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anti-national - Page 405

  • Les évêques européens contre les « populismes »

    Les élections européennes approchent et les européistes s’affolent. Cette échéance électorale risque d’être désastreuse pour eux et de profiter aux partis souverainistes et « populistes ».

    Pour contrer une possible défaite des partis du sacro-saint « progrès », toutes les bonnes consciences ecclésiastiques viennent à leur rescousse. Après le Chemin de Croix pro-migrants du pape François, c’est au tour du président de la COMECE(Commission des Épiscopats de l’Union Européenne), Mgr Jean-Claude Hollerich, de s’engager ouvertement pour sauver une Union Européenne ouverte et pluraliste.

    L’actuel archevêque du Luxembourg, jésuite comme El papa argentin, ne supporte pas les « populismes » ni les souverainistes. Et il le dit dans un long texte publié dans le dernier numéro de la revue de la Compagnie de Jésus, La Civiltà Cattolica, dont les épreuves sont supervisées par la Secrétairerie du Vatican avant impression et dont le directeur, le père Antonio Spadaro, est un des proches conseillers du pontife actuel.

    Cette intervention de Mgr Jean-Claude Hollerich, chapeauté donc par la sphère bergoglienne, vise à orienter le vote des électeurs européens. Il ne s’agit pas d’un document rappelant la doctrine sociale de l’Église et des principes politiques intemporels mais bien d’une ingérence cléricale dans le jeu politique pour favoriser un certain courant progressiste et immigrationniste au détriment de l’autre, plus identitaire.

    Les attaques de Mgr Hollerich se caractérisent aussi par leur dureté envers les partisans du souverainisme : pour lui faire de la politique en se basant sur « les peurs » est un moyen « infâme » d’agir, les populismes d’ailleurs « écartant les problèmes réels » et minant le processus d’intégration européenne. Le président de la Comece n’hésite pas à pointer du doigt l’américain Steve Bannon et le russe Aleksandr Dugin, « prêtres de ces populismes ». Il condamne le Brexit « certainement un échec, un manque de dialogue franc et profond » et estime que l’identité européenne est « bien différente d’un passeport ». A 40 jours du vote pour le renouvellement de l’Euro-parlement, Mgr Hollerich voit dans les populismes une menace pour la démocratie :

    « Les peurs dans l’Europe de nos jours sont multiples et bien mélangées, elles conduisent, avec la montée des populismes, à une déstabilisation de nos démocraties et à un affaiblissement de l’union européenne. »

    L’évêque de Luxembourg continue son analyse des politiques nationales et familiales mises en avant par les mouvements identitaires et anti-immigration sur cette lancée simpliste et réductrice : « le sentiment de bien-être semblant avoir disparu », « certaines politiques populistes en profitent et donnent un nom aux objets de ces peurs qui peuvent ainsi se transformer en agressivité », les ennemis devenant alors « les migrants, l’islam, les juifs, etc. Un jeu infâme. »

    Et de conclure avec la ritournelle culpabilisante de l’Européen anti-immigration : l’urgence migratoire est « une honte pour l’Europe », la mer étant devenue « un mur de séparation faite d’eau » et « un immense cimentière ». Mais pire que les gouvernements qui ne veulent pas affronter ces urgences migratoires, ce sont ceux qui les agitent, accuse-t-il sans les nommer, pour construire « des identitarismes, des populismes, dans lesquels la nation devient un fantôme du passé » : ces derniers « veulent éloigner les problèmes réels, organisant des danses autour du veau d’or ».

    Pires que les politiciens francs-maçons, athées, vendus au mondialisme apatride, ce sont ces ecclésiastiques qui délaissent leur troupeau et ses intérêts pour plaire au monde et à ses œuvres, pour se soumettre à la mondanité du politiquement correct.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/les-eveques-europeens-contre-les-populismes/107603/

  • Yvan Benedetti face à la répression​

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    Un communiqué de Jeune nation :

    Condamné en 1ère Instance en juillet de l'année dernière à 4000 € d'amende ou 80 jours de prison, Yvan Benedetti sera de nouveau jugé en appel mardi 7 mai à 16h, à Lyon.

    Il est poursuivi au motif de « reconstitution et maintien » de ligue dissoute ce qui constitue selon la citation qu’il a reçue, d’inversion accusatoire, « un crime contre la Nation et une atteinte à la sureté de l’Etat ». Durant l'enquête, devant les policiers, puis devant le juge d'instruction et enfin devant le tribunal, Yvan Benedetti a toujours réaffirmé la permanence de l'Œuvre française et à travers l'Œuvre, celle du nationalisme, et à travers le nationalisme, celle de la France! N'a-t-il pas déclaré haut et fort qu’ « à moins de le dissoudre dans l’acide, il ferait toujours face » et que « l'Œuvre française est comme la braise qui continuerait à luire alors que l'on ne parlerait plus ni de Valls ni Hollande » responsables de la dissolution. Aujourd'hui François Hollande n'est plus qu'un ancien président et Manuel Valls a déserté le champ de bataille, pour continuer ses activités à l'étranger.

    Avant cela, le 25 avril, Yvan Benedetti est convoqué devant des membres de la commission parlementaire en charge des « violences d’extrême droite » pour y être entendu. Cette commission, constituée à la demande de la France Insoumise, regroupe des députés de l’ensemble des groupes siégeant à l’Assemblée prétendument nationale et est présidée par le député de l’Hérault du parti du Frère Mélenchon Mme Muriel Ressiguier, issue d’une famille communiste, elle-même ancienne militante de « Ras l’Front ». Elle s’est distinguée en demandant notamment en mars 2018 au président de leur république la dissolution de la « Ligue du midi » du camarade Roudier et en réclamant, auprès de la mairie de Montpellier, la suppression des subventions accordées pour les fêtes patronales « Saint-Roch » de cette ville. Personne n’oserait mettre en doute la parfaite impartialité d’un tel personnage… Rappelons que siège notamment dans cette commission le député Meyer Habib, qui faisait partie des agresseurs du cortège traditionnel en honneur de Sainte Jeanne d’Arc, organisé par l'Œuvre française, en 1988, attaque au cours de laquelle a été blessé Yvan Benedetti.

    C’est toujours ce même procédé d’inversion accusatoire, utilisé sans vergogne par les mêmes, contre les mêmes, dans l’intérêt des mêmes…

    Ni les menaces, ni les convocations parlementaires, ni les procès ne feront jamais baisser la tête de ceux qui sont engagés dans le combat pour le rétablissement de la France. Encore faut-il que nous soyons unis et solidaires. C’est ainsi que nous serons plus forts.

    Si vous voulez aider Yvan Benedetti, confronté une fois de plus à la répression, trois possibilités:

    En venant le soutenir au Tribunal des 24 colonnes, cour d'Appel dans le Vieux Lyon, le mardi 7 mai à 16h.
    En relayant l’information car il faut alerter.
    En participant aux frais de justice.

    Par chèque ou espèces à l’adresse suivante : Les Natios – Yvan Benedetti 4 bis rue Caillaux 75013 Paris (Chq à l’ordre d’Yvan Benedetti)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/22/yvan-benedetti-face-a-la-repression%E2%80%8B-6145558.html

  • “La fraternité forcée c’est la guerre perpétuelle”

    BABEL.jpgInvité de Cnews le 22 avril Nicolas Bay, député européen RN et co-président du groupe ENL, rappelait dans le cadre des persécutions judiciaires dont les nationaux sont la cible que la juge Claire Thépaut, qui venait d’auditionner Marine Le Pen,  « était responsable en Ile-de-France du Syndicat de la Magistrature (extrême -gauche) à qui on doit le Mur des Cons et qui appelle à voter contre le RN. » Mais est-il permis d’émettre des doutes sur la parfaite impartialité de la justice? Et d’ailleurs s’interroger, questionner, inviter à la prudence n’est-ce pas déjà désobéir ? L’inénarrable Thomas Legrand, débusqueur en chef de complotistes et autres déviants, mettait en garde dans son éditorial ce matin sur France inter contre les remarques insidieuses de  certains politiques. Ceux qui,  « à l’évidence semblent regretter que l’incendie de Notre-Dame ne soit pas d’origine criminelle », même si pour l’instant l’enquête n’est pas bouclée. Mais un acte délibéré est jugé improbable par  les spécialistes ajoute-t-il. Ainsi, il est permis de  s’interroger, mais  « s’interroger pour supputer que l’on nous cache quelque chose » c’est mal car il est « manipulatoire de laisser entendre que l’hypothèse terroriste est laissée de côté. »

    Au nombre des mauvais esprits, Thomas Legrand a pointé NDA et l’excellente tête de liste du RN aux élections européennes, Jordan Bardella, qui lui aussi aurait aussi enfourché le «mauvais cheval » du «révisionnisme», du raisonnement au «glissement perfide». Et ce, rendez-vous compte, à l’heure ou il est établi que les fake news circulent plus vite que les vérités établies sur un évènement donné… ce qui permet« aux démagogues sur la planète de remporter élection sur élection.» CQFD! Il est fort ce Thomas Legrand et pas démago et simpliste pour un sou,  lui…

    Pourtant, invité de l’émission Dimanche en politique sur France 3,  Jordan s’est contenté de dire qu’ «On a le droit de se poser des questions. Était-ce un accident, était-ce quelque chose de volontaire ? Ce sont des questions que je me suis posées. On a appris hier en fin de journée que la piste de l’accidentel était privilégiée, je m’en réjouis. Mais moi je revendique dans notre pays, quand il y a des faits comme cela, de s’interroger », « Or, on voit ce glissement très facile avec notamment les incriminations aux fake news. Dès que vous ne partagez pas l’avis de LREM ou de certains journalistes, tout de suite, vous êtes cloué au pilori. »

    Didier Rykner, qui anime le remarquable blogue La tribune de l’Art, notait le 22 avril qu’il existe aussi des faits parfaitement étayés qui sont «pourtant terribles pour le pouvoir», qui ont été révélés « par la presse italienne (et) rapidement relayée par Marianne (…). Ce journal a publié une interview de Paolo Vannucci, professeur d’ingénierie mécanique à l’université de Versailles qui révèle qu’une étude financée par le CNRS (donc l’État) avait été réalisée en 2016 sur la sécurité de Notre-Dame de Paris, notamment dans l’éventualité d’une attaque terroriste.»

    «Et les conclusions de cette étude ont été sans appel dit-il :  le risque d’un embrasement de la toiture existait, et  il fallait absolument la protéger et installer un système d’extinction . Il ajoute également :  En vérité, il n’y avait pratiquement aucun système anti-incendienotamment dans les combles où il n’y avait aucun système électrique pour éviter les risques de court-circuit et d’étincelle. Mieux encore :  même la foudre aurait pu déclencher un feu et il [aurait] donc [fallu] installer tout un système de prévention. Nous avons joint le professeur Vannucci qui nous a confirmé qu’il n’y avait pas de détecteurs de fumée ou de chaleur. Comme le professeur Vannucci l’affirme :  le gouvernement était tout à fait au courant ».

    «Mais il y a une autre conséquence que l’on doit tirer de la révélation de ce rapport : elle porte sur le rôle à venir de l’UNESCO, ou plutôt de sa présidente actuelle Audrey Azoulay. Car (l’UNESCO) va jouer un rôle majeur dans cette affaire, la cathédrale étant patrimoine mondial de l’humanité, (…) À ce titre, l’UNESCO aura des préconisations à fournir, une surveillance à faire et des aides à apporter. Et Audrey Azoulay ne se prive d’ailleurs pas de parler dans la presse, par exemple dans le Journal du Dimanche. Elle vient entre autre y donner déjà son avis sur la restauration en omettant de signaler le classement monument historique et en ne faisant aucune allusion à la charte de Venise.Or (…) Audrey Azoulay était ministre de la Culture en France (…) du 11 février 2016 jusqu’au 17 mai 2017 (…) lorsqu’il a été décidé de ne pas diffuser le rapport du professeur Vannucci et, beaucoup plus grave, de ne prendre aucune mesure de protection complémentaire du monument.».

    Mesures de protections hélas que n’ont pas su ou pas pu prendre non plus les autorités du Sri Lanka pour empêcher le terrorisme islamiste de frapper à Pâques , fête de la résurrection qui est souvent la cible des fous d’Allah.

    Au Sri Lanka, selon le dernier bilan rapporté par LCI, « la messe de Pâques a été marquée par huit explosions survenues dans des églises et des hôtels, faisant près de 310 morts et au moins 500 blessés.». «Selon les premières investigations, a rappelé le Salon Beige, sept kamikazes ont perpétré cette tuerie (…).  L’ampleur du carnage et le degré d’organisation apparaissent comme très au-delà de la portée du National Tawheed Jamaath, un groupe qui passe pour l’initiateur des attentats. Formé récemment, le NTJ était jusqu’à présent peu connu et, si ses tendances radicales ne font pas de doute, il s’était contenté d’actions de faible envergure. Les policiers le soupçonnaient d’être à l’origine de destructions de statues bouddhiques ou de dégradations contre des temples en 2018. »

    «(Le NTJ) serait majoritairement composé de jeunes Sri-lankais, fraîchement sortis d’écoles coraniques (…). Ce passage au djihad pourrait avoir été facilité par le retour dans leur pays de Sri-Lankais partis combattre aux côtés de Daech (Etat Islamique) en Syrie et en Irak. Les services de renseignements sri-lankais avaient reçu, il y a deux semaines, une alerte sur un risque d’attentats en provenance des services de surveillance d’un pays étranger.»

    Le quotidien La Croix souligne que «Ces attentats, parmi les plus meurtriers de ces dernières années, sont avant tout perçus comme une volonté de cibler les chrétiens.» Ces derniers, descendants de pêcheurs mais aussi des Tamouls des plantations de thé convertis au XVIe siècle par les missionnaires portugais, ne représentent que 7% de la population. Ils sont moins nombreux que les musulmans, les maures sri lankais, descendants des marchants arabes installés au Sri Lanka entre le VIIIe et le XVe siécle, au nombre de deux millions sur l’île, environ 10% des habitants .

    «Pour le journaliste S. Lakshmi, du Colombo Telegraph, il s’agit d’ une attaque contre les relations interreligieuses et la tolérance au Sri Lanka . La situation  risque d’attiser les tensions religieuses et les violences , alerte pour sa part Ruki Fernando, défenseur catholique des droits de l’homme dans le pays.« Les relations entre musulmans et chrétiens ont toujours été très cordiales ; les tensions religieuses ont été concentrées entre bouddhistes et musulmans, et entre bouddhistes et chrétiens. » Par le passé, « la guerre était d’abord liée à un conflit ethnique, elle ne reposait pas sur des bases religieuses. »

    Certes, ces attaques terroristes visent aussi un pays qui a connu de 1972 à 2009 une guerre ethnique entre Cinghalais bouddhistes (70 à 74% des environ 21 millions d’habitants ) et Tamouls hindouistes réclamant l’indépendance (13 à 15% de la population) qui fit près de 100 000 morts.

    Un conflit qui fut aussi un drame de l’immigration car les tensions ont eu pour point de départ le transfert sur l’île par les colonisateurs britanniques de Tamouls originaires du continent indien auxquels ils ont accordé alors de nombreux avantages. Les Tamouls venus à l’origine pour des raisons économiques ont donc voulu au fil du temps fonder un Etat malgré l’opposition des autochtones cinghalais.

    Un enseignement de l’Histoire qui mérite là aussi réflexion à l’ère du vivre-ensemble, du multiculturalisme-immigrationnisme obligatoire, et constate Bruno Gollnisch, de la criminalisation accélérée de tous ceux qui émettent des doutes sur ses conséquences. Le  regretté Yvan Blot,  qui nous a quittés en octobre dernier, citant le cas du conflit au Sri Lanka (voir son article Paix civile ou guerre des ethnies, dans l’ouvrage collectif Penser l’antiracisme) mettait en garde il y a vingt ans déjà sur la violence des sociétés hétérogènes. «Certes il existe des périodes  de paix  dans la coexistence des ethnies (…) mais ces périodes sont provisoires. Par des mécanismes, à vrai dire mal connus, l’intolérance finit toujours par se développer à un moment ou à un autre, de façon endogènes et le conflit éclate.»

    Et en bon libéral, il citait l’économiste Frédéric Bastiat (1801-1850) : «si je considère nos relations avec les étrangers, je ne vois pas non plus d’autres règles prudentes, solides, acceptables pour tous, que la justice. Soumettre ces relations au principe de la fraternité forcée, c’est décréter la guerre perpétuelle. (…) Singulière fraternité. Il y a longtemps que Cervantès en a personnifié la vanité ridicule.» A méditer par tous les Don Quichotte de l’Europe-bruxelloise-de-la-tolérance, de la macronie, de France Inter, du Syndicat de la Magistrature et autres adeptes des sociétés grandes ouvertes, béantes et béates…

    https://gollnisch.com/2019/04/23/la-fraternite-forcee-cest-la-guerre-perpetuelle/

  • Après les néo-nazis et autres populistes, voilà les complotistes !

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    Suite au dramatique incendie de Notre-Dame de Paris, le terme « complotiste » revient maintenant régulièrement ; pourquoi ? Parce que ces “dictateurs” de la pensée s’offusquent que l’on puisse envisager différentes hypothèses sur l’origine de l’incendie ; eh bien non, c’est interdit ! Il n’y en a qu’une seule, et puis voilà !

    Pourtant, il s’agira, comme dans toute enquête policière, de savoir si c’est un accident, un acte prémédité ou non, voire un attentat. Et seront prélevés un maximum d’indices qui amèneront à telles ou telles suppositions ; des témoignages vont venir conforter des hypothèses ; des relevés se feront, des interrogatoires auront lieu, puis décisions de justice avec écoute d’experts, plaidoiries, bref, tout un long trajet pour tenter au mieux de saisir la vérité sur le déroulement d’un fait.

    C’est ce qui se déroulera, du moins faut-il l’espérer, pour ce sinistre : je dis « faut-il l’espérer », car on sait qu’il est des accidents, des crimes ou des « suicides » qui sont restés non élucidés, ou avec leur part d’ombre ; inutile d’en évoquer ici, tout le monde en aura en tête ; je dis « faut-il l’espérer » aussi en pensant à des choses pouvant être déformées, occultées lors d’une enquête mal conduite, voire étouffées ; on en a eu aussi des exemples et certains, récents.

    D’une manière plus générale d’ailleurs, comment un chercheur, un scientifique, un philosophe fait-il pour tenter de quérir une vérité, s’il n’échafaude pas des hypothèses de travail ? C’est de la simple honnêteté intellectuelle !

    Pourquoi rappeler cela ? Parce que, ici ou là, des simples citoyens, des commentateurs, des spécialistes s’interrogent sur le fait que ne soit évoquée qu’une version quasi officielle : la thèse de l’accident ! En revanche, cette version unique, unique dès la nuit de l’incendie, ne pose nul problème à nombre de nos « politiques et journalistes » ! Non ! Le problème pour eux, c’est que l’on puisse simplement être dubitatif et envisager d’autres versions !!

    Question alors : à quoi servira cette enquête si ces journalistes et politiques connaissent déjà les conclusions, s’ils savent qu’il n’y a pas d’incendiaires, à un ou plusieurs endroits ? Que ces extra-lucides nous éclairent avant les experts et enquêteurs !! On parle, à juste titre (et pas assez d’ailleurs) de la prudence à avoir dans des jugements hâtifs formulés suite à une audition, une mise en examen, une plainte portée ; pourquoi cette prudence et sérénité recommandée et louée est-elle bafouée de la sorte par cette caste politico-médiatique en ce qui concerne cet incendie ? Le trouble naît de cette célérité du pouvoir et des médias de sembler imposer LA réponse unique, « l’accident ». Le doute grandit, alors que ces voyants médiatiques ne disposent d’aucun indice puisque l’enquête démarre ! La suspicion s’amplifie alors que ces devins vous interdisent toute interrogation que tout un chacun se pose, y compris des spécialistes, en vous méprisant !
    « Complotistes ! » crient-ils effrayés, les yeux hagards, gesticulant pour mettre en garde les gogos, comme ils crient « nationalistes !» ou « populistes ! » afin de vous mettre à l’écart, comme d’habitude, de tout débat et vous enfouir dans leur tiroir nauséabond de la « fachosphère ».

    Mais ce sont eux, les complotistes, qui nous affublent d’une façon ignoble d’une mèche, d’une moustache et de chemises brunes ! Ce sont eux qui annihilent l’interrogation et la réflexion en neutralisant la parole en nous soumettant leur diktat du prêt-à-penser !

    Loïc Mansard

    https://www.bvoltaire.fr/apres-les-neo-nazis-et-autres-populistes-voila-les-complotistes/

  • Face à la crise libyenne, la circulaire anti-ONG de Salvini

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    Alors que l’offensive du maréchal Haftar contre Tripoli lancée le 4 avril dernier fait craindre à l’Italie de nouveaux départs d’immigrants illégaux d’origine subsaharienne depuis les côtes libyennes et également une émigration libyenne depuis la Libye ou passant par la Tunisie, le ministre de l’Intérieur de la Ligue, Matteo Salvini, a émis cette semaine une nouvelle directive visant le fonctionnement des ONG qui opèrent encore en Méditerranée.

    La circulaire de Salvini vise tout particulièrement le bateau Mare Jonio battant pavillon italien puisqu’il n’est pas possible à l’Italie dans le cas de ce navire d’agir comme avec le navire Alan Kurdi (du nom de ce petit Syrien dont la mort tragique avait été – et continue d’être – exploitée à outrance par le lobby de l’immigration) de l’ONG allemande Sea-Eye : les 62 migrants récupérés le 3 avril par ce navire n’ont pu être débarqués à Malte le 13 avril qu’après que l’Allemagne, la France, le Portugal et le Luxembourg eurent accepté de prendre en charge l’ensemble ses passagers illégaux. Il y a quelques semaines, l’Italie n’avait en revanche eu d’autre choix que de permettre aux 50 immigrants illégaux du Mare Jonio de débarquer dans le port de Lampedusa (voir Présent du 23 mars), quitte à ouvrir une enquête sur les agissements de son équipage et à promettre de rapatrier rapidement tous les immigrants qui se verront refuser l’asile, ce qui n’est jamais une mince affaire avec les pays africains dont ces immigrants illégaux sont originaires.

    La directive de Matteo Salvini spécifie que le simple fait pour une ONG de faire stationner un bateau au large de la Libye doit être considéré par les autorités comme une coopération indirecte avec les passeurs et une incitation à l’immigration illégale en Italie. La circulaire souligne également le risque de présence parmi ces immigrants illégaux de terroristes et il rappelle l’obligation pour les navires des ONG de respecter les « prérogatives en matière de coordination des secours de l’autorité étrangère compétente ». Le commandant du Mare Jonio avait justement été accusé d’avoir désobéi aux consignes reçues des garde-côtes libyens.

    La directive du ministre de l’Intérieur a été envoyée au chef de la police, à la garde financière, à la marine et à la capitainerie (autorité responsable des ports), mais également à l’état-major des armées, ce qui a suscité une polémique entre le ministère de l’Intérieur et le ministère de la Défense dirigé par Elisabetta Trenta du Mouvement 5 étoiles (M5S), à propos des compétences respectives. Une polémique exacerbée par les divergences entre la Ligue et le M5S sur les questions migratoires. Pour la Ligue, les ports italiens sont définitivement fermés, et Matteo Salvini l’a redit cette semaine, tandis que pour le M5S, qui s’est exprimé par la voix de la ministre Trenta et celle du chef du M5S Luigi Di Maio, vice-premier ministre comme Salvini, la fermeture des ports est temporaire et il faudra le cas échéant accueillir les Libyens qui pourraient vouloir fuir la guerre dans leur pays. Mais pour Salvini, il n’y a pas de raison que ceux qui fuient les zones de guerre en Libye s’enfuient jusqu’en Italie.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent  daté du 18 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • L’État est-il volé par les concessionnaires d’autoroutes ?

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    Après les privatisations partielles de MM. Jospin et Raffarin, Dominique de Villepin a vendu en 2006, contre 15 milliards d’euros, la totalité des titres des sociétés d’autoroutes restés en possession de l’État alors que l’exploitation du réseau commençait à rapporter après que sa construction eut été amortie. La vente aurait été sous-évaluée de 10 milliards selon un avis de 2009 de la Cour des comptes. Le Trésor s’est ainsi privé de 2 milliards de bénéfices par an ! Le prix des péages devait rester sage, avec un seuil garanti de 70 % de l’inflation, l’emploi préservé mais les effectifs des salariés ont baissé de 30 % et la hausse des tarifs a été de 20 % en 10 ans, bien plus que l’inflation. Les sociétés autoroutières ont obtenu que leurs tarifs soient revalorisés en échange de travaux que, souvent, elles étaient obligées de faire.

    M. Hollande avait protesté, promis de renationaliser, laissé les députés créer une commission d’enquête, mais comme l’État était incapable de financer des travaux d’infrastructure nécessaires, le gouvernement socialiste a imité M. Sarkozy et prolongé de 3 ans la durée des concessions en échange d’investissements. En 2015, les tarifs ont été gelés, mais avec la promesse d’un rattrapage entre 2019 et 2023. La contrepartie donnée par l’État en 2015 est estimée à 15 milliards par la Cour des comptes alors que les investissements réalisés en échange se montaient à 3,2 milliards. Le contrat de 2015 était resté secret et il a fallu que M. Avrillier, un tenace écologiste grenoblois, saisisse la justice pour qu’il soit enfin rendu public.

    M. Migaud, le président de la Cour des comptes, vient de rendre un rapport très sévère : l’État serait un piètre négociateur. Il n’a pas obtenu le juste prix du patrimoine, lors de la cession en 2006, ni obtenu des clauses permettant de réviser le partage des bénéfices si ceux-ci augmentaient trop tandis que les investissements obligatoires n’étaient pas précisés. Les compagnies autoroutières sont soupçonnées d’avoir introduit des travaux déjà programmés dans la liste de ceux qu’elles proposaient en échange de l’allongement des concessions : 23 sur 57 seraient ainsi abusifs. Elles feraient également coup double, en faisant réaliser au prix fort les travaux par des sociétés de travaux publics qu’elles contrôlent. En outre, le calcul des compensations dues aux sociétés autoroutières qui intègrent inflation, trafic routier, coût des travaux sont bien trop pessimistes et défavorisent systématiquement l’État.

    M. Migaud estime qu’il y a urgence à redresser la barre, alors que de nouvelles négociations vont s’ouvrir. Selon lui, les évaluations des contreparties devraient être confiées à un organisme indépendant, car les agents de l’État seraient moins habiles que ceux des sociétés d’autoroute pour manier la calculette. Les concessionnaires disposeraient au sein des commis de l’État de relais efficaces (que cache cet euphémisme ?). Et surtout la Cour des comptes exige qu’on introduise des clauses restituant au Trésor public une part des bénéfices si ceux-ci sont supérieurs aux prévisions. Les ministres concernés défendent leurs services en citant un déluge d’articles de loi et de décrets censés empêcher les dérapages, mais M. Migaud a raison sur toute la ligne et, vu cet inquiétant précédent, on devrait renoncer à la privatisation d’ADP et de La Française des Jeux.

    Christian de Moliner

    https://www.bvoltaire.fr/letat-est-il-vole-par-les-concessionnaires-dautoroutes/

  • « Espérance banlieues » : une illusion devant la prise en main de la banlieue par les islamistes, en se donnant bonne conscience

    « Espérance banlieues » : une illusion devant la prise en main de la banlieue par les islamistes, en se donnant bonne conscience

    Bonne synthèse de Polémia sur la fuite en avant du projet Espérance banlieue, séduisant au premier abord, mais qui soulève, dans la durée, un certain nombre de problèmes de fond, que nous avions soulevés :

    Depuis quelques semaines, la Fondation Espérance banlieues défraie la chronique. Fondée en 2012 et abritée par la Fondation pour l’école (qui défend la liberté scolaire et une éducation de qualité en France), l’organisme qui gère 16 écoles dans des banlieues, a été l’objet d’un audit indépendant et de plusieurs articles de presse dénonçant de graves dysfonctionnements (abus de confiance, conflit d’intérêt et rémunération illégale du Président Eric Mestrallet).

    Le Conseil d’Administration de la Fondation pour l'école a décidé, le 9 avril dernier, de dissoudre sa fondation abritée, la Fondation Espérance banlieues. Persistera cependant une autre structure l’AREB (Association du Réseau Espérance banlieues), née en 2017, qui sera détachée de la Fondation pour l’école et continuera à gérer le réseau des 16 écoles labellisées « Espérance banlieues ». Amputée d’une de ses structures qui permettait de défiscaliser grassement l’Impôt sur la Fortune, « Espérance banlieues » survivra grâce à ses très grands donateurs (au premier rang desquels la Fondation Bettencourt-Schueller).

    Il est certain que le fait de soutenir « Espérance banlieues » permet aux bourgeois effrayés devant la prise en main de la banlieue par les islamistes de se donner bonne conscience à peu de frais. Mais que vaut vraiment Espérance banlieues ?

    De l’espérance au désespoir

    L’idée était singulière et attrayante : créer un nouveau modèle d’écoles hors contrat en banlieues, où l’on apprend aux jeunes générations actuelles, fils et filles d’immigrés, à « aimer la France » à travers sa langue et son histoire.

    Puisqu’il faut donner des gages au système, les écoles « Espérance banlieues » ne sont pas en reste. Melissa Theuriau et Jamel Debbouze sont mobilisés au chevet d’Espérance banlieues. Elles sont devenues des parangons de l’école de la diversité heureuse.

    La mission civilisatrice sauce « Espérance banlieues » se résume désormais au lever du drapeau tricolore le matin, une fois par semaine, quand ça se passe bien… Certaines écoles ont déjà convenu de ne pas le faire aussi régulièrement qu’affiché pour ne pas « froisser le voisinage »… L’uniforme est quant à lui « adapté » aux jeunes de banlieues : un « super sweat à capuche ». En mode « banlieues »… Et les enfants de l’école pilote Espérance banlieues prennent maitre Gims comme un modèle !

    Par ailleurs, la religion qui « ne doit pas être un problème » dans ces écoles, on l’évoque sans crispation aucune. A tel point que le jour de l’Aïd, les équipes enseignantes se posent la question de faire une journée pédagogique, pour éviter que les cours aient lieu ! Le modèle veut même que l’on aille plus loin dans l’expression des opinions personnelles des uns et des autres, mais à quel prix ? Celui de la finalité des écoles « Espérance banlieues » qui était d’assimiler. Rien que ça ! On préfère donc l’expression des singularités qui fait le terreau du communautarisme à la nécessité de la concorde nationale…

    Le mythe de l’assimilation

    Le projet d’Esperance banlieues n’est pas seulement de se substituer à l’Ecole de Jules Ferry là où elle a échoué, mais aussi de se substituer aux populations immigrées pour s’emparer de leur destin, à des fins d’assimilation. Toute école hors contrat est censée être une émanation de la société civile (tout citoyen peut en créer une dans le cadre de la loi). Ce type d’école est de surcroît choisi et non subi par les parents, premiers éducateurs de leurs enfants. Or les écoles « Espérance banlieues » sont fondées par des personnes extérieures aux quartiers où elles s’implantent. Les parents, en très grande majorité d’origine immigrée musulmane, y voient une école privée accessible (75 € par mois) qui protégera leurs enfants des miasmes de l’école publique impersonnelle, anti-religieuse et progressiste (théorie du genre, écriture inclusive…). C’est au fond le meilleur parti pour éduquer les enfants des musulmans les plus conservateurs…

    Quid de la France, de son histoire et du meilleur de sa culture ? Ils sont réduits au statut de « codes du pays d’accueil » (la France, sic). Entre l’ambition de faire de ces enfants des Français et la réalité, il y a un gouffre. Au fond, Espérance banlieues était une promesse d’assimilation à la France. C’est devenu la promesse de l’insertion professionnelle. Car les parents et enfants d’immigrés ont bien conscience des difficultés de leurs quartiers, des lacunes des écoles publiques, et du mal à trouver un emploi quand on parle mal le Français. C’est beau de prétendre donner un avenir aux jeunes. Mais Eric Mestrallet se félicite de ce que les « grands frères » protègent même les écoles Espérance banlieues … Pourquoi ? Surveiller, rappeler qui domine le territoire, bien perdu de la République. Alors croire qu’il est possible d’assimiler tout une banlieue qui vit depuis des décennies dans le rejet de tout ce qui s’apparente à la France, avec le degré de pression sociale qui y règne (islam, voile, drogue, tontine, etc.) relève au mieux du fantasme, au pire de l’aveuglement.

    Une gestion désintéressée ?

    Les récentes révélations publiques sur la gestion d’Espérance banlieues interrogent sur les raisons réelles de son expansion. Qui y trouve son compte ? Assurément le Président de la Fondation Espérance banlieues, Eric Mestrallet, qui touchait près de 5 000 euros par mois en se présentant partout comme un entrepreneur venant se pencher généreusement sur le sort des enfants de banlieues. Il est par ailleurs très révélateur que cette rémunération ait été demandée expressément par « des bienfaiteurs de premier plan », dont fait partie la Fondation Bettencourt-Schueller, de l’Oréal.

    Qui paie, commande, et le modèle « Espérance banlieues » s’étendra grâce à l’argent public qu’il cherche à obtenir, grâce au soutien des grandes fortunes mondialisées… Au fond, nous sommes face, à une triple soumission : soumission aux codes du système, soumission au Grand-remplaçant, et soumission aux multinationales friquées. Le projet qui fête ses 6 ans est mort-né de ses compromissions.

    https://www.lesalonbeige.fr/esperance-banlieues-une-illusion-devant-la-prise-en-main-de-la-banlieue-par-les-islamistes-en-se-donnant-bonne-conscience/

  • Eric Zemmour : “L’islam est en train de coloniser l’Europe chrétienne”

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    C’est sur la chaîne israélienne I24news qu’Eric Zemmour a déclaré : “L’islam est en train de coloniser l’Europe chrétienne“.

    Reprenant l’expression titre d’un de ses anciens ouvrages, Eric Zemmour craint que le « suicide français » ne s’accélère sous l’effet d’une islamisation galopante, le plus souvent tolérée par les Occidentaux.

    Nous ne serions alors pas loin de la « partition » évoquée naguère par François Hollande.

    https://fr.novopress.info/214313/eric-zemmour-lislam-est-en-train-de-coloniser-leurope-chretienne/
  • Fini, le carnaval ! Rendors-toi, bon peuple.

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    Bernard Plouvier

    Ah, le très brillant jeune homme qu’est Maître Macron ! Durant trois mois, il a fort intelligemment et courageusement payé de sa personne, pour éteindre l’incendie que sa morgue et ses mesures avaient allumé.

    Certes, il a été fort bien aidé par les débordements de la jacquerie, façon VeRépublique : les violences furent celles d’alcooliques comme l’on en trouve partout lors des émotions populaires et de nervis télécommandés par les maîtres du ministère de l’Intérieur.

    La Nation s’est lassée du désolant spectacle de minables casseurs, qui ont - sur ordre, il ne faut pas l’oublier – miné le mouvement légitime de colère et de contestation et le discours présidentiel est fort bien passé. De savantes « indiscrétions » ont fait connaître les mesures qui vont faire oublier l’absence de véritable réforme de la vie publique.

    Notre Président a démontré d’éminentes qualités de stratège lénifiant, amortissant une révolte – mal conduite et déclenchée pour des motifs mineurs au regard des vrais problèmes – par une série de cadeaux fiscaux (transitoires) et l’annonce de l’arrêt (provisoire) du démantèlement des infrastructures loco-régionales.

    Les meneurs du mouvement n’ayant jamais abordé les vrais problèmes, Génial manœuvrier n’en parle pas. Les ravages de l’immigration incontrôlée et l’insécurité qu’elle génère, le racisme anti-Blancs (et la haine antichrétienne étalée, en tout impunité, sur les réseaux sociaux par quelques « merveilles »issues de l’immigration), la désertification industrielle et l’inadaptation de l’enseignement sources d’un énorme chômage structurel : tout cela est escamoté, puisque tout a été fait pour que les révoltés ne s’y intéressaient guère.

    Les blessés et les invalides (éborgnés, amputés) sont les grands dindons de cette affaire qui semble se terminer en triomphe pour le Président des riches.

    Pourtant, quitte à jouer les rabat-joie, l’on rappelle que la démocratie exige le respect de la personne des citoyens et leur participation à l’exercice du pouvoir, non pas seulement lors de consultations électorales biaisées par l’injection de sommes folles dans les media pour matraquer les citoyens moyennement doués qui forment la majorité de tout corps électoral, mais lors des grands choix qui orientent la vie politique, économique et sociale des vingt ou trente prochaines années.

    Qui a demandé l’avis du peuple souverain sur la peine de mort en une époque de prolifération de « crimes gratuits » et d’attentats mahométans ? Qui a demandé l’avis du peuple souverain sur l’opportunité d’autoriser et de rembourser par la Sécurité sociale l’avortement de complaisance en période de déflation démographique des Français de souche européenne (la démographie d’origine exotique sera prochainement majoritaire) ? Qui a demandé l’avis du peuple souverain sur l’invasion de populations venues d’ailleurs, en grande partie sous-évoluées, agressives et souvent violentes ?

    En résumé : le mouvement des Gilets Jaunes, mal conduit, avorte et Grand Président pourra reprendre dans trois ou quatre mois, après un succès triomphal aux prochaines élections grâce à la grosse caisse médiatique revigorée par quelques dizaines de millions d’euros, sa politique d’économie globale et de grand remplacement de la population française.

    Ayons une pensée émue pour les blessés, les borgnes, les amputés, victimes de violences policières – que le bon peuple va vite oublier -, car si la montagne accouche d’une souris, divers « pékins » ont chèrement payé leur participation à la « démocratie en action »… mais une action tellement sotte, brouillonne, inefficace que Grand Président triomphe sans gloire, car sans péril. Corneille est bien mort et notre peuple est mûr pour un nouveau Front Popu, où il sera « couillonné » comme en 36 ! 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/20/fini-le-carnaval%C2%A0-rendors-toi-bon-peuple-6145221.html

  • Grand débat: Nicolas Bay dénonce le «grand monologue d’Emmanuel Macron»

    6a00d83452375a69e2022ad382afbd200d-500wi.jpgEntretien du 21/04/2019 avec Nicolas Bay, eurodéputé, candidat liste RN aux européennes. Pour RT France, il réagit aux thèmes liés à la crise des Gilets jaunes. 
    L’acte 23 et les violences qui ont émaillé cette journée de mobilisation mais aussi les conclusions attendues du grand débat national d’Emmanuel Macron.
     

    https://www.peupledefrance.com/2019/04/grand-debat-nicolas-bay-denonce-grand-monologue-macron.html#more