
par Mohamed Amer
Les politiques des principaux pays d’Europe occidentale ont conduit à une récession économique et menacent une grave détérioration du niveau de vie de nombreuses couches de la population active.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
par Mohamed Amer
Les politiques des principaux pays d’Europe occidentale ont conduit à une récession économique et menacent une grave détérioration du niveau de vie de nombreuses couches de la population active.
par Gérard Leclerc
La crise agricole, que nous avons vécue et qui est loin d’avoir trouvé sa conclusion, ne s’analyse pas seulement en termes économiques. Elle est significative d’un malaise qui atteint une société dans ses profondeurs. C’est déjà un sérieux problème que « le secteur primaire » qui nous nourrit soit ramené humainement à un pourcentage de la population toujours plus faible et se trouve dans une situation aussi précaire. Ce n’est pas en termes d’équations technocratiques qu’un tel sujet peut être compris. Lorsqu’il y a quelques années, Michel Houellebecq publiait son roman Sérotonine, il ne craignait pas d’explorer le désarroi et le désespoir de ce monde agricole, désormais tenu en marge des processus dynamiques de la modernité.
Que le Macron s’en aille et la paix reviendra dans le monde, en Ukraine comme au Proche-Orient, et les Français, soulagés, pourront respirer.
On n’a besoin ni de cessez-le-feu ni de traité de paix pour que le conflit entre l’Ukraine et la Russie cesse.
On n’a pas besoin d’une reconnaissance d’un État palestinien qui n’existe pas.
Il faut juste que le Macron s’écarte. Il a toujours été un obstacle à la paix. Il en est aujourd’hui le principal. Et il en est fier. Cela paraît l’amuser.
Alors que l’Occident s’inquiète de plus en plus de l’incapacité de l’armée ukrainienne à maintenir ses positions de front, et après des mois d’avancées continues des forces russes, de plus en plus de rapports provenant des deux camps soulignent que la grave pénurie de personnel en Ukraine a laissé ses unités de première ligne de plus en plus gravement sous-équipées. Le président russe Vladimir Poutine a récemment attiré l’attention sur cette question, déclarant le 4 septembre que les unités prêtes au combat des forces armées ukrainiennes ne sont dotées que de 47 à 48% de leurs effectifs.
Le père de famille grièvement blessé par balles jeudi soir est décédé dans la nuit de vendredi à ce samedi, indique le parquet. Les motifs de cette tentative d’assassinat ne sont pas déterminés « pour l’heure », a indiqué le procureur, Olivier Caracotch, sans confirmer ni infirmer que la victime pourrait avoir été prise pour cible par erreur.
Aucun changement dans le secteur de Kherson. Trois personnes, dont un enfant, ont été blessées par l'explosion d'une mine à Olechki.
Sur le front de Zaporijia, les forces armées russes progressent à Primorskoïe, ont progressé aux abords sud de Stepnogorsk et également près de Malaya Tokmachka, près d'Orekhovo.
Un journaliste a interviewé le RPF sur les raisons de la pénurie de candidatures pour le métier de prof. Réponses par l’un de nos spécialistes, qui connaît très bien le terrain pour le vivre au quotidien. Les réponses ne sont pas trop politiquement correctes, le papier n’est pas paru, nous le diffusons donc en exclusivité.
À ceux qui me reprochent de me répéter, je dirai que ce n’est pas moi qui me répète, c’est l’histoire et surtout l’actualité qui bégaie.
Ainsi, la coalition des volontaires qui s’est réunie à Paris ce 5 septembre parle d’un nouveau « paquet de sanctions » contre la Russie pour le cas où cette dernière ne se soumettrait pas aux injonctions du mari de Brizitte.
Aujourd’hui, un cinquième conte populaire de Jules…
par Philippe Lallement
Dans l’année 2042, alors que le monde sombrait dans les turbulences et le désenchantement, un savant éminent, le professeur Charles Moras, observait, dans son laboratoire d’analyse stratégique situé au cœur de Paris, au 10 rue croix des petits champs très exactement, les mutations profondes qui affectaient la civilisation. Il avait, depuis des années, scruté les indices d’un déclin que lui, qui considérait le désespoir en politique comme une sottise absolue, n’avait jamais voulu admettre, mais qui, aujourd’hui, semblait se dessiner avec une clarté glaciale.