
Alors que les discussions sur le budget se poursuivent au Parlement, Christophe Machard, chef d’entreprise, s’oppose à la taxe sur les successions, dans une tribune publiée dans Le Figaro :
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Alors que les discussions sur le budget se poursuivent au Parlement, Christophe Machard, chef d’entreprise, s’oppose à la taxe sur les successions, dans une tribune publiée dans Le Figaro :

Droit de suite
L’assassin de Samuel Paty «pas un fanatique musulman» : la vidéo qui gêne la députée LFI Nathalie Oziol
L’élue insoumise accusait «Libération» de mentir au sujet de ces propos. Nous en publions l’enregistrement.
Accuser quelqu’un de mentir, en mentant : la députée LFI de l’Hérault Nathalie Oziol a osé. Mercredi 5 novembre, Libération publiait un article sur les accusations de communautarisme électoral qui visent le mouvement de Jean-Luc Mélenchon à l’approche des municipales.
Il y a deux types de Français : ceux qui ont fui l’enfer fiscal, et ceux qui règlent encore leurs impôts mais qui regardent discrètement le prix des appartements à l’étranger. Ces derniers, en nombre croissant, sont fatigués :; à en croire les parlementaires, l’État français aurait avant tout un problème de recettes qu’il convient de traiter par un nouveau tabassage fiscal plus solide.

L’anti-trumpisme a tout pour satisfaire Donald Trump. Poussés à la radicalité, ses adversaires s’engouffrent dans des surenchères dangereuses. L’élection de Zohran Mamdani (50,4% des voix, contre 41% à Andrew Cuomo) à la mairie de New-York, ce matin, est le produit des deux idéologies totalitaires de l’époque : le wokisme, avec sa guerre raciale, et l’islamisme, avec sa guerre religieuse. Mamdani s’est présenté comme l’exact contraire du président américain. Il a fait campagne au nom de la revanche des minorités plaintives du Queens, mais aussi au nom d’un antisionisme répondant aux mots d’ordre des frères musulmans.
Les opticiens, professions règlementée, vivent sur une rente assez hallucinante quand on y pense.
Bon, certes les verres peuvent avoir un coût, mais les montures de lunettes qui ne pèsent que quelques grammes de matière ne valent objectivement pas grand-chose pour ne pas dire rien du tout.
Les mutuelles remboursent, donc cela ne « coûte pas cher » et tout le monde se gave.
Puisque les archives d’une certaine période de la guerre d’Algérie s’ouvrent actuellement aux « spécialistes », mais sur une certaine période seulement (1954/1957), celle concernant plus particulièrement « La bataille d’Alger », dans l’objectif, bien entendu, de signaler uniquement les « tortures » et les « exécutions » subies par les valeureux combattants du FLN et les traîtres français qui leur ont prêté aide et assistance, physique et financière, par les « paras » du général Massu, sur ordre du gouvernement de l’époque, et que les soi-disant historiens, à l’exemple d’un Benjamin Stora, puisse poursuivre leur désinformation en toute liberté, nous exigeons que toutes les archives soient, enfin, portées à la connaissance de toute la population française afin qu’elle prenne conscience de la lâcheté et du déshonneur d’un chef de l’État, d’un gouvernement et d’une armée qui n’était plus française, puisqu’aux ordres d’un gouvernement et non plus de la République.


L’Italie et le Portugal vont mieux économiquement. Qu’ont fait les gouvernements de ces pays ? Ils ont baissé les dépenses de l’État.
La France, quant à elle, va de plus en plus mal économiquement. Que fait notre gouvernement ? Il augmente les dépenses de l’État !!!

06/11/25
L’été dernier, la Creuse s’était embrasée autour d’un récit de “violences racistes” sur fond de fête de village. Le 15 août, à Royère-de-Vassivière, sept jeunes avaient affirmé avoir été pris pour cible par des habitants dans ce qu’ils décrivaient comme une véritable “chasse à l’homme”. Trois mois plus tard, le soufflet retombe : la procureure de Guéret annonce qu’aucune motivation raciste n’a pu être établie.