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anti-national - Page 737

  • NE PAS SE TROMPER D’ENNEMI (2) : L’HÉRITAGE CALAMITEUX DE BARACK OBAMA

    Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.

    Faute de désigner clairement un ennemi, le mandat de Barack Obama a été calamiteux. Il a, en fait, rapatrié l’ennemi, en donnant la priorité au combat de l’Amérique contre elle-même, en privilégiant le progressisme à l’intérieur et donc la lutte contre le conservatisme sociétal et social, tout en prétendant exporter les valeurs américaines de tolérance à l’extérieur. Le conservatisme, voilà l’ennemi, tel est le slogan qui peut résumer son action et qui a tellement plu à notre microcosme national dont Macron est le fleuron. Cela a conduit à encourager la renaissance de l’islam et à imaginer sa compatibilité avec la démocratie lors du discours du Caire et à s’opposer systématiquement à la Russie qui, par un incroyable retournement, est devenue la championne du conservatisme, le paradigme du patriotisme identitaire. La pression à l’intérieur comme à l’extérieur pour que des droits soient reconnus en fonction de la pratique sexuelle, par exemple, restera une marque de l’ère Obama, que l’on considère davantage comme un signe de décadence au pays de Poutine.

    Les « principes de progrès, de tolérance et de justice communs à l’islam et aux États-Unis » évoqués par le président des États-Unis au Caire suffisent à souligner son degré d’ignorance ou de mauvaise foi. Rien, dans l’histoire de l’islam, ne vient étayer ce discours séducteur et mensonger. Depuis, les Occidentaux savent à quoi s’en tenir, puisque les islamistes font régner, partout où ils le peuvent, la régression, le fanatisme et la ségrégation entre hommes et femmes, croyants ou non-croyants. La haine et la violence barbare et sans limite qu’elle engendre désignent clairement l’ennemi : notre civilisation, sous ses deux formes pourtant très distinctes : chrétienne et hédoniste. Il faut être aveugle pour ne pas voir que nous sommes la cible. Malgré l’écrasement, bien tardif et poussif, de l’État islamique, le mal s’est répandu sous de multiples formes. Jamais l’image de l’hydre n’a été plus adaptée. Or, Washington s’est concentré avec mollesse sur une seule tête, pendant qu’il en nourrissait ou en caressait d’autres.

    Étrangement, ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental. Il s’accentue même depuis l’élection de Donald Trump. Celui-ci doit avoir une idée plus lucide de l’ennemi, mais il est obligé en permanence d’éviter les mines semées par son prédécesseur, et que renforcent parfois ses « amis » adeptes du politiquement correct. Obligé de communiquer prioritairement par les réseaux sociaux, il est constamment en butte à l’inquisition médiatique et à la mobilisation des organisations gauchistes, spécialistes des manifestations musclées. Harcelé continuellement par les soupçons sur les relations de son entourage avec la Russie dont on se demande bien comment elle aurait pu, si peu que ce soit, modifier le résultat des élections, il navigue à la godille, bombardant les Syriens un jour, suspendant l’aide aux rebelles le lendemain, et approuvant de mauvais gré de nouvelles sanctions contre la Russie le surlendemain. Le Congrès, pour une fois largement républicain avec un président du même parti, est loin de le soutenir. On se demande parfois si, dans les rédactions occidentales, et pour le microcosme qui définit et impose l’idéologie du politiquement correct, Trump n’est pas l’ennemi absolu, en tant que symbole vivant du conservatisme populaire, « élu des ploucs », pensent-ils très fort, tandis que l’islamisme ne serait que la conséquence passagère et excusable de tout ce que l’Occident a fait subir au reste du monde. À domicile, ce combat aveugle et suicidaire se pare du voile moralisateur de l’antiracisme. (À suivre.)

    http://www.bvoltaire.fr/ne-se-tromper-dennemi-2-lheritage-calamiteux-de-barack-obama/

  • QUELLE GUERRE ?

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    Pieter Kerstens 

    Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Contre qui ? Combien ?

    Autant de questions auxquelles les responsables politiques répondent inlassablement et sans variante : « nous sommes en guerre contre le terrorisme ! ».

    De Nice à Londres, de Stockholm à Barcelone, en passant par Berlin, les tueries barbares se succèdent.

    On nous parle de voitures « folles » ou de camions « béliers ». Les conducteurs sont « déséquilibrés », sous l’emprise de médicaments ou alors totalement « bourrés ». La piste psychiatrique est maintenant systématiquement privilégiée…

    En conclusion, depuis 2 ans, de plus en plus de piétons sont des victimes malheureuses des accidents de la circulation.

    Mais, prudence, prudence, on doit absolument sanctifier le « Vivr’ensemble ».

    Il ne faudrait tout de même pas jeter de l’huile sur le feu… Et c’est pourquoi la mafia politico-médiatico-financière impose dès lors une langue de bois, alors que pour toutes ces tueries, les assassins sont dans une très large majorité des musulmans et que la comédie atteint le grotesque quand la presse Internet/TV /Radio nous diffuse les témoignages des voisins ou de la famille vantant les qualités (il était « si gentil », « travailleur », « sans problèmes », « timide ») de chacun des terroristes, sans que les journaux écrivent leurs prénoms : Saïd, Mohamed, Hassan , Abdeslam, Younes, Abdul ou Fayçal…

    Quand NKM avait prise une claque à Paris durant la campagne des législatives, TOUS LES MEDIAS se sont empressés de diffuser le nom, le prénom et l’adresse du coupable, qui a été jugé en 4ème vitesse : mais lui, ce n’était pas un rebeu !

    Les gouvernements nous prennent pour des imbéciles.

    Si tous ne s’en rendent pas encore compte, les électeurs restent chez eux, écœurés par les bassesses et la veulerie des pourriticards du « politiquement correct ».

    Une réaction des mougeons * n’est pas à exclure. Certains d’entre eux ouvrent lentement les yeux et découvrent que depuis des années nos gouvernants, nos politiques, nos institutions et la majorité de nos concitoyens font preuve de déliquescence morale, de décadence intellectuelle et d’un aveuglement prononcés.

    Une minorité grandissante estime nécessaire la restauration des valeurs ancestrales qui ont permis à l’Europe de diffuser sa culture et de défendre sa civilisation, par-delà les mers et au travers des siècles, à l’opposé de ce que l’on nous apprend.

    Un peuple qui se respecte, venge ses morts.

    Et ce n’est pas avec des pleurnicheries, des repentances, des fleurs, des devoirs de mémoires, des flagellations, des bougies, des culpabilisations et des doudous que l’on se débarrassera des fanatiques musulmans qui tuent nos enfants !

    *½ mouton ½ pigeon « En marche ».      

  • Attentats en Catalogne: la cellule neutralisée - Journal du Mardi 22 Août 2017

  • Prière à la mairie d’Oldham : Le double message de l’imam qui salue en réalité le djihadiste mort à Manchester

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    Suite à la publication par mes soins d’une vidéo montrant le maire musulman d’Oldham (Manchester), Shadab Qumer, imposer le récit d’une prière islamique par un imam lors du conseil municipal de la ville, les gens ont découvert avec stupéfaction la rapidité avec laquelle l’ennemi infiltre les institutions des états ouest-européens, même à l’échelle locale.

    Cette vidéo est un désastre en termes de communication, tant pour la gauche pro-musulmane que pour ses alliés musulmans. Il suffit pour s’en convaincre de lire les réactions stupéfaites des gens. Le journal d’extrême-gauche 20 Minutes a bien tenté, maladroitement, de se livrer à une intoxication en forme de “désintoxication”, rien n’y fait : tout le monde a vu ce qu’il fallait voir. Plus d’un demi-million pour ma seule page Facebook et bien plus par la suite puisqu’elle est reprise ailleurs.

    Je veux maintenant revenir sur un point crucial : la symbolique occulte qu’utilisent les islamistes et qui leur permet d’envoyer un message de mobilisation à leurs troupes tout en subvertissant leur ennemi. C’est-à-dire ici les Blancs de religion chrétienne ou agnostiques.

    Cette vidéo a été filmée le 12 juillet 2017, deux mois après l’attentat-suicide commis par un djihadiste à Manchester, le 22 mai. Officiellement, comme s’en flatte 20 Minutes, il s’agit de rendre “hommage” aux victimes :

    Dans la vidéo complète, qui est disponible sur le site de la ville, on entend la prière de l’imam, qui prie pour « se souvenir de ceux qui ne sont plus avec nous ». Une allusion aux victimes de l’attentat de Manchester, mais aussi à celles de l’attentat survenu au London Bridgeet à celles de l’immense incendie de la tour Grenfell à Londres. Après la prière, Shadab Qumer invite à respecter une minute de silence en leur mémoire.

    Posons-nous d’abord cette question très simple : est-il normal qu’après chaque attentat, il y ait toujours plus de manifestations de religiosité islamique en place publique et de discours expressément islamophiles de la part des autorités ? Non, bien sûr. Le réflexe humain le plus naturel, guidé par l’instinct de conservation, est de s’éloigner de la source de la menace.

    Or, plus la violence islamique se manifeste, plus les médias et les politiciens vantent les mérites de l’islam et de ceux qui s’en revendiquent.

    Alors, pourquoi ? Que se passe-t-il ?

    Eh bien c’est très simple : le terrorisme fonctionne.

    Lire la suite sur RETOUR D'AVALON

  • Terrorisme : l’inaction des dirigeants de l’Union européenne

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    Dénoncée par Nigel Farage, ancien leader de l’UKIP et chef de file de la campagne pour le Brexit, dans un entretien sur Fox News. L’inaction des dirigeants de l’Union européenne est responsable de la poursuite des actions terroristes dans l’UE revendiquées par l’Etat islamique. Ils se contentent d’affirmer leur « solidarité » face au terrorisme, « mais pas une seule fois nous n’entendons un seul dirigeant de l’Europe proposer quelque solution politique que ce soit ».

    « Ils sont toujours dans le déni parce qu’ils sont tellement gênés par le fait qu’ils sont à la racine de tout cela ». « Il y a un lien direct et une relation entre le nombre de personnes de religions et de cultures différentes que vous faites entrer et le nombre d’attaques terroristes ».

    Nigel Farage a rappelé que l’Europe centrale et orientale est à l’abri des attaques terroristes de l’Etat islamique, car les gouvernements s’opposent aux quotas de migrants que tente de leur imposer Bruxelles. La Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie refusent d’accueillir les migrants islamiques d’origine africaine et proche-orientale qui réussissent à pénétrer dans les pays frontaliers de l’Union – Italie, Espagne, Grèce…

    Les Britanniques ont choisi le Brexit pour des raisons de protection et de sécurité :

    « En réalité, nous voulons contrôler nos frontières, non parce que nous en avons contre tel ou tel, mais parce que nous croyons avant toute chose au contrôle sensé des frontières. » « On peut dire que l’Union européenne a payé le prix politique fort à travers le Brexit ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • "GPA reconnu en France" Ludovine de La Rochère s'exprime sur CNews le 5 juillet 2017

  • Quand le sage désigne la lune…

    Les Etats-Unis  détiennent  le triste record du nombre d’ homicides et des violences au sein des pays occidentaux, mais il y a des décès plus médiatiques que d’autres. C’est le cas avec  la mort d’une militante d’extrême gauche tuée à Charlottesville (Virginie) le 12 août. Un drame intervenu lors d’une contre-manifestation organisée par la nébuleuse antifa, notamment des membres des Black  Lives Matter, organisation très trouble  financée par le sinistre George Soros,  contre un rassemblement dénonçant la campagne visant à  déboulonner les statuts du (populaire) général  Lee.  Rassemblement au sein duquel, c’est vrai, étaient aussi visibles avec leurs panoplies folkloriques   quelques militants-provocateurs de groupuscules extrémistes, des suprémacistes blancs. Héros confédéré de la guerre de sécession, Lee est (était?) une figure suffisamment consensuelle -les amateurs  s’en souviendront- pour que  Général Lee  soit le surnom donné à la voiture flanquée du drapeau sudiste (une Dodge charger 1969) dans  la série télévisée à succès des années 80,  Duke of Hazzard (Shérif fais-moi peur) qui voyait  les deux cousins de la famille Duke au volant de leur bolide faire la nique au shérif du Comté de Hazzard dans l’Etat de Géorgie… Sud profond ou non, il est établi que le général Lee était tout sauf une brute sanguinaire pétrie de haine raciale comme l’ont rappelé fort justement Pierre Terrail sur boulevard voltaire ou encore un communiqué de l’Agrif.

    Invité de RTL matin  la semaine dernière, Bruno Gollnisch a été interrogé sur cet incident dramatique de Charlottesville. Il a refusé de hurler avec les loups,  de se servir de ce drame pour débiter les poncifs habituels, accabler Trump qui a eu le front de condamner toutes les violences d’où qu’elles viennent,  ou de ressasser les formules incantatoires  sur les abrutis de petits blancs et autres red neck qui n’ont pas voté pour Hillary Clinton… « Je condamne évidemment le meurtre. Je le condamne de la façon la plus claire qu’il soit »; pour autant « quand on connaît les faits, l’initiative des violences a appartenu aux contre-manifestants »  a  noté le député frontiste. « Mais je ne suis pas là pour arbitrer les conflits ethniques ou politiques extrêmement violents aux États-Unis», « J’essaye d’éviter à la France les problèmes que connaît la société multiculturelle, multiethnique et multiconflictuelle des États-Unis ! ».

    L‘amalgame est paraît-il un travers qui touche tous les mauvais esprits qui osent rappeler le lien entre immigration de peuplement et échec de l’assimilation, développement de foyers islamistes et de cellules djihadistes dans toute l’Europe. La  Finlande dans la ville de Turku avec une attaque au couteau le 18 août et, pire encore, l'Espagne la veille à Barcelone avec un véhicule fonçant dans la foule, viennent d’en payer le prix fort. Les  adversaires de l’opposition nationale et les progressistes de tout poil ne s’en privent pourtant pas.  Bel exemple en date,  la compilation  commise par Cécile De Sèze , «journaliste RTL », qui apprenait à ses lecteurs sur le site de la station qu’une même infamie, les mêmes relents nauséabonds  de la  bête immonde relient les défenseurs de la mémoire du général Lee à Charlottesville et les partisans Américains, Européens, Français  de la République  arabe syrienne, du  maintien au pouvoir de Bachar-el-Assad.

    « Selon le politologue Ziad Majed, spécialiste de la Syrie – et militant antinational de gauche ce qui n’est pas précisé ici, NDLR- (Bachar el-Assad) représente une figure, il est devenu le modèle de cette extrême-droite occidentale (…). Cette frange pense alors, selon le politologue, que le régime en place impose l’ordre et la stabilité face à des indigènes de couleur, de race inférieureL’extrême droite française est aussi concernée (…)  lors de la campagne présidentielle, Marine Le Pen avait déclaré dès le début du conflit syrien que contribuer à la chute de Bachar el-Assad, c’est permettre à l’EI de gouverner la Syrie. » Quant à  Jean-Marie Le Pen,  il  « louait déjà les qualités de l’héritier syrien (…).  Précédemment, il avait également regretté le temps où Kadhafi était à la tête de la Libye ou avait encore soutenu Saddam Hussein. (…).   Sylvain Crépon, spécialiste de l’extrême droite française et chercheur à Sophiapol -lui aussi un sociologue  juge et partie clairement marqué à gauche, NDLR- , explique qu’à la fin des années 1980, le Front National s’est posé  comme défenseur de l‘Occident chrétien  face au communisme. Quand le communisme s’est effondré, il a fallu trouver une nouvelle stratégie internationale et puiser dans les pensées de groupes qui développent la pensée du différencialisme culturel et s’opposent au métissage ».

    Ce mélange d’approximations, de raccourcis biaisés, de mauvais fantasmes, de duplicité intellectuelle et de simplisme bêta prêterait presque à rire s’il n’y  avait pas encore quelques lecteurs de bonne foi pour prendre pour argent comptant ce type d’élucubrations. Mais ce qui est une incontestable  réalité dont il faut se réjouir, c’est le recul constant de  l’Etat Islamique sur le terrain en Irak comme en Syrie ces derniers mois. Une  République arabe syrienne qui est en passe, fort du soutien déterminant  de ses alliés,  de gagner la bataille de sa survie face à l’hydre islamiste.

    Une dépêche de l’AFP rapportait notamment que si «6 millions de Syriens restent déplacés à l’intérieur du pays alors que plus de 5 millions ont trouvé refuge à l’étranger »,  « l‘Organisation internationale des migrations (OIM) a déclaré le 14 août que plus de 600 000 Syriens qui avaient quitté leur foyer en raison de la guerre, étaient rentrés chez eux entre janvier et juillet 2017 (…). En 2016, la moitié des retours avait eu lieu dans le gouvernorat d’Alep, et selon l’OIM, des tendances similaires ont été observées en 2017. La libération d’Alep en décembre 2016 et sa reprise aux terroristes de Daesh, ainsi qu’à d’autres forces rebelles djihadistes par les forces de l’armée syrienne, appuyées par l’aviation russe, a joué un rôle crucial pour le retour des déplacés au sein de la deuxième ville du pays. »

    Il faut aussi le noter, un certain nombre de vérités sur le conflit syrien finissent aussi par affleurer même dans les médias relayant habituellement la doxa officielle… et certaines hautes autorités morales ont été contraintes de lâcher du lest vis-à-vis de la propagande officielle. C’est (en partie) le cas de Carla Del Ponte ancienne présidente du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) et membre jusqu’à une date toute récente  de la  Commission d’enquête de l’ONU sur la Syrie,   qui a annoncé  le 6 août qu’elle allait en démissionner. Dans le journal helvétique Blick, Mme Del Ponte confie : « Je ne peux plus être dans cette Commission qui ne fait absolument rien ».  « Au début il y avait le bien et le mal. L’opposition du côté du bien et le gouvernement dans le rôle du mal », et si  le gouvernement syrien affirme t-elle a  « perpétré de terribles crimes contre l’humanité », désormais « tous en Syrie sont du côté du mal ». 

    Sur le site de RT Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France,  estime que Mme Del Ponte « est loin d’adopter une approche équitable à l’égard de Bachar el-Assad et de son gouvernement, reprenant les poncifs ou mensonges des révolutionnaires et de leurs parrains occidentaux ou islamistes. Il est étonnant que cette femme de haut vol soit si obtuse, après six ans et demi d’une tragédie dont la véritable nature, les mobiles et objectifs, sont affichés par les agresseurs de la Syrie avec tant de cynisme (…).  Je suis frappé de constater que madame Del Ponte, membre d’une commission onusienne censée être impartiale, partage apparemment sans réserve la position des responsables et intellectuels occidentaux. Elle est venimeuse concernant Bachar el-Assad, chef d’un Etat agressé, qui défend la souveraineté, l’intégrité et l’indépendance de son pays ; elle est aveugle et sourde face aux voix venant de Syrie. »

    Reste que Mme Del Ponte admet cependant dans son entretien dans la presse suisse que «l’opposition (au gouvernement de Bachar el-Assad)  n’est désormais composée que d’extrémistes et de terroristes ». Une prise de conscience (partielle) dont  elle fit également  preuve  en admettant  l’utilisation de gaz sarin par les terroristes islamistes en Syrie en 2013. Quelques années auparavant , en 2008,  dans un livre coécrit avec Chuck Sudetic, un américain d’origine croate, Carla  Del Ponte,  avait aussi pris à  rebrousse-poil  le discours dominant en accusant  les chefs Albanais duKosovo, les islamo-mafieux de l’UCK, de s’être livrés, entre autres monstruosités,  au  trafic d’organes prélevés sur des prisonniers serbes. Certes, à  l’époque où elle poursuivait de sa vindicte  les méchants serbes, relevait alors Bruno Gollnisch, Mme Del Ponte était « une vraie pasionaria dans sa traque et sa condamnation acharnée des patriotes serbes et croates alors que demeure une impunité plus que douteuse des criminels de guerre et mafieux bosniaques ou albanais. »

    D‘impunité  il est encore question aujourd’hui affirme Michel Raimbaud quand il souligne que Carla Del Ponte  « n’évoque aucunement l’urgence de traduire devant les tribunaux tous ceux qui, en Occident ou en Orient, dans les cercles d’influence et les rouages de l’Etat profond de leurs pays respectifs, ont conçu, financé, soutenu, armé les opérations de déstabilisation, de destruction et de mise à mort en Syrie comme tant d’autres pays. » Nous savons en effet que l’élimination  de la République arabe syrienne avait été planifiée et décidée par des commanditaires d’un tout autre calibre que les décérébrés sanglants des milices islamistes qui occupent le devant de la scène médiatique.  Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt…

    https://gollnisch.com/2017/08/22/sage-designe-lune/

  • ON REGARDE BARCELONE… ET ON OUBLIE SAINT-DENIS !

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    1 lance-roquettes anti-char, 3 pains d’explosif, 2 fusils à pompe, des munitions de 12 et 9 mm, 40 kg de résine de cannabis, des gyrophares et des gilets pare-balles.

    C’était jeudi dernier, le 17 août, le jour où le fascisme islamiste a frappé sur les Ramblas de Barcelone et à Cambrils, monopolisant totalement l’attention et les médias.

    L’horreur une fois encore, la folie criminelle, la guerre civilisationnelle, mais surtout les images qui font vendre, l’immédiateté des reportages qui n’en sont pas, « l’information en continu » qui ne s’attache qu’au spectaculaire, à l’émotion qui fouaille les ventres et les cœurs mais se garde bien de parler à la tête.

    En réalité, dans ces moments de pseudo-communion, l’information n’existe simplement plus. La réflexion encore moins. Ça évite d’établir entre les faits des liens qu’on pourrait juger « dérangeants ». Ainsi a-t-on passé sous silence ou presque la saisie qui a eu lieu ce jeudi 17 août à Saint-Denis, en banlieue parisienne, dans la cité Jacques-Duclos qu’on dit gangrenée par le trafic de drogue, en omettant que celui-ci est aussi le terreau où prospèrent les islamo-délinquants.

    Ont donc été saisis, nous dit Le Parisien : un lance-roquettes antichar et trois pains d’explosif tolite, deux fusils à pompe, des munitions de calibre 12 et 9 mm, 40 kg de résine de cannabis, de l’argent liquide, des gyrophares de police et des gilets pare-balles. Deux hommes de 30 et 40 ans ont été mis en examen et écroués pour trafic d’armes et de stupéfiants.

    Le bailleur, Plaine Commune Habitat, qui gère cette cité (et plus de 18.000 logements sur le département), écrit dans un communiqué avoir « à maintes reprises » alerté la préfecture sur « la situation grave » de cette cité, loin d’être un cas isolé à Saint-Denis. L’un de ses gardiens, récemment embauché, a été entendu dans cette affaire et l’on rappellera qu’un camion en provenance d’Espagne et transportant 500 kg de cannabis avait été intercepté par les douanes en novembre dernier alors qu’il entrait dans un local municipal de Saint-Denis…

    On peut, certes, se rassurer en feignant de croire que crime organisé et terrorisme sont des univers distincts, mais tout démontre le contraire. Nos terroristes « français » sont, sans exception aucune, des individus passés par la délinquance et le banditisme, et les jeunes qui se radicalisent en prison n’y sont pas arrivés en se trompant de porte avec les cours du soir.

    L’arsenal saisi jeudi n’était peut-être destiné qu’à attaquer des fourgons blindés ou faire exploser des guichets bancaires, mais rien n’est moins sûr. Et même dans cette hypothèse, on sait que l’argent des trafics finance le terrorisme de par le monde.

    Saint-Denis, l’une de ces cités radieuses de la France communiste d’après-guerre, est aujourd’hui un véritable abcès, un membre gangrené de la République française. C’est là que s’est achevée la cavale de Chakib Akrouh et d’Abdelhamid Abaaoud après les tueries des terrasses et du Bataclan en novembre 2015. Là où Salah Abdeslam, l’organisateur et dernier survivant du commando, avait déposé ses troupes à l’entrée du Stade de France.

    Un Salah Abdeslam qui conserve son mutisme face à la justice et dont le retour dans l’actualité n’intéresse curieusement pas les médias français, à l’exception du journal Ouest-France qui a rapporté l’information publiée par le quotidien hongrois Magyar Idök. On savait, à ce jour, qu’Abdeslam avait rapatrié depuis Budapest les trois auteurs de la tuerie du Bataclan qui arrivaient de Syrie. On apprend, aujourd’hui, qu’il aurait en fait rapatrié treize personnes en tout, des terroristes « infiltrés dans la zone Schengen par la frontière entre la Hongrie et la Serbie, dissimulés parmi les flots de migrants ». Mais le plus gênant, qui explique sans doute ce silence pudique des médias, c’est que « le réseau pourrait aussi avoir profité de l’assistance involontaire des nombreux bénévoles qui venaient en aide aux migrants : Salah Abdeslam a séjourné à deux reprises dans l’appartement d’un membre d’une organisation humanitaire ».

    Mais, chut ! En France, on ne critique pas les ONG.

    http://www.bvoltaire.fr/on-regarde-barcelone-on-oublie-saint-denis/

  • Le terrorisme low cost et saisonnier

    Bernard Plouvier

    Tout raisonnement sur le terrorisme djihadiste actuel en Europe doit partir de deux points fondamentaux : le coran et la pomme pourrie.

    Le coran est un livre de haine et d’appel au meurtre des « infidèles » (soit : tout ce qui n’adore pas le dénommé allah) et des apostats de la religion mahométane. Que l’on ne vienne pas nous leurrer avec une équivalence djihâd = perfectionnement de soi-même : c’est une fantaisie de soufi ! Le coran est d’une clarté aveuglante, dans un nombre effarant de sourates : le djihâd, c’est tuer tous ceux qui ne veulent pas adorer allah.

    La pomme pourrie qui contamine tout un panier de beaux fruits, ce n’est pas une théorie, mais une réalité que tout apprenti récoltant et stockeur de fruits connaît bien. Appliquée au terrorisme, cette contamination explique bien des choses.

    Dans un milieu de jeunes mahométans transplantés ou nés en Europe occidentale ou scandinave, l’on se rend très vite compte que seule une minorité de jeunes noirs, maghrébins ou moyen-orientaux vont triompher dans leurs études et obtenir un travail rémunérateur, intéressant et gratifiant. La majorité de ceux-ci ne pourra que végéter dans la médiocrité, pratiquant de petits boulots ingrats, vivre de la charité publique (les allocations diverses), à moins de se lancer dans divers trafics (vente de drogue ou d’armes, vol et rackett, prostitution et proxénétisme).

    Pour certains parmi ces ratés sociaux ou ces jeunes programmés pour devenir les rebuts de la société européenne, il existe un pari (assez proche du pari pascalien dans sa finalité) : se lancer dans le terrorisme. D’abord pour connaître les joies intimes de la conspiration en petit groupe uni par le même but, celles de la prise de risque et, par-dessus tout, celles de nuire à des « nantis », à des êtres plus doués, mieux adaptés. Enfin et surtout, l’obtention à tout coup du paradis : effectivement, le coran promet le paradis d’allah à tout muslim (fidèle) mourant pour assurer la propagation de l’islam. À quoi bon vivre honnêtement et prosaïquement s’il est aussi simple d’obtenir une éternité de délices surnaturels.

    Pour tuer du pékin qui se rend à son travail, fait ses courses, jouit de vacances bien méritées ou de festivités saisonnières, il ne faut guère déployer beaucoup d’imagination ni investir des sommes folles. Les commanditaires et auteurs des attentats du 11 septembre 2001 à New York voulaient frapper de stupeur l’opinion publique planétaire. Ils ont réussi, mais la réalisation coûta cher et les retombées pour les mahométans d’Afrique, du Proche-Orient et du Moyen-Orient furent détestables.

    Le terrorisme des sociopathes agglutinés dans les quartiers mahométans des cités européennes est, à terme, beaucoup plus rentable et à bien moindre coût. Voler un camion ou n’importe quel véhicule assez lourd pour tuer un maximum de promeneurs dans une course au sein d’une foule est à la portée de n’importe quel groupuscule de voyous de banlieue.

    De même, s’il est quasiment impossible à un Européen autochtone d’acheter une arme pour protéger sa famille, il est très simple à un mahométan de se procurer un AK-47 ou un Uzi, avec l’argent volé, racketté ou provenant d’un trafic. Au pire, un candidat djihadiste besogneux peut se rabattre sur quelques couteaux à lame en céramique.

    Investissement modeste, voire minime, et résultat assuré : les attentats perpétrés en Europe depuis 2014 font généralement une ou plusieurs dizaines de tués et une ou deux centaines de blessés… c’est presque aussi rentable en nombre de victimes que l’envoi de quelques bombardiers sur une cible choisie et c’est infiniment moins coûteux.

    Contre ce terrorisme simple, mais efficace, bon marché pour les assassins, et qui se répète de façon épidémique en période festive et aux dates symboliques, il n’est qu’une seule mesure radicale : refouler vers les terres d’islam ces mahométans dont l’Europe n’a que faire.

    Si les Européens occidentaux sont trop mollassons, trop corrompus pour assurer le renouvellement endogène de leurs Nations, supprimons le droit à l’avortement de complaisance et importons des Européens de l’est… des vrais, en se souvenant qu’un Rom ne sera jamais un Roumain ou un Bulgare, même s’il est porteur d’un passeport qui l’affirme.

    L’islam djihadiste est à l’évidence une religion de haine meurtrière. Ulémas, mollahs et autres bons apôtres nous assurent que le véritable islam ne l’est pas. La lecture du coran infirme absolument ces belles paroles. Il faut imposer la lecture du coran aux Européens pour qu’ils comprennent enfin la dangerosité extrême de ce culte barbare, médiéval, misonéiste et sanguinaire.