Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 1125

  • Le signal des Femen

    La lutte contre la christianophobie n'est-elle pas réprimée autrement plus durement que les provocations des Femen ? Le pouvoir n'est pas seulement complaisant à leur égard : la République les utilise à dessein...
    Nous nous souvenons encore de la brutalité de la répression policière et de la rigueur des tribunaux quand nos militants avaient protesté pacifiquement devant le théâtre de la Ville contre le spectacle de l'église scatologique proposé par son pape Castelluci. Nous nous souvenons aussi des peines correctionnelles infligées à d'autres manifestants qui avaient envahi la scène pour prier. Sans parler de l'affaire de Poitiers ou un jeune père de famille avait été menacé d'emprisonnement. Dernièrement, des Femen, tous seins dehors, ont envahi la cathédrale Notre-Dame de Paris, créant le scandale et l'indignation. Elles ont été reconduites mollement par la police et relâchées immédiatement sans aucune charge retenue contre elles. Deux poids deux mesures ?
    Mauvais mélange
    Au-delà du phénomène des Femen, qu'on nous vend comme des call-girls ukrainiennes, mais qui (encore un scandale) du fait d'un étiquetage douteux, ont été subrepticement mélangées à des pétroleuses de l'Hexagone dont l'esthétique laisse à désirer (on nous refait le coup des lasagnes), il nous faut observer, là encore, la disparition programmée des libertés dans ce pays. Les agitatrices ne sont qu'une espèce d'aiguillon chargé par le "système" de susciter d'éventuelles réactions violentes chez l'ennemi désigné-ceux qui composent une France qui n'a pas encore complètement rompu avec son histoire ; cette France détestée par les "bobos" et méprisée par Attali. Ça devient lassant à la longue d'observer l'extension spectaculaire du totalitarisme d'État, relayée par la presse servile et subventionnée qui joue le rôle de police de la pensée subordonnée aux "élites d'indignés à sens unique".
    Libertés en recul
    Je ne vais pas rappeler la liste des libertés perdues, nous enfermant dans un couloir étroit, se resserrant chaque jour un peu plus, laissant apparaître une société qu'avaient annoncé Orwell et Huxley notamment. Ce qu'il faut voir, c'est que toute cette énergie, législative, judiciaire, policière et journalistique, ne vise qu'à soutenir une idéologie pernicieuse destinée à faire disparaître ce qui reste des valeurs de notre pauvre patrie. Pour établir le gouvernement mondial, il faut des peuples déracinés, annihilés, des zombies programmés par nos écoles, lesquelles sont relayées par les médias.
    Si réaction populaire, même massive, il y a (mariage pour tous) nos démocrates auront tôt fait, avec leurs porte-voix, de les stigmatiser en invoquant les heures les plus sombres de notre histoire. Il est difficile d'échapper à ce système, certes incapable de sortir le pays de la crise, mais parfaitement capable, en revanche, de laver les cerveaux à grande échelle. Les Français encore libres doivent comprendre que la République est l'instrument essentiel, l'outil idéal, pour créer cet état de fait.
    Cependant, en cherchant à faire disparaître les libertés de la nation et la nation elle-même, la République se fragilise, car c'est sur la nation qu'elle construisit naguère sa légitimité. À l'AF, nous "conspirons à ciel ouvert" comme nous l'enjoignait le Martégal. L'État est omnipotent et, plutôt que de revenir dans l'urgence à ses seuls devoirs régaliens, occupé à son œuvre de destruction, il est de moins en moins capable d'anticipation politique. Le moment approche où, comme disait Trotski, il faudra donner le « coup de poing au paralytique ». La République détruit la France, détruisons la République.
    Olivier Perceval L'ACTION FRANÇAISE 2000 Du 21 février au 6 mars 2013

  • L'euro trop fort : une fausse excuse

    L'euro fort serait à la source des difficultés économiques françaises. Et permet au gouvernement de masquer son impuissance...
    Le chemin vers la croissance est difficile ; les économies s'impatientent et s'épuisent et les efforts consentis peinent à trouver une récompense. Les seules promesses du candidat Hollande n'ayant pas suffi à relancer la machine économique, la monnaie commune, après les questions sociétales, est devenue le nouveau cheval de bataille de l'équipe Ayrault. Une stratégie de diversion qui, comme sur le prétendu « mariage pour tous », pourrait coûter très cher.
    Le président de la République et le ministre de l’Économie français se sentent actuellement bien seuls dans les sommets internationaux. Précisant la pensée de François Hollande, Pierre Moscovici a estimé début février que l'euro était « fort, probablement trop fort » et que l'évolution récente de la monnaie commune représenterait une menace pour la croissance française, évaluée à pratiquement 0,3 % du PIB. Alors que la production pourrait au mieux stagner en 2 013 et que le retour du déficit budgétaire à 3 % est désormais différé, on comprend mieux l'inquiétude d'un gouvernement confronté au principe de réalité : en fait de croissance, les promesses de lendemains qui chantent n'ont jamais remplacé ne serait-ce qu'une heure de travail productif.
    Le Japon a une dégradation inquiétante de ses excédents extérieurs
    Las ! Dans le sillage de la BCE qui estime que l'euro évolue sur sa moyenne de long terme, la réaffirmation par les pays du G20 de leur attachement à un système monétaire international évoluant au gré des forces de marché a achevé d'isoler la position française, déjà fragilisée lors de la négociation sur les perspectives budgétaires 2014-2020 de l'UE. À cet égard, il est d'ailleurs impensable que les stratèges de Bercy ignorent que la dépréciation du taux de change d'un pays ne serait d'aucun secours si ses partenaires commerciaux décidaient d'en faire autant.
    Car en effet, cette sortie n'est pas innocente et s'inscrit dans la thématique renouvelée de « guerre des changes ». Confronté à une dégradation inquiétante de ses excédents extérieurs, le Japon est actuellement au centre d'une polémique sur l'utilisation de sa politique monétaire particulièrement accommodante à des fins de dépréciation du yen ; ce qui n'a pas manqué de réactiver dans les principales instances de négociation internationale sur l'utilisation par un pays de sa politique économique pour soutenir de manière artificielle la compétitivité-prix de ses produits nationaux.
    Le débat sur la force de l'euro est ouvert mais il serait bon de ne pas négliger quelques éléments structurants.
    À première vue, il semble paradoxal de déplorer la force de l'euro tout en prédisant sa fin prochaine sous le poids de ses contradictions internes. A cet égard, il semble que les évolutions institutionnelles récentes au sein de la zone euro aient au contraire redonné confiance aux investisseurs demandeurs d'actifs libellés en euros.
    Sans compter que cet euro fort nous permet encore de contenir la menace que fait peser notre dépendance énergétique sur la reprise qui pourrait s'amorcer dès le deuxième semestre 2013 dans la zone euro.
    L'absence de volonté politique des élites politiques françaises
    Au-delà, c'est l'absence de volonté politique des élites politiques françaises, manifestement incapables d'aborder la question de fond, à savoir la compétitivité de l'économie française. Non seulement, le taux de change n'a aucune incidence sur nos échanges au sein de la zone euro (+ de 50 % du commerce extérieur français) mais il n'est pas un obstacle pour une économie comme l'Allemagne qui a su procéder à des réformes structurelles profondes de son marché du travail dès 2000 : comme un désaveu cinglant, la santé insolente de son industrie automobile lui permet de caracoler alors que PSA affiche des pertes records pour 2012.
    Antoine Michel monde&vie février 2013

  • La crise en France et en Europe : l'autre nom de la mondialisation ?

    Les récentes immolations spectaculaires de chômeurs en France et le suicide quotidien d’agriculteurs endettés, dans l’indifférence générale de la presse pour le second cas, montrent à l’envi que notre société est malade et désorientée. Que le nombre actuel de chômeurs atteigne le chiffre pharamineux de plus de 3 millions (plus de 1.300 chômeurs supplémentaires chaque jour en ce début d’année 2013 !) et que 3 autres millions, au bas chiffre, soient en semi-chômage ou n’occupent un emploi que quelques jours par mois ; que le nombre de Français en dessous du seuil de pauvreté dépasse les 8 millions et que les Restos du cœur soient de plus en plus débordés ; que la désindustrialisation s’accélère malgré les efforts d’un Arnaud Montebourg en fait impuissant à enrayer ce mouvement de fond ;… tout cela n’est guère rassurant et suscite quelques réflexions.

    Tout d’abord, qu’est-ce que cette crise ? Est-elle la fin du modèle capitaliste comme certains ont cru pouvoir l’affirmer péremptoirement il y a quelques années en brandissant bien haut les livres de Karl Marx ? Il semble bien que non : Pascal Lamy, le directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce, et socialiste bon teint, déclarait, lors de son récent passage à Paris fin février 2013 et sur les ondes de RMC, que l’économie mondiale se portait plutôt bien mais que la zone euro, dont la France fait partie, était en difficulté car on assistait au basculement accéléré du monde du Nord vers le Sud, tout simplement. En somme, la crise en Europe et en France n’est rien d’autre que ce moment douloureux pour nos vieilles puissances (et certitudes…) où l’on s’aperçoit que la mondialisation n’est plus « heureuse » mais « profiteuse » et qu’elle est, d’abord, un dépassement des Etats et des peuples au profit du règne de l’Argent et de ceux qui le placent là où il peut leur rapporter le plus… Ce qui est « crise » pour nous et nos pays n’est, en fait, que la poursuite du processus de mondialisation qui a cessé de nous profiter en tant que producteurs et de moins en moins en tant que consommateurs, puisque la société actuelle de consommation raisonne aussi en ces termes et concepts.

    La mondialisation écrase de plus en plus nos sociétés et échappe aux Etats ou, du moins, à ceux qui ont renoncé à « être Etat » : le terme de « gouvernance » nous est imposé comme une évidence quand il n’est que le masque du « Tout économique » libéral qui croit atteindre enfin son objectif d’un monde « sans liens ni entraves » au profit de l’Argent et de l’Individu, mais au détriment des nations et des peuples, des traditions et de l’Histoire, du politique et du social… Nous vivons à l’échelle du monde un véritable « 1791 », symbole et date de naissance « légale » en France de ce libéralisme capitaliste porté par la bourgeoisie révolutionnaire franklinienne, celle pour laquelle « le temps c’est de l’argent » et rien ne compte plus que ce dernier !

    http://nouvelle-chouannerie.com

  • Immigration : le capitalisme responsable et coupable

    Le visage avenant du polygame Liès Hebbadj, propriétaire d'une boucherie hallal et mari de l'automobiliste verbalisée pour avoir conduit enfouie dans son niqab, est-ce le probable profil du Français moyen dans un futur désormais proche ? Si d'aventure la réponse est oui, la question se pose alors : comment en est-on arrivé là ?
    Le président Pompidou, peu avant sa mort, avoua à ses proches qu'il avait ouvert les vannes de l'immigration en France à la demande des grands patrons désireux de pouvoir bénéficier d'une main-d'œuvre bon marché, cela aux fins de contenir les exigences des travailleurs français - n'oublions pas que c'est Mai 68 puis les accords de Grenelle qui firent roi l'ancien Premier ministre, après l'exil irlandais et la sortie sans gloire du bradeur d'Alger, désavoué en 1969 par un référendum perdu.
    Trente-six ans ont passé depuis la mort de Georges Pompidou en cours de mandat. Et le même patronat avide renouvelle ad vitam aeternam ses demandes : les appels à l'immigration ne cessent pas, la soif de profits est inextinguible. Les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens. Il faut du reste noter que les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n'ont jamais abandonné, depuis plusieurs décennies, la philosophie consistant à favoriser le « toujours plus » d'immigration. En 2008, le rapport Attali, commandé à l'ancien gourou de Mitterrand par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures (catalogue de la Redoute du Politiquement Correct) parmi lesquelles une accélération au pas de l'oie de l'immigration. C'est d'ailleurs cette pente que suit religieusement le petit-fils du Dr Mallah depuis son élection, à travers le concept bidon de « l'immigration choisie ».
    La thèse de l'immigration encouragée par des capitalistes manipulateurs pour faire pression à la baisse sur les salaires avait toujours été raillée par l'Establishment : c'était, assurait-il, un fantasme du FN.
    Las ! pour la première fois, un rapport tout à fait officiel confirme cette intuition, émise par Jean-Marie Le Pen dès 1973 et qu'il a renouvelée le 1er mai dernier - cela dit, le doute n'était pas permis sur ce chapitre : depuis 1983, l'Insee évalue à 9,3 % du PIB les richesses qui ont glissé de la poche des salariés dans celle des actionnaires.
    Jamais les bénéfices n'ont en effet été aussi hauts et les salaires aussi bas, un déséquilibre inédit depuis au moins un demi-siècle pour l'ensemble des pays industrialisés. D'après le Fonds Monétaire International, le FMI de M. Strauss-Kahn, la part des salaires dans le PIB des pays membres du G7 a baissé de 5,8 % entre 1983 et 2006. D'après la Commission européenne, au sein de la seule Europe celle fois, la part de la masse salariale a chuté de 8,6 % en moyenne ! Dans le même temps, la part des dividendes versés aux actionnaires est passé de 3,2 % à 8,5 % ...
    Revenons au rapport confidentiel dont la teneur a été révélée fin avril par l'hebdomadaire Marianne, et qui date en réalité de 2009. Il émane du Conseil d'Analyse Economique, collectif placé sous l'autorité du Premier ministre, réputé fort sérieux et qui regroupe tout le gratin des économistes français reconnus, ceux que les télévisions et les journaux écoutent pieusement à longueur d'années.
    Le texte explique en préambule qu'en économie, la notion de «pénurie» pour trouver des volontaires dans un secteur d'activité donné n'a pas de sens en période de chômage : à croire que nos experts sont des lecteurs assidus de RIVAROL ! C'est pourtant ce facteur qui est mis en avant par les Diafoirus de l'UMPS pour justifier le recours à l'immigration : ainsi, le bâtiment peinerait à recruter des dizaines de milliers de travailleurs en France, et il faudrait donc aller en chercher ailleurs, entend-on souvent dans les rangs de la gauche ou de la prétendue droite. 
    Malheureusement, rien n'est plus inexact. Répétant que « du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n'est pas évidente », le rapport ajoute que le « fait que certains natifs rejettent certains types d'emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d'occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu'ils soient pourvus ». Si l'on traduit ce charabia, on comprend que les auteurs pensent qu'une pénurie se forme lorsqu'un secteur n'offre pas de salaires attractifs.
    En poursuivant ce raisonnement de bon sens, on comprend qu'au lieu d'augmenter les salaires, un certain patronat a tout intérêt à créer un manque, qu'il comblera en allant chercher outre-Méditerranée ou dans l'aride Afrique une main-d'œuvre prête à accepter au moins provisoirement des salaires plus faibles et des conditions de travail peu agréables. C'est d'ailleurs la conclusion à laquelle le rapport parvient, au terme de raisonnements charpentés et de chiffres : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu'à la place de l'immigration des années soixante, on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés. »
    Le rapport du Conseil d'Analyse Economique recense avec pertinence une série d'études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l'impact de l'immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [NB : deux économistes reconnus] ont calculé qu'une hausse de la proportion d'immigrés d'un point de pourcentage réduit les salaires de 1,2 %. » « Hunt [NB : une autre économiste] trouve qu'une hausse de la proportion d'immigrés d'un point de pourcentage a réduit le salaire d'environ 0,8 %. » Le phénomène est planétaire, et les mêmes causes produisent les mêmes effets : concernant les États-Unis par exemple, « Borjas [NB : un célèbre économiste enseignant à Cambridge] conclut son étude en affirmant qu'entre 1980 et 2000, l'immigration aurait accueilli l'offre de travail d'environ 11 %, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d'environ 3,2 %, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d'expérience et d'éducation, mais de manière inégale ». Dans son article, le journal de gauche Marianne, pour une fois lucide, conclut avec raison : « Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique (...). »
    On le voit donc, la déferlante mahométane (voulue par des individus dont l'identité est obscure, mais les intentions bien réelles) et ses problèmes insolubles d' intégration dans le modèle français finissent par effrayer jusqu'aux Bobos de Saint-Germain-des-Prés !
    Ceci, joint aux récents scores électoraux d'une droite nationale ragaillardie, sonnerait-il le réveil du peuple gaulois ?
    Les prochaines années vont nous le dire, en espérant que la prophétie du grand Gustave Flaubert (« L'avenir est ce qu'il y a de pire dans le présent ») ne se réalisera pas...
    Grégoire DUHAMEL. RIVAROL 14 MAI 2010

  • « Sans-papiers » et Thénardiers

    GRANDE question d'actualité durant toute la seconde quinzaine du mois d'avril : la grève - organisée par une CGT en panne d'adhérents et des associations en mal de publicité menée dans une vingtaine d'établissements franciliens par 700 travailleurs clandestins, presque tous africains, exigeant leur régularisation... que le ministère dit de l'Immigration et accessoirement de l'Identité nationale, deux notions d'ailleurs totalement incompatibles, a promis d'examiner "positivement". Ce qui laisse en fait présager une régularisation non pas « au cas par cas » comme l'affirme Brice Hortefeux mais massive, puisque 50 000 clandestins seraient employés dans l'hôtellerie et la restauration et que se passer d'eux « tuerait le tourisme » comme l'a affirmé André Daguin, président de l'union patronale concernée.
    On veut nous faire pleurnicher sur des gens - sans doute sympathiques pris individuellement - entrés en France illégalement et qui manifestent impunément, en plein jour, sans être immédiatement expulsés. Ceux qui feignent bruyamment de s'offusquer des mesures "inhumaines" prises envers ces immigrés clandestins (qui profitent cependant gratuitement des écoles, des soins - souvent coûteux... -, d'une myriade d'aides sociales détournées des familles françaises, et même des prisons) qu'aurait engagées le terrible Sarkozy armé de son karcher en carton pâte, sont des imposteurs. Ceux qui les croient sont des idiots incurables (cocufiés une fois encore en mai 2007 ; mais ils en redemandent ; ça dépasse l'entendement...)
    Si le Français est sommé de se serrer la ceinture, de renoncer à se soigner ou de le faire au rabais comme le montrent certaines publicités télévisées, de payer une ruineuse Sécurité sociale spoliatrice, des mutuelles complémentaires toujours plus chères, des forfaits, et maintenant des franchises, les clandestins, illégaux « sans papiers » comme on répète stupidement pour nous émouvoir, eux, ont le droit de se soigner GRATUITEMENT sans bourse délier grâce à l'AME et à la CMU. Combien coûtent ces dispositifs ? Combien doivent les gouvernements des pays d'origine à nos hôpitaux ? Ne serait-il pas juste de soustraire tous ces frais des enveloppes offertes sans contrepartie â des gouvernements de pays dits "émergents", qui souvent nous haïssent ?
    L'idolâtrie des "drouadelom" est une imposture monstrueuse qui anesthésie tout esprit critique au pays de Descartes.
    Car nos compatriotes devraient réfléchir à ce fait : payer moins cher un "sans-papiers" dans la restauration, c'est faire perdurer les salaires de misère pour ceux qui y travaillent encore.
    Comme, dans les années 60 du XXe siècle, un certain patronal recrutait une main-d'œuvre docile et bon marché dans nos excolonies pour s'enrichir en évitant de former et de faire travailler les indigènes français en France, en laissant le pays se débrouiller depuis avec ces masses de déracinés inassimilables, les Thénardiers de 2008 n'ont plus honte - après avoir activement soutenu Sarkozy en 2007 - de réclamer pour des hors-la-loi des droits qui leur permettront d'accroître surtout leur propre richesse en s'abstenant ainsi de revaloriser l'ensemble des salaires versés dans la restauration et l'hôtellerie.
    .........
    Bertrand CHASSAGNE, Ecrits de Paris juin 2008

  • Amnistie des syndicalistes déliquants : la gauche s’enfonce dans la démagogie et le laxisme…

    Une proposition de loi, adoptée par les sénateurs, prévoit d’amnistier les syndicalistes qui s’adonnent à des détournements de fonds, du recel ou même des abus de confiance. « Ce texte pourrait permettre aux élus du CE de la SNCF et d’EDF-GDF actuellement devant la justice pour malversations de s’en tirer sans condamnation« , prévient en effet Pierre-Edouard du Cray, de l’association Sauvegarde Retraites.

    Le groupe communiste du Sénat avait déjà déposé, mercredi dernier, une proposition de loi « portant amnistie des faits commis à l’occasion de mouvements sociaux et d’activités syndicales et revendicatives« . Un texte qui autorise l’amnistie les syndicalistes condamnés pour des violences et des dégradations commises à l’occasion d’une manifestation ou d’une grève, dans la période allant du 1er janvier 2007 au 1er février 2013. Mais le débat se poursuivant plus avant, une batterie d’amendements a été examinée…

    Ainsi, la sénatrice socialiste d’Ille-et-Vilaine, Virginie Klès, a déposé un amendement afin d’éclairer le sens du texte : à l’aune de cet amendement, le terme d’ »infraction » qui figurait dans la proposition de loi a été remplacé par « les contraventions et délits prévus au livre III du code pénal « . Or ce livre définit ces contraventions et ces délits comme « des destructions et dégradations matérielles commises au cours des mouvements sociaux« . »Sachant que ce livre III est aussi beaucoup plus exhaustif et fait explicitement référence à tous les délits financiers : vols, détournements, abus de confiance, recel…« , souligne et précise Pierre-Edouard du Cray.

    Et que Manuel Valls vienne donc nous expliquer qu’il combat encore le laxisme de toutes les forces que lui confère le gouvernement ! Laisser le crime impuni, c’est le laisser prospérer, c’est l’encourager. Comment comprendre autrement la démarche des socialistes et des communistes, ici main dans la main ? Car si la gauche n’est pas laxiste sur ce coup là, il faut retirer le mot « laxisme » du dictionnaire : car il n’a plus aucun sens !

    En retirant la clé de voûte du système pénal en 1981, laquelle était la garantie d’une proportion entre l’échelle des peines et celle des délits, la gauche a permis l’effondrement quasi-mécanique de la pyramide des peines, et le laxisme qui s’ensuit et dans lequel se vautrent aujourd’hui les élus de gauche.

    http://www.contre-info.com/

  • Une priorité pour le gouvernement : combattre le racisme et l’antisémitisme…

    Un Comité interministériel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (Cilra) a eu lieu le 26 février dernier, sous la présidence du premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Un objectif : consolider le plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme 2012-2014, en prenant notamment des mesures pour lutter contre la formation des préjugés.

    Le Cilra s’est déroulé à l’hôtel de Matignon, en présence du délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, Régis Guyot : un tel comité interministériel ne s’était pas réuni depuis 2009.

    « [Le plan d'action est] fondé d’abord sur l’éducation, la volonté de combattre les préjugés sur l’étranger, sur l’autre, qui restent ancrés dans bien des mentalités« , a expliqué Jean-Marc Ayrault. Ont ainsi été prises 9 mesures contre le racisme et l’antisémitisme, lesquelles concerneront la formation des professionnels en contact avec le public, la lutte sur internet, les initiatives culturelles et mémorielles, à l’éveil de la conscience civique des jeunes, la sensibilisation des élites dirigeantes, l’aide aux victimes, au respect et à la tolérance dans le sport et l’éducation populaire. Enfin, une charte et un label de la diversité en direction des entreprises.

    En bref, ce sont toujours les mêmes poncifs et les mêmes lieux communs qui sont ressassés et qui, tels un écran de fumée, ne permettent pas de prendre en compte les vraies problématiques. Car personne n’introduit aujourd’hui de hiérarchie entre les races, personne n’admet une supériorité de nature de l’une sur l’autre. Le problème n’est donc pas métaphysique, il est politique : les Français sont réservés sur la portée actuelle de la mondialisation, que prétexte trop souvent le mondialisme pour abaisser les frontières et favoriser un brassage des populations et des modes de vie. L’immigration de masse qui découle de cette mondialisation délibérément non régulée, de cette idéologie promue qu’est le mondialisme, n’est pas sans incidence, en effet, sur l’équilibre démographique et culturel de notre vieille société.

    Il reste que ces bonnes consciences prennent le problème à sens unique lorsque, pour disqualifier la résistance des population autochtones à une colonisation démographique et culturelle, ils l’accusent de racisme. Car le « racisme » des immigrés à l’égard des indigènes, presque plus scandaleux dans le sens où ils sont accueillis en France comme aucun autre pays européen ne les accueille, notamment en terme de prestations sociales, n’est évidemment pas pris en considération. Bref, un deux poids deux mesures qui indique le caractère idéologique de cette démarche interministérielle et qui souligne à quel point le problème n’a pas été saisi à sa juste mesure…

    http://www.contre-info.com/

  • Trou de la Sécu : les familles paieront !

    Le gouvernement a trouvé au moins un expédient pour remédier au déficit de la Sécurité sociale : rogner les allocations familiales.
    À l'évidence, le gouvernement socialiste ne trouve d'attraits qu'aux futures unions homosexuelles ; au moment même où il fait voter par sa majorité à l'Assemblée nationale la loi sur le pseudo « mariage » inverti, il envisage en effet de prendre, pour tenter de ralentir le creusement du trou de la Sécurité sociale, des mesures qui frapperont les familles.
    Ces mesures consisteraient à fiscaliser les allocations familiales, à les octroyer sous conditions de ressources ou encore à remettre en question le quotient familial. Quelle que soit la manière choisie, les familles sont dans le collimateur de Bercy.
    Premières visées : les classes moyennes. En effet, les familles les moins aisées ne seront pas touchées par l'intégration des allocations familiales dans les revenus imposables - puisqu'elles ne paient pas l'impôt sur le revenu (avec cette intégration, certaines familles deviendront cependant imposables). Et la mise sous conditions de ressources ne les concernerait pas davantage.
    Cette opération se drape dans les nippes défraîchies de la justice sociale : il n'y aurait pas de raison que les ménages plus riches bénéficient de cette aide. Or c'est là que le bât blesse : les allocations familiales n'ont théoriquement pas de caractère redistributif mais répondent à une autre logique : les familles nombreuses élèvent des enfants qui seront les actifs de demain, feront fonctionner l'économie et - puisque nous sommes dans un régime de retraites par répartition - subviendront par leurs cotisations aux pensions non seulement de leurs parents, mais aussi de ceux qui n'auront pas eu d'enfants. Il en irait d'ailleurs de même dans un système de retraites par capitalisation, puisque ce sont les actifs qui créent la richesse.
    À salaire égal, la famille nombreuse s'appauvrit
    Or élever des enfants a un coût, par rapport auquel, remarque l'économiste Henri Sterdyniak dans Le Figaro du 21 février, le montant des allocations familiales est « déjà ridicule ». A salaire égal, la famille nombreuse s'appauvrit par rapport au couple qui a peu ou pas d'enfants, alors qu'elle rend service à la société.
    On peut objecter à cela que l'on ne fait pas des enfants pour toucher les allocations familiales (ce serait un fort mauvais calcul). Certes, mais si l'on regarde les pays qui n'ont pas de vraie politique familiale, comme l'Italie ou l'Espagne où les familles nombreuses étaient naguère... nombreuses, on s'aperçoit que leur taux de natalité est très inférieur au taux français.
    Ne crions pas trop vite cocorico, cependant : l'on souligne peu que le bon taux de natalité français est aussi dû à l'immigration. Logiquement, les allocations familiales devraient favoriser la natalité française... Il est vrai que Mohamed Merah, le tueur djihadiste de Toulouse, était paraît-il un Français comme un autre... Notons toutefois que si les mesures gouvernementales touchent les classes moyennes, ce sont essentiellement des familles françaises « de souche » qui seront frappées.
    Le vice de l’État-providence
    Le projet de fiscaliser les allocations familiales, ou de les soumettre à conditions de ressources, ou de baisser le quotient familial, présenté à tort comme une « niche fiscale », souligne par ailleurs le vice d'un système dans lequel l’État-Providence - c'est ainsi qu'il se présente - reprend d'une main ce qu'il affecte de donner de l'autre et qu'il a déjà pioché dans la poche des contribuables - à commencer par les familles elles-mêmes, qui paient de la TVA sur les achats réalisés pour leurs enfants, des impôts locaux sur des espaces d'habitation nécessairement plus vastes, etc. L’État-Providence profite ainsi lui-même d'une Providence beaucoup plus généreuse avec lui qu'il ne l'est avec les citoyens : l'administration fiscale.
    Politiquement, il est évidemment plus confortable de fiscaliser les allocations que d'en diminuer le montant : la perte est moins immédiatement évaluable, donc moins douloureuse. Quand on tond les moutons, mieux vaut qu'ils ignorent combien de laine on leur prend.
    Jean-Pierre Nomen monde&vie 26 février 2013

  • Guillaume de Thieulloy : « La Loi Taubira ? Cette loi absurde ouvre une infinité de fronts »

    Guillaume de Thieulloy, le très dynamique directeur des Quatre vérités, a souhaité préparer la suite de la Manifestation du 24 mars, prévue sur les Champs Elysées. Il crée l'antenne française du Comité Famille Mariage, pour continuer le combat pour le respect de la famille.
    Monde et Vie : Guillaume de Thieulloy, vous venez de créer le Collectif Famille Mariage (CFM). Vous pensez que la lutte pour la défense du mariage chrétien est aujourd'hui un objectif politique à long terme ?
    Guillaume de Thieulloy : Même si la plupart des acteurs du CFM sont chrétiens, nous ne défendons pas le mariage chrétien comme tel. Nous défendons le mariage monogame entre un homme et une femme. C'est à la fois très proche et très différent. Très proche, puisque le mariage chrétien, sacramentel, est le modèle, l'achèvement, du mariage naturel. Très différent, puisque notre défense du mariage naturel dépasse très largement le cadre confessionnel. Nous travaillons ainsi avec des juifs ou des musulmans, également opposés à la dénaturation du mariage. Ceci précisé, oui, je crois que la défense du mariage est un objectif de long terme. Bien sûr, notre combat contre la loi Taubira a quelque chose d'immédiat. Mais si, comme le dit madame Taubira elle-même, il s'agit d'un « changement de civilisation », cela signifie que le combat durera des années. En tout cas, je conteste formellement que l'éventuelle promulgation de la loi Taubira signe l'arrêt des hostilités. Au contraire, cette loi absurde va ouvrir une infinité de fronts différents (qu'il s'agisse de conventions internationales sur les droits des enfants que nous avons signées et que nous allons allègrement violer, de liberté religieuse en danger, ou encore de parents privés de leurs droits de voir leurs enfants...) Le CFM s'organise pour pouvoir porterie fer sur tous ces fronts politiques, juridiques, médiatiques et faire en sorte que la pression politique sur cette loi Taubira ne retombe jamais.
    Jusqu'au retrait pur et simple du texte. Nous ne voulons surtout pas revivre l'expérience de 1984 où nous avons gagné dans la rue et perdu quelques mois plus tard faute d'organisation politique, ou l'expérience du PACS où tous les parlementaires de droite parlaient de défaire la loi et ont opportunément "oublié" leurs déclarations lorsqu'ils sont revenus aux affaires.
    M&V: Quels moyens comptez-vous mettre en œuvre ? Avec qui partez-vous en campagne ?
    G de T : Nous disposons d'un avantage considérable sur nos prédécesseurs. Nous avons enfin des contacts et des soutiens internationaux. Le combat pour la famille est un combat mondial (même s'il prend des formes différentes dans tous les pays). Nos adversaires l'ont bien compris. Il était temps que nous nous y mettions également. En l'occurrence, le CFM est la branche française d'une organisation internationale qui se bat pour défendre le mariage entre un homme et une femme et le droit des enfants à avoir un père et une mère. Nous bénéficions en particulier de l'expérience politique d'Américains qui connaissent bien ce combat - et qui ont notamment gagné en Californie.
    Mais nous partons en campagne avec des personnes et des organisations différentes selon les sujets. Nous ne nous battrons pas avec les mêmes personnes pour contester les adoptions frauduleuses et discriminatoires pour les enfants, pour défendre la liberté religieuse mise à mal par la loi Taubira ou pour travailler à l'échelon européen. L'un des buts du CFM est précisément de constituer des coalitions à géométrie variable, avec une seule logique : tous ceux qui sont d'accord avec nous sur une question sont les bienvenus pour travailler sur cette question, sans exclusive liée à leur choix partisan ou à leur appartenance confessionnelle...
    M&V: Ne risquez-vous pas de démobiliser ceux qui croient à l'impact de la manifestation du 24 mars prochain sur les Champs Elysées en proposant des modes d'action différents ?
    Au contraire, nous appelons de toutes nos forces à la mobilisation du 24 mars. Avec un mot d'ordre simple et politiquement efficace : retrait du projet Taubira. Le CFM appelle à cette manifestation, même si son action commencera réellement après le 24 mars, précisément pour éviter que le 24 mars soit un coup d'épée dans l'eau.
    M&V: Dans Nouvelles de France, vous nous refaites le coup du général en disant qu'on n'a pas perdu la guerre quand on a perdu une bataille. Mais une fois que la loi sur le mariage homosexuel est passé, y a-t-il moyen de revenir dessus ? Existe-t-il des exemples de retour en arrière du Législateur ?


    G de T : Je maintiens qu'aucune loi n'est irréversible. D'ailleurs, si le législateur voulait que la loi Taubira le soit, il devrait au minimum en faire une loi constitutionnelle. Ce qu'il ne fait pas (il n'y arriverait d'ailleurs pas !). L'action politique consiste précisément à changer les lois et à les améliorer en vue du bien commun. Si la loi passe, nous mettrons tout en œuvre pour que son retrait figure dans le programme d'un grand nombre de candidats aux présidentielles de 2017 et, sans vouloir déflorer notre agenda politique, je peux vous dire déjà que nous avons en préparation un certain nombre d'actions politiques qui vont faire un peu de bruit dans le Landerneau et qui devraient empêcher que l'on enterre ce dossier.   
    Propos recueillis par Alain Hasso monde & vie 26 février 2013

  • Lettonie : L’État veut entrer dans la Zone euro, pas le peuple

    Les Lettons pourraient avoir à commercer en euro plutôt qu’en lat dès l’an prochain. Mais seule une faible part de la population est favorable à ce changement de monnaie, projet de l’actuel gouvernement de Riga.

    8% de la population lettone, voilà la petite part d’habitants de ce pays de l’Est de l’Europe qui se disent favorables à une adhésion rapide de leur nation à la zone euro, selon une enquête réalisée par la banque DNB rendue publique en janvier dernier.

    Visiblement, la crainte prévaut sur l’enthousiasme, alors que les dirigeants du pays viennent de procéder ce lundi à une demande officielle d’adhésion à l’euro. En cas d’accord, la Lettonie deviendrait le 18e pays à adopter la monnaie commune, abandonnant le lat.

    L’opposition dit craindre une hausse des prix

    Lors d’une cérémonie à Riga, le Premier ministre Valdis Dombrovskis, le ministre des Finances Andris Vilks et le gouverneur de la Banque centrale Ilmars Rinkevics ont signé le document qui devrait permettre à cet État balte de 2 millions d’habitants de rejoindre la zone euro au 1er janvier 2014. “Une croissance économique plus rapide est possible si la Lettonie est dans la zone euro”, a estimé Andris Vilks, qualifiant cette démarche d’”historique”. Mais l’opposition s’insurge vivement contre cette initiative.

    “Chaque médaille a son revers que les partisans de l’euro omettent de mentionner. Les prix vont augmenter. C’est ce qui est arrivé dans tous les pays de l’UE qui sont passés à l’euro. Nous ne sommes pas une exception”, affirmait Iveta Grigule, une députée du parti des Verts et Fermiers (ZZS) en janvier.

    Les altermondialistes et les groupes d’extrême-droite campent les adversaires les plus farouches du passage à euro.

    La Commission européenne va vérifier les comptes lettons

    L’examen de la candidature prendra plusieurs mois. Pour intégrer l’euro, le pays doit respecter cinq critères concernant la dette, le déficit public, l’inflation, les taux d’intérêt à long terme et une parité stable avec l’euro. Les experts de la Commission européenne sont attendus à Riga dans les semaines à venir pour vérifier les comptes de ce pays. Leur rapport sera ensuite soumis à la Commission européenne et aux ministres des Finances de l’UE pour approbation en juin, avant d’être transmis à la Banque centrale européenne qui devra se prononcer de son côté en juillet.

    L’Estonie est le dernier pays à avoir adopté l’euro, c’était en 2011. De son côté, la Lituanie a dit envisager de passer à la monnaie unique en 2015 ou 2016.

    La Tribune

    http://fortune.fdesouche.com