Depuis deux mois, de manière grotesque, la gauche essaie de faire croire au bon peuple qu’elle a gagné les élections, et que le tyran Macron la prive de sa victoire en refusant de nommer l’inconnue Lucie Castets à Matignon.
Mélenchon et ses complices essaient de faire oublier leur coup d’État électoral – parlons comme eux – qui a consisté, au soir du premier tour, dès 20 heures, alors que le RN culminait en tête et allait avoir la majorité à l’Assemblée, à retirer ses candidats dans plus de 100 circonscriptions, permettant à Macron et ses alliés de dépasser les 150 sièges.