Danemark et Norvège suspendent à leur tour l’examen des demandes d’asile de réfugiés syriens
Le Danemark et la Norvège ont annoncé qu’ils suspendaient l’examen des demandes d’asile de réfugiés syriens, au lendemain de la chute de Bachar al-Assad.
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Danemark et Norvège suspendent à leur tour l’examen des demandes d’asile de réfugiés syriens
Le Danemark et la Norvège ont annoncé qu’ils suspendaient l’examen des demandes d’asile de réfugiés syriens, au lendemain de la chute de Bachar al-Assad.
François Lenglet, journaliste économique, écrit dans Le Parisien :
À la fin du siècle dernier, le cauchemar d’une terre surpeuplée, épuisée par les hordes d’humains se disputant l’eau et la nourriture était vraisemblable. Ce mauvais rêve ne se réalisera pas. Alors qu’on prévoyait le pic de la population mondiale pour 2080, avec plus de dix milliards de Terriens, le point d’inflexion devrait arriver trente ans plus tôt, avec seulement 9 milliards d’habitants.
Comme les nouvelles frappes ATACMS sur la Russie semblent avoir cessé, cette chronologie est intéressante.
18 novembre :
Les États-Unis autorisent l’Ukraine à utiliser des missiles ATACMS contre des cibles en Russie :
Ce revirement de politique, près de 1 000 jours après le début de l’invasion massive de l’Ukraine par la Russie, intervient en grande partie en réponse au déploiement par la Russie de troupes nord-coréennes pour compléter ses forces, un développement qui a suscité l’inquiétude de Washington et de Kiev, ont déclaré à Reuters un responsable américain et une source au fait de la décision.
Dans cet entretien exclusif à Saint-Pétersbourg, Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, analyse les récentes déclarations du président français Emmanuel Macron et les tensions croissantes entre la Russie et l’Occident. Elle aborde également les relations historiques de la Russie avec l’Afrique et les enjeux économiques liés aux sanctions. Découvrez un point de vue tranché sur la politique mondiale, l’ambition de Macron, et l’avenir de la Russie sur la scène internationale.
Il semblerait que Marine Le Pen suive une trajectoire plus conforme à ce que ses électeurs attendent du RN, que celle affichée bien maladroitement par son poulain. Elle se dit prête à voter une nouvelle motion de censure, tandis que Bardella se retient d’exiger la démission de Macron, au motif que rien n’oblige institutionnellement le président à le faire. C’est exact, pour autant au soir des élections européennes il a bien demandé la dissolution de l’assemblée nationale et rien ne forçait Macron à s’y plier non plus. Mais passons sur cette erreur de jugement, le plus intéressant c’est bien la volonté de MLP de ne plus s’en laisser compter, et de se placer systématiquement sur la ligne non pas la plus dure, mais la plus cohérente qui soit, à savoir refuser les compromis à la petite semaine qui permettraient la mise en place d’un budget n’ayant toujours pas comme objectif la réduction des dépenses superflues ou même totalement inutiles.
Dans Polémia, il y a polémique. Voici un texte de Michel Geoffroy sur la censure. À contrepied de Jean-Yves Le Gallou, il analyse positivement le geste de censure du gouvernement Barnier par le Rassemblement national (RN).
Polémia
Coup de tonnerre dans le ciel politicien
Depuis 40 ans, nous vivions la même palinodie : un nombre croissant d’électeurs votaient pour le RN ou pour Marine Le Pen, mais cela ne servait jamais à rien.
Les élus comme les électeurs finissaient toujours ostracisés. Au Parlement on ne reprenait pas les propositions des élus RN et on ne leur confiait aucune présidence. L’extrême gauche, on l’écoutait et on la respectait ; mais pas le RN.
La France traverse actuellement une crise politique majeure, marquée par la démission du Premier ministre Michel Barnier suite à une motion de censure adoptée par l’Assemblée nationale. Cette situation a intensifié les appels à la démission du président Emmanuel Macron, reflétant un mécontentement croissant au sein de la population française.
1% de baisse du revenu médian réel en France ! Les statistiques officielles camouflent l’appauvrissement et la précarisation des Français, avec ces moyennes déformées par l’explosion des inégalités et ce chômage de masse invisibilisation par un sondage complaisant. Mais ce qui frappe dans l’UE, c’est que notre pays est peut-être celui qui s’en sort le moins bien, du fait des choix de nos dirigeants.
Le sacrifice de la France à un rêve européen