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anti-national - Page 1063

  • Ces gouvernements socialistes qui privatisent

    Ces gouvernements socialistes qui privatisent
    Jean-Marc Ayrault a affirmé, dimanche 5 mai au 20 heures de TF1, que le gouvernement envisageait de réduire la participation de l’Etat dans le capital "d’un certain nombre d’entreprises publiques" pour consacrer ces sommes à l’investissement.

    L’annonce du premier ministre modulée par le ministre

    "Nous envisageons que dans un certain nombre d’entreprises publiques où le taux de participation de l’État est très important nous puissions dégager une partie pour financer de l’investissement. Pas pour boucher les trous du budget", a déclaré le premier ministre. Jean-Marc Ayrault a donné l’exemple des 20 milliards d’euros qui seront nécessaires pour financer l’installation du très haut débit pour Internet sur tout le territoire.

    Pour autant, cette décision du gouvernement français ne marque pas "le retour des privatisations", a indiqué lundi le ministre de l’économie, Pierre Moscovici. "C’est une gestion fine du capital de l’État, en conservant son rôle d’État stratège, a déclaré le ministre sur I-Télé. Ce qui est crucial aujourd’hui, c’est la relance de notre économie, la croissance, la création d’emplois, et pour cela il faut tout faire pour investir et le faire sans creuser les déficits."

    Le ministre a refusé de dévoiler le nom d’entreprises qui pourraient être concernées, mais a affirmé que l’idée générale pouvait être "de jouer ici où là ; cela peut être réduire les taux de participation, cela peut être vendre des participations non stratégiques". Il a exclu que les cessions portent sur l’ensemble du capital, l’ensemble des participations de l’État représentant un peu plus de 60 milliards d’euros. « Nous envisageons que dans un certain nombre d’entreprises publiques où le taux de participation de l’Etat (dans leur capital) est très important, nous puissions dégager une partie pour financer de l’investissement. Pas pour boucher les trous du budget », avait déclaré dimanche le Premier ministre.

    Rappels de définitions

    La privatisation est l’opération consistant à transférer par la vente d’actifs, une activité, un établissement ou une entreprise du secteur public au secteur privé. La privatisation est dite partielle si seulement une partie du capital est vendue. L’opération inverse de la privatisation est la nationalisation.

    Les objectifs, souvent idéologiques, de la privatisation peuvent être multiples :

    - réduire l’interventionnisme de l’État dans l’économie,
    - ouvrir à la concurrence un domaine d’activité jusqu’alors en situation de monopole,
    - donner plus de souplesse aux entreprises (nomination des dirigeants, prises de décision),
    - apporter des recettes supplémentaires à l’Etat (mais ces recettes n’ont lieu qu’une seule fois)

    Les adversaires des privatisation considèrent que certains secteurs d’activité n’ont pas vocation à appartenir au secteur privé, mais doivent rester dans le giron de l’État ou de la collectivité :

    - Les secteurs stratégiques comme l’eau, l’électricité.
    - Les secteurs où les infrastructures représentent un investissement tel que celui-ci ne peut être réalisé que par l’ensemble de la collectivité : réseau ferré, réseau d’accès de télécommunication, autoroute, distribution postale. Les excès du libéralisme en matière de privatisation ont montré leurs limites dans ces domaines : électricité en Californie, réseau ferré en Angleterre.
    - Les secteurs de monopole de fait : aéroports.
    - Les secteurs d’intérêt général.

    A l’inverse, la nationalisation est l’opération de transfert à la collectivité nationale des moyens de production privés : entreprises, terres, etc.

    La nationalisation d’une entreprise consiste pour un État à entrer dans le capital de celle-ci à plus de 50% afin d’en prendre le contrôle direct. Elle peut s’opérer soit par une indemnisation des propriétaires privés (ex : nationalisations du gouvernement Maurois en 1982) soit par une confiscation sans contreparties financières (ex : lors d’une révolution, pendant ou après une guerre, comme dédommagement après un préjudice, etc.).

    Exemples de motivations des nationalisations :

    - accroître le patrimoine et la puissance publics,
    - prendre le contrôle des ressources naturelles et en tirer davantage de bénéfices,
    - réorienter la production et ses moyens dans le cadre d’une planification économique,
    - défendre l’intérêt national et la sécurité des approvisionnements dans un secteur économique considéré comme stratégique,
    - défendre l’intérêt collectif dans un monopole "naturel",
    - donner le contrôle de l’outil de production aux ouvriers.

    La privatisation n’a pas de camp

    A la lecture de ces définitions, il semblerait donc que les privatisations viendraient de gouvernements « capitalistes », et donc « de droite », alors qu’un gouvernement socialiste devrait s’appliquer à nationaliser.

    Certes sous le gouvernement Chirac, TF1, la Société Générale, Matra ou le groupe Suez, sont partis dans le domaine privé ; puis sous le gouvernement Balladur, ce fut le tour de Rhône Poulenc, d’Elf Aquitaine, de l’UAP, la SEITA, et Total.

    Mais paradoxalement, au jeu des privatisations, la droite ne fait pas mieux que la gauche. En effet, c’est le gouvernement de Lionel Jospin qui, pour l’heure, a été le plus prolifique en la matière.

    Entre 1997 et 2002, les socialistes ont cédé pour environ 27 milliards d’euros de participations publiques.

    Un chiffre qui, en cette période de crise et de dette grimpante, a de quoi faire rêver notre gouvernement actuel, et qui ne peut que nous faire deviner les intentions échappées de la bouche de Jean-Marc Ayrault, et vite reformulées par Pierre Moscovici.

    Les socialistes, rois de la privatisation ?

    Déjà avant le gouvernement Jospin, Michel Rocard , en 1990, avait ouvert le capital de Renault (rien que ça !).

    Ensuite, sous le gouvernement de Lionel Jospin, le record historique a été atteint (merci, messieurs les dirigeants actuels, de ne pas essayer de le battre, SVP !) :

    - Air France, 1999, ouverture du capital.
    - Autoroutes du sud de la France (privatisation partielle)
    - Mars 2002 : mise en bourse de 49 % du capital, recette : 1,8 milliard d’euros.
    - Crédit lyonnais, 12 mars 1999 (décret)
    - France Télécom, 1997, ouverture du capital, 42 milliards de francs.
    - Octobre 1997 : mise en bourse de 21 % du capital
    - Novembre 1998 : mise en bourse de 13 % du capital
    - Eramet, 1999.
    - GAN, 1998.
    - Thomson Multimédia
    - 1998, ouverture du capital.
    - 2000, suite.
    - CIC, 1998.
    - CNP, 1998.
    - Aérospatiale (EADS), 2000, ouverture du capital.

    L’ensemble des privatisations sur la période 1997-2002 aurait rapporté 210 milliards de francs en cinq ans.

    Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, qui songe à « réduire la participation de l’État dans le capital d’un certain nombre d’entreprises publiques », a tout de même déjà agi en la matière :

    - Mars 2013 : cession de 3,12 % du capital de Safran, ce qui a rapporté 448,5 millions d’euros à l’État qui détient encore 27,08 % du capital.
    - Avril 2013 : cession de 3,66 % du capital d’EADS, ce qui a rapporté 1,2 milliard d’euros à l’État qui s’est engagé à céder encore 0,4 à 0,5 % du capital.
    - Avril 2013 : Arnaud Montebourg se déclare en faveur de baisse de la participation de l’État dans certaines entreprises et évoque en particulier, sans les citer, EDF et GDF Suez.
    - Mai 2013 : Jean-Marc Ayrault envisage une baisse du taux de participation de l’État dans le capital de certaines entreprises.

    Vu que le processus était déjà engagé avant que notre premier ministre ne l’évoque, les paris sont ouverts : « quelles vont être les prochaines victimes de « réductions de taux de participation » de l’État ?

    Rappels de définitions (bis) et conclusions

    Le socialisme est une doctrine politique et économique qui vise, à l’inverse du modèle libéral, à réformer le système de propriété privée des moyens de production et d’échange et à l’appropriation de ceux-ci par la collectivité. Les valeurs fondamentales du socialisme sont : l’absence de classes, l’égalité des chances, la justice sociale, la répartition équitable des ressources, la solidarité, la lutte contre l’individualisme, l’intérêt général partagé et prévalant sur les intérêts particuliers...

    Dans la théorie politique marxiste, le socialisme est la période de transition entre l’abolition du capitalisme et l’avènement du communisme avec la disparition de l’État. Pendant cette période, la "dictature du prolétariat" s’exerce par l’intermédiaire de l’État sur l’ensemble de la société.

    Chez les non marxistes, le socialisme est la dénomination générale des doctrines des partis qui cherchent à rénover l’organisation de la société en vue de la justice sociale et de l’émancipation individuelle de chacun dans le respect de la dignité.

    Historiquement, le libéralisme est une doctrine politique, apparue au XIXe siècle, qui réclamait la liberté politique, religieuse, économique, etc., dans l’esprit des principes de 1789. L’anglais John Locke (1632-1704), qui a fait de l’individu et de ses droits inaliénables (liberté, propriété...) le centre et l’origine des relations sociales, en fut l’un des précurseurs.

    En matière politique, le libéralisme est, de nos jours, une attitude qui défend la démocratie politique et les libertés individuelles (opposé : totalitarisme).

    En matière économique, le libéralisme est une doctrine qui défend la libre entreprise et la liberté du marché. Le principe fondamental du libéralisme est qu’il existe un ordre naturel qui tend à conduire le système économique vers l’équilibre. La loi de l’offre et de la demande, par exemple, conduit à l’équilibre entre la production et la consommation sous réserve de liberté des marchés et de libre concurrence, seules censées garantir l’ajustement optimum des ressources disponibles (offre) à la demande. S’il peut agir librement, l’homme en tant que premier agent économique peut atteindre cet ordre naturel. Les intérêts de l’individu et de la société sont alors convergents.

    Le libéralisme économique s’oppose au contrôle par l’Etat des moyens de production et à l’intervention de celui-ci dans l’économie, si ce n’est pour coordonner les entreprises ou garantir un marché équitable (opposé : étatisme, dirigisme, socialisme, communisme).

    Les variantes du socialisme sont nombreuses. Leur caractéristique commune est moins la remise en cause de la propriété privée que la recherche d’une plus grande justice sociale. Ces mouvements s’opposent sur d’autres sujets fondamentaux comme le rôle de l’État, le parlementarisme, la démocratie directe...

    Historiquement, des formes de "socialisme" sont apparues dans l’Antiquité et au Moyen Age (Anabaptisme), mais c’est au XIXe siècle, en réaction aux conséquences sociales et économiques néfastes de la "révolution industrielle", qu’est né le socialisme moderne :

    - Le socialisme utopique dont le but est de rendre le monde plus heureux (Début du XIXe), avec Fichte, Saint-Simon, Proudhon, Owen...
    - Le socialisme scientifique ou marxisme, théorisé par Karl Marx et Friedrich Engels, qui nécessite la lutte des classes et la suppression du capitalisme.
    - Le communisme russe (ou bolchevisme) développé par Lénine, avec la suppression de la propriété privée.
    - Le socialisme réformiste (par opposition à révolutionnaire) rejetant la violence et s’appuyant sur l’Etat pour réaliser la transformation sociale.
    - Le socialisme autogestionnaire ou libertaire, partisan de la suppression immédiate de l’Etat et qui, au sein de la classe ouvrière, défend l’autogestion et le fédéralisme.
    - Le socialisme démocratique, apparu après la Seconde Guerre mondiale, est issu du socialisme réformiste. Il préconise des réformes sociales pour améliorer la situation des salariés et de ne transférer à la collectivité (nationalisation) que les moyens de production les plus importants. On le retrouve dans les partis "socialistes", "travaillistes", "socio-démocrates" européens.

    Le projet global du libéralisme, mis en oeuvre à partir des années 80, consiste à transformer la société pour qu’elle réponde pleinement aux exigences du capitalisme :

    - libre circulation des capitaux,
    - mise en concurrence des travailleurs et nivellement par le bas des salaires et droits sociaux,
    - suppression de services publics,
    - suprématie absolue de l’économie.

    Le libéralisme est devenu le fondement des grandes instances mondiales, comme l’OMC ou le FMI qui par leur supranationalité échappe à toute légitimité démocratique. Il est le seul modèle enseigné dans les grandes écoles où aucune autre vision n’est étudiée. Il est la seule logique des grandes entreprises et du capitalisme et tend à devenir la seule référence des gouvernements, de droite comme de gauche.

    Présenté comme loi naturelle, le libéralisme devient alors intouchable, ce qui lui permet d’échapper aux aléas électoraux du jeu démocratique.

    Alors, socialistes, nos dirigeants ? Laissez-moi rire !
    Chien Guevara http://www.voxnr.com/

  • Les Femen dimanche contre Jeanne d’Arc ?

    C'est ce que croit savoir NDF en exclusivité :

     

    "Deux Femen, Inna Shevchenko et Oksana Shachko, ont réservé une chambre à l’hôtel Régina situé place des Pyramides à Paris où elles ont été aperçues et formellement identifiées samedi soir. Il est probable qu’elles préparent une action car c’est justement place des Pyramides que s’achèveront dimanche matin plusieurs manifestations en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc et « contre le mondialisme » organisées par différentes organisations nationalistes (Action française, Troisième voie, Synthèse nationale, Renouveau français, JNR, Europe identité, etc.), l’après-midi, le défilé de l’Institut Civitas. Contactée par Nouvelles de France, la direction de l’hôtel Régina affirme n’être au courant de rien et n’a pas souhaité réagir à la présence des Femen dans son établissement".

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Adhésion de la Turquie : l'Europe contre ses peuples

    ❏ LA VOLONTÉ de la majorité des gouvernements européens d'accélérer l'adhésion de la Turquie à l'Union est illégale dans la mesure où elle est contraire non seulement aux traités internationaux régissant la matière européenne mais aussi aux termes des actes législatifs produits par les autorités européennes elles-mêmes comme le montrent les "décisions" relatives à la désignation des Capitales européennes de la Culture et en particulier celle d'Istanbul. Mais elle est surtout profondément antidémocratique puisque toutes les enquêtes d'opinion montrent l'hostilité des Européens à accueillir Ankara ; le nombre des contre étant passé de 52 % en 2005 à 55 % en 2008, le nombre des pour chutant de 35% à 29%.
    L'hebdo Valeurs actuelles, qui s'est penché sur les résultats de deux sondages Ifop réalisés, le premier en 2004 (5 000 personnes consultées dans les cinq plus importants pays membres de l'Europe occidentale), le second en 2008 (7000 personnes dans les mêmes pays plus la Belgique et les Pays-Bas), pouvait titrer dans son édition du 4 septembre « Turquie, le "non" des Européens ». Les sources font apparaître non seulement le caractère majoritaire dans les sept pays de l'opposition à l'adhésion de la Turquie mais surtout le retournement de l'opinion alors que, le temps passant, elle était mieux informée. Dans les trois pays favorables à cette adhésion en 2004, on constate ainsi que 51 % des sondés - sont devenus opposés en Espagne (soit un bond de 29 %), 57 % des Britanniques (+ 15 %) et 56 % des Italiens (+ 23 %) ; de plus, le rejet atteint des sommets dans les pays déjà réfractaires en 2004. Le non l'emporte en France à 80 % (+ 12 %) et à 76 % en Allemagne (+ 13 %). En Belgique et aux Pays-Bas, les taux de rejet sont de 68 et 67 % respectivement. Le Luxembourg, exclu de l'enquête vu sa petite taille, enregistrerait selon l'Eurobaromètre 2008 un taux de rejet de 75 % proche du maximum.
    L'évolution aussi générale que rapide des opinions se trouve partiellement expliquée par les comportements agressifs de la Turquie et de ses amis, dont l'actualité confirme la permanence. Ainsi le Premier ministre Erdogan a-t-il indigné les Allemands en présentant la tentative d'intégration des immigrés turcs comme un « crime contre l'humanité » ; ainsi le soutien apporté par la Turquie à la Géorgie fait-il songer à un atavisme antirusse du genre territorial déjà présent lors de la guerre de Crimée; ainsi les Etats-Unis ont-ils délibérément plongé dans une forme renouvelée d'affrontement avec la Russie déterminée par des préoccupations moyen-orientales dans lesquelles son alliée la Turquie prétend jouer un rôle majeur mais qui sont largement étrangères aux intérêts européens. Les erreurs commises par les Américains dans la gestion de leur imperium mondial affaiblissent d'ailleurs considérablement la portée de leurs interventions à l'égard de leurs vassaux. Déjà, l'intervention du président Bush le 26 juin 2004, à l'époque cruciale de l'ouverture des négociations d'adhésion, auprès des autorités européennes réunies à Dromoland Castle, suivie par sa visite à Ankara le lendemain, avait été des plus malvenues. L'existence d'un foyer de tension autour de l'Iran, conjuguée à la situation critique en Irak et en Afghanistan, persuade les peuples européens de ne pas se laisser entraîner dans des alliances militaires illimitées.
    La période serait donc favorable à un alignement des politiques européennes à l'égard de la Turquie sur les souhaits exprimés par les seuls peuples européens. Cela mettrait fin à une époque où les autorités chargées d'appliquer les textes de loi les plus clairs se rendaient coupables au moins d'imposture. En particulier le président français (et actuel président de l'Union Européenne), qui s'est fait élire grâce à l'apport des voix des opposants à la Turquie mais dont les représentants aux négociations d'adhésion (qui se poursuivent) autorisaient Libération à titrer le 9 mai 2008 : « À Ankara, Jouyet rassure sur le processus d'adhésion » - à propos duquel le Conseil européen des 11 et 12 décembre prochain pourrait décider de l'ouverture de deux nouveaux chapitres de négociations.
    Imposture ou forfaiture ? De toute façon s'y ajoute le mépris du peuple.
    ✍ Pierre AERTS. Rivarol du 7 novembre 2008

  • On a menti aux Français! Mariage pour tous = réforme pour tous

    Et ce n'est pas la théorie du complot de quelques nervis, c'est un simple article du Figaro intitulé "La transmission du nom de famille modifiée pour tous" qui met cette vérité en lumière : 

    "La loi Taubira modifie les règles d'attribution des noms de famille. Désormais, en cas de désaccord entre les parents, l'enfant portera les noms des deux parents accolés par ordre alphabétique.

    Ce volet de la loi Taubira est passé presque inaperçu. Il va pourtant faire du bruit. La réforme modifie les règles d'attribution des noms de famille pour tous les couples. Actuellement, à la naissance, les parents peuvent choisir quel nom transmettre: celui du père, celui de la mère, ou leurs deux noms accolés dans l'ordre choisi par les parents. En cas de désaccord entre les parents, l'enfant porte le seul nom du père.

    Ces règles ont été instituées par la loi du 4 mars 2002, due à la majorité parlementaire de Lionel Jospin, et qui avait supprimé la transmission automatique et exclusive du nom du père à l'enfant, en vigueur depuis la loi du 6 fructidor An II. La réforme de 2002 avait déjà suscité des polémiques. Françoise Dekeuwer-Défossez, professeur de droit et auteur du rapport au garde des Sceaux «Réformer le droit de la famille» (1999), avait alors estimé que la loi de 2002 «mettait en cause l'équilibre des liens qui unissent l'enfant à ses deux parents. En cas de divorce, si la garde de l'enfant revient à la mère, l'enfant ne conserve souvent qu'un seul lien avec son père : son nom».

    Or, aujourd'hui, la loi Taubira va plus loin" (suite). 

    Alors, ça ne vaut pas le coup d'insister jusqu'au bout? Jusqu'au Conseil constitutionnel? Jusqu'à la promulgation? Jusqu'au 26 mai? On ne lâche rien !

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Comment les leçons d’antiracisme accentuent l’intolérance chez les élèves en « suscitant leur animosité à l’égard des autres cultures »

    Une étude néerlandaise arrive à la conclusion que les débats touchant à des préoccupations ethniques sensibles peuvent être contreproductifs.
    Le ministre de l’Education [du Royaume-Uni] Michael Gove se trouve sous le feu des critiques pour avoir envisagé de mettre un terme à l’enseignement de sujets multiculturels aux adolescents.

    Une importante étude a révélé hier que les enfants à qui l’on donne des cours d’antiracisme à l’école ont davantage tendance à être intolérants hors de leur classe.

    Selon cette étude, accuser les élèves blancs de racisme est source d’animosité et discuter de questions ethniques sensibles comme les crimes d’honneur c’est dépeindre sous un mauvais jour les enfants appartenant à des groupes minoritaires.

    L’enquête souligne que les enfants qui vivent dans des quartiers mixtes sont souvent dénués d’hostilité envers les autres groupes raciaux.

    Mais, en revanche, elle constate que « lorsqu’en classe on accorde davantage d’attention à la société multiculturelle, l’effet de libéralisation que ce contact positif exerce dans les classes sur les attitudes xénophobes des jeunes diminue. »

    Cette étude réalisée aux Pays-Bas arrive en pleine controverse sur la place du multiculturalisme – qui reproche à la Grande-Bretagne son racisme historique et exige d’elle qu’elle encourage les cultures minoritaires – dans les programmes et l’enseignement national des écoles britanniques.

    Le secrétaire à l’Education Michael Gove s’est trouvé sous le feu des critiques d’universitaires de gauche pour avoir envisagé de stopper l’enseignement aux adolescents de sujets tels que « la grande diversité culturelle, sociale et ethnique de la Grande-Bretagne du Moyen Age au XXe siècle et sa contribution à la formation de l’identité de la Grande-Bretagne ».

    Au lieu de cela, à l’avenir les élèves auront davantage de cours d’histoire de la Grande-Bretagne.

    L’étude néerlandaise, publiée dans la European Sociological Review (Revue d’histoire sociologique), se fonde sur une enquête menée auprès de 1.444 élèves âgés de 14 et 15 ans dans dix écoles de la ville de Nimègue.

    Les adolescents, issus de différentes classes et origines raciales, et de capacités scolaires distinctes, ont été interrogés sur leur attitude vis-à-vis de ceux qui ont des origines ethniques différentes et sur l’enseignement multiculturel de leur école.

    L’étude a retenu que les garçons avaient tendance à être plus intolérants que les filles vis-à-vis d’autres groupes, et que l’intolérance la plus marquée se trouvait chez ceux qui se réclamaient d’une forte identité religieuse ou ethnique, chez ceux provenant des milieux turc ou marocain, et chez ceux dont les résultats scolaires étaient les plus faibles.

    Mais elle affirme que l’enseignement du multiculturalisme exerce un « effet négatif inattendu ».

    Elle ajoute: «L’impact du contact inter-ethnique positif dans les classes disparaît ou même s’inverse lorsqu’il est davantage mis l’accent sur le multiculturalisme pendant les cours. Parler de discrimination et des us et coutumes des autres cultures pendant les cours affecte indirectement les attitudes xénophobes des jeunes. »

    Le rapport ajoute que l’animosité chez les groupes minoritaires pourrait provenir de discussions sur des sujets comme les crimes d’honneur ou l’excision. Cette animosité pourrait aussi avoir pour cause une « approche unilatérale du racisme dans un rapport délinquant-victime ».

    Les conclusions font écho aux points de vue de Ray Honeyford, directeur d’école à Bradford, qui a été chassé de son emploi il y a près de 30 ans pour avoir affirmé que l’enseignement multiculturel était nocif aux élèves.

    M. Honeyford disait que les performances des élèves étaient freinées par «la notion de ce programme multiracial imposé par les autorités, et le fait de faire dans les classes, de la couleur et de la race, des questions importantes et cruciales ».

    Patricia Morgan, auteur d’ouvrages sur la famille et l’éducation, a déclaré hier : «Si mettez le nez des enfants dans leur racisme supposé, ils n’aiment pas cela.
    On accuse les élèves de choses qu’ils n’ont ni pensées ni faites. Le multiculturalisme tente de manipuler les pensées, les croyances et les émotions des enfants, cela revient à les endoctriner, et ça ne marche pas. C’est contreproductif.
    Cette étude montre que lorsque les gens essaient de manipuler les esprits des enfants, ça leur retombe dessus. »

    Steve Doughty,
    Correspondant affaires sociales

    Mail Online
    26 avril 2013

    Titre original :
    How anti-racism lessons INCREASE pupil intolerance by ‘causing animosity to other cultures’

    Traduction pour Polémia : René Schleiter

    Source : Polémia – 11/05/2013.

    http://fr.novopress.info/ 

  • Un nouveau mai 68 ?

    Commentateurs et journalistes s'interrogent devant le mouvement de résistance spirituelle qui prend forme. Quel rapport peut-on établir entre mai 68 et mai 2013 ?

    La réponse m'est apparue, lumineuse, en tombant sur cette remarque faite par le philosophe russe Nicolas Berdiaeff au début du XXe siècle :

    « Les utopies apparaissent comme bien plus réalisables qu’on ne le croyait autrefois. Et nous nous trouvons actuellement devant une question bien autrement angoissante : comment éviter leur réalisation définitive ?… Les utopies sont réalisables. La vie marche vers les utopies. Et peut-être un siècle nouveau commence-t-il, un siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d’éviter les utopies et de retourner à une société non utopique moins « parfaite » et plus libre. »

    Les jeunes et moins jeunes citoyens qui se mobilisent aujourd'hui en déployant des trésors d'imagination ne le font pas pour communier fugitivement en une utopie où les désirs de l'homme se verraient affranchis de toute limite. A l’inverse, leur conscience crie – et c'est une bonne nouvelle que tant de consciences soient encore vives – à l'approche de l'ombre qui se profile derrière cette loi. L'ombre d'une distopie qui se caractérise par la négation de la complémentarité homme-femme, de la parenté et surtout par le développement de l'eugénisme et de la marchandisation de l'homme dans la mesure où les couples homosexuels, stériles par nature, demandent dès à présent, fort de leur nouveau statut, à pouvoir accéder aux techniques de procréation médicalement assistés. Huxley avait pressenti cette société monstrueuse à laquelle la rupture radicale entre la culture et la nature humaine conduit. Et ce n'est certes pas un hasard s'il a placé la phrase de Berdiaeff citée ci-dessus, en épigraphe de son Meilleur des mondes (1932), livre qui décrit une société dans laquelle la reproduction est devenue entièrement artificielle et où la seule évocation de la notion de parenté est considérée comme obscène.

    L'eugénisme est en marche. Il l’est déjà négativement depuis quelques années. Les personnes en devenir atteintes de trisomie sont presque totalement éliminée avant de naître. Toute une classe d'hommes est ainsi privée de venir à l'existence. La loi actuelle prépare l'ouverture d'un eugénisme positif avec la sélection des gamètes pour concevoir artificiellement les hommes en fonction du désir de couples stériles par nature. Lisez les reportages de grands journaux comme La Croix sur les banques de sperme danoises et les cliniques indiennes qui pratiquent la GPA. Discutez avec une personne qui a eu recours à ces techniques à l’étranger : derrière une belle histoire vous arriverez toujours au point où elle vous dira : « oui j’ai acheté du sperme, j'ai choisi celui récolté à côté d’un campus d’étudiants danois ». Le prix du sperme à l’étranger est aujourd'hui variable en fonction de l'anonymat ou non du donneur, et, dans le second cas, de son niveau de diplôme, de ses caractéristiques physiques et, probablement, implicitement, de la couleur de sa peau. On se demande pourquoi Harlem Désir et la cour européenne des droits de l’homme ne s’émeuvent pas de ce qui est déjà une réalité en Belgique, au Danemark ou dans le pays qui autorisent cela. Pour la GPA, il serait intéressant de savoir comment sont sélectionnées les femmes indiennes qui s’y plient : en fonction de leur corpulence et de leur dentition ? Il est vraie qu’une prétendue journaliste (en fait une militante de la cause lesbienne) qui fait trop parler d’elle pour la citer encore ici, déclarait déjà sur la matinale de France-Culture il y a quelques années que les femmes du tiers-monde gagneraient à porter des enfants (des femmes occidentales) plutôt qu’à devoir se prostituer. Les déclarations de Pierre Bergé sur la GPA ("Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence ?") n'ont visiblement pas plus choqué le gratin médiatique et politique (la petite-amie du président de la République, Manuel Vals, Rama Yade, Roselyne Bachelot, Laurence Ferrari...) qui se sont précipités à la soirée demi-mondaine que le milliardaire qui a financé la campagne de François Hollande organisait pour défendre cette cause.

    Mai 68 et mai 2013 sont inverses dans leur motivation profonde, même si la générosité et la vitalité de la jeunesse peuvent s’y exprimer avec le même éclat. Mai 2013 ressort d’un feu plus intérieur, plus profond, dans un monde plus ténébreux. Puisse-t-il contribuer à éclairer des consciences ankylosées par la dispersion de l’attention, la désinformation, la surconsommation, la sexualité dégradée. Les temps qui viennent nous réservent des surprises. Le monde actuel ne tient que sur une gigantesque entreprise de suggestion. Ouvrez les yeux, vos yeux et ceux de vos proches, et il s'effondrera comme l'illusion qu'il est.

    Blaise Caillerez http://www.printempsfrancais.fr/

  • Forte mobilisation en vue pour le 26 mai

    Lu dans Le Figaro :

     

    "Selon le responsable des transports, «la mobilisation est déjà un cran au-dessus» par rapport à la manifestation du 24 mars. Treize rames de TGV sont affrétées (au lieu de 10), et les commandes de billets groupées se multiplient. «Pour les cars, on en est à exactement le même nombre que le jour du 24 mars, alors qu'il nous reste plus de deux semaines!, affirme Caroline, l'une des organisatrices. Quant à la solidarité interrégionale, elle est importante: le nombre de dons de gens qui n'ont pas les conditions physiques pour venir, ou qui résident à Paris et veulent parrainer un provincial, est lui aussi en augmentation.» Sur le site de la Manif pour tous affluent les propositions de logement, de covoiturage ou de garde d'enfants. [...]

    Pour la grande démonstration de force du 26 mai, les parcours qu'emprunteraient quatre cortèges sont encore à l'étude. «L'idée est d'investir Paris en venant de la porte de Saint-Cloud, de la porte d'Orléans, et aussi de l'est et du nord, évoque Caroline. Pour se retrouver soit aux Invalides, soit au Champ-de-Mars.» Et après la «Méga manif»? «Il n'y aura pas de pause, assure Ludovine de la Rochère. Tout l'été, nous proposerons de nouveaux types d'action sur les lieux de villégiature.»

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Immigration les arguments fallacieux

    À force d'être martelés, des arguments faux finissent par apparaître comme des vérités.
    Pour tout ce qui concerne l'immigration, plusieurs arguments mensongers sont inlassablement répétés et, à force d'être martelés, finissent par devenir la vérité officielle pour la plupart des individus.
    Quels sont-ils ?
    1- La France a connu les trente glorieuses, années de forte croissance après-guerre jusqu'en 1974 grâce à l'immigration. Qu'en est-il réellement ? Après la Seconde Guerre mondiale, il est vrai que l'économie française a eu besoin d'une main-d'œuvre supplémentaire considérable.
    Les deux réservoirs immenses ont été :
    - L'exode rural : des millions de paysans français ont quitté nos campagnes pour aller dans les villes et sont devenus ouvriers ou autres et ont donc contribué à notre formidable expansion industrielle, l'agriculture, en se mécanisant, n'ayant plus besoin d'eux.
    - La main-d'œuvre féminine : avant, les femmes, dans leur grande majorité, ne travaillaient pas ou tout au moins leur travail n'était pas compté dans la production économique officielle. Des millions de femmes françaises, après la Seconde Guerre, sont entrées dans le marché du travail et ont donc contribué à notre développement économique des trente glorieuses.
    En comparaison, les dizaines de milliers d'immigrés non européens, présents sur notre sol durant ces années, ne constituèrent donc qu'un pourcentage très faible. Il était même possible de s'en passer en modernisant l'appareil productif. Au-delà de toutes les fariboles humanitaristes, le grand patronat a fait appel à eux pour peser sur les salaires (en situation de plein emploi, les salariés français étant en position de force, pour négocier leurs salaires). Il est donc paradoxal de constater que la gauche française actuelle, en ce qui concerne l'immigration, défende les intérêts du grand patronat contre les ouvriers français.
    Immigration et chômage !
    2 - la comparaison avec l'Allemagne.
    M. Fodé Sylla, président de SOS-Racisme, écrit dans le Figaro du 20 septembre 1995 :  « Aucune corrélation entre taux de chômage et population immigrée n'a jamais été démontré scientifiquement. »
    Pour démontrer cette affirmation, M. Sylla donne comme cas particulier un exemple (ce qui n'a jamais été une démonstration), et qui plus est un très mauvais exemple. 
    « L'Allemagne qui, ayant plus d'immigrés, et moins de chômage. »
    La comparaison entre ces deux pays est sans signification, puisque ces deux États ne comptabilisent pas les immigrés de la même façon.
    En Allemagne, qui pratique le droit du sang pour la nationalité, un Turc de la troisième génération peut encore compter comme immigré. En France, où règne le plus grand laxisme en ce qui concerne la naturalisation, le nombre d'immigrés est donc très sous-évalué par rapport à celui de l'Allemagne.
    À ceci, il faut ajouter que l'immigration actuelle en Allemagne est, dans sa grande majorité, européenne  (Europe centrale ou de l'Est) ce qui n'est pas le cas en France.
    3 - La France a toujours été un pays d'immigration et, d'ailleurs, celle-ci n'a pas changé en pourcentage depuis toujours.
    La population française a toujours  été globalement celto-germanique, depuis la Gaule jusqu'au milieu du XIXe siècle (ce qui fait plus de 2 000 ans), avec quelques lbères dans le Sud-Ouest, auxquels certains attribuèrent une origine slave. Les derniers arrivants furent les Normands au XIe siècle. Il a donc fallu attendre le XIXe siècle pour avoir l'arrivée des Belges et Italiens.
    Ensuite, vinrent, au XXe siècle, les Polonais, Espagnols, Portugais, quelques Russes et Allemands... Jusqu'à la seconde guerre mondiale et même un peu après (les années 60), la population française a donc été dans sa quasi totalité européenne. L'immigration non européenne et non chrétienne est très récente par rapport à notre histoire et n'a rien à voir avec les précédentes.
    La dernière mode est de parler des douze millions de Français qui auraient un ancêtre étranger. Mais cet ancêtre, justement, avait souvent Ia particularité d'être là avant la Seconde Guerre et, dans les statistiques, on mélange toutes les origines.
    Lorsqu'on compare les 6,5 % d'immigrés d'aujourd'hui avec les 0,5 % de 1931, on gomme toutes ces différences fondamentales, en plus des très nombreuses naturalisations qui masquent statistiquement la réalité sociale et sociologique.
    PAR PATRICE GROS-SUAUDEAU (Figaro)

  • La Manif pour tous (bien) vue par la presse locale

    Retour sur trois articles sur les manifs de dimanche et lundi derniers.

    Toulouse : Pourquoi les anti-mariage pour tous ne désarment pas (La Dépêche).

    "Sous un beau soleil de printemps, la «Manif pour tous» a fait du bruit, hier à Toulouse, entre le Fer à Cheval et les allées Jean-Jaurès, en passant par Esquirol. Un cortège accompagné de deux énormes podiums musicaux qui crachaient de la musique techno, juchés sur des semi-remorques.

    Un déploiement de moyens impressionnant, avec 120 membres de service d'ordre, 50 membres du service accueil, qui a tranché avec la maigre contre-manifestation rassemblée place Esquirol (lire ci-dessous).

    6 000 personnes selon la police, 15 000 selon les organisateurs, ont défilé contre le Mariage pour tous. C'est la 6e action à Toulouse, et la 2e manifestation d'ampleur depuis le 17 novembre 2012".

    Montpellier : Le succès de la Manif Pour tous était un jeu d'enfants (Tout Montpellier).

    "Dans une ville gay-friendly comme Montpellier, les opposants au mariage pour tous ont montré leur conviction dans la défense du modèle familial traditionnel : un père + une mère... et des enfants. Démonstration du propos avec les familles présentes en masse. Ce qui donnait des airs de départ de colonie de vacances aux jardins du Peyrou. A quelques détails près.

    Les enfants tiennent des drapeaux ou des pancartes et commencent à entonner des slogans. C'est sans doute en faisant défiler les siens, parfois encore dans leur poussette, que l'on défend les intérêts des enfants".

    Hérouville : une élue témoigne sur la répréssion de la manif pour tous (La Manche libre)

    "Christine Bonnissent est maire-adjointe d'Hérouville Saint-Clair, en charge de l'éducation et de la petite enfance. Son communiqué de presse consacré à l'attitude de la police lors de la visite de George Pau-Langevin, ministre déléguée à la Réussite éducative, au collège lycée expérimental d'Hérouville le lundi 6 mai a fait couler beaucoup d'encre et... écrire beaucoup de tweets.

    Tendance Ouest a joint Christine Bonnissent par téléphone. Elle raconte ce qu'elle a vu et explique la raison pour laquelle elle a souhaité témoigner de cette "bousculade".

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’Allemagne et la Turquie veulent relancer l’adhésion d’Ankara à l’Union européenne

    L’Allemagne et la Turquie veulent relancer l’adhésion d’Ankara à l’Union européenne

     

    Logo du processus d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Crédit photo : DR

    BERLIN (NOVOpress) - Après le Portugal, c’est au tour de l’Allemagne de vouloir relancer le processus d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Ainsi, dans une tribune commune à paraître dimanche dans la Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung, Les ministres allemand et turc des Affaires étrangères ont déclaré vouloir donner un “nouvel élan” au processus d’adhésion d’Ankara à l’Union européenne.

    “Nous voulons donner un nouvel élan à ce processus, que l’UE et la Turquie doivent faire avancer”, indiquent Guido Westerwelle et Ahmet Davutoglu.

    Ce dernier est à Berlin aujourd’hui et dimanche, jour où il rencontrera son homologue allemand pour le premier “dialogue stratégique germano-turc”, un nouveau cadre de consultations entre les deux pays qui couvrira toutes les questions bilatérales, européennes et de politique internationale.

    “La Turquie a lancé un vaste processus de réformes qu’elle poursuit avec détermination. Ces réformes vont dans le sens de nos valeurs communes: démocratie, droits de l’Homme et Etat de droit”, soulignent enfin les deux ministres.

    http://fr.novopress.info