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anti-national - Page 313

  • La mobilisation contre la PMA sans père et la GPA ne fait que commencer

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    Après le succès de la manifestation de ce dimanche, la Manif Pour Tous appelle ses partisans à ne rien lâcher.

    Voici le texte du communiqué de presse du 6 octobre :

    600.000 manifestants, venus de tous horizons, lancent avec succès la mobilisation contre le projet de loi de bioéthique. Plus que jamais : rien n’est joué.

    Devant l’affluence et la saturation du cortège, les autorités ont demandé aux organisateurs d’ouvrir des itinéraires alternatifs et aux manifestants de se rendre par tous les moyens possibles sur la place du 18 juin 1940 (Montparnasse) où des responsables associatifs, des témoins et des experts se sont relayés sur un podium pour dénoncer les conséquences du projet de loi. C’est le cœur de Paris, du Sénat à Montparnasse en passant par Port Royal qui a été envahi par une foule très dense, pacifique et déterminée à faire entendre la voix de la raison et de la justice pour les droits des enfants.

    La balle est désormais dans le camp d’Emmanuel Macron et du gouvernement. La Manif Pour Tous entend continuer, avec les associations partenaires du label « Marchons Enfants ! », à faire vivre cette mobilisation citoyenne massive. « Si le gouvernement s’entête et veut passer en force, il nous trouvera en travers de sa route » a déclaré Albéric Dumont, Vice-Président de La Manif Pour Tous. Il a aussi invité les manifestants à réserver dans leurs agendas les dimanches 1er décembre, 19 janvier, 8 mars, 17 mai et 14 juin. Ces dates seront confirmées et activées en fonction de l’attitude du gouvernement. « Le choix du gouvernement est simple : être à l’écoute des Français ou reproduire la méthode de François Hollande : mépriser les Français et diviser la société » résume Ludovine de La Rochère.

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  • Rassurant! à quand des attentats islamistes dans l'armée?

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    Frederic Lalann
    Il existe une mosquée à bord du porte-avions nucléaire Charles de Gaulle.
    Est-on en droit de se poser la question de la présence d’islamistes infiltrés à bord du navire amiral de la flotte militaire française ?
    Les langues se délient, des militaires démissionnent n'acceptant plus le comportement sectaire des musulmans sur les bateaux ,mais chut il faut pas le dire.
    En juin 1999, le journal L’humanité se faisait l’écho d’une mutinerie à bord du porte avion Foch
    Dans la Marine, les officiers n’oublieront pas de si tôt la mutinerie de 1999 à bord du porte-avions Foch.
    Une soixantaine d’engagés volontaires, tous de parents maghrébins, avaient pris en otage leur officier.
    Après s’être retranchés 2 jours dans la cafétéria du porte-avions, ils avaient dû être délogés par un commando de fusiliers-marins.
    Ces « beurs » réagissaient contre une punition collective infligée à la suite d’une rébellion survenue lors d’une mission au large de la Yougoslavie au cours de laquelle les Super-Etendards avaient effectué des frappes sur le Kossovo considéré par les recrues musulmanes comme un sanctuaire islamique.
    La marine a étouffé l'affaire.

  • Le combat ne fait que commencer

    Le combat ne fait que commencer

    En raison du nombre trop important de connexions, Le Salon beige est resté inaccessible une grande partie de l’après-midi. C’est un peu la rançon du succès. Vous pouvez retrouver une partie du direct sur cette page.

    Devant l’affluence et la saturation du cortège, les autorités ont demandé aux organisateurs d’ouvrir des itinéraires alternatifs et aux manifestants de se rendre par tous les moyens possibles sur la place du 18 juin 1940 (Montparnasse) où des responsables associatifs, des témoins et des experts se sont relayés sur un podium pour dénoncer les conséquences du projet de loi. C’est le cœur de Paris, du Sénat à Montparnasse en passant par Port Royal qui a été envahi par une foule très dense, pacifique et déterminée à faire entendre la voix de la raison et de la justice pour les droits des enfants.  

    La balle est désormais dans le camp d’Emmanuel Macron et du gouvernement. La Manif Pour Tous entend continuer, avec les associations partenaires du label « Marchons Enfants ! »,  à faire vivre cette mobilisation citoyenne massive. « Si le gouvernement s’entête et veut passer en force, il nous trouvera en travers de sa route » a déclaré Albéric Dumont, Vice-Président de La Manif Pour Tous. Il a aussi invité les manifestants à réserver dans leurs agendas les dimanches 1er décembre, 19 janvier, 8 mars, 17 mai et 14 juin. Ces dates seront confirmées et activées en fonction de l’attitude du gouvernement. « Le choix du gouvernement est simple : être à l’écoute des Français ou reproduire la méthode de François Hollande : mépriser les Français et diviser la société » résume Ludovine de La Rochère.

    Les équipes techniques de La Manif Pour Tous demandent à avoir accès aux vidéos de la préfecture de police sur l’ensemble des itinéraires de la manifestation « Marchons Enfants ! » L’estimation donnée ce soir par les autorités est manifestement déraisonnable et en contradiction avec les échanges opérationnels entre le poste de commandement de la manifestation et la Préfecture de Police.

    Même si elle déplait au gouvernement, l’enjeu de cette mobilisation mérite la vérité.

    Les Etats généraux de la bioéthique ont été bafouées par le gouvernement. Mépriser aujourd’hui les manifestants ne pourra que conduire à renforcer leur détermination et à amplifier la mobilisation dans la durée.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-combat-ne-fait-que-commencer/

  • On s’en fout, de Castaner ! Là n’est pas le problème…

    Au passage, Macron ne le garde que parce que c’est un fidèle entre les fidèles et que personne n’acceptera un job pareil dans le contexte actuel.

    On découvre que la Terre est ronde, c’est-à-dire que les salafistes sont les responsables de tout cela. Quelle découverte, chacun le sait depuis belle lurette.

    On découvre que tous ces « radicalisés » sont des « faibles d’esprit ». Comment être « normal » quand on accepte de telles idéologies ?

    Ce qui frappe, dans cet épisode de plus, c’est qu’au fond, il n’y a rien de nouveau. Rien que nous ne connaissions déjà.

    Ce qui est beaucoup plus grave, dans cette horrible affaire, c’est que ce musulman radical ait pu taper au cœur même de la sécurité nationale – la préfecture de police de Paris – et qu’il a pu avoir accès aux bases de données les plus secrètes du pays.

    Tenez, je vais vous raconter une petite histoire vraie.

    Un très cher ami et moi, nous animons un petite blog très local La petite souris normande. Nous ne nous privions pas de dénoncer un tas de choses inadmissibles dans une « ville nouvelle » largement investie par ce que l’on devine, la traduction évidente en étant, notamment, une incroyable concentration de voitures grosses cylindrées, généralement de marque allemande.

    Bref, vous voyez ce que je veux dire.

    Il y a environ cinq ans, le webmaster a reçu la visite de la police locale. Ses coordonnées précises ainsi que celles de son frère avaient été repérées dans l’ordinateur d’un salafiste interpellé pour trafic de…

    La police a demandé de suspendre le blog, par prudence. Principal contributeur sous divers pseudos, j’en ai été naturellement informé et nous avons cessé toute activité pendant deux ans.

    J’ai eu peur, non pour moi, mais pour mes enfants, car nous sommes face à des terroristes, des « fous », des monstres.

    Les gens de ma génération ont connu d’autres temps et d’autres responsables. Il est évident que du temps de Pasqua, la question serait réglée depuis longtemps, en toute discrétion, sans que les médias n’en entendent parler.

    Et à la grande satisfaction des « vrais musulmans », ceux qui ne demandent qu’à vivre leur religion en paix. C’est du moins ce qu’ils disent.

  • Le discours écolo est une imposture

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°225 – septembre 2019)

    Nous ne nions pas, pour ce qui nous concerne, l’importance de la question environnementale. Il est très probable que l’activité humaine soit à l’origine du réchauffement climatique, lequel réchauffement aura sans doute d’importantes conséquences négatives.

    L’activité humaine a commencé à peser sur l’environnement avec la révolution industrielle au milieu du 19e siècle. L’effet s’est très fortement amplifié avec la mise en place en Occident de la société de consommation, suivie de sa mondialisation. L’explosion démographique mondiale constitue un autre facteur majeur de la dégradation de l’environnement, sinon désormais le plus considérable.

    En outre la société de consommation et l’agriculture moderne ont un impact sanitaire direct et sont très probablement à l’origine de la plupart des cancers. Enfin la société moderne a de multiples effets néfastes sur l’environnement visuel et les paysages. Pour toutes ces raisons, du fait également de ses conséquences sociétales destructrices, la société de consommation nous paraît constituer une catastrophe globale. Il en va de même de la mondialisation.

    Ceci posé, la mobilisation de l’opinion et de la classe politique sur le sujet de l’environnement nous paraît fortement critiquable.

    • En dépit de son discours désormais écolo, la classe dirigeante n’a évidemment aucune intention d’opérer un quelconque changement significatif

    Cette mobilisation environnementale, tout d’abord, ne constitue qu’un simple discours : la logorrhée écolo ne se traduira par aucun changement important. Et pour cause des réformes écologiques véritables supposeraient de remettre en cause l’économie générale du système et la société de consommation dans son ensemble. Une réorientation écologique impliquerait que la classe dirigeante abandonne, en vue de l’intérêt général, une organisation économique et sociale dont elle tire le plus grand profit. Qu’elle renonce en d’autres termes à des gains privés, certains et immédiats, au nom d’un bénéfice collectif et avec l’espoir de résultats aléatoires et lointains. Dans ces conditions la réorientation souhaitable n’a évidemment aucune chance d’intervenir.

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  • Enseignants : voyage au bout de la nuit

    On sait que les suicides sont, hélas ! voués à de fatales imitations, parfois inexplicables quand elles sont simultanées.
    Il y a une semaine, la directrice d’une école maternelle de Pantin, Christine Renon, se donnait la mort. Elle était en fin de carrière, et son épuisement extrême, aggravé par l’incompréhension totale de ce qui se passe sur le terrain, de la part d’une hiérarchie caparaçonnée dans son mode de gestion bureaucratique, l’avait enfermée, emmurée, dans sa solitude, son désespoir, sa révolte ultime.
    Frédéric Boulé était, lui aussi, en bout de carrière.
    À bout de souffle.
    À bout de vie.
    Professeur de SVT au lycée international de Valbonne (Alpes-Maritimes), il a été écrasé par une logique mortelle, celle d’un face-à-face avec un système scolaire absurde, impitoyable. Lui n’a pas écrit de lettre pathétique. Il a préféré en finir dans le silence, le même jour que sa collègue de Saint-Denis. Cinq jours avant sa mort, il avait rencontré le médecin de prévention du rectorat.
    Que s’étaient-ils dits ?
    Les professionnels de santé, dans ce milieu pathogène qu’est l’Éducation nationale, dont la schizophrénie crée des conditions de dérives mentales parmi élèves et enseignants, sont confrontés massivement à des problèmes souvent insolubles.
    Combien de professeurs se sentent-ils pris au piège, comme des rats, la boule au ventre, le noir de la désespérance submergeant leur esprit, sans lumière qui point dans un horizon bouché comme un ciel ravagé ?
    Combien ont-ils vu leur idéal brisé par la démagogie des pédagogues irresponsables, par une administration tatillonne et aveugle, par l’indifférence du système aux épreuves qu’ils subissent pour tenter de délivrer leur savoir à des populations de plus en plus déséquilibrées, déstabilisées par une sous-culture mortifère, hostiles à la culture, à l’effort intellectuel, au livre, au savoir scientifique, historique ?
    Il est des lieux où cinq minutes de silence approximatif constituent le summum de l’ambition. Mais, plus généralement, une force surhumaine est nécessaire pour se faire, tout simplement, écouter. Et pas seulement par les élèves allogènes !
    La peste de l’inculture agressive frappe tout le monde, y compris les enfants « de souche ». C’est une pandémie barbare, que les idéologues ne veulent pas voir, quand ils ne la cautionnent pas par des préceptes égalitaristes, laxistes et « bienveillants » ineptes. C’est un ver tenace qui ronge, qui a rongé les fondements d’un édifice vermoulu, autrefois prestigieux.
    Qui se souvient que l’École française était la meilleure du monde ?
    Et ce n’est pas un remède somatique psychosomatique, à base de « communication », de réunions entre « spécialistes », de « stages de gestion de classe », de trucs pédagogistes, qui guérira cette plaie, de plus en plus virulente.
    Il faut de l’autorité, il faut rétablir la sélection, il faut sanctionner vraiment, il faut réformer, voire révolutionner, l’institution scolaire.
    Claude Bourrinet

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/enseignants-voyage-au-bout-de-la-nuit.html#more

  • L’égalitarisme fait le lit de l’islamisme. Résistons !

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    Alors que le processus hystéro-progressiste d’abolition de la liberté de pensée et d’expression se poursuit en France, le pronostic vital de la civilisation occidentale est engagé.

    L’arme pénale permet à l’État de s’arroger le monopole de son prêt-à-penser comme celui des « fake news ». Saturé d’influences mondialistes, le noyau activiste du quasar macronien dépense dans le vide son trop-plein d’énergie juvénile. Selon Gustave Le Bon (1841-1931), « l’autorité sans la compétence est aussi impuissante que la compétence sans l’autorité » (1). Or, le pouvoir en place cumule les deux tares. Ce sociologue a été vivement critiqué pour avoir démontré des différences entre les civilisations selon leur niveau de développement, sans hiérarchie ni racisme.

    Malgré cette évidence, l’égalitarisme dictatorial actuel nie les différences pourtant réelles et souhaitables. Il produit une indifférence aveugle, froide et déshumanisante, sans attention faute de distinction, ni attachement faute d’intérêt – envers les êtres humains, les idées, les valeurs, le bien et le mal.

    C’est ainsi que l’islamisation de la France « progresse », est « en marche ». Déjà dénoncé ici et , le grignotage de l’espace public par la loi et le financement occulte a été illustré récemment par le reportage télévisé d’Arte « Qatar, guerre d’influence sur l’islam d’Europe ». Parmi les révélations, le versement de 400.000 euros d’un projet de mosquée à Poitiers. Par ailleurs, lors de la Convention de la droite du 28 septembre dernier, Jean-Frédéric Poisson a attesté l’existence d’un plan d’installation de la charia en Europe, entériné en 2000 au Qatar par l’Organisation de la conférence islamique (OCI).

    Il est donc urgent de rendre aux différences leur droit de cité et leur potentiel d’appréciation. N’en déplaise aux toupies qui s’expriment sans légitimité sur des sujets de société qui les dépassent et outrepassent leurs responsabilités gouvernementales, l’égalité n’existe nulle part dans le monde du vivant, qui ne connaît pas l’expression « toutes choses égales par ailleurs ». L’égalitarisme est une illusion délétère, qui avive les frustrations et occulte le vrai sens de la justice et de la vérité. Selon la doctrine catholique, « le modèle [pour la paix sociale] n’est pas la sphère, qui n’est pas supérieure à la partie, où chaque point est équidistant du centre et où il n’y a pas de différence entre un point et un autre. Le modèle est le polyèdre, qui reflète la confluence de tous les éléments partiels qui, en lui, conservent leur originalité » (2).

    Des intellectuels, y compris chrétiens, se résignent à ce que la France soit un pays athée et que les chrétiens français n’aient d’autre choix que de se marginaliser. Or, la France a été déjà largement déchristianisée depuis le XIXe siècle mais la culture chrétienne s’est maintenue. De plus, il est faux de dire que la France serait en voie de devenir athée : elle est en train de se laisser islamiser. Or, l’islamisme n’est pas un bloc homogène et sa principale faiblesse réside, outre dans ses outrances violentes, dans son manque de cohésion ; ainsi le « qatarisme » des Frères musulmans est considéré comme un « catharisme » par les autres mouvances fondamentalistes.

    L’abdication n’est donc pas inexorable. Il est moral et possible de résister, sans paranoïa ni naïveté, en exploitant les incohérences du progressisme et l’incohésion de l’islamisme. Question de conscience et d’exigence chrétiennes.

    (1) La Psychologie des foules, Gustave Le Bon, PUF, 2013

    (2) Evangelii Gaudium, pape François, 2013

    Jean-Michel Lavoizard

    https://www.bvoltaire.fr/legalitarisme-fait-le-lit-de-lislamisme-resistons/

  • Watergate suite à l’attentat de la préfecture de police de Paris : la conférence de presse du parquet national antiterroriste est juste effroyable.

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     Tout le monde savait mais personne n’a rien fait.. Le syndicat France Police – Policiers en colère sort de son silence et livre un constat sans concession
    1. Le naufrage des services de renseignement a été rendu possible par deux facteurs :
    – La destruction du renseignement par l’absurde fusion Renseignements Généraux (RG) et Direction de la Surveillance du Territoire (DST) imposée par Nicolas Sarkozy à des fins politiciennes.
    – La police politique de la pensée unique qui interdit de soupçonner un converti de radicalisation et d’enquêter sur lui, faute de quoi l’on est immédiatement traité d’islamophobe.
    2. La politique en matière de renseignement conduite par l’ancien directeur de la DGSI et actuel n°2 du ministère de l’Intérieur, Monsieur Nunez, qui a orienté les missions des services secrets vers la lutte contre ses opposants politiques en tant que militant Lrem, à savoir les Gilets jaunes, au détriment de la lutte antiterroriste.
    3. L’obsession du gouvernement à ordonner systématiquement des enquêtes IGPN dès qu’une banale intervention de police critiquée nuit à ses intérêts politiques plutôt que de se concentrer sur les collègues présentant une réelle menace pour la société.
    4. Un système législatif très protecteur des personnes radicalisées qui rend particulièrement compliqué leur révocation de la fonction publique.
    5. Une hiérarchie médiocre, en dessous de tout, obsédée par les primes et les avancements, qui ne veut surtout pas faire de vague et produire du chiffre pour favoriser la carrière.
    Si les oppositions appellent à la démission de Christophe Castaner, il va de soit que sa démission ne réglera pas tout.
    Monsieur Nunez doit également faire sa valise.
    En outre, c’est toute l’organisation des renseignements qui doit être revue de fond en comble, à commencer par l’IGPN, transformée en arme de communication massive par la Macronie.
    On comprend mieux pourquoi le président Macron ne voulait plus être protégé par la police nationale mais plutôt par des gardes du corps privés à la sauce Benalla.
    Lorsque l’on voit le degré d’infiltration de nos services par des personnes radicalisées, l’affaire Riss en octobre 2018 en est la preuve, on s’aperçoit de l’ampleur du chantier..
    Michaël Harpon était notre frère d’arme, du moins le croyait-on.
    Aujourd’hui le syndicat France Police Policiers en colère ne demande pas de faire la chasse à nos collègues musulmans dans la police nationale mais uniquement de révoquer ceux qui sont en lien avec la mouvance radicale.

  • Le cancer islamiste n’a pas fini de frapper

    Le drame de la préfecture de police est un coup de semonce terrible qui va ébranler durablement tous les services de renseignement et nous obliger collectivement à une remise en cause des certitudes en matière de sécurité.

    Face au cancer de l’islamisme, le moindre doute est coupable : il faut écarter des services de police et de gendarmerie tout suspect.

    Prendre le moindre risque, c’est à l’évidence mettre en péril la vie d’hommes et de femmes, mais c’est aussi fragiliser les services en dépit des règles de cloisonnement, axiome de base de tout service de renseignement.

    En juin 2019, le rapport parlementaire d’Éric Diard et Éric Poulliat avait souligné que la radicalisation dans les services publics n’était pas alarmante mais qu’il était nécessaire d’être vigilant. Nous en avons la preuve aujourd’hui !

    Les deux députés reconnaissent qu’en l’état du droit, il est difficile d’agir pour déplacer l’agent d’un service sur de simples soupçons, l’agent bénéficiant de garanties légales en raison de son statut de la fonction publique.

    C’est très certainement sur ce point que le législateur devra se pencher à nouveau. Il ne s’agit pas de mettre en place une « loi sur les suspects » comme au temps de la Convention nationale, loi du 17 septembre 1793, mais bien de prévenir. Écarter des postes sensibles tout individu en voie de radicalisation est une nécessité.

    Il reste à découvrir cette radicalisation, tant il est vrai que la dissimulation est l’art des djihadistes, la « taqiya » qui n’est pas seulement pratiquée par les chiites mais par les sunnites également.

    Le cancer de l’islamisme n’a pas fini de frapper, il faut en avoir conscience, le meilleur remède contre cette idéologie fanatique et mortelle est de sortir des béatitudes des bien-pensants et de la naïveté du politiquement correct !

    Vaste programme !

  • La Nouvelle Librairie vandalisée avant la venue de Jean-Marie Le Pen

    jean-marie le pen.JPGL'établissement spécialisé dans les publications nationalistes situé dans le VIe arrondissement de Paris a été attaqué avant la venue de Jean-Marie Le Pen. La librairie, déjà dégradée en février dernier, a néanmoins maintenu la venue du «Menhir».

    La Nouvelle Librairie, située dans le VIe arrondissement de la capitale, a été victime, ce 4 octobre, d’une attaque alors qu’elle devait recevoir le jour même l’ancien président du Front national Jean-Marie Le Pen pour une séance de dédicaces et de rencontre avec le public.
    «Dans la France de 2019, on attaque une librairie ! Heureusement, nous ne déplorons que des dégâts matériels (nos vitrines brisées). Nous ne nous tairons pas !», pouvait-on lire sur le compte Twitter de la librairie.
    [...]
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