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anti-national - Page 190

  • Génération Identitaire lance l’alerte, Castaner contraint de sermonner les imams, par Clément Martin

    Alors que la France n’en finit plus de compter ses morts, des musulmans profitent du confinement pour multiplier les provocations et occuper l’espace public. Les jeunes identitaires ne pouvaient pas les laisser faire sans réagir.

    Des appels à la prière islamique envahissent l’Europe

    Le 25 mars, jour de la fête de l’Annonciation, les évêques de France ont fait sonner les cloches des églises pour « demander à la Vierge Marie de remplir nos cœurs de foi, d’espérance et de charité » et plus généralement « pour manifester notre fraternité et notre espoir commun ». Au nom d’une prétendue solidarité interreligieuse et d’une forme d’égalitarisme, des islamistes en ont profité pour faire retentir l’appel à la prière musulmane (« l’adhan ») dans plusieurs villes de France.

    A Lyon, l’appel lancé depuis le minaret de la Grande mosquée a suscité l’indignation de nombreux internautes. Rappelons que lors de sa construction, les responsables du lieu de culte avaient affirmé que le minaret ne devait « pas diffuser d’appel à la prière » (L’Express, 22/09/1994)…

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  • La gauche perdant son emprise sur la vie intellectuelle, il lui reste la haine ou le discrédit

    La gauche perdant son emprise sur la vie intellectuelle, il lui reste la haine ou le discrédit

    Tandis qu’Eric Zemmour a été pris à partie dans la rue, le gouvernement annonce la création d’une plateforme labellisant les informations sur le Covid-19. Dans Valeurs Actuelles, le Père Danziec analyse :

    […] La domination de la gauche sur la vie intellectuelle française, on l’observe, ne fonctionne plus. Faute de renouvellement, son logiciel apparaît plus que jamais périmé. Le réel, qui finit toujours par parler, a repris le dessus. Ils nous avaient promis un monde sans barrière, un univers sans classe, du plaisir sans limite. Le résultat fait peine à voir. Les pays sont confinés chez eux. La crise économique s’annonce sans précédent. Et, comme l’a montré le mouvement des Gilets Jaunes, la société crève de l’injonction à jouir sans entraves. Les pavés n’ont pas découvert une plage mais conduit à une impasse. Dans ce contexte de faillite de la gauche, le dialogue devient menaçant pour qui veut conserver sa place ou délétère pour qui refuse de se remettre en cause.  Le progressisme l’a bien compris, à trop jouer avec le dialogue il pourrait finir par s’y brûler. Pour éviter la confrontation, il lui reste deux grands moyens : la haine ou le discrédit.

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  • Charles Prats: « La fraude sociale, c’est 30 milliards d’euros par an »

    Ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, Charles Prats estime que 2,5 millions d’individus « fantômes » bénéficieraient de 30 milliards de prestations sociales indues.

    LE FIGARO.- L’Allemagne consacre au financement de ses dépenses de santé une part de richesse équivalente à celle de la France, affiche une pression fiscale moindre, et pourtant, son système de santé a mieux résisté que le nôtre. Comment expliquez-vous ce paradoxe ?

    Charles Prats.– L’Allemagne a beaucoup plus de lits d’hospitalisation par rapport à sa population que la France, et il y a plus de médecins et moins de personnels administratifs dans les établissements de santé. Schématiquement, en Allemagne, on dépense plus d’argent pour soigner que pour administrer. En France, le débat se focalise souvent sur les impôts. On se chamaille pour savoir qui va se faire taxer et de combien. La question fondamentale devrait d’abord être: comment l’argent public est-il dépensé ?

    Les spécialistes évoquent pour la France 56 % de dépense publique par rapport au PIB. Où va l’argent ?

    Regardez l’état de nos armées, de notre police, de notre justice… (Suite de l’interview dans le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1370115-charles-prats-la-fraude-sociale-cest-30-milliards-deuros-par-an

  • « Désinfox » ou la démocratie libérale en question

    safe_image.png?w=300&h=157Nous apprenons l’existence d’un dispositif officiel dont l’objectif est d’identifier et valider  les informations de presse considérées comme authentiques et ainsi d’opérer un tri, dans la presse écrite ou radio professionnelle –  entre les « bonnes » et les « fausses » informations – qui ne sont pas dignes d’y figurer. Un tel raisonnement correspond à une logique de censure. Il incombe à la puissance publique, érigée en garante de la vérité, de valider les bonnes informations et dès lors, en creux, d’invalider les autres qui ne correspondent pas à sa conception du vrai ou du bien, de la vérité,  ce qui revient à une forme de bannissement aux yeux du public. Certains journaux, certains articles,  disent le vrai, les autres non: dès lors inutile de les lire. Or, en démocratie libérale, il n’appartient pas à l’Etat d’opérer un tri dans l’information. Nous avions déjà un naufrage du régime dans le culte de la personnalité, la neutralisation du parlement, la déresponsabilisation des gouvernements devenus quasi inamovibles quels que soient les désastres, une banalisation de la suspension des libertés individuelles (confinement obligatoire de deux mois), l’acceptation de principe de pratiques qui n’ont rien de libéral, comme le traçage. Aujourd’hui, la réintroduction d’un contrôle officiel sur l’information. Et tout cela dans l’indifférence généralisée. Une interrogation profonde: ont-ils conscience de ce qu’ils sont en train de faire? Ou juste dans l’incapacité intellectuelle d’en avoir conscience? Nous nous disions, attention, la démocratie libérale est d’autant plus précieuse qu’elle est fragile. Mais nous n’y croyons pas vraiment, nous la pensions, au fond, immortelle. La preuve est faite que non.

    Maxime TANDONNET

    https://maximetandonnet.wordpress.com/

  • Le pouvoir en France, un pompier incendiaire ?, par Christian Vanneste.

    Le pouvoir qui règne en France joue-t-il les pompiers incendiaires ? Certes, ce n’est pas une « barbouze » du style Benalla qui a mis le feu à Notre-Dame, pas plus que ce n’est une vaste conspiration mondiale, à laquelle notre gouvernement « progressiste » participerait, qui est à l’origine du Covid-19, mais dans les deux cas, bien qu’à une échelle très différente, il y a un scénario analogue : l’Etat a un devoir archi-prioritaire de protection des biens et des personnes, que le législateur a même cru devoir inscrire dans la Constitution sous le nom de principe de précaution, revêtu de l’onction écologique pour satisfaire l’idéologie à la mode et placé dans cette intention dans la Charte de l’Environnement.

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  • À qui profitent les politiques publiques ?

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    En France et en Europe, les populations issues de l'immigration sont devenues les bons clients des politiques publiques.

    La politique de la ville fête ses 40 ans, le Fonds Social Européen ses 60 ans. Vous connaissez la première avec ses avatars : zones d'éducation prioritaire, zones urbaines sensibles, plans banlieues, contrats de ville, écoles de la deuxième chance... Le second, le FSE, plus méconnu, n'en est pas moins généreux avec ses milliards déversés à tous les pays pour leurs politiques de l'emploi, de l'insertion et de lutte contre les discriminations. L'État-providence existe encore pour certaines catégories. De plus en plus, des politiques publiques à l'unisson d'une discrimination positive assez discrète, concentrent des crédits vers des territoires et certains publics.

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  • Mutation mondialiste du pays légal (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 8/10), par Philippe Germain.

    Table des matières

    Résumé  : En 2017 la technocrature a pris le pouvoir  pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Insatisfaite de l’explication par le complotisme d’ultragauche et celle du référentiel populiste, l’Action française  analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique «  du développement d’oligarchies nouvelles  », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce «  pays légal  » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique s’épanouissent dans le cadre du régime républicain. Les commis de l’élite politique, les technocrates se sont ensuite constituée en une élite, bientôt déstabilisatrice du système oligarchique circulaire.

    Hégémonie du capitalisme financier

    Le début du septennat de Valéry Giscard d’ Estaing, correspond au clap de fin des trente glorieuses. Peu d’acteurs perçoivent l’enclenchement du vieillissement de la société Industrielle. La pathologie est masquée par les mesures sociétales progressistes prises par l’élite politique de centre-droit. Encore moins d’observateurs perçoivent que la Technocratie va entamer la mutation du pays légal vers le mondialisme.

    Sous Giscard (1974-1981), héritier de la nouvelle classe bonapartiste et pur produit de la Technocratie, l’Etablissement va pouvoir régner sans partage. Symboliquement le premier président de la République énarque fait appel à Jean-Jacques Servan-Schreiber, figure de proue de la Technocratie européiste. Pour s’enrichir par le pillage de l’Etat, l’élite financière va profiter des pouvoirs de la Technocratie à travers un soutien sans faille.

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  • Attaque de Colombes : c’était bien un islamiste radicalisé !

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    On a d’abord parlé d’un homme fragile psychologiquement, selon la formule consacrée. Mais, après quelques jours de garde à vue, il a bien fallu reconnaître que l’auteur de l’attaque contre deux policiers, lundi à Colombes, présentait le profil d’un islamiste radicalisé. Selon Le Parisien, c’est « un individu très politisé, connaisseur du conflit israélo-palestinien et présentant un fort intérêt pour l’actualité au Mali et en Somalie ».

    Aucun commentateur n’a encore osé dire ouvertement qu’il ne supportait plus d’être confiné dans un immeuble HLM et qu’il a craqué. Lundi, en fin d’après-midi, il se met au volant de sa BMW – une voiture ordinaire pour qui est au chômage – avec deux couteaux et une lettre manuscrite où il prête allégeance à l’État islamique, affirmant sa volonté « de se lancer à corps perdu dans la bataille pour imposer la charia sur l’ensemble de la terre ». Rien ne paraît planifié. Il achète du pain dans une boulangerie puis, à 500 mètres de chez lui, aperçoit deux policiers en train de contrôler le conducteur d’un véhicule : « Il appuie sur l’accélérateur et percute de plein fouet les deux fonctionnaires, blessant plus légèrement un policier municipal », raconte Le Parisien.

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  • Les maires critiquent le retour à l’école au moment du déconfinement

    A partir du 12 mai, les enfants pourront retourner à l’école maternelle et élémentaire partout en France. Mais les maires attendent encore des réponses précises de la part du gouvernement avant d’ouvrir les portes de leurs établissements. 

    […] Cette reprise de l’école soumise à des règles sanitaires strictes relève du défi pour les maires : nettoyage et mise aux normes des classes en un temps record, recrutement et formation de personnel communal ou encore gestion des transports scolaires et des repas sans connaître le nombre d’élèves. Dès le lendemain de l’allocution d’Edouard Philippe, les représentants des associations des maires se sont réunis avec le Premier ministre et d’autres membres du gouvernement pour avoir des précisions, en attendant avec « impatience » les textes réglementaires promis par le ministère de l’Education d’ici à la fin de la semaine.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/les-maires-critiquent-le-retour-a-lecole-au-moment-du-deconfinement

  • Sur le site officiel de l'Action française, lâcheté et autoritarisme, l’éditorial de François Marcilhac.

    Malheureusement, les légitimes critiques que le Prince a formulées le 24 avril dernier à l’encontre de l’action gouvernementale n’ont pas été prises en compte par celui-ci. Ces critiques constituaient pourtant autant de fanaux dans l’épais brouillard qui ressort de la gestion de la crise sanitaire par le pouvoir depuis deux mois. Oui, le Prince a eu raison de noter « un clair manque de stratégie générale. J’ai le sentiment qu’aucune anticipation n’est de mise et que le gouvernement navigue à vue. » Le Premier ministre aurait dû — il en avait le temps — faire preuve de modestie en se laissant guider par les propos du Prince pour dresser son cap et présenter, le 28 avril, son plan de déconfinement, plutôt que de s’enfermer dans sa morgue.

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