anti-national - Page 249
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L'ex lieutenant de Mélenchon agressé par les antifas
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GABRIEL MATZNEFF OU LE CONSENTEMENT... DES MÉDIAS
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Retour des djihadistes en France – Mortelle faiblesse, par Maxime Tandonnet
Le retour en France des djihadistes, ou membres de l’Etat islamique Daesh semble être à l’ordre du jour, à tout le moins envisagé. Ils sont au nombre de 200, détenus en Irak. Ce sont des individus qui ont participé à la commission de crimes abominables, ou les ont cautionnés par leur ralliement : extermination de populations civiles, enlèvements de jeunes filles à des fins d’esclavage sexuel, destruction de Palmyre, anéantissement de populations chrétiennes et Yazidies, tortures, crucifixions, spectacle médiatisé de prisonniers égorgés par des enfants, captifs brûlés vifs dans des cages, etc.
Les mêmes ont commandité les attentats commis en France depuis 2015 et 2016 et le massacre de 260 personnes. Ils ont commis des crimes contre l’humanité, ils ont trahi le pays dont ils avaient la nationalité en portant le fer et le feu contre lui.
S’ils reviennent en France, ils retrouveront tôt ou tard la liberté.
Ils provoqueront de nouveaux massacres. Par leurs crimes abominables, ils se sont, de fait, exclus de la communauté nationale.
Les recevoir sur le territoire français serait une lâcheté innommable.
Maxime Tandonnet
Texte repris du blog de Maxime Tandonnet
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Grand débat national : un an après, le contenu introuvable des cahiers de doléances
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Ultra-gauche terroriste
Depuis 2 ans, une dizaine d’incendies criminels ont eu lieu à Grenoble. Notamment l’incendie de l’église Saint-Jacques qui a été détruite.
Mais, comme les auteurs font partie d’un groupe d’ultra-gauche, le procureur n’avait rien fait jusqu’à présent.
Depuis deux ans une dizaine de bâtiments, publics et privés, ont été victimes de départs de feux, tous d’origines criminelles.
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Retraites : Macron nous promettait la révolution et on a eu la calculette
La dernière palinodie gouvernementale sur le retrait provisoire de l’« âge pivot » de 64 ans pour bénéficier à plein de sa retraite révèle que cette « révolution » à la suédoise d’une retraite par points n’était, une fois de plus, qu’un expédient comptable pour retrouver un équilibre budgétaire entre les cotisations et les prestations.
En grande partie déplumé par les mesures annoncées en faveur de certaines catégories et de leur régime spécial actuel, le volatile législatif poursuit sa course vers le Conseil des ministres puis l’Assemblée, avec un dialogue social en partie renoué en vue d’une conférence de financement. Ce qui était structurel dans l’intérêt supérieur du pays devient très conjoncturel avec l’horizon des présidentielles 2022, pour lesquelles il faut que la loi passe, quel qu’en soit le prix, et la difficulté pour les partenaires de l’État de trouver d’autres solutions à l’existence d’un « âge d’équilibre », le nouveau nom de l’« âge pivot », garantissant l’équilibre budgétaire en 2027.
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Prise en charge des mineurs isolés : « c’est 2 milliards d’euros en 2019 alors que c’était 50 millions en 2012. »
Réforme fiscalité locale : "Les mineurs isolés, c'est 2 milliards d'euros en 2019 alors que c'était 50 millions en 2012. Ce sont les départements qui sont en première ligne" @chavrier2023 #TerritoiresUnis
Les mineurs isolés sur Fdesouche
Complément :
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Édouard Philippe ne veut pas dévoiler les frais de ses ministres
Au fallacieux prétexte que les chiffres seraient trop compliqués à extraire des logiciels de comptabilité, l’homme fort de l’État-Macron n’entend pas révéler le détail des frais qui s’élèvent à 150 000 € chaque année et par ministre.
De quoi donner à l’ami Islamator, qui en a fait le 13e traître à la France de sa série hebdomadaire.
Après que le Conseil d’État-Macron a décidé que le contribuable n’a pas droit de regard dans les poches des députés, le premier de tous les ministres s’oppose vivement à rendre compte des frais de réception, d’organisation de points presse, de réception d’élus ou d’associations, de remise de prix ou de décorations, de déplacements et autres agréments de la vie ministérielle. En plus évidemment des confortables indemnités, cumuls et retraites spécialement dorées de la Gueuse, qui d’ailleurs ne font nullement tousser les défenseurs des pauvres et des opprimés, Mélenchon et Martinez.
Malgré les demandes réitérées de l’association NexInpact, via la Cada (Commission d’accès aux documents administratifs), il est impossible de savoir précisément pour quoi et pour qui sont évaporés chaque an les quelque 150 000 euros annuels pour un ministre, 120 000 euros pour un ministre placé auprès d’un autre ministre, et 100 000 euros pour un secrétaire d’État. Faites le compte sous le quinquennat du pléthorique appareil d’État-Macron : https://www.gouvernement.fr/composition-du-gouvernement (trombinoscope en prime).
À noter que NexInpact n’a pas formulé de vagues interrogations dans sa quête de l’utilisation de l’argent public, puisque l’Observatoire de l’éthique publique dispose d’une mine de renseignements sur le train de vie du gouvernement et de vœux (pieux ?) pour en exiger la transparence : http://www.observatoireethiquepublique.com/note-rendre-plus-transparent-le-train-de-vie-du-gouvernement/ source https://www.nextinpact.com/news/108585-le-gouvernement-incapable-detailler-frais-representation-ministres.htm
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Auchan supprime 517 postes: « L’hypermarché a fait rêver, mais c’est terminé »
L’enseigne nordiste Auchan a annoncé ce mardi matin la suppression de 517 emplois nets dans le cadre d’un projet de « réorganisation ». Depuis près d’un mois, l’inquiétude des salariés est grandissante et la menace d’un plan de départs volontaires plane sur le groupe. Les temps sont durs pour la grande distribution et particulièrement pour ses hypermarchés. En 2019, Auchan a affiché des pertes de plusieurs milliards d’euros. Carrefour de son côté a dû se résigner en 2018 à une saignée, en supprimant 7 500 emplois. Le modèle de ces mastodontes ne séduit plus et ils sont désormais contraints à s’adapter aux changements de comportement des consommateurs.
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Pédophilie, islam politique : l’aveuglement, un marqueur des soi-disant « élites » ?
Valeurs actuelles, dans son numéro du 9 janvier, consacre un article à l’affaire Matzneff intitulé « La gauche et la pédophilie, une histoire monstrueuse ».
Dans cet article, un court paragraphe consacré aux années 1970-1990 attire l’attention :
« Sous le feu des critiques de la presse conservatrice, les défenseurs de la pédophilie pratiquent alors la victimisation à outrance. Ils fustigent un « lynchage », « une chasse aux sorcières » et se comparent aux juifs persécutés durant la Seconde Guerre mondiale « On fabrique du pédophile sur mesure à jeter derrière les barreaux comme on fabriquait les juifs à enfourner », ose ainsi, en 1981, le plus influent journal homosexuel de l’époque, Gai Pied. Et le terme « pédophobie » fait même son apparition. En face, les opposants sont qualifiés au contraire de « puritains », de « réactionnaires », de « fascistes » et de « nazis ». »