Les médias déconcertés et dépités ont pris acte que la France ne pouvait avoir de gouvernement sans l’assentiment du Rassemblement national. Le parti diabolisé et exclu est devenu maître du jeu.
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Les médias déconcertés et dépités ont pris acte que la France ne pouvait avoir de gouvernement sans l’assentiment du Rassemblement national. Le parti diabolisé et exclu est devenu maître du jeu.
Bernard Germain a dédicacé ce mercredi après-midi les premiers exemplaires de son livre.
Un entretien avec Bernard Germain, publié dans le n°67 cliquez ici de la revue Synthèse nationale :
Bernard Germain, déjà auteur de plusieurs livres édités par Synthèse nationale cliquez ici dont le dernier en date, L’Union européenne, en sortir au plus vite !, qui a rencontré un franc succès, publie à la rentrée un nouvel ouvrage consacré à la gauche et à ses turpitudes. Notre Ami sait de quoi il parle puisque, dans sa jeunesse, il a lui-même milité « à gauche de la gauche »… Nous lui avons posé quelques questions.
En cette rentrée 2024, votre nouveau livre « Démasquer la gauche… cette imposture permanente » va sortir. Pourquoi ce livre ?
L’incursion ukrainienne dans la région russe de Koursk touche à sa fin.
Le commandement ukrainien avait envoyé ses meilleures troupes et équipements dans la région. Il avait même poussé ses dernières réserves motorisées dans l’opération. La semaine dernière, il a renforcé le contingent. Mais quatre semaines de bombardements et d’attaques d’artillerie russes ont fait des ravages.
Quel que soit l’objectif de l’incursion, il n’a pas été atteint. Elle a permis de remonter brièvement le moral des Ukrainiens, mais cet effet s’est déjà dissipé.
Le prix à payer a été élevé. La moitié des troupes et du matériel investis dans l’incursion ont maintenant disparu.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a pris une décision qui, dans les faits, reprend une proposition clé de Jordan Bardella, président du RN : la réintroduction des contrôles aux frontières de l’Allemagne, une idée proche de la « double frontière » défendue par le président du Rassemblement National lors des élections européennes. Ce choix marque une nouvelle étape dans la déliquescence de l’espace Schengen, qui semble vivre ses derniers instants. En invoquant une « menace grave à l’ordre public », l’Allemagne suit les règles européennes tout en portant un coup fatal à la libre circulation en Europe. La Commission européenne, souvent prompte à défendre l’ouverture des frontières, n’a pour l’instant pas réagi. Bien que ces contrôles soient censés être temporaires, ils pourront être renouvelés, entérinant ainsi une forme de souveraineté que de nombreux pays européens réclament.
Un jeune homme de 19 ans, porteur d’habit traditionnel, a été victime de violences et de menaces antisémites dans un bus à Savigny Sur Orge dans l’Essonne, ce lundi, peu après 23h00, indique une source policière à Valeurs.
Depuis plusieurs jours, l’extrême gauche tente d’intimider l’ISSEP par un tombereau de menaces. La raison ? Une conférence de Marguerite Stern connue pour sa dénonciation des dérives idéologiques transgenres. Cet engagement lui vaut une haine tenace de fanatiques d’extrême gauche.
Mario Draghi tire la sonnette d’alarme. Dans un rapport en anglais de 66 pages, l’ancien président du Conseil des ministres d’Italie et ancien président de la Banque centrale européenne ramène le rêve européen à la réalité : un pathétique naufrage.
Ce rapport est un pavé lancé dans l’océan de la doxa européiste imposée depuis des décennies. Dès l’introduction, Draghi pulvérise les pudeurs françaises sur les échecs de l’Europe de Bruxelles : « L’Europe s’inquiète du ralentissement de la croissance depuis le début de ce siècle », écrit le « sauveur de l’euro ». Il constate qu’on a tout tenté « pour stimuler la croissance » mais que « la tendance est restée inchangée ». Faiblesse et impuissance.
Une analyse de Francis Goumain, fin observateur de cette guerre absurde qui n’en finit pas :
Tout le monde a les yeux rivés sur Pokrovsk, la plaque tournante de la logistique ukrainienne dans le sud du Donbass. Las ! Depuis fin août, plus aucune avancée russe dans cette direction, ce qui fait dire aux commentateurs ukrainiens & Cie : voyez, notre offensive sur Koursk a stoppé net l’avancée russe dans le Donbass.
Visiblement les Ukrainiens n’ont pas chez eux l’équivalent d’un capitaine Lepic : en 1914, Lepic avait vu que l’armée du Kaiser ne marchait plus vers l’ouest pour encercler Paris, mais qu’elle se dirigeait vers le sud. Grâce à Lepic, Joffre avait pu concevoir sa contre-attaque de la Marne sur l’adversaire qui désormais prêtait son flanc.