anti-national - Page 203
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Romain Migus : Venezuela, un coup d'Etat à l'ombre de la pandémie. (EDLQ#10)
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Vers le flicage des parents dissidents ?
Le ministère de l’Education nationale a publié plusieurs fiches de recommandations à l’intention des enseignants, parmi lesquelles il leur est notamment demandé de détecter les élèves tenant des propos critiques à l’égard de l’Etat et même d’inciter ces derniers à dénoncer les « dérives » de leurs parents.
La fiche Eduscol intitulée « Ecouter la parole des élèves en retour de confinement » évoque le cas d’enfants qui pourraient « tenir des propos manifestement inacceptables ». A partir de quand un propos devient-il inacceptable ?…
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Facebook, un allié de poids de la loi Avia et de la pensée unique en tout domaine
La loi Avia, loi liberticide destinée à censurer tout propos qui enfreindrait la sacro-sainte pensée unique promue par la conscience morale universelle, nouvelle balance déterminant le Bien et le mal, passera à l’Assemblée nationale le 13 mai prochain et a de forte chance d’être votée.
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Marion Maréchal : face au drame social qui va submerger notre pays, la premier mesure efficace est d’établir la priorité nationale
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La France, pays de la préférence étrangère ?, par Christian Vanneste.
En ce 10 Mai, jour des grandes catastrophes nationales, de l’invasion de 1940 à l’élection de Mitterrand, il n’y a aucune raison d’être joyeux, même si demain le confinement va ouvrir modérément ses fenêtres. Pour un Français qui a encore le sens de l’appartenance nationale, et qui pensait que la seule communauté qui vaille était la nation, riche de son histoire et de son identité, et dotée d’un Etat, certes coûteux et bureaucratique, mais capable de le protéger, et de faire valoir les qualités exceptionnelles du pays, l’épisode du coronavirus aura été une descente aux enfers avant l’heure.
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Calais : grogne de riverains sur la question migratoire
Une quarantaine de riverains de la route de Gravelines ont manifesté leur mécontentement devant la sous-préfecture, ce lundi matin à 9 heures, sur les nuisances liées à la présence de migrants dans le secteur. Nuisances qui, selon eux, se sont aggravées durant la période de confinement, notamment des points de vue de l’hygiène (déchets attirant des rats) et de la sécurité (intrusions, tentatives de vol, agressions).
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L’article dans son intégralité sur La Voix du Nord
http://www.fdesouche.com/1373767-calais-grogne-de-riverains-sur-la-question-migratoire-video
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Discrédit de l’élite politique, par Philippe Germain.
La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 9/11
Résumé : En 2017 la technocrature à pris le pouvoir pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Insatisfaite de l’explication par le complotisme d’ultragauche et celle du référentiel populiste, l’Action française analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique « du développement d’oligarchies nouvelles », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce « pays légal » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique se completent pour s’épanouir dans la République. Avec la V° République la Technocratie se constitue en quatrième élite. Avec dépérissement de la société industrielle sous Giscard et Mitterand, la technocratie surmonte son conflit avec l’élite politique et fait prendre le virage mondialiste au pays légal.
Répartition de l’élite politique
Les grandes familles républicaines, l’Etablissement, préfèrent que la France soit gouvernée au centre. Le jeu de bascule entre un centre droit et un centre gauche leur permet d’imposer le pouvoir de l’argent.
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Français, vous verrez que ça sera de votre faute !
Au final, vous verrez, ça sera ni la faute à Rousseau ni celle à Voltaire, encore moins celle du gouvernement, s’il faut reconfiner. Mais la faute aux Français. Jean Castex, le « Monsieur déconfinement », ne l’a pas dit comme ça, mais si on lit entre les lignes, c’est tout comme.
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« Avec le MES. c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare »
Ancien député européen, économiste et monétariste, membre du Front national jusqu’en 2018. puis de Debout la France. Bernard Monot a signalé dans les médias les dangers auxquels un éventuel recours au Mécanisme européen de stabilité financière (MES) exposerait la France. Monde&Vie l'a rencontré.
Propos recueillis par Hervé Bizien
Vous dénoncez le danger que fait planer le mécanisme européen de stabilité (MES) sur la souveraineté française. Qu'est-ce que cette institution ?
Pour l'Union européenne, qui n'existe qu'à travers les États membres, tous les moyens sont bons pour aller vers un modèle fédéraliste, conçu sur le modèle archaïque des États-Unis d'Amérique et de l'URSS. Ses promoteurs profitent de l'actuelle crise sanitaire pour avancer en ce sens, en utilisant des instruments inventés lors de la crise financière et économique de 2008-2012. Un Fonds européen de stabilité financière (FESF) avait été créé en catastrophe en 2010, à l'occasion du risque de faillite de la Société générale. Puis fut inventé un Mécanisme européen de stabilité financière (MESF). Et en 2012, un traité a institué le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui les a remplacés. Ce traité confère en quelque sorte à cette nouvelle institution, pour la politique budgétaire fédérale de la zone euro, un statut comparable à celui dont bénéficie la Banque centrale européenne en matière de politique monétaire.
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VINCENT VAUCLIN : « LE MONDE D’APRÈS POURRAIT BIEN MARQUER UNE NOUVELLE ÉTAPE DANS LE PROCESSUS DE DÉRIVE AUTORITAIRE DU MONDIALISME LIBÉRAL »
Source Paris Vox cliquez ici
LA DISSIDENCE FRANÇAISE A PRÉSENTÉ RAPIDEMENT UN PLAN AFIN DE RÉPONDRE À CETTE CRISE SANITAIRE. QUEL EST VOTRE SENTIMENT SUR LA GESTION DE LA CRISE ACTUELLE PAR LE GOUVERNEMENT ?
En effet, la Dissidence Française fut l’un des premiers partis politiques français à présenter un plan global de gestion de crise décliné qui décline une trentaine de propositions concrètes, et ce dès le 24 mars. Et déjà, nous alertions l’opinion sur l’inertie du gouvernement, le non-respect des mesures de confinement dans les banlieues immigrées, l’absence de tests, de masques et de gels désinfectants, le manque de moyens dans les hôpitaux, le refus obstiné de fermer les frontières, les conflits d’intérêts impliquant l’industrie pharmaceutique et de hauts responsables politiques, et les conséquences considérables que ferait peser une prolongation du confinement sur l’économie française et notamment sur les PME, les artisans et les commerçants.