anti-national - Page 207
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Calais : Affrontements entre migrants et forces de l’ordre, deux policiers et deux gendarmes blessés
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Calais : Affrontements entre migrants et forces de l’ordre, deux policiers et deux gendarmes blessés
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Des banlieues en éruption et des policiers qui font irruption… dans une église ! Quand cessera ce cirque ?
Échange nocturne surréaliste, digne de l’Ancien Régime une heure moins le quart avant la Révolution, sur une page Facebook dédiée aux habitants de Versailles… question intriguée : « Vous entendez ces détonations au loin ? » Réponse candide : « Ce sont les Grandes Eaux du château, non ? » Sauf que le spectacle tant prisé des touristes, qui se termine traditionnellement, dans le parc, par un feu d’artifice au-dessus du bassin de Neptune a été évidemment, coronavirus oblige, annulé cette année.
N’ont pas été annulées, en revanche, de toute évidence les festivités des cités, qui n’entendent pas, elles, se priver de leurs Menus-Plaisirs.
C’est donc dans la très bourgeoise ville de Versailles, rue Hector-Berlioz, près du stade, au sein du quartier sensible de Jussieu, qui jouxte celui très résidentiel de Montreuil, que les policiers, appelés pour des blocs de béton déplacés et des poubelles en feu, sont tombés dans un guet-apens : ils ont essuyé des tirs de mortier (les feux d’artifice !), tandis qu’un véhicule était incendié et qu’une entrée de parking commençait, elle aussi, à être la proie des flammes (source policière).
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La Grèce, rempart face à l'invasion « migratoire »
Éclipsée par la pandémie de Covid-19, la « crise migratoire » ou plutôt la tentative d’invasion de la Grèce par des cohortes de migrants instrumentalisés par Erdogan n’en constitue pas moins un défi majeur pour l’ Europe. L'UE y répond par la lâcheté, quelques nations par la solidarité.
La « crise migratoire » à la frontière grecque a fait de brefs passages dans les journaux début mars, avant d'être chassée des écrans par l'arrivée d'un autre ennemi, invisible, celui-là, le coronavirus. Pourtant, la menace que fait planer la Turquie en lâchant sur les frontières européennes des dizaines de milliers de migrants agressifs est au moins aussi tangible, déstabilisatrice et mortelle que celle de la pandémie de Covid-19. C'est en tout cas ce qu'affirme le ministre turc de l'Intérieur, Sûleyman Soylu : « Les réfugiés qui traversent l'Europe seront bientôt un million, les gouvernements européens tomberont, leurs économies seront déstabilisées, leur bourse s'effondrera, ils ne pourront rien faire. »
Fin février donc, après avoir subi des revers en Syrie, où ses troupes interviennent aux côtés des djihadistes opposés à Assad, Erdogan décide de réactiver le chantage aux migrants pour arracher à l'Union européenne et à l'OTAN un soutien direct à son entreprise expansionniste. Ankara déclare « ne plus pouvoir garder les migrants » et en lâche donc 75 000 sur la frontière grecque. Rapidement, l'opération apparaît pour ce qu'elle est : l'envoi organisé et planifié d'une troupe de supplétifs pour agresser un pays voisin. Ankara a réquisitionné des cars pour acheminer lesdits migrants aux portes de la Grèce, notamment au poste-frontière de Kastanies, leur faisant miroiter un eldorado européen, menaçant - de l'aveu des intéressés - les plus récalcitrants.
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Banlieues : au diable la tiédeur – Confinez-moi ça !
Depuis l’accident ayant causé une fracture ouverte à un multirécidiviste à Villeneuve-la-Garenne, les banlieues s’embrasent à nouveau. Le feu ultra communicant touche une liste non négligeable de communes dans le 92 et le 93. Montreuil, Aulnay-sous-Bois, Villeneuve-la-Garenne, Nanterre, Gennevilliers, Asnières, Meudon, Clichy, Rueil-Malmaison, Saint-Denis, Clichy-sous-Bois, Drancy, Neuilly-sur-Marne, Montreuil, La Courneuve, Bobigny, Bondy, Villepinte, Fontenay-sous-Bois, Orly, Champigny, Boissy-Saint-Léger… Toute la litanie des cloaques, pardon des territoires perdus de la République, pardon à nouveau, des territoires en reconquête républicaine comme le dirait Christophe Castaner, se dévide sous les yeux impuissants des policiers, hallucinés des patriotes, sous le regard veule des politiques et biaisé des journalistes.
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L'impréparation de la Commission européenne face au #COVID19 a été MEURTRIÈRE !
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Macron : le mensonge de trop
Par Grégory Roose, fondateur d’Adoxa.info ♦ Après avoir menti sur la dangerosité du coronavirus, sur les masques, sur les tests, après avoir infantilisé les Français, Emmanuel Macron a commis le mensonge de trop en déclarant que le virus était « imprévisible ».
Voici près d’un mois que la France entière est confinée. Seuls ceux qui font survivre le pays sont sommés de prendre le risque d’aller travailler, le plus souvent pour un maigre salaire. Lundi 13 avril, le Président de la République a annoncé au Français qu’ils étaient au milieu du gué : le confinement durera un mois de plus, marquant l’échec du pouvoir progressiste à les protéger autrement que par des moyens rudimentaires. Les conséquences pour notre économie seront catastrophiques, d’autant que d’autres pays d’Europe et du Monde, qui sont nous concurrents directs, sortiront de confinement plus rapidement. De nombreux Français se réveillent ce matin avec la gueule de bois. Seuls, reclus dans leur 16 m² au rez-de-Chaussée d’un immeuble défraîchi des années 80, il se sont levé tôt pour ne pas manquer les 25 minutes quotidiennes de soleil que laisse pénétrer les quatre imposantes colonnes minérales qui ferment la petite courette de cailloux qui prolonge l’unique fenêtre de leur studio. D’autres, entassés à cinq ou six dans leur appartement de 70 m² d’une ville de province, ne peuvent vraiment s’aérer ni pas profiter des paysages pourtant accessibles à 10 minutes de voiture. Des personnes âgées vivent seules chez elles, sans recevoir ni visite, ni courrier, ou si peu. Certaines sont peut-être mortes depuis des semaines dans la solitude et l’ignorance. Des infirmières, des médecins, des éboueurs, des caissières, des petits commerçants, artisans ou agriculteurs partiront ce matin au travail la boule au ventre, contraint et forcés d’aller travailler pour maintenir en vie un pays plongé dans un coma artificiel depuis près d’un mois…et pour un mois de plus.
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Tensions en banlieue parisienne : «une faillite de la gouvernance de notre pays», affirme Nicolas Bay
Nicolas Bay était l’invité des «4 Vérités» sur France 2 ce mercredi 22 avril. Le député européen RN accuse le gouvernement d’être responsable des tensions dans plusieurs communes de la région parisienne.
Nicolas Bay était Interrogé sur les échauffourées qui ont éclaté dans plusieurs quartiers des Hauts-de-Seine, mais aussi en Seine-Saint-Denis, ou encore à Toulouse, Strasbourg et en banlieue lyonnaise. Il estime que le gouvernement «a une part de responsabilité dans le laxisme qui fait que les délinquants peuvent sévir librement dans notre pays».
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Ramadan et mesures de confinement – Ces préfets qui se couchent devant l’islam
Ce n’est un secret pour personne : chaque année, à l’approche du ramadan, revient pour les autorités, surtout celles dont dépendent (théoriquement) les zones de non-France, la véritable hantise d’un embrasement des banlieues. Et plus encore en ces temps où, épidémie de coronavirus oblige, les mesures de confinement imposées par l’Etat interdisent formellement les rassemblements et célébrations religieuses. Mais certains préfets croient avoir trouvé la parade pour acheter la paix sociale : avouer d’emblée leur impuissance à faire respecter la loi…
Emmanuel Barbe, dhimmi parmi les dhimmi
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Crise : le passage des responsables devant le juge pénal est inéluctable, par Régis De Castelnau.
"Face à une telle tragédie, la colère sera immense et face à des milliers de plaintes pénales venant de toute la France, il faudra rappeler fermement au corps des magistrats, au nom de qui ils doivent rendre justice. Et ceux qui ont failli devront rendre des comptes.
Emmanuel Macron serait, nous dit le Parisien en « colère froide », excédé par ceux qui sur les plateaux de télévision critiquent sa gestion de la crise, et il considère comme « irresponsable » le fait de saisir la justice pour qu’elle identifie et condamne les fautes pénales commises par les décideurs publics dans la gestion de la catastrophe pandémique connaît notre pays. Ayant décidément du mal avec le débat démocratique, il se fait menaçant faisant dire à un de ces « chevaux légers » la chose suivante : « Quand cette crise sera passée, on aura tous à rendre des comptes. Tous sans exception. La majorité bien évidemment et c’est normal. Mais aussi tous ceux qui ont joué, à certains moments, à un jeu dangereux pour déstabiliser le pays dans une période où l’unité prévalait ».
Bigre, va-t-il demander au Parlement de voter un nouvel article du code pénal réprimant « l’intelligence avec l’ennemi Coronavirus » ? Inquiétantes rodomontades.