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anti-national - Page 1014

  • Petite histoire des campagnes de diabolisation

    PARIS (via Polémia)  - La « diabolisation » est une technique de manipulation des esprits. Elle vise à interdire la description des faits ou l’expression de certaines idées en disqualifiant celui qui les rapporte, en l’accusant d’ « extrémisme », de « dérapage » ou de « provocation ». La diabolisation est l’arme majeure du terrorisme intellectuel. Arme régulièrement utilisée en France depuis quarante ans mais qui a aussi été employée avec succès ailleurs.

     

    Petit rappel historique en forme d’explications :

    1968 : Enoch Powell
    Helléniste, latiniste, poète anglais, ancien de Cambridge, le député conservateur Enoch Powell était promis aux plus hautes destinées britanniques. Mais, élu d’une banlieue de Birmingham, il jugea de son devoir de s’inquiéter de l’immigration massive qui affectait alors sa circonscription. Son discours du 20 avril 1968 reste prophétique. Mais une campagne de diabolisation s’abattit sur lui. Pour évoquer les risques des sociétés multiculturelles il avait cité un vers de Virgile : celui évoquant la vision de la sibylle décrivant le « Tibre tout écumant de sang ». Le peuple britannique apporta son soutien à Enoch Powell mais les médias ne retinrent de son discours qu’une expression, celle des « fleuves de sang ». Enoch Powell fut brisé par le Système qui lui préféra le pâle Edward Heath. Plus tard, la leçon fut retenue par Margaret Thatcher : pour conserver le pouvoir et imposer des réformes libérales, la « Dame de fer » sut mobiliser l’esprit national pour reconquérir les Malouines mais laissa des pans entiers du Royaume-Uni s’islamiser et s’africaniser.

    1979 : la campagne de presse contre la « Nouvelle Droite »
    Durant l’été 1979, les grands médias lancèrent une campagne de presse massive visant à disqualifier des clubs de réflexion (GRECE et Club de l’Horloge) et un journal en plein essor, le Figaro Magazine, tout en « compromettant » le RPR et l’UDF. Sans qu’il y ait eu une seule phrase à reprocher aux mis en cause, l’objectif était de frapper d’interdit certaines idées : celles qui valorisaient les origines européennes de la civilisation française, celles qui prenaient en compte la diversité et l’originalité des cultures, celles qui relativisaient le rôle de l’acquis par rapport à l’inné. Toutes idées jugées non « correctes » tant par les tenants d’un marxisme finissant que par les partisans de la nouvelle idéologie des droits de l’homme en train de se constituer autour de Bernard-Henri Lévy.

    1980 : l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic
    Le 3 octobre 1980, une bombe explosa devant la synagogue de la rue Copernic à Paris. Immédiatement « l’extrême droite » fut accusée. Et le président de la LICRA, Jean Pierre-Bloch affirma : « Les assassins, ce sont aussi ceux qui ont créé le climat » ; il visait là les journalistes du Figaro Magazine, ciblés aussi par BHL. Quant au pouvoir exécutif de Giscard, Barre et Bonnet (ministre de l’Intérieur), il fut accusé de complaisance avec l’« extrême droite ». On sut très vite pourtant que l’attentat était d’origine proche-orientale mais l’effet politique des accusations mensongères fut redoutablement efficace : la direction du Figaro Magazine fut épurée et Valéry Giscard d’Estaing battu à l’élection présidentielle de mai 1981.

    1980 : le parti communiste et le bulldozer de Vitry
    Le 24 décembre 1980, la municipalité de Vitry, conduite par son maire, bloque au bulldozer la construction d’un foyer de travailleurs immigrés devant abriter 300 travailleurs maliens. Le maire Paul Mercieca est soutenu par Georges Marchais puis par une résolution du Comité central du parti. Georges Marchais affirme alors qu’« il faut stopper l’immigration officielle et clandestine ».

    Une campagne médiatique se déclenche alors contre le parti communiste. Etre allié de l’Union soviétique et défendre le goulag ne l’empêchait pas du tout de disposer d’un accueil favorable dans les médias ; en revanche, refuser l’immigration l’expose à la diabolisation. Pour y échapper, et malgré le soutien des populations locales, le parti communiste plie et se soumet aux dogmes de « l’antiracisme ». Il y perdra progressivement la totalité de son électorat populaire aujourd’hui partiellement remplacé par l’électorat immigré.

    1983 : Dreux et le Front national
    Aux élections municipales de 1983, le thème de l’immigration, abandonné par le parti communiste, revient sur le devant de la scène, notamment dans le XXème arrondissement de Paris où Jean-Marie Le Pen est candidat et à Dreux où Jean-Pierre Stirbois conduit la liste du Front national. La socialiste Françoise Gaspard ayant fraudé pour être réélue en mars 1983, les élections de Dreux sont annulées ; de nouvelles élections ont lieu en septembre : pour emporter la ville, la liste RPR/UDF fusionne au deuxième tour avec celle de Jean-Pierre Stirbois. La gauche lance alors une campagne de diabolisation du Front national et reçoit pour la circonstance le soutien de Simone Veil que ce choix isole au sein du RPR et de l’UDF.

    1986 : la mort de Malik Oussekine et le sida mental
    En 1986, le gouvernement Chirac cherche à réintroduire la sélection à l’université et à réformer le code de la nationalité. La gauche et les organisations antiracistes subventionnées organisent alors des manifestations violentes de protestation.

    Dans le Figaro Magazine du 6 décembre, Louis Pauwels dénonce « le monôme des zombies » : « Ce sont les enfants du rock débile, les écoliers de la vulgarité pédagogique, les béats nourris de soupe infra-idéologique cuite au show-biz, ahuris par les saturnales de “Touche pas à mon pote”. (…) L’ensemble des mesures que prend la société pour ne pas achever de se dissoudre : sélection, promotion de l’effort personnel et de la responsabilité individuelle, code de la nationalité, lutte contre la drogue, etc., les hérisse. (…) C’est une jeunesse atteinte d’un sida mental. »

    Le même 6 décembre, à l’issue de la destruction d’une barricade par la police, un immigré sous dialyse rénale, Malik Oussekine, trouve la mort. Une puissante campagne de sidération de l’opinion s’engage et débouche finalement sur le retrait des lois sur l’université et la nationalité. Formule choc qui illustre bien la baisse des capacités immunitaires et de défense de la société, le « sida mental » est au cœur du scandale médiatique. Mais l’enchaînement des événements montre sa réalité. Aujourd’hui encore c’est le « sida mental » qui rend impossible la répression des émeutes ethniques dans les banlieues de l’immigration.

    1987 : le « détail » de Jean-Marie Le Pen
    Le « détail » de Jean-Marie Le Pen est souvent considéré – par ses partisans comme par ses adversaires – comme l’explication majeure de la diabolisation du Front national (le mot « détail » a lui-même été diabolisé !). Ce point de vue mérite d’être fortement nuancé voire corrigé :

    - d’abord, parce que l’affaire du « détail » ne fut qu’une opération de diabolisation parmi beaucoup d’autres ; il est d’ailleurs intéressant de constater que la campagne de presse contre le « détail » de Jean-Marie Le Pen ne se déclencha pas immédiatement après l’émission « RTL/Le Monde » mais… 48 heures plus tard ; émotion et indignation ne furent pas instantanées mais programmées ;
    - ensuite, le « détail » survenu en septembre 1987 n’empêcha pas Jean-Marie Le Pen d’obtenir les 500 parrainages de maire nécessaires à sa candidature à l’élection présidentielle, ni de rassembler, au 1er tour, 14,5% des suffrages, doublant quasiment le nombre de ses voix par rapport aux élections législatives précédentes.

    1990 : la profanation de Carpentras
    Il y a chaque année – ce qui est déplorable – plusieurs centaines de profanations de cimetières. Dans plus de 90% des cas il s’agit de cimetières catholiques et cela n’émeut personne dans la classe politico-médiatique. Il n’en va pas de même lorsqu’il s’agit de profanations de sites musulmans ou juifs.

    A l’origine, la profanation du cimetière de Carpentras ne fit l’objet que d’une simple dépêche de quelques lignes sur l’AFP ; puis elle fut mise en scène par le ministre de l’Intérieur, Pierre Joxe, et devint un événement national de première ampleur. L’ensemble fut couronné par une grande manifestation PS/RPR/PC/UDF/LCR/SOS-Racisme/LICRA conduite par François Mitterrand.

    L’ancien directeur des RG, Yves Bertrand, a décrit l’affaire dans un livre de mémoires, n’hésitant pas à la qualifier de manipulation médiatique, sans se prononcer sur l’origine de l’acte lui-même si ce n’est sur la parfaite innocence du Front national. Parfaite innocence qui n’empêcha pas que soit brisée l’ascension du Front national qui venait pourtant d’obtenir l’élection d’un député au scrutin majoritaire (Marie-France Stirbois).

    L’affaire de Carpentras reste dans les mémoires car c’est la plus forte opération de sidération des esprits des quarante dernières années. Sidération qui s’opéra donc sur la base, sinon d’un mensonge, du moins d’un fait fantasmé et qui permit, quelques semaines plus tard, le vote de la loi mémorielle qui porte le nom du député communiste Jean-Claude Gayssot : loi liberticide qui crée le délit d’opinion historique.

    2004 : l’affaire Vanneste, la diabolisation au nom de l’homophobie
    Le député UMP Christian Vanneste a déclaré, le 26 janvier 2005, dans des interviews à La Voix du Nord et à Nord Eclair : « L’homosexualité est une menace pour la survie de l’humanité […]. Je n’ai pas dit que l’homosexualité était dangereuse. J’ai dit qu’elle était inférieure à l’hétérosexualité. Si on la poussait à l’universel, ce serait dangereux pour l’humanité […]. Pour moi leur comportement est un comportement sectaire. Je critique les comportements, je dis qu’ils sont inférieurs moralement […]. »

    Propos normaux pour un député conservateur et un philosophe catholique mais qui valurent à Christian Vanneste une puissante campagne de diabolisation. Il fut d’ailleurs poursuivi devant les tribunaux pour « homophobie », un délit créé sur le modèle des précédentes lois liberticides à la suite d’un montage médiatique. Un homme agressé avait médiatisé les coups dont il avait été victime en prétendant que ses agresseurs l’avaient frappé en raison de son orientation sexuelle. En fait, son agression était le fait de son « compagnon ». Mais l’émotion suscitée par le montage médiatique permit la création par la loi du 31 décembre 2004 du délit d’« homophobie ».

    2006/2009 : la diabolisation de Benoît XVI
    Il n’y a pas que les hommes politiques ou les intellectuels qui soient exposés à la diabolisation. Les hommes de Dieu aussi. Lorsque Jean-Paul II mourut, les médias mondiaux dressèrent le portrait robot du futur pape idéal : un Sud-Américain ou un Africain, progressiste, tourné vers les médias et attaché à une expression émotionnelle de la foi. Le Sacré Collège élut un cardinal allemand, intellectuel et philosophe, attaché à la raison et à la tradition. A partir de là toutes les occasions furent bonnes pour diaboliser le « pape allemand » :

    - son discours de Ratisbonne, où il s’interrogeait sur la religion et la raison (et soulignait les différences entre le catholicisme et l’islam) ;
    - ses propos africains sur le préservatif dont l’Eglise catholique peut pourtant difficilement… recommander l’usage.
    Dans ces deux cas la technique de diabolisation fut la même : la mise en exergue d’une phrase sortie de son contexte. La même technique que celle utilisée en 1968 contre Enoch Powell.

    Enfin la reductio ad Hitlerum fut aussi utilisée lors du rapprochement de Rome avec les évêques traditionalistes, l’un d’entre eux, Monseigneur Williamson, ayant tenu des propos révisionnistes, propos, certes, condamnables au regard du droit français (mais non du droit britannique) mais propos ne relevant en rien du droit canon (à moins de changer les dogmes de l’Eglise catholique).

    Bien entendu ces campagnes médiatiques ne sont que des prétextes utilisés par l’oligarchie médiatique dominante pour s’opposer à toute forme de retour vers la tradition catholique dont l’Eglise s’est éloignée à la suite de Vatican II.

    Les diabolisés : les nouveaux dissidents
    Les diabolisateurs sont les hommes d’influence qui tiennent le « manche ». Ce sont des hommes de pouvoir médiatique, politique ou financier, souvent défenseurs de groupes de pression communautaristes.

    Les diabolisés sont, eux, très divers : on y trouve des intellectuels, des hommes politiques, des hommes d’Eglise. Par-delà leurs différences, on trouve quelques points communs : souvent une grande culture, un attachement à des traditions, toujours du courage et de la lucidité et des convictions fermes qui les amènent à s’opposer au « politiquement correct », au « moralement correct », à « l’historiquement correct ».

    Le club des « diabolisés » fait penser aux clubs des dissidents des régimes totalitaires, ces régimes si bien décrits par George Orwell dans 1984. Des dissidents que le pouvoir soviétique qualifiait de « hooligans » !

    Ce qui prouve qu’être diabolisé, c’est plus qu’honorable, même si cela peut coûter cher : Louis Pauwels n’entra pas à l’Académie française, Enoch Powell se vit barrer la route de Downing street, Christian Vanneste ne deviendra jamais ministre et Benoît XVI aura toujours du mal à être aimé des grands médias !

    Comment combattre la diabolisation ?
    Une précision d’abord : la diabolisation ne s’évite pas, sauf par le silence, la repentance et le reniement de convictions non conformes. Il ne sert à rien, non plus, de « hurler avec les loups » et de tenter de dénoncer ceux qui seraient encore plus diabolisables que soi. Là aussi c’est aller contre l’honneur et contre ses propres intérêts car cela revient à s’inscrire dans la logique des diabolisateurs.

    Alors, quand on refuse de suivre la pente dominante – à quelque niveau que l’on se trouve – il faut s’apprêter à faire face à la diabolisation.

    Avec lucidité et courage. Il n’est pas toutefois interdit d’être habile : défendre des idées non conformistes c’est comme une course d’arêtes, cela implique de ne tomber ni d’un côté ni de l’autre ; il ne faut céder ni à la facilité ni à l’excès.

    Mais il faut aussi faire face aux diabolisateurs : dévoiler leurs arrière-pensées et les intérêts qu’ils servent ; effectuer les rappels historiques nécessaires ; et se poser une bonne question : Qui dans l’histoire a laissé sa marque sans avoir, à un moment ou à un autre, été diabolisé par les intérêts du moment ?

    Cet article a été initialement publié le 20/12/10 http://fr.novopress.info

  • Quand Clément Méric agressait la Manif Pour Tous

     

    Encore un article de grande qualité de Thomas Debesse dont voici des extraits :

     

    "Le 17 avril 2013, en marge d'une Manif Pour Tous, la cellule d'extrême gauche à laquelle appartient Clément Méric vient agresser les manifestants. Line Press était sur place et a filmé une partie des événements. Les extraits sont très intéressants. Malheureusement, je n'ai certainement pas les moyens de me payer une vidéo Line Press… Je me limite donc à une petite sélection de 7 images en invoquant le droit de courte citation… Cette vidéo était jusqu'à peu disponible sur le compte Youtube officiel de LinePress, si vous avez l'occasion de regarder cette vidéo, je vous y invite à le faire, elle est riche en renseignements.

    Alors que son groupe agresse la manifestation, tandis que la police intervient pour calmer le jeu et commence à attraper certains, Clément Méric se faufile entre les policiers en civils pour se réfugier derrière les bénévoles de sécurité de la Manif Pour Tous.

    Des altercations naissent entre ses camarades et des manifestants. Les bénévoles rappliquent. Clément Méric observe en retrait [...] [et] place sa chevalière de manière à pouvoir frapper avec s'il le faut [...]

    Clément Méric n'aime pas être pris en photo. En fait il retire son foulard dès qu'il faut se glisser incognito au milieu des policiers, profitant de son « visage de poupon » comme alibi, et le remet dès qu'il s'agit d'agir avec son groupe. On le voit à un autre moment de la vidéo lever la banderole sur son visage alors qu'un photographe se place pour photographier le groupe.

    MMais ce qui nous intéresse dans cette photo n'est pas le foulard, c'est sa chevalière. Sur cette image il joue du pouce et du majeur pour retourner le chaton sous son index et dissimuler la trop voyante bague aux vues des objectifs. Tout le long de la vidéo on le voit tourner cette chevalière, en fonction du rôle qu'il joue. Clément Méric ne se sert pas de sa chevalière comme d'une simple bague d'appartenance ou par coquetterie. Il la porte à l'index pour s'en servir comme une arme et lorsqu'il est inquiet et que le danger menace, place le chaton en avant du poing. Dès lors qu'il ne se sent plus en danger ou qu'il est pris en photo, il cache le chaton dans sa paume. [...]

    Les média rivalisent de bidonnage. Du coté du Monde, « pour souligner que Clément Méric n'était pas un provocateur » on précise que le drame s'est déroulé alors qu' il « se rendant à une vente privée de vêtements » comme s'il était allé à une vente BCBG. C'est oublier un peu vite que ladite vente privée est connue pour être un repaire d'extrémistes de tout bord et qui serait souvent l'occasion de bagarres… Tous les ingrédients pour une nomination au prix Albert Moscou sont là…

    Déjà, à l'occasion d'un autre fait divers heureusement moins dramatique, je m'étais étonné au début du mois de mai en lisant un article sur une action d'antifa qui avaient troublé un rassemblement venu commémorer la mort d'un nationaliste. Je lisais ces mots étonnant :

     

    « [Les antifas ont] repéré les quelques nationalistes déjà présents. Ces derniers n’ont pu que détaler très vite pour éviter de prendre des coups. »

     

    Comme s'il était normal, dans certains cas comme celui-ci, de recevoir des coups… [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Et maintenant, QUE FAIRE ?

    On l’a dit, le combat mené par la France des valeurs contre le mariage homosexuel révèle une vivacité et un esprit de résistance d’une bonne partie de la jeunesse de notre pays et plus largement des familles, ce qui en fait une mobilisation pluri générationnelle.

    La répression sauvage qui s’est abattue sur ces français habituellement silencieux révèle, non seulement l’importance des enjeux par la force de la mobilisation d’une France décomplexée mais encore le trouble de nos adversaires jamais avares de formules assassines qui ont déversés par la force des matraques et par des propos sur les réseaux sociaux et autres médias, un torrent hallucinant de haine et de ressentiment, ce qui laisse augurer de l’ambiance des prochains mois.

    Bien sûr, il ne faut rien lâcher, mais il faudra faire preuve à l’avenir d’imagination et de créativité pour organiser la résistance dans tout le pays. Le « Printemps Français » est un exemple, mais il existe de nombreuses organisations, comme les veilleurs, les mères veilleuses, mais aussi les mouvements et groupes patriotiques que l’on voit renaissants aujourd’hui, des associations laïques et confessionnelles, lesquels semblent converger vers le même but : Combattre le totalitarisme rampant et redresser le pays par la primauté des valeurs constitutives de l’humain.

    De l’autre côté la révolution semble avoir repris son cours. Tous les voyants sont au rouge : Sectarisme et autoritarisme d’état, Idéologies de la déconstruction dans nos écoles primaires, voire maternelles, poursuite accélérée du « grand remplacement » dénoncé par Renaud Camus, dans un pays qui atteint un taux de chômage record, renonciation à la souveraineté monétaire, économique et politique pour sans doute mieux se consacrer à l’application d’une idéologie suicidaire, stigmatisation outrancière des oppositions, refus du dialogue.

    Face à cela, le pays doit entrer en résistance, mot qui fait bien sûr horreur à notre président normal, comme à quelques évêques toujours en retard d’une guerre.

    Alors que l’on nous rebat les oreilles avec la démocratie, on refuse une demande de référendum avec 700 000 signatures et on fait voter à marche forcée par un parlement désormais minoritaire en termes de réelle représentativité et en dépit de manifestations monstres, des lois qui s’en prennent aux fondements de notre société.

    Nos sectateurs ne voient toujours pas qu’ils ont réveillé une force française qui coulait comme la lave dans les profondeurs de la terre et qui pourrait bien se muer en volcan furieux. Avec les cadres de l’AF d’abord, et nos partenaires les plus constructifs ensuite, nous allons proposer une réflexion cet été et à la rentrée, dans la perspective d’une mise en place d’un dispositif capable de fédérer cette force.

    Un genre de « conseil national de la résistance » s’appuyant sur la révolte spontanée de ceux qui sont le sel de la terre de France.

    La république se meurt d’avoir renié la France, débranchons les tuyaux.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française http://www.actionfrancaise.net

  • 40 agents secrets turcs entraînés par le Mossad capturés en Syrie

    mondialisation.ca: Selon le quotidien israélien Haaretz, « 40 officiers du renseignement turc ont été capturés par l’armée syrienne ».

    La Turquie a mené la semaine dernière d’intenses négociations avec la Syrie pour assurer leur libération [...] (Zvi Bar’el et DPA, Report: U.S. drones flying over Syria to monitor crackdown, Haaretz, 18 février 2012.)

    Leur libération serait accordée en échange de transfuges syriens actuellement en Turquie, précise Haaretz. De plus, la Syrie poursuivrait les négociations à condition que la Turquie bloque sur son territoire « le transfert d’armes et le passage de soldats de l’Armée syrienne libre » vers la Syrie.

    Selon des sources turques, la Turquie refuserait les demandes syriennes et s’apprêterait à durcir le ton envers le gouvernement Assad, ajoute le quotidien.

    Le quotidien hébreu rapporte que les agents turcs auraient confessé aux autorités syriennes avoir été entraînés par le Mossad israélien, dont ils auraient reçu « l’ordre de mener des attaques à la bombe afin de porter atteinte à la sécurité de la Syrie ». (Ibid.) L’un des agents aurait affirmé que le « Mossad entraîne des soldats de l’Armée syrienne libre ». (Ibid.) Des agents du service de renseignement israélien auraient par ailleurs formé des représentants d’Al-Qaïda en Jordanie afin de les envoyer attaquer la Syrie.

    Ces témoignages corroborent plusieurs informations, incluant des sources du renseignement israélien, indiquant la participation du Mossad dans l’insurrection armée en Syrie. Plusieurs reportages mentionnent également l’implication de la CIA et du MI6 britannique, ainsi que de troupes spéciales européennes et étasuniennes.

    Les autorités turques ont nié les informations du Haaretz.

    Pour plus de renseignements à ce sujet voir le dossier Syrie de Mondialisation.ca.

    http://fr.altermedia.info/

  • Sondage : L’Union Européenne menace les Européens au lieu de les défendre

    BRUXELLES (NOVOpress/Bulletin de réinformation) – Un sondage a été réalisé par l’institut Gallup sur le sentiment des Européens vis‑à‑vis de l’UE dans six pays membres à savoir la France, le Danemark, l’Allemagne, les Pays‑Bas, la Pologne et le Royaume‑Uni. Cette étude révèle que l’Union européenne est perçue « Comme une menace externe de plus en plus forte et non plus comme une institution défendant les intérêts des Européens ».

     

    Pour Robert Manchin, directeur général de Gallup Europe les gens doutent de la faculté de l’UE “à pouvoir gérer les flux migratoires et l’identité propre à chaque pays” ainsi que le chômage, les retraites, ce qui sont les questions les plus préoccupantes pour eux.

    Mais le plus surprenant est que la méfiance envers l’UE est la plus ancrée au sein des pays membres constituant le cœur même du projet européen notamment la France. Ainsi, 62 % des Français pensent que l’UE prend une mauvaise direction contre 17 % qui pensent le contraire. Si les Allemands semblent les moins critiques à l’encontre de l’UE, on constate que leur soutien à l’UE est de plus en plus volatil : 31 % pensent que l’Allemagne devrait quitter l’UE. Un sondage à méditer par Attali pour qui toujours plus d’UE est la solution.

    http://fr.novopress.info

  • « Chrétiennes anti-Femen »

    C’est sur Facebook :

    « Dans le sillage des femmes catholiques Polonaises “Christian Women Against Femen”, nous défendons notre spécificité féminine et notre attachement à notre religion. »

    Pour leur « description », elles citent ce beau texte :

    « Vous femmes, vous avez toujours en partage la garde du foyer, l’amour des sources, le sens des berceaux. Vous êtes présentes au mystère de la vie qui commence. Vous consolez dans le départ de la mort. Notre technique risque de devenir inhumaine. Réconciliez les hommes avec la vie. Et surtout veillez, nous vous en supplions, sur l’avenir de notre espèce. Retenez la main de l’homme qui, dans un moment de folie, tenterait de détruire la civilisation humaine.
    Paul VI »

    Ce m’est l’occasion de découvrir une curiosité. La citation est signée Paul VI. Il s’agit d’un des « messages » publiés à la fin du concile Vatican II. Ils furent alors publiés comme « messages du concile » (comme en témoigne l’édition classique des textes du concile aux éditions du Centurion), et c’est ainsi que je les commente dans mes Notules sur un concile. Mais je découvre qu’en effet, sur le site du Vatican, ces messages sont attribués à Paul VI, et ne figurent pas parmi les textes du concile. Si quelqu’un sait depuis quand la paternité des messages a été transférée du concile au pape, ça m’intéresse (mais ça n’a pas grande importance…).

    http://yvesdaoudal.hautetfort.com/
  • [Vidéo] Manuel Valls dénoncé au Conseil des droits de l’homme à Genève

    Manif pour tous : la répression policière dénoncée au Conseil des droits de l’homme à Genève

    Intervention complète de M. Grégor Puppinck, directeur du Centre Européen pour les Droits de l’Homme et la Justice, au Conseil des droits de l’homme à Genève lors de la 23ème session régulière, le 6 juin 2013.

    Merci Monsieur le Président,

    Dans le cadre de l’Examen Périodique Universel, l’ECLJ souhaite attirer l’attention du Conseil des droits de l’homme sur des événements graves qui se produisent actuellement en France en matière de contrôles d’identités, d’arrestations et de détentions arbitraires ainsi que de violences policières.

    Depuis plus de huit mois, des millions — je dis bien des millions- de français manifestent pacifiquement dans toute la France pour défendre la famille et les droits des enfants contre une loi nouvelle qui crée un droit à l’adoption d’enfants et au mariage par les couples de même sexe. Ce mouvement social est le plus important en France depuis Mai 68.

    Plutôt que de tenir compte de ce mouvement, le gouvernement a menacé de l’interdire, il le réprime par l’usage abusif de gaz lacrymogènes contre la foule, par des violences policières, des arrestations et des détentions arbitraires par centaines, je dis bien — arbitraires et par centaines.

    Monsieur le Président, Du 24 au 26 mai, ce sont 350 personnes qui ont été interpellées (par la Police parisienne) et détenues en garde à vue jusqu’à trois jours durant. Sur ces 350 détenus, sept seulement ont été condamnés, très légèrement. L’arrestation des 343 autres était arbitraire et politique. En plus, des centaines d’autres personnes ont été arrêtés et retenus pendant plusieurs heures au prétexte de contrôles d’identités. Souvent, elles ont été arrêtées « au faciès », parce qu’elles portent ce vêtement marqué du symbole du Mouvement.

    A aucun moment, la légalité de ces arrestations n’a été contrôlée par un magistrat indépendant.

    Ces manifestants sont à présent fichés, leurs identités et empreintes sont conservées par la police. En outre, le gouvernement a ordonné l’identification dans l’armée des officiers proche du mouvement.

    L’ECLJ documente tous ces cas de répression : nous recevons de très nombreux témoignages, notamment de victimes de brutalités policières, y compris sur des enfants et des mères de famille.

    Monsieur le Président, cette répression doit cesser et être dénoncée.Elle démontre en particulier un dysfonctionnement grave des procédures de contrôles d’identité et de gardes à vues. L’ECLJ invite donc respectueusement le Conseil des Droits de l’Homme à se saisir de ces violations particulièrement graves pour un pays qui se targue d’être exemplaire dans le respect des droits de l’homme.

    Je vous remercie.

    Manuel Valls va-t-il gazé et interpellé les membres du Conseil des droits de l’homme à Genève ?

    http://www.actionfrancaise.net

  • Je suis écœuré, par Alain de Montere

    Je viens de m’imposer un marathon zapping (ce mot aussi, employé à dessein, me donne la nausée) afin d’ouïr, sinon « entendre », la glose abondante – et glaireuse - des diverses chaînes de télé, à la botte du gouvernement socialo-gaucho, dont toutes,  grouillantes de journaleux-phagocytes affamés de mal-pensants pathogènes de l’Éden «  Internationale Socialiste », ont fustigé l’agression (létale) du « pauvre » gentil garçon d’extrême-gauche qui, cette fois, a eu le malheur de perdre dans l’un de ces pugilats contre lesquels la police politique de Valls est - par ordre peut-être -, impuissante.
    Moins facile  -n’est-ce-pas ? - d’aller matraquer des « loulous » résolus que des familles manifestant – hélas de façon bonne enfant – dans les artères « surenfliquées » de la capitale !
    Et si, d’aventure, cela avait été l’un de ces « maudits » extrémistes de droite, l’un de ces skin… ( vous voudrez m’excuser de ne savoir écrire ce mot que tous vous devinez) abhorrés des gauches, l’un de ces criminels néo-nazis, l’un de ces salopards, en un mot, qui OSENT, ne pas se prosterner le cul en l’air devant Mélanchon – où l’autre crétin de service du tri postal qui semble retrouver la faculté de baver -, pour leur lécher les babouches ?
    OUI, SI CELA AVAIT ETE UN SALE FUMIER D’EXTREME DROITE ASSASSINE PAR DES EXTREMISTES DE GAUCHE ?
    Qu’auriez-vous dit, Mesdames et Messieurs les élus en place, ou qui l’avez été, ou qui êtes PRÊTS À TOUT, MEME AU PIRE, pour vous accaparer le pouvoir ?
    Qu’auriez-vous dit, vous tous des médias, lâches imitateurs de ces beni-oui-oui à qui nous sommes redevables du désastre de 1940 ? (Je ne cite que celui-là, qui a le mérite d’être connu du plus grand nombre)…
    Certes, on peut être pamphlétaire, et n’en pas faire l’apologie de la violence – moins encore du crime pour autant !
    Je souhaiterais seulement que les médias, télévisuels surtout qui ont un tel impact sur la société, sachent objectivité et mieux encore raison garder, et pour ce faire SE GARDER d’amalgames conscients ou non.
    Mais, honnêtement, peut-on croire aujourd’hui que des journalistes, à plus de quatre-vingt-dix pour cent issus du second du cycle et du troisième pour quantité d’entre eux ne mesurent pas la portée de leur propos ? Allons donc !
    Je me dois toutefois de reconnaître que madame Elkrief, sur BMFTV, a fait montre, concernant cette affaire qui, opposant les extrémistes dans la violence meurtrière - fut-ce par accident -, la terrifie, d’une relative objectivité concernant l’incrimination, par certain de ces confrères, du FN.
    Dans le concert des appels politico-médiatiques au pogrom contre ce parti, il fallait noter ce certain courage de cette personne… qui, ce me semble, ne peut être suspectée de collusion idéologique.
    Vous êtes radicalement à gauche Mesdames et Messieurs, pour l’immense majorité d’entre vous ?... Grand bien vous fasse !
    Juste une hypothèse : et si jamais Marine Le Pen se voit bientôt élire Présidente de la République Française, combien d’entre vous, comme aux lendemains du tragique été 1940, vont retourner leur réversible casaque ?
    Avez-vous la moindre idée du nombre de Français qui vous méprisent ?

  • Hervé Mariton, l’homme qui se couche plus vite que son ombre

     

    CHAPITRE I : Mariton se sépare de sa collaboratrice proche de l’extrême droite

    Le député UMP Hervé Mariton a annoncé qu’il allait se séparer d’une de ses collaboratrices à l’Assemblée nationale, Jeanne Pavard, dont Mediapart a révélé qu’elle entretenait des liens avec l’extrême droite, notamment sur Facebook.

     

    "Mme Pavard va cesser ses fonctions dans le respect des règles du droit du travail. (...) Elle m’avait déjà exprimé récemment son souhait de partir. Je ne la retiens pas", a déclaré le député de la Drôme, qui a été l’un des chefs de file de la contestation du mariage homosexuel dans son parti.

    DES LIENS ÉTROITS AVEC DES GROUPES D’EXTRÊME DROITE

    Dans son enquête, Mediapart révèle que cette collaboratrice du député affichait sur sa page Facebook, depuis modifiée, ses sympathies pour des sites Internet ou des mouvements d’extrême droite. Elle a ainsi été candidate en 2006 sur la liste du Rassemblement étudiant de droite (RED), mouvement d’extrême droite né des décombres du GUD (Groupe union défense).

    Le 21 mai, à la suite du suicide de l’essayiste d’extrême droite Dominique Venner dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, elle avait donné rendez-vous par Facebook devant le parvis de l’église, là où quelques dizaines de militants d’extrême droite s’étaient rassemblés pour rendre hommage à M. Venner.

    La suite sur Le Monde

    CHAPITRE II : IL VA ÊTRE RAVI DE MARIER.... DES PAIRES HOMOSEXUELLES !

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch, président du groupe FN de Rhône-Alpes, Député européen

    Il n’aura pas fallu beaucoup de temps à M. Hervé Mariton, député-maire UMP de la Drôme, pour annoncer qu’il se soumettait à la loi du prétendu « Mariage pour tous », et même qu’il souhaitait marier un couple de femmes dans la commune dont il est le Maire. Sa déclaration au site cadremploi.fr, dévoilée hier sur internet, est on ne peut plus claire.

    On peut se soumettre à regret à une loi, on n’est pas obligé de revendiquer de l’appliquer avec autant d’ardeur. M. Mariton pouvait dire simplement que, si la commune était contrainte de célébrer un tel mariage, et s’il ne faisait pas jouer de clause de conscience, un adjoint officierait. C’était bien le minimum que l’on pouvait attendre. …

    Les habituels reniements de Monsieur Mariton n’étonneront que ceux qui se contentent de belles paroles mais ne prennent jamais les actes comme vraie source de leurs jugements. Que les déçus, et ceux qui se sentent trahis, ne baissent pas les bras pour autant. Le Front National a la ferme volonté de défendre la famille et de combattre la décadence, avec tous ceux qui le veulent… avant qu’il ne soit trop tard !

    http://www.actionfrancaise.net