
En France, il est fréquent, quand un de nos jeunes est victime d’un assassinat sordide de la part de clandestins qui n’avaient rien à faire dans notre pays, que des groupes de patriotes, de manière pacifique, aient envie d’exprimer leur colère et de rendre hommage à la victime, tout en interpellant les autorités pour que cela ne se reproduise plus. Mais ces jeunes résistants sont souvent confrontés à un double harcèlement : celui de gauchistes capables de les agresser physiquement ou de perturber une minute de silence, comme à Vienne, après la mort de Philippine…






