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anti-national - Page 1231

  • Femen : j’ai le bûcher qui me démange

    Les sorcières de 2012 ont beaucoup de chance par rapport à leurs consœurs d’il y a un millier d’années : au pire, elles se prennent quelques baffes. Et en matière de baffes, les possédées hystériques qui sont venues se confronter à la manif de Civitas de dimanche n’ont pas encore reçu le quota qui leur revient.

    la suite sur http://www.bvoltaire.fr

  • Dérapages à l’UMP, vérités au FN

     

    De la conférence  de presse tenue hier par François Hollande à l’Elysée, la première depuis son élection, Marine Le Pen  a dit de manière resserrée tout ce qu’il fallait en penser –voir son communiqué en ligne sur le site du FN. Avec une légitimité dans les critiques qui ne saurait être celle des caciques de l’UMP frayant largement dans les mêmes eaux euromondialistes que leurs frères ennemis du PS.  Une UMP en pleine guerre des chefs –elle laissera des traces…- alors que les adhérents sont amenés à voter dimanche prochain pour désigner leur nouveau président,   et qui pousse MM. Fillon et Copé à sortir les dagues tout en parlant souvent à tort et à travers. 

    Dernière affaire en date, rapporte Lepoint.fr  « interrogé ce mardi matin sur BFM TV/RMC sur l’hypothèse d’un rassemblement entre la droite et l’extrême droite,  François Fillon a répondu : jamais. Interrogé sur  les intentions de Jean-François Copé, il avait assuré, avant d’être coupé par une autre question : Je ne le crois pas, parce que je pense que tout dans ses origines, dans son engagement politique le conduit… Dans son récent livre Manifeste pour une droite décomplexée, Jean-François Copé raconte que son grand-père paternel est arrivé en France en 1926 en provenance de Roumanie pour fuir l’antisémitisme et le bolchévisme et que ses grands-parents et son père ont été sauvés en novembre 1943 d’une rafle nazie par une famille de Justes à Aubusson. »

    « Michèle Tabarot, soutien de Jean-François Copé» a dénoncé « les propos pour le moins ambigus et alambiqués (de François Fillon qui) ne sont pas acceptables.»  Un autre  soutien de M. Copé, «  le député UMP du Nord Sébastien Huyghe, s’est lui aussi étonné que François Fillon ait fait référence aux origines de Jean-François Copé pour expliquer certains positionnements politiques de ce dernier (…). Faut-il rappeler à M. Fillon que c’est ce type de logiques qui ont dérapé par le passé en certaines idéologies éloignées de nos principes républicains (…) », ajoute M. Huyghe.

    Encore un peu et les amis de Jean-François Copé accuseront François Fillon de dîner régulièrement avec  Dieudonné !

    Au registre des énormités, M. Copé n’est pas en reste. En témoigne la  saillie de ce dernier, – petite phrase qui s’inscrit pleinement dans la compétition interne à l’UMP- qui a contesté vendredi dernier le droit de  Florian Philippot, vice-président du FN, à déposer une gerbe, « à titre personnel » et ne portant « pas de marque du Front National », sur la tombe du Général De Gaulle à Colombey-les-Deux-Eglises (Marne).

     Le  secrétaire général de l’UMP, qui s’est lui aussi rendu  sur la tombe du fondateur de la Vème République a éructé : «Quand on sait que depuis 1940, de manière continuelle, l’extrême droite a appelé à exécuter le général De Gaulle… Que le Front National envoie l’un de ses membres les plus zélés devant la tombe du général De Gaulle, ça s’appelle de l’usurpation d’identité».

     Usurpation, « compliment » que l’on peut renvoyer aux héritiers putatifs du « gaullisme » qui se sont échinés à mettre à bas les aspects positifs de la politique menée par le général et que Florian  Philippot a résumé: «L’indépendance nationale, la grandeur de la France, l’Europe des nations…».

    M. Copé feint  en outre d’ignorer ce qui est la base même de la « philosophie » qui a présidé à la création du FN il ya quarante ans, à savoir, une volonté de rassemblement de toutes les forces patriotiques,  de réconciliation nationale par delà les divisions et les déchirements nés des  traumatismes de la défaite de 1940 et de la décolonisation.

    Un De Gaulle qui serait aujourd’hui cloué au pilori par les Copé, Fillon, Pécresse, Wauquiez, Bertrand, NKM et consorts , rappelait  Bruno Gollnisch, il y a deux ans,  pour avoir alerté des dangers d’une submersion migratoire non européenne et qui,  rapportait Alain Peyrefitte, expliquait que «  Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne ».

    A l’évidence en effet insistait Bruno, « Il y a bien  un peuple français qui est principalement -pas exclusivement- une synthèse des civilisations celtique, latine et germanique » dans une   France qui  «n’est pas réductible aux valeurs républicaines, à l’idéologie des droits de l’homme, n’est pas née en 1789 ;   c’est une réalité charnelle et spirituelle »

    Alors certes, Bruno Gollnisch, modéré en tout, est très modérément « gaulliste », la geste gaullienne étant de son point de vue entachée de beaucoup de travers et d’ambiguïtés.

     Nous l’évoquions déjà sur ce blog, il y a le De Gaulle de la résistance et celui de l’épuration sauvage, « l’homme qui faisait se battre les Français entre eux » ; le De Gaulle cynique, vaniteux, menteur, manipulateur,  aux mains couvertes du sang des patriotes, et celui des belles envolées lyriques de ses Mémoires dans lesquelles, parfois, filtre la vérité…

     Il y a le De Gaulle maurrassien  et le De Gaulle progressiste ; celui du refus d’abdiquer notre indépendance nationale et de la trahison des pieds noirs,  du massacre des harkis ; le De Gaulle des accords d’Evian privant notamment notre pays des ressources énergétiques du Sahara, celui de la décolonisation de l’Afrique noire plus ou moins réussie, de la sortie de l’Otan, de la dissuasion nucléaire, du refus, nous l’avons vu  de l’immigration-invasion

     Et si le drame  de l’Algérie française a été le déclencheur  à l’adolescence, de la conscience politique,  de l’engagement de   Bruno Gollnisch, celui-ci a toujours dénoncé   «le  largage  dans des conditions indignes, indécentes, atroces  de l’Algérie ».  «Je suis persuadé contrairement  au général De Gaulle que si la France était restée en Algérie il y aurait  beaucoup de moins d’immigration en provenance  d’Algérie parce que ce pays serait prospère et les populations auraient   de quoi  vivre et prospérer sur leur territoire natal…»

    Présent samedi à Nice devant 250 militants  pour célébrer le 40e anniversaire du FN, « un événement exceptionnel dans la vie des partis politiques nationaux », Jean-Marie Le Pen n’a pas manqué d’être questionné sur ce dépôt de gerbe d’un dirigeant du FN sur la tombe de De Gaulle.

    « Cela  prouve la largeur d’esprit des gens du Front National» a déclaré son  Président d’honneur  lors d’une conférence de presse. «Il est bien évident que nous ne sommes pas d’accord sur tout au Front National, mais nous sommes d’accord sur l’essentiel ». « Il y a toutes sortes de citoyens au Front National, y compris des gaullistes. Mais je ne serai pas plus choqué par le fait qu’on aille déposer une gerbe sur la tombe du général De Gaulle que je ne serai choqué si quelqu’un du Front National déposait des fleurs sur la tombe du Maréchal Pétain », a-t-il déclaré.

    Un Philippe Pétain qui devant l’Histoire,  comme Charles De Gaulle,  rappelait d’ailleurs Bruno Gollnisch il ya deux ans à Villepreux,  « doit avoir la place que mérite la vérité. »

    «  La vérité d’un régime corrompu et incapable de dirigeants élus par le Front populaire, qui, dans la catastrophe à laquelle ils ont été incapables de faire face, se sont lamentablement débinés et ont refilé à ce vieillard l’ardoise de leurs erreurs (…).  Il y a des gens de bonne foi qui ont suivi Pétain, il y a des gens de bonne foi qui ont suivi De Gaulle.»

    « Ce dont je suis sûr en tout cas, indiquait-il encore, c’est que les dirigeants actuels sont 100 fois plus coupables, si tant est qu’il l’ait été, que le Maréchal Pétain. Il avait au moins une excuse, celle d’une armée victorieuse et implacable qui campait sur le territoire national. »

    «  Tandis que les traîtres qui sont aujourd’hui au pouvoir, c’est en toute connaissance de cause qu’ils bradent la France, qu’ils livrent son économie, qu’ils livrent son identité à l’étranger, portant atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat, pour le seul profit de leurs intérêts abjects. »

    Une dernière remarque sur laquelle s’accorde  tous les frontistes et beaucoup de Français, par-delà leur sensibilité particulière.

    http://www.gollnisch.com/

  • Crise de l’euro : encore un sommet européen sous de mauvais auspices

     

    FPI - Les vingt-sept pays de l’Union européenne se rencontrent aujourd’hui à Bruxelles pour discuter des budgets à l’horizon 2014-2020. Sur fond de pessimisme dans une ambiance minée par la crise dans la zone euro.
    Planifié sur deux jours, ce nouveau sommet risque fort d’aggraver les désaccords qui divisent déjà les pays de l’Union. En effet, les discussions s’annoncent particulièrement ardues car chaque pays fera valoir ses priorités, ses budgets intouchables et ses coupes jugées indispensables.
    En plus du chiffre global du budget, trois grands sujets retiendront particulièrement l’attention des participants :
    Ø  la politique agricole commune, défendue par la France, mais aussi par nombre d’États d’Europe centrale et orientale, comme par exemple la Pologne ;
    Ø  la politique de cohésion, c’est-à-dire les aides aux régions en retard de développement par rapport à la moyenne européenne. Ce sont surtout les pays d’Europe centrale et orientale qui y sont les plus attachés puisqu’ils en sont les principaux bénéficiaires. Une position soutenue aussi par l’Espagne et l’Italie.
    Ø  la question des rabais accordés à certains sur leurs contributions. On pense au fameux chèque britannique, mais cela concerne aussi l’Allemagne, les Pays-Bas, la Suède et l’Autriche. Et beaucoup de pays voudraient les supprimer.
    Chacun des Vingt-Sept dispose d’un droit de veto en matière budgétaire et les positions actuelles des uns et des autres semblent difficilement conciliables.

    D’ailleurs, la chancelière allemande a déjà fait savoir qu’un nouveau sommet en janvier 2013 était envisageable.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • DOSSIER SPÉCIAL DE L'ACTION FRANÇAISE : "NON AU MARIAGE HOMO !" NE LE MANQUEZ PAS, EN KIOSQUE DEPUIS JEUDI OU EN VENTE SUR INTERNET

    C’EST UN DOSSIER SPÉCIAL CONSACRÉ AU MARIAGE HOMOSEXUEL ET À L’HOMOPARENTALITÉ QUE L’ACTION FRANÇAISE VIENT DE SORTIR, ALORS QUE LA LUTTE CONTRE LA DÉNATURATION DU MARIAGE ET DE LA FILIATION S’INTENSIFIE

    - MANIFESTE DE L’ACTION FRANÇAISE POUR LA DÉFENSE DU MARIAGE
    - DÉCLARATION DU COMTE DE PARIS
    - ENTRETIEN AVEC THIBAUD COLLIN : "UN BASCULEMENT DE CIVILISATION"
    - MARIAGE HOMO, MARIAGE AUX MAUX par Aristide Leucate
    - NAJAT BELKACEM, GRAND INQUISITEUR DU SEXUELLEMENT CORRECT, par Stéphane Blanchonnet
    - L’HOMOSEXUALITÉ, C’EST GRAVE, DOCTEUR ? par Aristide Leucate
    - UNE FAMILLE FRANÇAISE ET CHRÉTIENNE TRADITIONNELLE HONORÉE PAR L’INSTITUT : propos recueillis par François Marcilhac
    - MARIAGE POUR TOUS : DANS LE MEILLEUR DES MONDES, par Stéphane Blanchonnet
    - RELIRE MAURRAS : DU BONHEUR CONTRE LA NATURE, par Louis de Galice
    - et l’éditorial de François Marcilhac : HOLLANDE, LE FOSSOYEUR DE LA NATION

    NE MANQUEZ PAS LE NUMÉRO 2851 DE L’ACTION FRANÇAISE !

  • Ecologie : La peste verte ?

    Dans un ouvrage prophétique paru en 1991, La Peste verte, Gérard Bramoullé dénonçait la dérive idéologique de l’écologie. Mais il était malheureusement en dessous de la vérité. Car, devenue une religion, l’écologie se situe désormais au delà de l’idéologie. MG.
     
    Comme religion de l’oligarchie, au même titre que la religion antiraciste, l’écologie se place dans le registre de la révélation, du dogme et des anathèmes contre ceux qui ne partagent pas la foi nouvelle : elle est devenue inaccessible à la raison et en particulier à la raison scientifique.

    La foi écologique consiste à croire que la nature se porterait mieux en l’absence de l’homme occidental, responsable notamment du réchauffement climatique qui résulterait des émissions de CO2. On ne reviendra pas sur le fait que ce diagnostic du réchauffement climatique n’est nullement avéré. Par définition la révélation se situe au-delà de la vulgaire preuve scientifique. Intéressons-nous seulement aux effets concrets du dogme vert.

    Le néant vert

    Quel est le bilan réel des politiques conduites depuis la fin du siècle dernier au nom de cette religion ? Tout simplement nul ou catastrophique pour les Européens.

    Pensons à tous ces « Grenelle » ou conférences internationales censés nous prémunir contre les périls climatiques en faisant diminuer notre empreinte carbone, qui joue le rôle de premier Satan dans cette nouvelle religion. Mais ses adeptes oublient de nous dire que les efforts que cela implique pour nous se trouvent immédiatement annulés par le développement économique de tous les pays émergents et notamment de la Chine. Par conséquent tout ce que l’on nous demande de faire pour diminuer nos émissions de CO2 ne sert absolument à rien par rapport au but affiché.

    L’enfer vert

    Cela rend-il au moins notre vie plus agréable ou plus facile en Europe ?

    On peut en douter car, au concret, le prêche écolo débouche avant tout sur deux choses : une avalanche de réglementations et de normes qui ne font que compliquer l’existence et renchérir le coût des produits et des services, d’une part ; une augmentation continue des prélèvements publics, d’autre part.

    Ces deux fléaux se conjuguent pour réduire la liberté d’initiative des Européens et leur capacité à affronter un monde de plus en plus concurrentiel. Car les adeptes de la nouvelle religion ne se bornent pas, hélas, à proférer des idées bizarres dans des colloques : ils veulent surtout faire le bien de la planète malgré nous.

    Le tableau noir des Verts

    La liste ne cesse de s’allonger, en effet, des méfaits déjà imputables à la nouvelle religion verte en Europe :

    • - l’affirmation d’un principe de précaution généralisé qui handicape toute prise de risque ;
    • - la lutte active contre l’énergie nucléaire, et plus récemment contre le « gaz de schiste », c’est-à-dire contre ce qui permet d’assurer l’indépendance énergétique à moindre coût ;
    • - des dépenses publiques massives au bénéfice de prétendues énergies ou moyens de transport « propres » comme le photovoltaïque, les éoliennes ou les réseaux ferrés dont la productivité est aléatoire et le coût élevé. Grâce aux zélotes écolos, les Européens sont en tout cas assurés de payer leur énergie toujours plus cher !
    • - la réduction continue de la liberté de circulation automobile. Car l’auto, inventée par les Européens justement pour faciliter les déplacements, est l’autre grand Satan de la religion verte. Grâce aux écolos, les villes sont ainsi devenues autophobes : des millions d’Européens se trouvent désormais contraints de dépendre de transports collectifs ou de se déplacer à pied ou à vélo pour faire leurs courses, se distraire ou se rendre à leur travail. Retour au XIXe siècle, à la différence notable toutefois que les lieux de domicile et de travail se trouvent aujourd’hui beaucoup plus éloignés !
    • - l’apparition d’une « fiscalité écologique » qui représente quand même déjà 1,86% du PIB en France et qui s’ajoute par conséquent à un niveau de prélèvements publics et sociaux élevé (46%) et que les charmants élus verts veulent bien sûr augmenter à des fins « pédagogiques » ;
    • - des paysages européens dénaturés par les champs d’éoliennes ;
    • - la difficulté croissante d’entreprendre et de conduire de grandes opérations d’aménagement, en raison du harcèlement auquel se livrent les associations au nom de la défense de l’environnement ;
    • - le ralentissement de la recherche dans certains domaines (ex : les OGM) ;
    • - les troubles d’ores et déjà apportés à l’écologie animale et à l’environnement humain du fait d’une ingénierie « verte » brouillonne, comme en témoignent par exemple les perturbations croissantes apportées par la multiplication des loups et des sangliers en Europe, espèces que les zélotes verts voulaient « protéger ».

    Une idéologie au service de l’oligarchie

    Comme toujours en matière de croyances, celles-ci reflètent certains intérêts bien précis.

    La rhétorique écolo sert ainsi à merveille l’oligarchie pour justifier tout à la fois un renforcement du contrôle social de la population et une relance artificielle de la consommation.

    Dans certains pays européens le tri des déchets ménagers, de même que l’utilisation de voitures aux heures de pointe, fait déjà l’objet d’un contrôle répressif des personnes. Et il suffit de penser à la phrase inoubliable de J. Chirac lors du sommet de Johannesburg en 2002 pour qui nous nous rendrions coupables d’un crime contre l’humanité future, pour comprendre tout ce que recèle en puissance cette sympathique philosophie de la culpabilisation de l’action humaine.

    Le mot écologie, capable d’annihiler tout sens commun chez le récepteur, est devenu un argument publicitaire de première importance. L’argument « vert » (dans l’industrie), « bio » (dans l’alimentaire) ou « durable » (dans les services) a eu une fonction capitalistique bien précise : relancer la commercialisation de nouveaux produits. Le système marchand doit impérativement stimuler en permanence le consommateur, en effet. La religion verte y pourvoit.

    Ainsi le consommateur sera tout content d’acquérir une voiture « hybride » dont le coût d’acquisition est en réalité très supérieur à un produit normal et ne sera que très exceptionnellement amorti par l’heureux propriétaire. Bien entendu le discours sur les énergies « propres » convient à merveille aux vendeurs de matériel idoine qui se trouvent par un heureux hasard financer aussi les ONG écolo.

    La justification verte a permis de transférer au surplus sur le consommateur final des charges auparavant supportées par l’entreprise. C’est donc double bénéfice ! Le consommateur peut ainsi acheter des yaourts, des œufs ou des légumes « bio » plus chers, mais il aura le plaisir en plus de ne pas recevoir d’emballage : s’il veut un sac on lui demandera de le payer. Mais heureusement, au nom d’une noble cause : sauver la planète ! Les publicitaires doivent bien rire.

    La religion du déclin européen

    Plus fondamentalement, la religion verte s’analyse comme un des nombreux symptômes de la décadence européenne : cette religion traduit la peur de l’avenir des vieux Européens, au sein du grand hôpital qu’est devenu l’Occident.

    Elle ne présente les évolutions de notre environnement que sous un jour apocalyptique, alors que celles-ci peuvent constituer, au contraire, de nouvelles opportunités humaines.

    Elle sous estime totalement la capacité de l’homme européen à surmonter, grâce à la science et à la technique, qui sont une création de son génie propre, les défis environnementaux.

    La religion verte réussit aussi la performance de promouvoir le paradigme de la décroissance en Europe, alors que notre continent est le seul à souffrir du chômage structurel et de la désindustrialisation ! Elle condamne enfin l’agriculture moderne dont les rendements permettent seuls de nourrir une population croissante.

    A entendre les zélotes verts, notre avenir européen passerait par le vélo, les éoliennes et le chauffage au bois. Un avenir de réserve folklorique.

    Les Chinois et les Indiens, eux, misent sur l’atome, l’informatique, la génétique et la recherche spatiale.

    Merci les Verts !

    Michel Geoffroy http://www.polemia.com
    16/11/2012

  • Présidence de l’UMP : le camp Fillon revendique la victoire grâce aux votes des DOM-TOM et menace de faire scission

    - Natacha Polony (Europe 1) : « L’UMP, le parti de la honte » (vidéo)

    - Alexis Brézet, directeur des rédactions du Figaro : « Quelle honte ! »

    - Selon Jean-Louis Borloo, l’UDI aurait engrangé 1280 adhésions cette nuit

    « Chez nous c’est assez simple. Le président est élu à l’unanimité et pas de manière coréenne ».

    Nouvel Obs.

    - En pleine crise de l’UMP, Sarkozy est entendu par un juge et risque la mise en examen :

    L’ancien président de la république sera entendu dans la journée par la justice à Bordeaux dans l’affaire Bettencourt en tant que simple témoin assisté pour le moment. [...]

    Selon une source policière qui s’est confiée à une agence de presse, l’ancien président de la république pourrait voir son audition se poursuivre jusqu’à vendredi. Une mise en examen est possible dans les heures ou les jours à venir. L’affaire avait été transféré à Bordeaux depuis plusieurs mois à cause des soupçons de fraudes et d’irrégularité dans la gestion du dossier à Nanterre.

    CabinetsAvocats.com

    - Selon Le Canard Enchaîné, Nicolas Sarkozy s’est réjoui de l’absence d’un grand vainqueur à la présidence de l’UMP

    «Qui a gagné? Je n’en sais fichtre rien. Mais ces abrutis (Copé et Fillon) sont capables de mettre le parti en l’air (….) S’ils font trop les cons, je vais finir par m’en mêler.
    Je suis loin d’avoir pris une décision quant à mon avenir politique. Mais je ne suis pas dupe. Copé ne va avoir qu’une idée en tête: m’empêcher de revenir sur le devant de la scène.»
    Nicolas Sarkozy, 20 Minutes

    - L’UMP menacée de faillite en cas de départ des fillonistes ?

    Concrètement, selon notre décompte, près de 150 parlementaires ont soutenu la campagne de François Fillon. S’ils décidaient tous de se rattacher à un autre groupe parlementaire d’ici à la fin de l’année, l’UMP de Jean-François Copé perdrait l’équivalent de 6,3 millions d’euros par an (subventions). Hufftington Post

    - Invité au JT de TF1, François Fillon a indiqué qu’il comptait renoncer à la présidence de l’UMP : « Je renonce à la présidence de l’UMP. Il y a une fracture politique et morale. Ce que je demande c’est qu’Alain Juppé constitue une équipe et nous propose une sortie de crise pour qu’on puisse régler cette question de façon collégiale », a-t-il réclamé.

    L’ex-premier ministre a également indiqué qu’il n’allait pas déposer de recours devant la commission interne à l’UMP. « Je n’ai pas confiance. Il n’y a jamais eu la direction de l’UMP une véritable instance indépendante. Si je dois déposer un recours, ce sera devant la justice. Si personne n’écoute ce qu’on demande, alors oui je déposerai un recours devant la justice. J’irai jusqu’au bout. » Le Figaro

    - Estrosi : «Copé ne peut pas exclure l’outre-mer»

    - Fillon menacerait de faire scission avec 134 parlementaires si Juppé n’était pas mis à la tête de l’UMP provisoirement (BFMTV).

    http://www.fdesouche.com/
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  • Soutien à la défense du Mariage et de la Famille

    Communiqué de Bruno Gollnisch
    Député au Parlement européen

    13 novembre 2012

    A titre personnel, je tiens à apporter publiquement mon entier soutien à toute manifestation tendant à la défense du Mariage et de la Famille, contre les projets de lois gouvernementaux qui veulent les dénaturer, alors que la gravité de la situation économique et sociale devrait imposer d’autres urgences !

    J’appuie donc toute manifestation pacifique, qu’elle soit d’inspiration chrétienne, venant d’autres confessions, ou laïque, que les organisateurs et participants en soient croyants ou agnostiques, politiquement engagés ou non, élus ou citoyens.

    Ceci vaut notamment pour les manifestations organisées ces 17 et 18 novembre, dont j’espère de tout cœur qu’elles précèderont un grand mouvement unitaire.

    Je dénonce l’action opiniâtre et mensongère de lobbies qui, après avoir obtenu le PACS en nous disant qu’il suffirait à résoudre les problèmes des homosexuels, vont plus loin dans l’imposition de novations sociétales inquiétantes, telles que le prétendu « droit à l’enfant ».

    L’enfant n’est pas objet de droits, il en est le sujet. L’enfant abandonné ou orphelin a droit à un père et une mère, dont l’amour remplace celui dont il a été privé. Lui refuser cette double et fondamentale référence pour la satisfaction de personnes dont le mode de vie, librement choisi, exclut la procréation, serait en quelque sorte lui imposer une double peine. Ce serait une grave dérive de notre civilisation.

    http://www.gollnisch.com

  • Démythifier Mai 68 ou comment l’idéologie soixante-huitarde est devenue un instrument de domination

    Werner Olles, ancien activiste du 68 allemand, a été membre du SDS de Francfort-sur-le-Main puis de divers groupes de la “nouvelle gauche” avant de rejoindre les cercles nationaux-révolutionnaires et néo-droitistes allemands; Dans cet article, rédigé en 2001, il explique les raisons qui l’ont poussé à abandonner l’univers politico-intellectuel des gauches extrêmes allemandes. On notera qu’il cite Pier Paolo Pasolini et déplore que l’arrivée aux postes du pouvoir des premiers anciens activistes, avec un Joschka Fischer devenu ministre des affaires étrangères, n’a rien changé à la donne: l’Allemagne est toujours dépendante des Etats-Unis, sinon davantage, et le débat intellectuel est toujours bétonné...

    Marx, en se référant à Hegel, avait dit, à propos du 18 brumaire de Napoléon, que les événements historiques importants, touchant le monde entier, se déroulaient toujours deux fois: la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce. Cette remarque est également pertinente quand s’échaffaudent les mythes politiques. Mais tandis que les mythologies qui évoquent les fondations d’une nation articulent toujours les actions collectives d’un peuple, qui se hisse d’un état de nature à un degré plus élevé de civilisation, l’histoire du mouvement soixante-huitard ressemble plus à une parodie de ce passage qu’à une véritable transition “anamorphique”. Mais cette histoire du soixante-huitardisme a tout de même un point commun avec la formation des mythes nationaux: “Le mensonge du mythe héroïque culmine dans l’idolâtrie du héros”, comme l’écrit Freud dans sa “Psychologie des masses”. En ce sens, le mythe de mai 68 n’est rien de plus, aujourd’hui, qu’un instrument servant à asseoir la domination d’une nouvelle classe politique.

    Pier Paolo Pasolini, le célèbre écrivain, poète, journaliste et metteur en scène italien, nous a laissé un poème, écrit justement en 1968: “Le PCI aux jeunes!”. Pasolini, observateur très précis de l’aliénation généralisée qui frappait toutes les couches de la population et tous les domaines de l’existence, était communiste et homme de gauche, une équatioin qui n’est pas toujours évidente, mais qui l’était dans son cas. Dans ce fameux poème, il prend ses distances expressis verbis et en termes clairs avec les étudiants radicaux de gauche, qui avaient pourtant réussi à faire battre la police en retraite, lors des premières grandes batailles de rue, à Rome, au printemps de l’année 1968. Il désignait ces étudiants comme des “bourgeois, fils à la mamma” et se solidarisait avec les policiers rossés, parce qu’ils étaient “les fils de pauvres gens nés dans les zones déshéritées des campagnes ou des grandes villes”.

    En tant que marxiste, Pasolini ne rejettait pas la violence en général mais s’insurgeait contre celle que pratiquaient les “Brigades rouges” des années 70 qui commettaient des attentats et des enlèvements, tout en menant une guérilla urbaine assez efficace dans toute l’Italie. La gauche lui a en voulu. Et quand il s’est opposé à la libéralisation de l’avortement et s’est insurgé avec véhémence contre la permissivité sexuelle dans la société nouvelle, la mesure était comble pour les gauches conventionnelles: en effet, pour Pasolini, la libéralisation des moeurs et de la sexualité ne voulait qu’en apparence le bonheur des gens; en réalité, il s’agissait d’introduire les ferments d’un dressage des corps pour qu’ils soient le support d’homoncules destinés à une seule chose: accroître démesurément la consommation et ce qui en découle logiquement, la croissance exponentielle des marchés. Du coup l’hérétique et dissident Pasolini a subi un cordon sanitaire: on ne le reconnaissait plus comme un clerc de la religion marxiste.

    Pasolini a donc reconnu la montée du nouveau totalitarisme introduit par le mouvement soixante-huitard, quand les plupart des conservateurs et des droitiers dormaient encore du sommeil du juste. Pasolini désignait la tolérance pour ce nouveau système de domination et son “idéologie hédoniste incontournable” comme “la pire de toutes les formes de répression de l’histoire de l’humanité”, parce qu’elle niait les anciens schémes culturels. Malheureusement, son message n’est pas passé en République fédérale allemande dès la fin des années 60 et le début des années 70. Pasolini était animé d’un courage désespéré quand il s’est opposé au libéralisme débordant mis en selle par le carnaval de 68, un libéralisme qui n’avait qu’un seul objectif: dilater démesurément la sphère de l’économie marchande. En Allemagne, personne n’a posé d’analyse aussi pertinente, certainement pas les “intellectuels”.

    Ce sont surtout les ouvriers des usines qui ont compris; nous, les intellectuels soixante-huitards, ricanions avec méchanceté et affichions un net complexe de supériorité: nous les traitions de “masses dépendantes du salariat”, trahissant du même coup que nous ne voulions pas leur émancipation. Pour eux, nous ne prévoyions pas “l’auto-réalisation de l’individu”. Les ouvriers comprenaient que le démontage systématique des valeurs traditionnelles par l’esprit de 68 ouvrait la voie à un capitalisme débridé, consumériste et utilitariste, cynique et détaché de tout impératif éthique ou social. Sans jamais avoir entendu parler de “Diamat”, de “matérialisme dialectique”, sans jamais avoir lu Marx —qui considérait la persistance des sociétés traditionnelles comme le plus grand obstacle à la percée du socialisme et, qui, logique avec lui-même, saluait la destruction des vieilles cultures d’Inde par les impérialistes britanniques— les ouvriers allemands de la fin des années 60 comprenaient instinctivement que les schèmes, les structures et les valeurs traditionnelles du monde traditionnel leur offraient encore une protection, certes limitée et fragile, contre le déferlement d’un capitalisme sans plus aucun garde-fou: ils barraient la route à nos équipes subversives devant la porte des usines, généralement sans y aller par quatre chemins.

    La classe qui aurait dû incarner ces valeurs traditionnelles, c’est-à-dire la bourgeoisie d’après-guerre, très vite, s’est retrouvée la queue entre les pattes, a exprimé toute sa lâcheté et n’a pas forgé une alliance avec la classe ouvrière contre les “soixante-huitards” et leurs épigones. De plus, elle a tout fait pour interdire à l’Etat, détenteur du monopole de la violence, d’intervenir efficacement contre ses propres gamins et gamines, tourneboulés par les “idées nouvelles”. Alors, forcément, la dynamique de cette lutte des classes exemplaire a pu se déployer sans entraves venues de haut. Après la lecture d’Herbert Marcuse, notamment sa “Critique de la tolérance pure”, ouvrage-culte et vulgarisation extrême du néo-marxisme de l’époque, et surtout le chapitre intitulé “La tolérance répressive”, on s’est senti autorisé à commettre les pires violences irrationnelles. A cela s’est ajouté le refus net, dans l’Allemagne d’alors, de prendre en compte les contradictions entre la rhétorique catastrophiste du SDS (l’opposition extra-parlementaire étudiante) et de ses épouvantables successeurs, d’une part, et, d’aute part, la réalité socio-économiques e l’Allemagne de l’Ouest des années 60, réalité encore acceptable, potable, contrairement à ce qui se passait dans les pays du Tiers Monde.

    Dans le processus politique et historique qu’elle inaugurait, la mentalité de 1968 anticipait tout ce que nous déplorons à juste titre aujourd’hui: une société désormais totalement massifiée, l’omnipotence des médias, la destruction de traditions culturelles aux racines pourtant profondes, le processus ubiquitaire de nivellement, par lequel tout ce qui est authentique et particulier se voit détruit et qui, finalement, ne tolère que la seule idéologie du consumérisme, flanquée d’une industrie des loisirs, des variétés et de la comédie qui se déploie jusqu’à la folie. Le processus de destruction de toute forme de culture et la perte de tout socle identitaire, qui est allée en s’accélérant depuis les années 70, ne cessent de s’amplifier et d’atteindre tous les domaines de nos existences.

    Certes, les valeurs traditionnelles, dites “bourgeoises” par leurs adversaires, n’étaient déjà plus assez fortes, avant 1968, pour constituer un contre-poinds à la “révolution culturelle”. Quasiment personne, à l’époque, n’a eu le courage de s’opposer aux bandes violentes qui déferlaient sur les universités et les hautes écoles, personne, sauf le professeur social-démocrate Carlo Schmid, n’a osé dire: “l’autorité ne cèdera pas!”. Personne n’a eu le courage de dire, sauf sans doute, le bourgmestre de Francfort, le chrétien-démocrate Wilhelm Fay, que la violence et le fanatisme du SDS et de l’APO constituaient un retour à l’exigence, par la coercition, d’un nouveau conformisme, d’une nouvelle fidélité forcée à des idéaux minoritaires, d’une obligation à suivre les impératifs idéologiques d’une caste réduite en nombre, comme ce fut le cas sous le national-socialisme.

    Après que le mouvement et sa mythologie aient littéralement remplacé la réalité, tout en refusant avec entêtement la sanction du réel, une forme imprévue jusqu’alors d’hystérie de masse s’est libérée, alors qu’on imaginait qu’une telle hystérie n’était le fait que des seules sectes religieuses. On peut affirmer que les groupuscules nés de la dissolution du SDS, comme les partis “ML” (marxistes-léninistes), n’ont pas été autre chose qu’un mélange d’aveuglement politique, qu’un cocktail perfide de “scientologie” et d’“Hell’s Angels”, où les phénomènes psychopathologiques donnaient le ton, avec tout le cortège voulu de dérives emblématiques: lavage de cerveau, apologie du pire kitsch révolutionnaire, et surtout les fameuses “discussions” sans fin, épouvantablement emmerdantes, crispées et sans épaisseur. Le sommet de la bêtise a été atteint quand ces associations staliniennes de “sports de combat”, avec leurs jeunes bourgeois se complaisant dans une culture fabriquée sur le mode “sous-prolétarien”, se vantaient d’être des analphabètes politiques et culturels complets, tout en voulant imiter dans les rues les bagarres qui avaient opposé, dans les années 20 et 30, les nationaux-socialistes aux communistes. Pendant que ces bourgeois de souche se donnaient des airs de révolutionnaires prolétariens d’antan, les jeunes ouvriers, eux, roulaient vers le soleil de l’Espagne (franquiste!) au volant de leurs Ford Taunus flambant neuves.

    Quand on lit aujourd’hui les textes de ces activistes, tentant de justifier et d’expliquer leurs revendications ou leurs actes —et on les lira avec profit— on perd le souffle. Jamais, ils ne se montrent honteux de leurs simplismes. Jamais ils ne s’excusent d’avoir commis des dépradations ou des dérapages. Jamais un regret. On dirait que la table de bistrot, autour de laquelle ils refaisaient le monde ou jouaient à préparer l’hypothétique révolution finale, en usant d’un jargon intellectuel de gauche, est toujours la même: les discours sont toujours impavides, inflexibles, relèvent toujours d’une bande qui n’a rien appris, ne veut rien apprendre. Ce n’est peut-être pas évident chez tous les protagonistes du 68 allemand, ou ce n’est pas immédiatement perceptible, comme chez un Gerd Koenen, un K. D. Wolff ou un Christian Semmler. Mais ce l’est assurément chez un Joseph Fischer ou un Joscha Schmierer. On nage là dans le “radical chic” et toutes les idées avancées ne sont rien d’autre que des déductions ultérieures des vieilles et fausses visions de la fin des années 60 et du début des années 70.

    La République Fédérale en est sortie ébranlée et ce n’est finalement qu’une maigre consolation de savoir qu’Ulrike Meinhof n’est pas devenue Chancelière, que Joscha Schmierer n’est pas devenu ministre de la justice, que Jürgen Trittin n’est pas devenu un nouveau “ministre de la propagande”, bref, que la République Fédérale n’est pas devenue une “République Ouest-Allemande des Conseils” (“Westdeutsche Räterrepublik”). Mais si c’est une consolation, ce n’est pas pour autant matière à réjouissance. Dans le gouvernement Schröder/Fischer, finalement, nous avons vu surgir l’accomplissement du mouvement soixante-huitard: nous avons une démocratie très teintée à gauche (la gauche de 68 et non plus la vieille social-démocratie), sans personnalité d’envergure, avec une médiocrité très nettement perceptible, où l’on se bornera à l’avenir de changer les pions: tous auront les mêmes réflexes, les mêmes tares, répéteront les mêmes schèmes mentaux. Car il n’est pas resté davantage de 68. Et aussi longtemps que les intérêts des “Global Players” sont plus ou moins identiques à ceux de cette gauche allemande aux assises branlantes, on peut s’attendre au retour récurrent de ces schèmes mentaux dans les allées du pouvoir en Allemagne.

    Werner Olles http://www.voxnr.com

    note : Article paru dans “Junge Freiheit”, Berlin, n°9/2001; trad. franç.: avril 2012.

  • Xavier Lemoine : « Aux municipales de 2020, les islamistes pourraient être majoritaires »

    Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, Radio Courtoisie. 2 nov 2012.

    « En Ile-de France, les populations, par déménagement successifs, migrent pour constituer des unités homogènes qui ont leurs propres règles. Nous assistons à une partition de la société française..»

    « Nous sommes sur des bascules démographiques sur un certain nombre de territoires. Certaines populations seront majoritaires et dans une homogénéité culturelle qui fera qu’elles tenteront par tous les moyens d’obtenir le pouvoir. Les islamistes m’ont averti : « En 2014, vous passerez, mais en 2020 nous serons majoritaires »
    « Le rétropédalage de Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers fait partie de cette prise de conscience : si les maires de droite sont balayés, ce sera ensuite le tour des maires de gauche »

    http://www.fdesouche.com