Le projet de loi de finances pour 2026 (PLF) ne soulève pas l'enthousiasme des foules : son adoption ne tient qu'au rejet des deux dernières motions de censure. En clair, il ne s'est pas trouvé une majorité absolue de députés pour voter contre le gouvernement : pour un Premier ministre qui s'interdisait le recours au 49.3, voilà donc un paradoxe de plus. Mais venons-en au PLF proprement dit, dont l'alliance socialo-centriste vante les mérites : il s'agit en réalité d'un projet inique et laxiste.








