injonction, l’obligation et la punition monétaire, c’est donc la voie de la menace pécuniaire qu’elle a choisie. Cette mesure démontre, s’il fallait encore le faire, tout le décalage et l’incompétence de ce type de profil aux affaires publiques. Si elle avait eu à gérer ne serait-ce qu’une fois dans sa vie la mise en location d’un bien, elle saurait que ça ne fonctionne pas ainsi. Avant de penser que s’il y a vacance de bien, c’est une volonté sournoise du propriétaire, il faut s’interroger sur l’environnement global.
Seulement 339 enfants, une vérité qui dérange, face à une propagande qui aveugle. Le Donbass crie, l’Occident se tait. La Cour pénale internationale reste muette ! Un mensonge s’effondre et aucun repentir ! Alors analysons !
Récemment, lors des derniers accords, à Istanbul, ils étaient 339, listés enfin officiellement par Kiev. L’Ukraine dit avoir remis à la Russie une liste d’enfants ukrainiens «déportés illégalement», exigeant leur retour. Pas 712 000. Pas 150 000. Pas 19 546. Comme autrefois clamé par la Cour pénale internationale (CPI) et les médias, mais trois cent trente-neuf enfants, point de départ vérifié, pour la plupart du Donbass, surgissant dans une lumière que nul n’attendait.
L’Observatoire de l’immigration et de la démographie révèle que l’immigration coûte 3,4 % du PIB français. Au-delà de cette révélation récente, fracassante, il faut analyser les choses avec lucidité. Les gens de terrain n’ont pas eu besoin de ce chiffre de l’OID pour se rendre compte que quelque chose n’allait pas. L’immigration ne financerait que 86% de ses coûts, le reste est à la charge des contribuables, aggravant les difficultés économiques. Et encore, l’estimation est basse, on va voir pourquoi. Il ne s’agit pas, bien entendu, de l’immigration en générale, ce que tout le monde a bien compris, mais d’une certaine immigration, essentiellement masculine, qu’il n’est pas besoin de détailler. Personne ne se plaignant des Hollandais qui viennent ouvrir des commerces artisanaux dans le Morvan.
En avril et mai, 16.000 Subsahariens ont été expulsés par l’Algérie vers le désert au nord du Niger. Derrière cette politique de rafles discrètes, Alger resserre ses liens avec la Tunisie, qui adopte les mêmes méthodes, loin des regards. Aux yeux des autorités, pas de sujet. Dans les médias d’État algériens, pas un mot. En Algérie où règne un «racisme» assumé, l’origine de ces migrants constitue une double peine. «Une chose est sûre, on ne dira jamais rien des Irakiens, des Libyens, des Syriens en Algérie. Mais ceux qu’on appelle “kahlouches”, “nègres”, sont maltraités. Dès que c’est de couleur, on expulse», souligne le journaliste Daoud Imoulayen.
Il n’y a rien à attendre du monde politique actuel. Ces « élites » doivent céder la place ou entamer leur mea-culpa, si elles ne veulent pas être chassées par la colère du peuple trahi. Les dirigeants, confrontés à une violence enragée au cœur de l’Ecole – une surveillante tuée à coups de couteau par un élève, hier dans un collège de Nogent (Haute-Marne) -, se montrent incapables d’aller à la source d’un demi-siècle de duperies pédagogistes et égalitaristes, dénoncées vainement par les plus lucides des observateurs. La ministre de l’Education, Elisabeth Borne, découvre la réalité lorsqu’elle déclare (RTL, 5 juin) : « Il faut prendre le temps de réfléchir pour proposer des solutions opérantes ».
Depuis quelque temps, des juges entonnent la complainte de Calimero, le célèbre poussin noir malchanceux : « C’est vraiment pas zuste. » Car on les accuserait à tort de laxisme, de partialité, d’obscurité et de lenteur, de prendre la place des gouvernants ou des législateurs. Non, ce n’est vraiment pas zuste, disent en chœur les nouveaux Calimero en manteau d’hermine ; car, eux, ils ont conscience de remplir au contraire parfaitement leur fonction de gardien du Système. Cruel malentendu !