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anti-national - Page 540

  • 8 Français sur 10 sont derrière les « gilets jaunes » !, par Par Caroline Parmentier

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    Ni les « fake news » répandues par Castaner accusant les « gilets jaunes » d’« affaiblir le pays face au terrorisme », ni la légende urbaine des trois fameuses « bavures » raciste, islamophobe et homophobe (Présent du 22 novembre) ni l’inventaire à la Prévert des morts du Samu et des débordements racontés par les élus LaREM dans les médias, n’y font rien. Au contraire. Non seulement les Français ne se détournent pas des « gilets jaunes », mais ils sont encore plus nombreux à trouver légitime leur mobilisation et leur appel à bloquer Paris samedi, comme le révèle un sondage Odoxa pour Le Figaro et Franceinfo.

    A Présent, nous avons été parmi les tout premiers soutiens de la contestation. Dès le mois d’octobre, nous avons protesté contre le prétexte écolo de la hausse du carburant qui pénalise toujours les mêmes, les classes populaires et moyennes, c’est-à-dire vous et moi. Dès le 10 novembre, Présent affichait tous les jours un gilet jaune en haut à droite de la une et je portais le mien sur le plateau de Bistro Libertés le 16 novembre, veille de la mobilisation nationale.

    Preuve de l’échec de la stratégie de diabolisation du gouvernement, 62 % des sondés refusent de qualifier les « gilets jaunes » de « violents ». Une grande majorité les définit comme « populaires » (81 %), « courageux » (77 %), engagés dans « une lutte pour l’intérêt général » (78 %). Deux Français sur trois (66 %) appellent à ce que la mobilisation se poursuive. Sans surprise, 83 % des sympathisants de Marine Le Pen soutiennent la poursuite du mouvement. Et les sympathisants LaREM sont de plus en plus écartelés : quatre sur dix estiment la contestation « justifiée ».

    Les « gilets jaunes » ont contre eux en revanche l’arrière-garde des syndicats préhistoriques d’extrême gauche, largement discrédités, furieux de voir que la mobilisation nationale se fait sans eux et leur petite boutique. Précision ahurissante, la CGT des agents de douanes a porté plainte mercredi contre ces « gilets jaunes » qui ont signalé la présence de migrants clandestins dans la cuve d’un camion, à Flixecourt (Somme) en déclarant qu’ils avaient « fait mieux que la douane » (Présent du 23 novembre). La CGT douanes les poursuit pour « injure », « diffamation » et pour « incitation à la haine raciale ». Quand on n’est pas complice des passeurs (même quand on est douanier !) on est un criminel raciste…

    Deux nouveaux hashtags : #Balancetongilet et #Balancetongiletjaune ont fait leur apparition dans le matraquage médiatique pour décrédibiliser la contestation. De même qu’un groupe Facebook intitulé « Paye toi un journaliste » qui recense les mésaventures des journalistes bobos de l’autre côté du périphérique, au pays des gueux, des beaufs et des sans-dents. Comme cette jeune Bécassine de BFM TV qui s’est fait bousculer aux cris de « BFM menteurs » et « BFM macronistes » et qui raconte qu’elle n’a « jamais rencontré une telle haine ». Plus haineux que les bandes armées des cités, les racailles ou les djihadistes : les « gilets jaunes ».

    Pour la première fois, Emmanuel Macron feint de remarquer la marée jaune et la révolte. Il répond à côté et annonce pour mardi « un nouveau cap pour la transition écologique » et de nouvelles aides individuelles pour la faire passer. Sans revenir sur l’étranglement fiscal et les taxes qui mettent les comptes au rouge dès le 15 du mois. Les Français qui bloquent les routes aujourd’hui ne réclament pas d’assistanat. Ce sont des hommes et des femmes qui demandent à vivre décemment de leur emploi et à nourrir, loger, scolariser, chauffer et soigner leurs enfants avec leur salaire, ce qu’ils n’arrivent plus à faire.

    La mobilisation de samedi ne désarme pas. La manifestation a été interdite place de la Concorde mais autorisée sur le Champ-de-Mars (VIIe). Afin de « protéger les lieux sensibles » de la capitale. Sur LCI, Priscillia Ludosky, l’une des représentantes du mouvement, refuse cette alternative : selon elle, le groupement doit se dérouler dans « le cœur de Paris » près du rond-point des Champs-Elysées.

    Sur les réseaux sociaux, les « gilets jaunes » appellent à rejoindre Paris très tôt dans la matinée, puis à dégainer leurs gilets à un endroit et un horaire précis qui sera divulgué au dernier moment.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 23 novembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Les Gilets jaunes ont envahi Paris

    Les Gilets jaunes ont envahi Paris

    Alors que le ministre du mensonge Christophe Castaner avait promis de bloquer les Champs-Elysées, les Gilets Jaunes, arrivés de façon désorganisée par toutes les rues, ont envahi la plus belle avenue du monde. Bien que pacifiques, c’est avec des canons à eau et des gaz lacrymogènes que les forces de l’ordre ont tenté de les repousser. Confronté à son impuissance, Christophe Castaner a alors accusé Marine Le Pen d’être à l’origine de quelques violences. C’est un régime aux abois qui se ridiculise sous nos yeux.

     

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  • Le Samedi Politique S02E12 Gilets Jaunes et écologie punitive avec Michèle Rivasi

    Matraquage fiscal, écologie punitive ou nécessaire transition énergétique, quoi qu’on en pense, la hausse de la fiscalité sur les carburants (6,5 centimes sur le diesel et 2,9 sur l’essence) a mis le feu aux poudres. Depuis une semaine, les gilets jaunes sont mobilisés partout en France face à Emmanuel Macron.

    Colère légitime ou aveuglement face aux impératifs environnementaux ? Pourquoi l’écologie apparaît-elle toujours punitive ?
    Michèle Rivasi, députée européen Europe Ecologie et spécialiste des questions d’environnement, revient sur les réformes de la transition écologique qui pénalisent souvent les classes moyennes de plus en plus étranglées

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-et-ecologie-punitive-avec-michele-rivasi

  • Gilbert Collard coupé par BFMTV en défendant les gilets jaunes

  • Loi sur les fausses nouvelles : Castaner sera-t-il censuré ?

    Loi sur les fausses nouvelles : Castaner sera-t-il censuré ?

    De Francis Bergeron dans Présent :

    La loi que voulait Macron, destinée, dit-il, à tordre le cou aux fausses nouvelles, a été votée mardi. Deux lois, en fait, qui se complètent, pour empêcher « la manipulation de l’information en période électorale ». […]

    La loi ne vise pas les groupes de communication mondiaux, entre les mains d’une poignée de milliardaires, qui, habituellement, permettent l’élection des bons profils. Elle ne vise pas non plus les Al Jazeera et autres chaînes, dont l’influence sur nos populations musulmanes est loin d’être négligeable, si l’on en juge par le nombre d’antennes paraboliques dans certains quartiers dits sensibles.

    Grâce à la loi, les réseaux sociaux et les médias étrangers seront donc mieux surveillés. Il s’est trouvé 183 élus pour voter le premier texte (111 voix contre) et 347 pour voter le second (204 voix contre). LREM et MoDem ont été suffisants pour obtenir la majorité.

    Qu’est-ce qu’une fausse information ? Qui va la qualifier ? A quel degré de mensonge, d’approximation, ou de vérité trop crûment dite décidera-t-on de censurer ? C’est le juge, en référé, qui en décidera. Le risque, c’est l’autocensure, une nouvelle augmentation du pouvoir de cette « police de la pensée » que les lois mémorielles ont créée.

    Le bobard chimiquement pur est très rare. Dans le domaine politique, des vérités ont été traitées de bobards pendant des années. Par exemple ces trois « bobards » concernant Mitterrand, que tout le monde sait vrais, aujourd’hui : son cancer, sa bigamie, sa francisque. Demain ce genre d’information sera tout simplement interdit, si l’information est donnée ou relayée dans les trois mois précédant une élection.

    Mais n’allez pas croire qu’un Castaner, qui vient de « bobardiser » les « gilets jaunes » (voir Présent du 22 novembre) serait censuré. Il est du côté de ceux qui font les lois, et qui les font appliquer. La lutte contre le populisme, primordiale, peut bien supporter quelques gros mensonges d’Etat. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/loi-sur-les-fausses-nouvelles-castaner-sera-t-il-censure/

  • Chemnitz. Décorticage du gros bobard des « chasses à l’homme »

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    Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia ♦ Tichys Einblick est un journal en ligne et un magazine mensuel dirigé par le journaliste allemand Roland Tichy. Ce média a enquêté sur l’affaire des supposées agressions racistes de Chemnitz qui auraient agité la ville allemande après un énième meurtre commis par un migrant extra-européen. Et, comme l’avait affirmé Hans-Georg Maaßen, alors président du service de renseignement intérieur allemand, au prix de son poste, il semble bien que ces chasses à l’homme évoquées par Angela Merkel n’ont jamais existé.
    François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia, a traduit pour nous l’enquête réalisée par Tichys Einblick.
    Polémia

    Tichys Einblick a retrouvé l’auteur de la courte vidéo qui a provoqué l’un des plus gros scandales que l’Allemagne ait connu, et dévoile ce qui s’est réellement passé à Chemnitz.

    Il n’y a pas eu de chasse à l’homme à Chemnitz le 26 août 2018. La chancelière fédérale en était pourtant convaincue : le 27 août 2018, le porte-parole du gouvernement Steffen Seibert a commenté les événements de Chemnitz avec les mots suivants : “De tels attroupements, des chasses à l’homme à l’encontre d‘êtres humains d’aspects, d’origine différents, ou encore la tentative de répandre la haine dans la rue, tout cela, nous ne l’acceptons pas”.Le lendemain, au cours d’une interview, la chancelière fédérale Angela Merkel expliqua : “Nous avons des enregistrements vidéos qui établissent qu’il y a eu des chasses à l’homme, qu’il y a eu des attroupements, que la haine s’est exprimée dans la rue, et cela n’a rien à voir avec notre conception de l’Etat de droit.” Elle s’appuyait pour cela sur une vidéo de 19 secondes qu’un groupe nommé la “morsure de tique Antifa” [“Antifa Zeckenbiss”] avait largement diffusée.

    Tichys Einblick a retrouvé l’auteur de cette courte vidéo qui a provoqué l’un des plus gros scandales qu’ait connu l’Allemagne, et dévoile ce qui s’est réellement passé à Chemnitz. La vidéo a été enregistrée parce qu’une femme, devant l’attitude agressive de deux hommes d’origine immigrée, non loin du lieu où Daniel Hillig était mort, victime d’un coup de couteau, a pris peur et a démarré la caméra de son portable. La vidéo ne présente aucune poursuite, encore moins de chasse à l’homme.

    Une sérieuse crise gouvernementale, le président de l’Office de Protection de la Constitution évincé, le ministre fédéral de l’Intérieur qui se retrouve soumis à une pression énorme, une chancelière et son porte-parole qui tombe dans le piège des médias. Tout cela uniquement parce qu’un groupe douteux nommé “Antifa Zeckenbiss” s’est procuré une courte séquence vidéo, l’a rendue publique en commentant faussement : “Voilà comment une populace d’extrême-droite organise des chasses à l’homme sur des migrants.”

    Les médias publiques Tagesschau, Heute, Tagesthemen, Heute journal la reprennent en boucle. Frontal 21 s’y montre particulièrement virulent. Les médias rendent compte d’une “vidéo de chasse à l’homme”, d’une “vidéo de la haine” ou d’une “vidéo de battue”. Cette vidéo de 19 secondes a été téléchargée plus de cent-mille fois, tant sur les réseaux sociaux comme Facebook que sur les médias généralistes, comme une preuve supposée que des pogroms auraient eu lieu en Saxe (selon Jakob Augstein).

    Dans le monde entier, Chemnitz fait la une des journaux : tous les médias, jusqu’au New York Times, rendent compte dans une effrayante absence de critique et ignorance. Sur la seule base de 19 secondes de vidéo que des journalistes d’agitprop de “l’Antifa Zeckenbiss” ont raflées sur un groupe WhatsApp de Chemnitz.

    Rien de tout cela n’est vrai.

    Tichys Einblick a retrouvé après des semaines de recherche l’auteur de cette vidéo de 19 secondes (“Lapin, tu restes ici” https://youtu.be/Eig_EHMi6q0) et dévoile les événements du “scandale” de  Chemnitz.

    Les recherches confirment les déclarations d’Hans-Georg Maaßen, qui depuis lors a été viré de son poste de président de l’Office Fédéral de Protection de la Constitution parce qu’en quatre courtes phrases il avait contesté cela, contredisant ainsi la chancelière : que cet élément de preuve ne permettait pas d’établir la réalité d’une chasse à l’homme, qu’il s’agissait d’une fausse information sciemment diffusée. Sur ce point, Maaßen a même tendance à minimiser. Il ose contredire la chancelière, qui est tombée dans le piège de la “chasse à l’homme” tendu par les médias. La conséquence : une crise gouvernementale.

    Tout en mesure, Maaßen avait d’abord déclaré au journal Bild que le Verfassungsschutz ne disposait “d’aucune information fiable” sur des chasses à l’homme à Chemnitz. Qu’on n’avait trouvé “aucun indice” que cette vidéo de 19 secondes puisse confirmer de manière authentique cette représentation politico-médiatique de la “chasse à l’homme”. Puis – de manière très pertinente au vu de ce que l’on sait aujourd’hui – il concluait : selon son “appréciation prudente”, il y avait “de bonnes raisons de croire qu’il s’agissait vraisemblablement d’une fausse information sciemment diffusée pour détourner l’attention de l’opinion publique du meurtre de Chemnitz”.

    Ce qui s’est réellement passé le 26 août de cette année n’est aujourd’hui encore pas complètement éclairci, alors que le ministre-président de Saxe avait promis il y a trois mois de faire toute la lumière sur l’événement. A ce jour, la seule chose qui soit claire, c’est que le soir du crime, il y eut une altercation entre deux groupes d’hommes. Le Bild écrivait : “un Syrien (23 ans) et un Irakien (22 ans) sont soupçonnés d’avoir porté le coup mortel en réunion. Les deux hommes sont en garde à vue”. Selon la communication officielle qui décrivait le déroulement des faits, “les accusés sont fortement soupçonnés d’avoir, dans la Brückenstraße, à Chemnitz, après une altercation verbale et sans raison, porté plusieurs coups de couteau à un Allemand de 35 ans”. Après six coups de couteau, Daniel Hillig, “père de famille allemand d’origine cubaine”, 35 ans, meurt, tandis que deux de ses amis, grièvement blessés, survivent à leur blessure. Aujourd’hui encore, la compagne de Daniel Hillig, Bianca X. ne sait toujours pas, selon ses propres mots, dans quel hôpital son Daniel est mort. Quelques jours plus tard, Bianca, accompagnée de son fils de sept ans, s’agenouille en pleurs devant le mémorial improvisé, à proximité du monument de Karl-Marx, le “Nischel”.

    L’endroit est encore, longtemps après le crime, orné d’innombrables bougies funéraires et de bouquets. A longueur de semaines, pendant la nuit, il est encore protégé par les habitants du quartier d’éventuelles dégradations par les antifas. La police, vendredi dernier, lors de l’une des manifestations qui s’y organisent régulièrement, dans une diffusion par haut-parleur, a parlé de “lieu de l’accident”, de manière réductrice. Ce qu’il n’est pas, précisément, pour de nombreux habitants de Chemnitz. Ils empêchent que l’on fasse disparaître les bougies et les fleurs. Le lieu du crime devient un lieu de recueillement pour les uns, les autres veulent supprimer tout souvenir de celui-ci.

    Dimanche 26 août 2018, 07:54. Déjà cinq heures se sont écoulées depuis le crime lorsque Tag 24annonce sur internet et sur Facebook : “Un homme de 35 ans est mort, dans le centre-ville, après avoir reçu des coups de couteau”. Les gens à Chemnitz et aux alentours sont choqués. Sept heures plus tard, ce sont une centaine d’habitants de Chemnitz qui se retrouvent sur le lieu du crime devant la flaque de sang, silencieux et tristes. Très émus, ils quittent l’endroit au bout d’environ une heure.

    Vers 16:00, de plus en plus d’habitants se rendent dans le centre-ville pour se faire une idée de la situation et en apprendre davantage. L’administration de la ville interrompt la fête qui s’était prolongée jusque-là. Une autre vidéo montre comment un bon millier d’habitants forment spontanément un cortège funèbre qui s’étire à travers la ville, se trouvent bloqués par les premières forces de police, et finissent par se rassembler autour de la mare de sang. En silence. Des citoyens avaient entre temps dressé des bougies et déposé des fleurs sur l’asphalte. Parmi les participants endeuillés se trouve l’auteur de la vidéo du scandale.

    L’action ayant conduit à la mort de Daniel Hillig est jusqu’ici qualifiée par le parquet de “meurtre”.

    Tichys Einblick dévoile les événements scandaleux qui se sont déroulés autour du monument de Karl-Marx. A cet endroit – après que s’y soient produits au bas mot des centaines de ce que l’on appelle par euphémisme des “incidents isolés” de la “criminalité des migrants” depuis l’automne 2015 – la mort de Daniel Hillig a été la goutte d’eau qui a fait débordé le vase, comme le disent les plus proches amis du père de famille assassiné. Ils racontent même que Daniel avait à plusieurs reprises mis en garde sa compagne, lui enjoignant de “ne pas se promener seule le soir dans les rues de Chemnitz”. Chemnitz devient le lieu d’un affrontement entre deux narrations opposées : celui d’un fait isolé – comme la police et les politiques essaient de le présenter pour éviter une poursuite de l’escalade, ou bien la conséquence d’une immigration incontrôlée ?

    Après les nombreux “incidents isolés” qui s’étaient produits au seuil des maisons de milliers de “citoyens inquiets”, les coups de couteau dans le corps de Daniel Hillig ont poussé les gens, pas seulement à Chemnitz, à se muer en “citoyens en colère”.

    Ils passent dans les rues en criant “Nous sommes le peuple” et sont traités par médias et politiciens “d’extrémistes de droite”. Les médias n’en montrent que des photos et de courtes scènes où l’on voit des individus (le plus souvent ivres) faisant le salut nazi – on aperçoit chez eux, sur la face supérieure de la main, le tatouage “RAF” [Rote Armee Fraktion] de l’extrême-gauche.

    Ce sont des milliers de “citoyens inquiets” qui se rassemblent devant le “Karl-Marx-Nischel”, parfois avec leur famille. Ils défilent pacifiquement dans les rues inondées par les hauts-parleurs des antifas qui gueulent “Que l’Allemagne crève !” [“Deutschland verrecke”]. De cela, à nouveau, on ne voit et n’entend rien dans les comptes rendus de la presse. C’est une dénaturation grossière de qualifier le mouvement citoyen “Pro Chemnitz” comme proche des nazis, comme le font les médias de masse. La conséquence est immédiate : les gens entonnent les reproches de la “presse qui ment” [Lügenpresse].

    “Agressions sexuelles à Chemnitz : presque chaque jour un nouveau cas” proclamait une Une du journal local Freie Presse – seulement quelques semaines auparavant. L’explication que la Freie Presse proposait à ses lecteurs pour les incidents isolés à caractère sexuel se produisant quasiment tous les jours, c’était la météo. C’est-à-dire les fortes chaleurs de l’été, et non principalement les migrants, dans Chemnitz “la bigarrée”.

    C’est pourtant le rédacteur-en-chef de la Freie Presse qui, après l’agitation nationale provoquée par la “chasse à l’homme”, écrivait : “Une battue, au sens où des gens pourchassent d’autres gens pendant un temps et sur une distance significatifs, nous n’en avons pas observée. A notre connaissance, il n’y a pas non plus de vidéo qui rapporterait ce genre de scènes.”

    Samedi 10 novembre, 11:30. Un restaurant à Chemnitz. Le premier et jusqu’ici l’unique contact d’un journaliste avec l’auteur de la vidéo de 19 secondes, une femme de 35 ans, et son mari de 38 ans. Tous les deux travaillent comme employés dans des entreprises différentes. Tous les deux – comme d’ailleurs d’autres témoins, avec lesquels nous avons parlés – ont mis comme condition à l’entretien qu’ils apparaissent de façon anonyme. Ils craignent des actes de vengeance qui mettraient en danger leur existence-même de la part des militants proches de “l’Antifa Zeckenbiss”. Pour cette raison, nous les appellerons ici Kathrin et Thomas B. Nous avons résumé leurs déclarations et les leur avons soumises pour approbation.

    “La vidéo de 19 secondes a été enregistrée à 16:52 le dimanche du meurtre dans la dernière étape de notre cortège funèbre, juste avant d’atteindre le lieu du meurtre de Daniel” raconte Kathrin B. à propos de la genèse de la courte séquence vidéo. “C’était devenu très serré dans le cortège, c’est pourquoi on avait regroupé les femmes au centre. Et il n’y a eu aucun cri à caractère xénophobe. Rien de radical. Au loin, nous avons entendu ‘Nous sommes le peuple’. Peu de temps après que nous ayons soi-disant franchi un barrage qui n’a jamais existé.”

    Thomas B. poursuit : “Kathrin a sorti son portable un peu tard de son sac, c’est la raison pour laquelle les 19 secondes ne rendent pas compte de manière authentique de la totalité de l’incident qui s’est produit à proximité de l’arrêt de bus. En effet, avant que l’enregistrement vidéo ne commence, il y avait eu une méchante provocation contre nous, qui défilions tristement. De la part de deux jeunes migrants, qui attendaient à l’arrêt de bus, et par le fait nous ressemblaient.”

    Kathrin B. : “Ils sont venus à notre rencontre, agressifs, nous ont injuriés et ont même crié, de manière à peine compréhensible ‘cassez-vous’. C’est ce dont nous nous souvenons.”
    “Il y a eu alors un contact physique avec les deux, au cours de laquelle l’un de nos amis a reçu le contenu d’un gobelet de bière sur son vêtement et même sur son visage.” C’est lorsque que Kathrin B., terrorisée, a pensé “là, ça va cogner” que la caméra a été démarrée.

    Kathrin B. a craint que Thomas B. se mette à son tour en mouvement en direction des migrants agressifs et lui a crié, ce qui est parfaitement audible sur la vidéo : “Lapin, tu restes ici !”

    Kathrin B. : “Ce n’était vraisemblablement pas la seule attaque de migrants contre notre cortège, car on entendait au loin des hurlements menaçants, clairement en arabe. Toutefois, nous n’avons pas eu de doigt d’honneur lors de la provocation, comme d’autres participants au cortège funèbre ont pu le relater plus tard. Pas plus que de battues ou de chasses à l’homme ! Nous sommes également disposés à confirmer nos déclarations sous serments.”

    Le soir, Kathrin B. avait mis sa courte vidéo sur son groupe “Citoyens”, qui est un groupe fermé, du service de média social WhatsApp. Ce qui est encore obscure, c’est la manière par laquelle les membres du groupe “Antifa Zeckenbiss” ont pu avoir accès à la vidéo de 19 secondes de Kathrin B., pour la faire exploser avec Zeit online comme enregistrement d’une pseudo-chasse à l’homme sur la scène politico-médiatique.

    Traduction par François Stecher 20/11/2018

    https://www.polemia.com/chemnitz-decorticage-gros-bobard-chasses-homme/

  • Une taxe de 9 % s’appliquera au 1er janvier 2019 sur les garanties décès des contrats d’assurance emprunteur

    Une taxe de 9 % s’appliquera au 1er janvier 2019 sur les garanties décès des contrats d’assurance emprunteur

    Nous annoncions hier l’augmentation prévisible en 2019 de l’assurance-auto, un lecteur nous alerte sur une autre augmentation de la fiscalité en 2019 du fait du gouvernement :

    Le gouvernement a décidé de mettre fin à l’exonération de taxe dont bénéficiaient jusqu’ici la garantie décès des contrats d’assurance emprunteur. Une exonération qui ne serait “pas justifiée, sur les plans juridiques ou économique”, selon l’évaluation préalable de l’article 52 du projet de loi de finances 2019. Ainsi, la TSCA, la taxe spéciale de 9% sur les contrats d’assurance de prêt, qui ne s’imputait jusqu’à maintenant qu’aux garanties couvrant l’incapacité de travail, la perte d’emploi et une partie de l’invalidité, touchera bientôt l’ensemble des primes versées par les assurés. La mesure concernera tous les nouveaux contrats souscrits à partir du 1er janvier 2019.

    Et cet alourdissement de la fiscalité se traduira évidemment par un surcoût pour l’emprunteurEn septembre déjà, Capital avait calculé ce surcoût, en fonction de différents profils d’assurés, dans le cas où les banques et compagnies d’assurances viendraient à répercuter intégralement la hausse de taxe. Résultat : une augmentation potentielle d’environ 4,5% du montant des primes. Soit quelques euros en plus par mois. Mais, selon nos simulations, ce surcoût pouvait augmenter si l’emprunteur exerçait un métier à risque ou s’il présentait un profil à risque aggravé de santé.

    Nos calculs viennent d’être confirmés par le gouvernement, qui a lui aussi mesuré l’impact potentiel de l’assujettissement à la TSCA de la garantie décès. Ses résultats sont comparables à nos simulations, puisqu’il évalue un renchérissement moyen de 44 euros sur les cotisations annuelles d’assurances. Pour un crédit auto de 15.000 euros sur 72 mois, par exemple, le supplément annuel représenterait 12 euros. Pour un crédit immobilier de 500.000 euros sur 25 ans : 204 euros par an. Selon le gouvernement, la mesure permettra “de rendre plus lisible la tarification de son contrat pour l’assuré et d’éviter des possibilités d’optimisation fiscale dans la ventilation de la prime globale entre les différentes garanties”. Mais on ne peut que vous conseiller de renégocier votre contrat avant la fin de l’année, pour éviter d’avoir à subir cette hausse.

    https://www.lesalonbeige.fr/une-taxe-de-9-sappliquera-au-1er-janvier-2019-sur-les-garanties-deces-des-contrats-dassurance-emprunteur/

  • GILETS JAUNES - LA FRANCE D'EN BAS CONTRE CEUX D'EN HAUT

  • Christian Vanneste : « Rien, dans notre civilisation, ne vient de l’islam »

    Christian Vanneste présente, en exclusivité pour Boulevard Voltaire, son ouvrage choc L’Identité ou la mort. Il analyse en profondeur les menaces – individualisme narcissique et communautarisme, notamment islamique – qui pèsent sur la France et propose des solutions stimulantes pour y échapper.

    Vous publiez aux Éditions Apopsix un essai intitulé L’Identité ou la mort. Un choix très simple…

    C’est un choix binaire. Ou bien nous défendons notre identité ou bien notre civilisation et notre pays en particulier disparaîtront. Je pense que c’est le problème essentiel dont chacun doit prendre conscience.

    Cela veut-il dire que notre identité est aujourd’hui menacée ?

    Elle est menacée pour deux raisons. Elle est prise en étau. D’un côté, elle est enserrée par l’individualisme. Il s’agit d’une forme d’individualisme tout à fait particulière à notre époque. C’est ce que j’appelle le narcissisme. Dans ce narcissisme, l’individu se replie sur lui-même, se satisfait de ses petits plaisirs quotidiens, s’obsède sur sa petite personne, mais en même temps oublie totalement que cette personne n’existe que parce qu’elle a reçu toute une tradition, toute une transmission de savoirs, de culture, de richesses. Petit à petit, l’individu oublie cette personne. Il s’intéresse à elle, mais qu’est-ce qu’elle est encore, lorsqu’elle a perdu ce sens de la tradition ? Eh bien, elle n’est rien, une simple page blanche. Une page blanche sur laquelle on peut écrire n’importe quoi. En général, on écrit de la publicité, l’intérêt pour telle ou telle marque.
    Mais on peut y écrire aussi autre chose, et c’est l’autre côté de l’étau.
    Lorsque l’individu se rend compte qu’il est vide, il va se remplir d’autres choses, de l’appartenance à une communauté, à une non-communauté de transmission, une communauté de simple différenciation par rapport aux autres. Ça peut être le fait de s’habiller d’une certaine façon. Certains jeunes s’étaient d’ailleurs battus, se disant les uns d’extrême droite, les autres d’extrême gauche, à la sortie d’une vente de fringues. C’est lamentable de limiter la pensée, les idées et les valeurs à une histoire de style de vêtements. C’est tellement absurde qu’on en pleurerait.
    Il y a aussi des communautés plus redoutables, qui exercent de véritables pressions sur les politiciens, notamment. Elles induisent des évolutions de la société très dangereuses pour celle-ci.
    On pense aussi aux communautés religieuses, et notamment à la communauté islamique. Elle est littéralement envahissante dans nos sociétés. Il faut savoir qu’elle est profondément étrangère à notre société. Elle est étrangère non pas parce qu’elle est constituée en grande partie par des étrangers, mais surtout parce que rien, dans la civilisation française, et dans la civilisation occidentale en général, ne vient de l’islam. Bien au contraire. Tout y a été forgé, souvent par résistance à l’islam. On oublie, notamment, que la France est essentiellement, y compris pour les gens qui sont totalement incroyants, un pays de tradition catholique.

    Cet ouvrage a été préfacé par Philippe de Villiers, qui a écrit Les Mosquées de Roissy ou Les cloches sonneront-elles demain ?. On a l’impression, en le lisant, que notre identité est avant tout menacée par une cause extérieure, mais vous insistez sur le fait qu’elle est, avant tout, menacée par elle-même. On a l’impression qu’on vit dans un pays qui n’a plus la volonté de vivre par et pour lui-même…

    Absolument. Je pense qu’une société qui parvient encore à transmettre son identité et sa tradition, et bien sûr qui, à chaque génération, enrichit cette tradition et cette identité, n’aura aucun problème ni avec la présence d’étrangers ni avec la confrontation avec des cultures étrangères. C’est même une excellente chose.
    Lévi-Strauss, sur lequel on a dit des tas de bêtises, l’expliquait très bien. Il ne faut pas avoir du mépris pour les autres cultures. Il ne faut pas être, selon ses termes, ethnocentrique, c’est-à-dire penser que notre culture est la seule et la meilleure de toutes.
    En revanche, quand on la nie, quand on pratique la haine de soi, quand on gomme tout ce qui fait la culture en disant « Quand je valorise ma culture, je suis raciste, je me préfère aux autres », finalement, on n’est plus rien. Quand on rencontre l’autre, on n’a plus rien à lui offrir. Alors que, précisément, la culture de sa culture, de sa civilisation, voire de sa religion, même si on la considère comme une sorte d’héritage culturel beaucoup plus que comme l’objet d’une foi, fait que nous sommes quelqu’un et que nous pouvons encore échanger avec les autres.

    Après avoir fait le constat qu’on était attaqué d’un côté et qu’on n’avait pas la force de se défendre de l’autre, vous donnez quand même des pistes de réflexion pour s’en sortir. Finalement, nous ne sommes pas encore foutus…

    Les pistes sont simples. C’est d’abord une piste politique. Cette résistance doit venir essentiellement de ceux qui nous dirigent ou qui veulent nous diriger. Ce n’est pas du tout le cas actuellement puisque la plupart pratiquent ce que je pourrais appeler l’« autruisme ». L’« autruisme » peut être défini comme le fait de toujours se tourner vers l’autre.
    On a critiqué, par exemple, la préférence nationale. La préférence nationale est, pour un pays, une chose parfaitement normale. Lorsque j’étais député RPR, c’était une notion pratiquée par le RPR, par les gaullistes. Ensuite, c’est devenu une sorte d’atrocité verbale uniquement limitée à l’extrême droite. C’est complètement faux. La préférence nationale, c’est ce que tout État doit faire. Les nationaux et les citoyens d’une nation sont évidemment prioritaires par rapport à d’autres. Maintenant, on dit le contraire. On préfère une sorte d’« autrisme » général, de préférence étrangère. De la même façon, lorsqu’on parle de laïcité, pense-t-on à la laïcité par rapport à l’Église qui a constitué l’Histoire de France, c’est-à-dire l’Église catholique ? Eh bien, non, on pense essentiellement à la laïcité par rapport à l’islam. Doit-on autoriser certains vêtements ? Doit-on pratiquer certaines nourritures ? Ce n’est pas le problème.
    Je pense qu’il faut clairement dire qu’un pays a une identité. Il doit donc préserver cette identité et tolérer, bien sûr, d’autres identités, mais certainement pas en les mettant au même niveau ni même en leur donnant la préférence par rapport à ce qui fait que les membres d’une nation sont effectivement des citoyens de cette nation. Cela veut dire que, sur le plan politique, il n’y a pas de défense de l’identité s’il n’y a pas une reconnaissance de l’importance de l’État-nation. C’est au niveau de l’État-nation que la défense peut se faire.
    Le deuxième plan, c’est l’éducation. Il faut apprendre aux jeunes qu’ils sont riches d’une nation et d’une culture prodigieuse. Manifestement, ils n’ont pas tellement besoin de savoir ce qu’il se passait au XVIIe siècle au centre de l’Afrique dans je ne sais quel royaume du Mali. En revanche, ils ont tout à savoir de l’histoire de leur pays et de la richesse des monastères, des abbayes et des cathédrales du Moyen
    Âge. C’est au sein des monastères et des abbayes que se sont précisément transmises les traditions principales de notre civilisation et que s’est épanouie la richesse culturelle qu’est la nôtre.

    Plus qu’une menace, c’est avant tout une déclaration d’amour envers votre pays…

    Vous résumez parfaitement bien. Je pense qu’en effet quand on aime, on est désespéré de savoir que la personne qu’on aime peut et va mourir. Quand c’est une personne, cela va, bien sûr, arriver un jour.
    Une nation ou une civilisation est un être collectif, qui ne vit pas en années, mais en siècles, voire en millénaire. Dans ce cas, on a le droit de penser qu’il peut continuer à durer et même à s’épanouir. Je pense que c’est, effectivement, le combat qu’il faut mener. Quand je dis l’identité ou la mort, la mort n’est pas pour moi une fatalité. Mais, au contraire, c’est quelque chose qui doit nous amener à résister et à vaincre les périls.

    http://www.bvoltaire.fr/christian-vanneste-rien-dans-notre-civilisation-ne-vient-de-lislam/

  • Baisse du revenu disponible des Français : le hold-up légal continue

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    Le quotidien des « sachants », Le Monde, l’inventeur du Decodex, sorte de Big Brother de la « fake news » à sens unique du côté de la droite, publie un article à propos d’une étude de l’OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques) selon laquelle le revenu disponible des Français a baissé de 440 €, en moyenne, entre 2008 et 2016.
    Cette étude de référence a, en effet, mesuré l’impact des hausses des cotisations sociales, impôts et autres contributions, mot du novlangue officiel en vue d’éviter les mots dîme, gabelle, octroi – trop connotés Ancien Régime.
    Ainsi, grâce à notre République où la justice sociale fait office de mantra en marche à droite comme à gauche, l’augmentation de la ponction citoyenne a touché l’ensemble des ménages avec son zèle coutumier, accentuant ses efforts sur les 5 % des pseudo-riches au nom de cette progressivité que le monde entier nous envie.
    Ce hold-up légal nous a donc légitiment propulsés au premier rang : nous sommes le pays où les prélèvements sont les plus élevés au monde. Eh oui, notre ratio recettes fiscales/PIB détient le triste record à près de 48 % (source : Eurostat) devant le Danemark, pays réputé pour son hypertrophie en matière d’impôts.
    Cette politique confiscatoire de gribouille se télescope inopportunément avec l’annonce conjointe d’une ardoise de sept milliards d’euros au débit de la pasionaria de la dette, notre bien mal en point maire de Paris Anne Hidalgo. À en croire sa conseillère ès finances, il semblerait que les budgets successifs de la ville de Paris soient davantage construits à la boule de cristal qu’avec une élémentaire prudence comptable, bien que les impôts et autres ponctions aient explosé sous les dix-sept années de paillettes socialistes.
    Alors toujours plus d’impôts dans notre pays et dans nos villes pour quels résultats, me direz-vous ? Une nation apaisée, frugale dans sa gestion, soucieuse du bien commun, dotée de services publics modernes et efficaces ? Jugez-en par vous-mêmes alors qu’au même moment, la France périphérique en gilets jaunes, autrement qualifiée de « beaufs poujadistes » (sic) par Jean Quatremer, journaliste bien-pensant de Libération, manifestent dans toute la France contre la hausse stratosphérique du gazole, carburant de leur colère légitime contre le consentement à être tondus. 
    À l’unisson, les porte-parole du Jupiter des impôts, pas « des gars qui fument des clopes et qui roulent au diesel » (sic) selon Benjamin Griveaux, se succèdent à longueur d’antenne pour évoquer l’héritage de leurs prédécesseurs bien que le programme présidentiel stipulât de la volonté de soutenir « le pouvoir d’achat des classes moyennes et populaires [pour] permettre de mieux vivre de son travail ». À l’instar de l’ancien monde qui voulait punir les riches, rendons à notre César de la fiscalité le fait que la hausse du gazole n’a que pour vocation de lutter contre le réchauffement climatique… vraie « fake news » bientôt en une du Decodex ?

    Stanislas Lepic

    http://www.bvoltaire.fr/baisse-du-revenu-disponible-des-francais-le-holdup-legal-continue/