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anti-national - Page 738

  • L'alliance qui unit extrême-gauche et islamistes

    Dénoncée par Alexandre Del Valle sur Atlantico :

    "Le "Calife" de l'Etat Islamique, Abu-Bakr al-Bagdadhi, avait déclaré en 2014 que l'Etat islamique s'étendrait jusqu'à Rome, indiquant par là une volonté de convertir le monde entier à l'Islam. Face à l'accumulation des attentats en Europe, l'Occident n'aurait-il pas intérêt à réaffirmer son identité chrétienne, en termes culturels et civilisationnels, afin de décourager l'adversaire, et de lui signifier l'impossibilité de la tâche qu'il se donne ?

    Il faut remonter pour comprendre cela à l'alliance qui unit extrême-gauche, politiquement correct et islamistes. Ce sont cette extrême-gauche et ce politiquement correct que l'on peut globalement définir comme les plus hostiles à la civilisation judéo-chrétienne ont laissé prospérer sur le sol occidental les forces islamistes parce qu'elles avaient un même ennemi : l'Occident. Votre question d'une certaine façon induit la réponse : si l'Occident arrivait à vaincre le totalitarisme rouge, l'idéologie communiste et tiers-mondiste qui continue à diaboliser la société occidentale et à valoriser tout ce qui ne l'est pas – l'extrême gauche ayant toujours été l'allié des forces qui détestent notre civilisation – nous aurions plus de facilité à gérer notre sécurité. Nous aurions plus de facilité à contrôler les flux migratoires, les juges pourraient plus facilement appliquer les lois, les politiques ne seraient pas systématiquement traités de racistes ou de fascistes lorsqu'ils veulent défendre leur civilisation. On se rappelle sur ce point du cas Guéant, diabolisé parce qu'il avait osé parler du choc des civilisations pour exprimer l'opposition de l'Occident et de l'Islam. [...]

    On voit bien que ce qui nous empêche aujourd'hui de lutter contre le totalitarisme islamique, c'est l'influence dans nos rangs du totalitarisme rouge qui contrôle les médias, le système universitaire et une partie du système judiciaire. Il agit comme une force qui empêche de lutter contre l'ennemi islamiste et de préserver nos valeurs. La dernière revue créée par Daech s'appelle Rumia, qui symbolise l'objectif très important pour les islamistes de conquérir un jour la chrétienté. Il faut évidemment reconquérir Al Andalus, la perle de l'ancien califat perdue au profit des rois très catholiques, mais aussi prendre Rome et c'est un élément très important de la propagande de Daech et de nombreux islamistes : selon un hadith– une parole attribuée à Mahomet qui a valeur de texte sacré - très souvent cité par des islamistes, y compris les non-terroristes tel Qardawi des Frères Musulmans, après Constantinople, Rome sera prise et l'Europe sera islamisée.

    Cette idée est très présente dans toute la logique de l'islamisme mondial : on voit donc bien qu'il ne s'agit pas de cas de terroristes isolés mais que cela découle d'un mouvement mondial de néo-impérialiste. C'est un combat civilisaitionnel, et puisqu'il est pensé tel quel et que cette guerre est livrée non seulement par des terroristes mais aussi grâce à l'appui d'États tel l'Arabie Saoudite, le Pakistan ou d'association comme les Frères Musulmans. Face à une agression qui est le résultat d'un projet de révolution civilisationnelle revanchard, la réponse ne sera pas par la guerre mais la défense et le refus du vide. Le vide que nous produisons aujourd'hui dans la détestation de notre propre religion et de notre propre identité et est le meilleur allié des islamistes. Il nous manque aujourd'hui un projet civilisationnel comme. Nous devons mener cette politique des civilisations. [...]"

    Michel Janva

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  • L’aluminium, un poison légal dans les vaccins ?

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    Que devient l’aluminium présent dans les vaccins ?

  • Espagne : les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes»

    L'enquête avance rapidement et la police découvre que l'attentat à Barcelone devait être bien plus sanglant si les terroristes étaient parvenus à leurs fins :

    "La cellule terroriste semblait envisager un scénario plus sanglant encore. Les complices ont d'abord tenté de fabriquer au moins une bombe à l'aide de plusieurs bouteilles de propane et d'explosifs artisanaux dans une maison d'Alcanar, une ville à une cinquantaine de kilomètres au sud de Barcelone. Mercredi soir, cette habitation avait été soufflée par une explosion, d'abord attribuée à une fuite de gaz, faisant un mort et sept blessés. Vendredi, le chef de la police, Josep Lluis Trapero a confirmé que «les auteurs préparaient depuis quelque temps dans ce bâtiment d'Alcanar les attentats de Barcelone». «C'était un groupe dont nous ignorons le nombre exact (…). Beaucoup sont identifiés». De son côté, un magistrat de l'Audience nationale, le parquet, Javier Zaragoza, a assuré que les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes» mais constituaient un «réseau structuré».

    [...] Si les Mossos d'Esquadra, la police de Catalogne, ont confirmé détenir quatre personnes «en lien avec les attentats», au moins trois autres étaient en fuite selon une fiche de recherche diffusée vendredi. La police a d'abord longuement cherché le chauffeur de la camionnette blanche utilisée sur les Ramblas. De sources officieuses, l'homme est identifié comme Moussa O., un Marocain de 17 ans. Il aurait en fait trouvé la mort avec quatre complices dans une fusillade avec la police à Cambrils, selon la presse espagnole. Le jeune homme, résidant légal en Espagne, se serait radicalisé ces dernières années. Sur un réseau social, il avait ainsi fait part de son intention de «tuer les infidèles pour ne laisser que les bons musulmans».

    Selon les derniers éléments de l'enquête, il se serait enfui des lieux en prenant le conducteur d'une voiture en otage. Une demi-heure après l'attentat des Ramblas, cette Ford Focus a forcé un barrage à la sortie est de la capitale catalane, renversant un sergent. Elle devait être retrouvée, deux kilomètres plus loin, son chauffeur mort au volant, tué de plusieurs coups de couteau. Considéré dans un premier temps comme un suspect potentiel, cet homme, qui n'avait pas été identifié vendredi après-midi, était désormais plutôt vu comme la quinzième victime du tueur.

    Les deux autres fuyards ont, pour leur part, été identifiés jeudi dans la soirée. Il s'agirait des conducteurs d'une seconde camionnette, une Fiat, louée en même temps que celle abandonnée sur les Ramblas. Ce van, longuement traqué, a été retrouvé sur le parking d'un fast-food de Vic, une commune située à une cinquantaine de kilomètres au nord de Barcelone. À l'intérieur, les Mossos ont découvert la carte d'identité d'un certain Younès A., un Marocain de 22 ans. Ce dernier pourrait être accompagné d'un autre individu, Mohamed H., 20 ans. Les deux hommes habitaient les environs de Ripoll. Le ministre français de l'Intérieur, Gérard Collomb, a tout de même ordonné vendredi le renforcement des contrôles à la frontière franco-espagnole. Le dernier homme recherché est un Marocain, Saïd A, 18 ans.

    Les enquêteurs, très prudents, n'ont pas confirmé d'éventuels liens, ni entre les fuyards, ni avec les personnes arrêtées. Seule certitude, l'une d'elles est Driss O., le frère de Moussa O. C'est avec les papiers de ce jeune homme que la camionnette des Ramblas a été louée. Ce Marocain de 28 ans, a été interpellé vendredi soir à Ripoll, la petite ville à cent kilomètres au nord de Barcelone où il habite. Aux policiers, l'homme a affirmé s'être fait voler ses papiers quelques jours auparavant. Il n'avait cependant pas porté plainte. Driss O., s'il n'était pas connu pour des faits en liens avec le terrorisme, était fiché après avoir effectué un mois de détention préventive en 2012 dans le cadre d'une affaire d'agression sexuelle. Le second suspect placé en garde à vue est un proche de Driss O. Ce Marocain de 30 ans a été interpellé, vendredi à l'aube, également à Ripoll. Le troisième, est également un résident de cette cité. Des perquisitions étaient en cours vendredi après-midi dans une demeure de la ville.

    Le dernier djihadiste incarcéré a été appréhendé à Alcanar. Selon la police, il s'agit d'un citoyen espagnol né à Melilla, une enclave espagnole en plein Maroc. Cet homme, âgé d'une vingtaine d'années, serait l'un des blessés de la maison d'Alcanar. Il aurait lui aussi loué une camionnette.

    Les policiers se concentraient en parallèle sur les cinq terroristes tués dans la foulée de l'équipée sauvage de Cambrils. Ils avaient tout d'abord lancé leur Audi A3 noire, dans les rues entourant le port de cette station balnéaire très fréquentée. La voiture avait ensuite pris la fuite, plein sud, avant d'être bloquée à un barrage de police. Les terroristes, dont certains étaient équipés de fausses ceintures explosives, sont alors sortis de la voiture pour attaquer les forces de l'ordre avec des armes blanches. Ils ont été tous abattus. Trois d'entre deux ont été identifiés. Le caractère visiblement improvisé de cette dernière attaque renforce l'hypothèse des enquêteurs. Dans leur refuge d'Alcanar, les complices souhaitaient sans doute mettre au point une ou deux bombes de forte puissance. Ils voulaient ensuite les placer dans les camionnettes louées et envoyer ces engins piégés à Barcelone. Josep Lluis Trapero a affirmé que «les terroristes souhaitaient déclencher des bombes». «L'explosion de la maison d'Alcanar a sans doute permis de l'éviter». «Ils se sont alors rabattus sur un plan B de manière désespérée.» Un plan B qui a fait 14 victimes."

    Michel Janva

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  • BARCELONE : QUE LES COUPABLES (LES VRAIS) SOIENT ENFIN DÉVOILÉS

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    Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone : c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir.

    L’ennemi vient encore de frapper à Barcelone, où l’on compte, au moment d’écrire ces lignes, 13 morts et environ 80 blessés, dont certains très graves. Le moment est venu de dévoiler enfin les coupables – les vrais.

    Et les vrais coupables, les coupables premiers, ne sont ni l’Arabe né à Marseille (un certain Driss Oukabir, déjà arrêté), ni les deux autres tués par la police, ni tout le reste de complices… et de commanditaires. Eux ne sont rien d’autre, finalement, que l’ennemi. Et avec l’ennemi qui vous déclare la guerre, les culpabilités n’ont strictement rien à voir. Les prêchi-prêcha de la moralité non plus. Les cierges qui seront bientôt allumés et les peluches qui seront déposées par les Bisounours de toujours, encore moins. Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone, c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir : l’empêcher de le faire, l’abattre avant qu’il n’y parvienne, voilà notre devoir le plus simple, le plus élémentaire. Un point, c’est tout.

    Or, ce n’est pas de combattre l’ennemi, c’est de l’accueillir qu’il s’agit pour les véritables coupables de notre déroute. Ce Carles Puigdemont, par exemple, président sécessionniste de la Generalitat de Catalunya (Généralité de Catalogne) qui, lorsque le sang des tués et des blessés est encore tout frais sur les Ramblas de Barcelone, a eu l’outrecuidance de déclarer, après avoir essuyé une larme : « La Catalogne a toujours été terre de paix et d’accueil. Nous ne permettrons pas qu’ils nous empêchent de l’être toujours. »

    Non seulement ils accueillent l’ennemi les bras ouverts, mais voilà que lorsque celui-ci frappe, ils osent encore insister sur leur complicité coupable. Pas la moindre mise en question, pas l’ombre d’une interrogation sur l’impossibilité de la société « multiculturelle » qu’ils ont eu le rêve fou de vouloir bâtir. Et le bâtir en faisant majoritairement appel, en Catalogne, à l’immigration arabe et musulmane, de préférence aux immigrés provenant de l’Amérique espagnole, qui ont, eux, le tort de parler la langue que les séparatistes haïssent et qu’ils voudraient voir disparaître de leur territoire. (C’est, d’ailleurs, peine perdue, car la plupart des « nouveaux Catalans » venus remplacer les anciens finissent, malgré les aides considérables qui leur sont allouées, par apprendre l’espagnol. Que voulez-vous ! Six millions de personnes en Catalogne, face aux 500 millions parlant l’espagnol de par le monde, ça fait quand même une petite différence !)

    C’est pour que les populations visées par les actes de guerre continuent à les considérer comme de simples attentats qu’il faut certes condamner, mais qui ne devraient nous faire tomber ni dans l’islamophobie ni dans le rejet de la fraternité multiculturelle, c’est pour cela que les autorités ont lancé ce soir des appels (inutiles, au demeurant) pour qu’on évite de faire circuler les images les plus frappantes de la tuerie. Mais les images ont circulé et circuleront. La censure n’a jamais empêché la vérité d’éclore ni les peuples de se révolter pour retrouver leur liberté et leur identité bafouées.

     Écrivain et journaliste espagnol El Manifiesto
  • Les immigrés de la Porte de la Chapelle, relogés secrètement dans le XVe arrondissement

    Philippe Goujon, le maire du XVe arrondissement, n'était pas au courant :

     "J’ai appris fortuitement qu’un camp de 500 migrants allait s’installer sur mon arrondissement, sur un site universitaire. Un camp avec des tentes de la Croix Rouge comme en Syrie ou au Liban ! Le préfet de région m’a dit qu’il n’avait pas trouvé d’autres sites en Île-de-France".

    Ce camp, installé rue Lacretelle, près de la porte de Versailles, a été mis en place pour désengorger celui de la porte de la Chapelle, dans le nord de la capitale.

    Ce matin, vendredi 18 août, près de 350 policiers ont évacué dans une trentaine de bus le millier de migrants qui stationnaient à la Chapelle. La veille, des ouvriers de chantiers installaient les toilettes dans le nouveau camp du XVe arrondissement.

    Michel Janva

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  • Charlottesville : à qui profite le crime ?

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    Philippe Randa EuroLibertés cliquez ici

    Heureusement que la droite dite extrême existe ! Sinon, de quoi les médias parleraient-ils en cette période terriblement démunie d’actualité croustillante ?

    Samedi 12 août, à Charlottesville en Virginie d’Amérique, la « bête immonde » – telle que la plupart des médias politiquement correctes ont prises l’habitude de présenter tous ceux qui n’ont pas l’heur de leur plaire – avait appelé à un rassemblement pour protester contre le projet de retrait d’une statue du général confédéré Robert Lee.

    Héros des armées du Sud lors de la Guerre de Sécession, celui-ci est présenté – ô surprise ! – comme un défenseur de l’esclavagisme par les extrémistes de gauche, soit les « antiFas » qui, selon la définition qu’en donne l’encyclopédie Wikipédia, rassemblent skinheads communistes, trotskistes, communistes libertaires, autonomes, on en passe et des plus sympathiques encore.

    Ceux-ci n’entendaient pas laisser faire ceux-là : d’où des violences inévitables, des dizaines de blessés et même un mort parmi les contre-manifestants…

    Sautant sur cette macabre opportunité, les médias ont aussitôt titrés à l’unisson sur « les manifestations d’extrême droite qui ont dégénéré » (Le Monde), « la Marche raciste » (Libération), « les groupuscules de l’extrême droite américaine » (Le Parisien), etc.

    Personne ne fait toutefois remarquer que cette manifestation était parfaitement légale et autorisée (elle n’a été interdite qu’à partir des premiers incidents et avant la proclamation de l’état d’urgence) et que ces violences à l’évidence déplorables ne se seraient sans doute pas produites sans la présence de contre-manifestants dont les slogans ne sont guère moins haineux que ceux qu’ils entendent dénoncer chez les défenseurs de la mémoire du général Lee…

    Le président Trump ne s’y est visiblement pas trompé en renvoyant les deux camps dos à dos…

    Si les « antiFas » avaient respectés le droit de manifestation et la liberté d’expression, il n’y aurait pas eu plusieurs dizaines de blessés et un mort à Charlottesville… À moins que cela n’ait été, au contraire, le but recherché ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Macron-Défense : l’affaire Villiers n’est pas qu’une question de chiffres

    Par Roland Hureaux

    229464004.jpgAu delà des chiffres et des budgets, Roland Hureaux se livre ici [Causeur - 16.08] à une fine et exacte analyse du rapport personnel de l'actuel président de la République avec nos Armées. Rappelons que Roland Hureaux fut l'un des participants au colloque d'Action française du 7 mai 2016, à Paris, « Je suis royaliste, pourquoi pas vous ? »    LFAR

    Pour beaucoup, le différend qui a opposé le président Macron au général Pierre De Villiers, chef d’état-major des armées, pourrait être ramené à une question de chiffres, ce qui serait après tout normal s’agissant d’un président issu de I’Inspection des finances. Mais une telle approche serait bien réductrice.

    Question de chiffres : Macron avait promis dans son programme électoral de remonter le budget de la Défense à 2 % du PIB. Une promesse qu’avaient d’ailleurs faite aussi Marine le Pen et François Fillon. Comment Emmanuel Macron, adepte inconditionnel de l’OTAN, aurait-il pu proposer autre chose que le minimum que cette organisation a fixé et qui a été rappelé récemment par le président Trump. Mais 2%, c’est beaucoup, environ 44 milliards ; à un budget actuel de 32 milliards, il faudrait donc en ajouter 12.

    Autre chiffre, le déficit autorisé par l’Union européenne : 3 % du même PIB, soit 66 milliards qui sont déjà une tolérance, assortie de la promesse française de le ramener à zéro, jamais respectée par le gouvernement Hollande (dont Macron était le ministre des Finances). Ce n’est pas en effet en accumulant des déficits (et donc avec un supplément d’endettement de 3 % l’an) que l’on réduira une dette qui atteint aujourd’hui les 100 % du PIB. Il reste qu’Emmanuel Macron, qui a voulu entrer en fanfare sur la scène européenne, et pour qui les consignes de Bruxelles, comme les souhaits de Berlin,  sont la Loi et les prophètes, veut à tout prix, pour assurer sa crédibilité, redescendre à ce niveau. Il lui manque pour cela 8 milliards. L’habitude de Bercy dans ce cas-là est de ponctionner les ministères régaliens, à commencer par la Défense à qui, au lieu d’accorder 12 milliards, on demande 850 millions tout en gelant 2,7 milliards.

    Cette logique n’explique pas seule que le mécontentement des armées justement exprimé par leur chef d’état-major en commission de la Défense soit devenu une affaire d’Etat.

    Au-delà des chiffres, le choc des cultures

    On est surpris du degré de mépris dont le président Macron fait l’objet sur la toile dans de nombreux  textes, anonymes ou pas, issus de la communauté militaire. Nicolas Sarkozy et François Hollande, que les militaires n’aimaient pas beaucoup, n’ont jamais essuyé pareille hostilité. Et surtout pas moins de trois mois après leur prise de fonction.

    On peut faire la part des maladresses du nouveau président, de son absence de sensibilité militaire : même s’il fanfaronne ici ou là au milieu des troupes, il est le premier président à n’avoir pas fait de service militaire. La génération X-Y !

    Il faut cependant aller plus profond. La personnalité d’Emmanuel Macron rebute bien des gens, surtout dans les armées. Il porte avec lui un air de légèreté qui n’est pas vraiment le genre de la maison. Depuis la République romaine et sans doute avant, le chef militaire, confronté chaque jour à la mort, réalité ultime, est un homme grave. C’est cette gravitas, signe d’une maturité accomplie, que les militaires attendent du chef de l’Etat qui est aussi le chef des armées. Le moins qu’on puisse dire est que le nouveau président a, en la matière, des progrès à faire. Beaucoup, dans le grand public, ont été par exemple choqués par sa visite à Oradour-sur-Glane où il multipliait de tous côtés les poignées de main à la Chirac semblant confondre ce lieu de mémoire tragique avec un comice agricole.

    Sans doute sa vie privée n’appartient-elle qu’à lui. Mais pour exercer l’autorité, il faut donner le sentiment d’une personnalité accomplie. Or Jacques Lacan nous l’a enseigné, c’est la résolution du complexe d’Œdipe qui ouvre douloureusement le sujet au monde réel. Nous ne dirons pas qu’Emmanuel Macron ne l’a pas résolu. Mais en politique, seules les apparences comptent.

    Militaires contre idéologues

    Il y a plus : sur presque tous les sujets, Emmanuel Macron a fait campagne sur les marqueurs idéologiques qui, depuis 15 ans, définissent ce qui est politiquement correct :  Europe, libre-échange, dépassement de la nation (la France étant accusée par lui de « crime »), mépris des considérations   culturelles et ethniques par l’ouverture à l’immigration, antiracisme, non-discrimination, hyper-écologie, théorie du genre, vaccins à tout va, etc. Sur aucun sujet Macron n’a pris la moindre distance par rapport à la doxa dominante. Il s’est bien gardé aussi de désavouer celles qui ravagent des secteurs comme l’Education nationale (méthode globale) ou la justice (culture de l’excuse). Non pas parce que cela plaisait à ses électeurs, bien au contraire. Mais parce que cela plaisait à ces prescripteurs essentiels que sont les gens de médias, largement inféodés à l’idéologie.

    Presque tous les ministères ont aujourd’hui la leur, qui suscite généralement l’ire de populations pas toujours conscientes de ce qui leur arrive: l’Intérieur veut à toutes forces supprimer 30 000 petites communes, l’équipement veut interdire toute construction hors des périmètres déjà construits, quelles que soient les traditions locales, la Santé veut fonctionnariser la médecine libérale etc. Le ministère de la Défense n’est pas entièrement exempt de telles idéologies (qui ne sont généralement pas beaucoup plus que des idées simplistes jamais remises en cause), mais seulement en manière d’organisation, où les civils ont leur mot à dire : ainsi les bases de défense, répondant à la culture du regroupement, ont mis plus de désordre qu’elles n’ont fait d’économies. Mais dans l’ensemble le ministère de la Défense demeure relativement préservé de l’idéologie. La raison : les engagements opérationnels multiples dans lesquels nos armées sont impliquées permettent un retour d’expérience constant, ce qui n’est pas le cas dans la plupart des administrations civiles. « Quand le canon tonne, les cons se taisent », dit un vieux dicton militaire. Les idéologues aussi, l’idéologie ayant pour caractère de faire perdre le sens du réel, éminemment nécessaire au combat.

    Il semble que l’idéologie et le déficit œdipien aillent ensemble. C’est l’immaturité qui explique le succès des idéologies, particulièrement dans une classe intellectuelle ou médiatique plus à l’abri que le peuple du contact direct avec le réel, parfois si dur. Sur ce chapitre, Emmanuel Macron est bien un enfant du siècle.  

    est essayiste.
  • CORRUPTION INOUÏE DE L’ÉDUCATION NATIONAL par Claire COLOMBI

  • Barcelone : Attaque terroriste à la fourgonnette. 2 suspects arrêtés. 13 morts

    La police vient d'annoncer qu'il s'agissait d'une attaque terroriste. Au volant d'une fourgonnette, un terroriste a foncé il y a quelques instants dans la foule à Barcelone, en Espagne, sur l'artère touristique de Las Ramblas . Selon la police, il y aurait plusieurs blessés et 2 morts. Le chauffeur s'est enfui. Les auteurs présumés se seraient barricadés dans un restaurant turc. La fourgonnette aurait parcouru 530 mètres avant de percuter un kiosque.

    L'homme est retranché dans un bar :

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  • Les fuites de l’Open Society Foundations de Soros. Ingérence et subversion [rediffusion]

    Par André Posokhow, Sciences Po Paris, commissaire aux comptes, essayiste 

    Qui est George Soros ? George Soros, né György Schwartz en 1930 à Budapest, est un financier milliardaire américain d’origine juive. Il est connu pour ses activités de spéculation sur les devises, notamment la livre anglaise qu’il a mise à genoux en 1992, sur lesquelles il a bâti une fortune immense ainsi que par ses activités d’influence politique. Il est actuellement président de Soros Fund Management, basé à New York, qui gérait, en 2012, 25 milliards de dollars pour lui, sa famille et ses fondations. Il a fondé et préside l’Open Society Foundations (OSF), dont l’objectif est de promouvoir le « développement de sociétés démocratiques et ouvertes », les sociétés européennes ne l’étant probablement pas assez.

    +En France c’est un repris de justice. Il fut condamné pour délit d’initiés dans l’affaire de la Société Générale qui avait vu le gouvernement socialiste de la fin des années 1980 fermer les yeux sur la tentative d’OPA menée par Georges Pébereau et Robert Lyon, président de la Caisse des dépôts. Le jugement fut confirmé en cassation et il fut condamné à payer une amende de 940.500 euros. Ayant fait un recours auprès de la Cour européenne des droits de l’homme en 2011, il fut débouté.

    Selon Wikipédia, Soros utilise une partie de sa fortune à des activités philanthropiques. En réalité ce sont des activités subversives qui s’inscrivent en pointe des objectifs de l’oligarchie mondiale. Par exemple, George Soros a donné un million de dollars pour une proposition qui vise à légaliser la marijuana en Californie. Il a financé à hauteur de 100 millions de dollars Human Rights Watch, sur 10 ans, à partir de septembre 2010.

    Il a déclaré à la chaîne de télévision CNN en mai 2014 que sa fondation a pris une part importante dans les événements d’Euromaïdan en Ukraine entre l’automne 2013 et le printemps 2014.

    L’Open Society Justice Initiative vise à culpabiliser les nations occidentales

    Un moyen d’action privilégié de l’OSF est l’Open Society Justice Initiative (OSJI), programme qui utilise le droit pour pousser et aider des individus et des associations à soutenir les objectifs d’OSF par des moyens juridiques et des recours judiciaires. Ceux-ci sont lancés par des juristes rattachés au programme devant les juridictions nationales et internationales.

    Il s’agit de « responsabiliser », en réalité de culpabiliser, les décideurs et les gouvernants notamment en matière de discrimination raciale, de justice pénale, d’abus supposés liés à la sécurité nationale et à la lutte contre le terrorisme et de promotion de la liberté d’information et d’expression.

    L’accès à des documents internes de la fondation Soros

    Polémia a eu accès à des « leaks » [des fuites] de documents internes de la fondation Soros qui permettent d’avoir un aperçu des activités de celle-ci dans plusieurs pays comme l’Allemagne, la Russie et plus particulièrement la France.

    Ces documents font apparaître les actions entreprises, leurs composantes, leur durée et surtout les montants engagés par Soros en faveur de ses mandataires dans les pays concernés.

    La lutte contre les discriminations, prétexte et vecteur d’une stratégie de subversion

    Pour ce qui concerne notre pays, la lutte contre les discriminations vise principalement :

    – l’interdiction du voile intégral ;
    – les contrôles au faciès aussi appelé profilage racial ;
    – des actions contre certains articles du Code de procédure criminelle.

    En Russie il s’agirait d’expulsions de communautés Roms, de profilage racial et de passages à tabac allégués pour des motifs raciaux.

    En Allemagne, « l’Initiative juridique » de la fondation s’en prend à l’interdiction du port de vêtements religieux orientaux dans les écoles allemandes en Rhénanie-du-Nord-Westphalie qui violerait la législation de l’UE sur l’égalité et la Convention européenne des droits de l’homme. Elle vise également la question de classes séparées pour les étudiants immigrés dans les écoles primaires et secondaires.

    Enfin l’OSJI cherche à remettre en cause la constitutionnalité des législations dans le domaine du contrôle des étrangers et des immigrés.

    Lutter contre des discriminations entre nationaux est dans l’ordre des choses au nom de l’égalité des droits. Mais est-ce légitime lorsqu’il s’agit d’étrangers ? Une nation n’existe que dans la mesure où il est établi une distinction et non une discrimination, mot de la novlangue, entre les nationaux et ceux qui ne le sont pas. C’est même un principe juridique de la République. C’est à ce titre que les Allemands créent des classes pour les jeunes immigrés afin d’éviter une chute du niveau scolaire de leurs enfants comme c’est malheureusement le cas de la France.

    C’est justement ce que refuse Soros et ce que combat sa stratégie de subversion. Son objectif final est la disparition des frontières, enfin presque toutes. C’est dans cet esprit qu’il parraine les « No borders » et leur apporte son appui.

    Nos pays affrontent une invasion qui est devenue une submersion migratoire et qui génère une insécurité de plus en plus insupportable, une progression agressive de l’islam et enfin un terrorisme meurtrier. Il est du devoir et de l’avenir de la République de défendre et préserver la nation française et notre civilisation. La stratégie de Soros est d’abaisser les défenses immunitaires de nos pays. L’extension du voile intégral représente une provocation. Céder constituerait un recul de notre société. C’est pourtant ce que veut Soros en attendant l’étape supplémentaire. Et comment combattre l’insécurité et le terrorisme dont on sait bien qui en est à l’origine, si le ciblage des contrôles est fondé sur la sacro-sainte égalité ? Quoi qu’en dise la propagande de la RATP, ce ne sont pas les jeunes de race caucasienne qui fraudent en masse.

    Les moyens d’action de la stratégie de subversion de Soros

    LES INTERVENTIONS EN TANT QUE TIERCE PARTIE

    La France a promulgué en avril 2011 une loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public qui a fait l’objet d’un recours de la part d’une femme musulmane (SAS) auprès de la Cour européenne des droits de l’homme. L’OSJI s’est constituée tierce partie en produisant des commentaires écrits auprès de cette juridiction et en particulier une étude de Naima Bouteldja qu’elle a subventionnée : « Après l’interdiction. Les expériences du voile intégral de 35 femmes en France ».

    Le jugement de la Grande Chambre de la Cour est intéressant : elle rejette les arguments de la France fondés sur la dignité humaine et la menace que fait peser ces masques sur la sécurité publique. Elle a en revanche retenu que le voile intégrale n’était pas compatible avec le « vivre ensemble », concept indissociable du multiculturalisme. Gageons que dans un futur proche la Cour écartera ce dernier obstacle.

    LE FINANCEMENT D’ÉTUDES

    L’OSJI a contractuellement subventionné en 2009 les travaux de Gwénaële Calvès, professeur de droit public, spécialiste de la discrimination positive que celle-ci conçoit comme une « mission de salut public ».

    Elle a financé et publié des rapports sur les contrôles au faciès opérés par la police à Moscou, et à Paris en 2009, en liaison avec le CNRS qui collabore avec Soros à la subversion de notre pays : « Profiling Minorities. A Study of Stop-and-Search Practices in Paris ».

    Elle a également financé en 2009 une étude de la société américaine Lamberth Consulting, spécialiste du profilage racial, tendant à démontrer qu’Arabes et Noirs (sic) sont six à huit fois plus contrôlés à Paris que les « Blancs » (sic). Il serait intéressant de savoir quel est le ratio correspondant des délits. La même étude a été réalisée en 2005-06 à Moscou.

    LE LANCEMENT ET LE FINANCEMENT D’ACTIONS JUDICIAIRES

    L’OSJI, en liaison avec Human Rights Watch et le Syndicat de la magistrature, a apporté une aide juridique et financé à partir de 2012 Me Belloy du cabinet Beauquier Belloy, Gauvain et Slim Benachour, avocat de 13 plaignants arabes ou africains contre ce qu’ils jugeaient être des contrôles au faciès. La Cour d’appel a donné raison à cinq d’entre eux en juin 2015. Saisie par le gouvernement, la Cour de cassation doit se prononcer le 9 novembre 2016.

    Par ailleurs, l’OSJI a lancé, en liaison avec le Syndicat des avocats de France, Me Le Mailloux, le cabinet Bourdon, Voituriez, Burget et le professeur Dominique Rousseau, une action séparée auprès du Conseil d’État avant de lancer une Question prioritaire de constitutionnalité contre la réglementation du Code de procédure criminelle en ce domaine. Il apparaît là une ingérence évidente et illégitime contre notre corpus juridique destiné à protéger les Français.

    DONS ET SUBVENTIONS

    L’OSJI accorde des dons et subventions, comme par exemple à un Espace Projets Interassociatifs en France à hauteur de 19.172 $ et à un Institut allemand pour la recherche sur les migrations et le racisme.

    CONFÉRENCES ET ATELIERS

    En 2003, l’OSJI a organisé un colloque sur la lutte contre les discriminations en Russie et pour mettre sur pied les stratégies à développer par les ONG et les avocats.

    Le financement indispensable et généreux de ces actions par Soros

    Sur la période 2005-2015, Soros, au travers de l’OSJI, a financé les opérations ci-dessus à hauteur des montants significatifs suivants : 302.889 $ pour la Russie (128.339 $ pour la seule étude de Lamberth Consulting), 360.173 $ concernant l’Allemagne et 214.393 $ au titre de la France.

    En définitive…

    Les actions menées par l’OSJI ne représentent qu’une des facettes de l’exercice du pouvoir d’influence de Soros. Celui-ci, enrichi d’une manière inouïe par ses spéculations financières les plus condamnables sur le marché financier international, au détriment de pays comme le Royaume-Uni et l’Italie, a entrepris, avec les moyens de cette fortune, au nom de la moraline politiquement correcte, d’abolir les frontières et d’abattre les nations en encourageant les migrations pour dissoudre les peuples dans un grand magma mondial

    André Posokhow 18/10/2016

    https://www.polemia.com/les-fuites-de-lopen-society-foundations-de-soros-ingerence-et-subversion/