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anti-national - Page 188

  • Emmanuel Macron, un Président par procuration !

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    Quand on n’a pas l’étoffe d’un grand homme, on ne peut avoir l’ambition que de devenir doublure, à défaut de briller par son action politique.  a pris l’habitude de s’approprier l’éclat de nos grands hommes pour tenter de briller à travers leur souvenir.

    Le Président n’écrira pas l’Histoire. Il a pris l’option de la vivre par procuration, c’est peut-être déjà le début de l’humilité, c’est sûrement la plus grande arnaque de ce mandat. Et la crise du coronavirus donne au Président Macron le décor nécessaire. La France manque alors de tout : de lits en réanimation, de masques pour protéger ses , qu’importe, Macron, lors d’une sortie publique, brave la maladie et montre qu’il ne sort pas couvert, pas de masque : quelle bravoure ! L’Élysée a appelé les médias à s’habituer à voir le Président au contact sur le terrain : « C’est Clemenceau dans les tranchées. » Pas moins.

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  • Des manifestations de « Gilets jaunes » interdites ce samedi à Nantes, Angers, Saint-Nazaire, Toulouse, Montpellier et Lyon

    Alors que des appels à manifester ce samedi ont été lancés dans plusieurs villes où les Gilets jaunes espéraient de nouveau battre le pavé, ils ont reçu l’interdiction de manifester à Angers, Nantes, Saint-Nazaire, Toulouse, Montpellier et Lyon.

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  • La loi Avia, une loi néosoviétique

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    Mathieu Bock-Côté

    Ainsi, la loi Avia a bien été votée. Officiellement, elle prétend civiliser les réseaux sociaux en luttant contre la « haine » qui s’y déverse. Elle favorisera, plusieurs l’ont noté, une culture de la délation, chacun surveillant son prochain et étant invité à le dénoncer grâce à un bouton dédié, le citoyen éclairé prenant désormais les traits du délateur zélé. Les bandes militantes feront la loi à coups de signalements pour transformer lerus aversions idéologiques en interdictions. Les réseaux sociaux devront pratiquer la censure préventive des contenus potentiellement problématiques, sans quoi ils seront condamnés à des amendes très lourdes.

    Cette loi s’inscrit dans le plus vaste projet d’un resserrement des conditions d’entrée dans l’espace public par le régime diversitaire, qui entend dominer la mise en récit de la vie collective. On se rappellera qu’il y a peu de temps le gouvernement flirtait avec l’idée de construire une représentation officiellement certifiée du réel au nom de la lutte contre les « fake news », ces dernières désignant souvent une lecture des événements ne versant pas dans la célébration emphatique du vivre-ensemble. La parole publique doit être disciplinarisée et la liberté d’expression, formatée.

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  • Philippe Vardon : « Cet appel à la prière islamique à Nice est une provocation, dans un silence médiatique et politique assourdissant »

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    Chaque soir, depuis le début du ramadan, l’appel à la prière islamique résonne à Nice, dans le quartier Roquebilière, où les islamistes sont influents. Philippe Vardon le dénonce, sans la moindre réaction de Christian Estrosi, maire de Nice, des trois députés de la ville ou du préfet.

    Explications de Philippe Vardon au micro de Boulevard Voltaire.

    On est dans le quartier de Roquebillière à Nice. Depuis le début du ramadan, tous les jours l’appel à la prière islamique résonne sur tout le quartier Roquebillière. Cela n’a évidemment rien d’anodin encore moins dans ce quartier où les islamistes sont particulièrement influents. Juste derrière moi, on a une mosquée liée aux Frères musulmans. Elle a été installée dans des locaux de la ville par la municipalité Estrosi.

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  • Le gouvernement choisit une élève qui lit le Coran pour illustrer ses aides aux étudiants

    Le site etudiant.gouv a publié la photo d’une jeune femme lisant le Coran pour illustrer un article sur l’“aide exceptionnelle” aux étudiants dans la crise du coronavirus. Elle a, depuis, été remplacée par une photo plus consensuelle.

    (…) Sur le site du gouvernement, la photo est coupée. On ne voit donc que le livre sacré des musulmans. Mais l’enseignante laïciste Fatiha Boudjahlat fait remarquer que la photo entière met en scène une femme voilée. « Un imbécile du service infographie du ministère de l’Enseignement supérieur a donc pris une image sur Internet, pour illustrer les aides aux étudiants. On y voit deux étudiantes. Une sans voile et l’autre voilée. Une qui étudie une matière universitaire, l’autre qui étudie… le Coran. Des amis ont vérifié, il s’agit même du verset 111 de la sourate 11 », s’insurge-t-elle sur Facebook.

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  • Confiner, surveiller, punir, mater

    Sur une période très courte, les Français ont accepté une restriction importante de leurs libertés.
    Le 11 mai 2020 restera dans l’histoire comme une date nébuleuse ; celle d’un déconfinement qui déconfinera sans déconfiner, tout en déconfinant : comprenne qui pourra !

    Seulement certains Français en bénéficieront, mais ni en tous lieux, ni en tout temps : point trop n’en faut. À cette occasion, le conseil scientifique viendra de nouveau en renfort du gouvernement. Avec force tableaux statistiques et cartes de France colorées de rouge et vert. Il légitimera ainsi une décision que les Français ont bien du mal à comprendre et a fortiori à accepter. Ce faisant, le savant continuera une fois de plus d’offrir au politique sa caution dans un exercice qui apparaît cependant de plus en plus périlleux car il engage également la responsabilité des experts(1).

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  • Contre la loi Avia (2/2) : Non à la loi Avia, par Stanislas François.

    Source : https://www.causeur.fr/

    On le dit et on le répète: "Causeur" a une dent contre la loi Avia.

    C’est une loi qui représente un enjeu fondamental pour la liberté d’expression qui s’apprête à être votée ce mercredi 13 mai, presque en catimini, à l’Assemblée nationale.

    À qui les députés s’apprêtent-ils donc à laisser apprécier ce qui relèvera sur internet de simples propos « offensants » ou bien de « haine »? À des opérateurs privés, notamment les plateformes américaines !

    La loi contre les contenus haineux sur Internet est un projet que le gouvernement n’a pas eu le courage de porter lui-même.

    Il a préféré en laisser l’initiative à la députée Lætitia Avia qui, après avoir par le passé tenté de légiférer contre la glottophobie, bataille depuis plus d’un an pour faire adopter cette proposition liberticide. De plus, c’est donc une loi que le gouvernement n’a pas eu le courage de faire voter dans des conditions sereines, car c’est en plein état d’urgence sanitaire qu’il a choisi de l’inscrire à l’ordre du jour, comme si la situation était propice à adopter des séries de textes heurtant de plein fouet les libertés fondamentales.

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  • Crise sanitaire: Europol prévoit une augmentation du trafic de migrants après le déconfinement

    L’agence européenne de police Europol a averti vendredi 15 mai que le trafic de migrants, ralenti par la pandémie de coronavirus, risque de connaître une recrudescence à mesure que le déconfinement se poursuit à travers l’Europe.

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  • Contre la loi Avia (1/2) : «Sous couvert de lutte contre les «contenus haineux», c’est la liberté d’expression qu’on assassine».

    La députée Laetitia Avia (LREM). STEPHANE DE SAKUTIN/AFP

    Source : https://www.lefigaro.fr/

    La proposition de loi de la députée Laetitia Avia, visant à mieux lutter contre les «propos haineux» sur Internet, sera certainement adoptée ce mercredi 13 mai à l’Assemblée nationale. Jean-Thomas Lesueur et Cyrille Dalmont, de l’Institut Thomas More, dénoncent le caractère subjectif de la définition de ces «contenus haineux».

    Emmanuel Macron, son gouvernement et sa majorité ont décidément un problème avec la liberté, notamment la liberté d’expression. Ils n’en finissent plus de chercher, sans fard ni vergogne, à contrôler l’information sous toutes ses formes dans notre pays.

    Le 15 janvier dernier, c’était le président de la République lui-même qui, lors de ses vœux à la presse, déclarait de manière stupéfiante: «Nous sommes confrontés à la lutte contre les fausses informations, les détournements sur les réseaux sociaux. L’éducation reste le fondement de cette lutte. Il nous faut donc pouvoir répondre à ce défi contemporain, définir collectivement le statut de tel ou tel document»… Puis il y a eu, en pleine crise du Covid-19, l’initiative gouvernementale visant à imposer une plateforme de «ré-information» ou de «validation» des informations jugées fiables publiées dans les médias ou sur les réseaux sociaux au sujet de la crise sanitaire. Baptisée «Désinfox coronavirus», la plateforme a été heureusement retirée le 5 mai suite au recours déposé en urgence par le Syndicat national des journalistes (SNJ) devant le Conseil d’État.

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