Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 740

  • ILS VIENNENT PARCE QUE…

    Est-ce que nous allons encore tolérer longtemps leurs entrées massives ?

    Regarder ces images qui font le tour du Net est un devoir moral et un signe de lucidité.

    Ces vidéos ont au moins le mérite de nous éclairer. Oui, il faut arrêter de se mentir : la majorité des migrants sont des hommes seuls ne venant pas de pays en guerre. Quant à leur pauvreté elle est relative puisqu’ils sont en bonne santé et payent des sommes conséquentes pour venir en Europe.

    Ils viennent tout simplement avec l’idée d’acquérir avec une grande facilité tout ce qui leur fera plaisir au niveau matériel, sachant par avance qu’ils bénéficieront des aides dévolues aux nouveaux arrivants.

    Ils viennent parce que les ONG les récupèrent aussi bien dans les camps en Grèce qu’en mer Méditerranée près des côtes libyennes, se fichant des lois du pays riverain.

    Ils viennent parce que les associations gauchistes recevant subventions de l’État, de certains conseils régionaux ou municipalités ont un seul but : faire exploser leur nation qu’ils haïssent. Pour cela, ils vont chercher ces « envahisseurs » dans les zones frontières, les infiltrent, brandissent leur misère comme une arme, les poussent à la violence et mettent en avant leurs revendications de manière exorbitante.

    Ils viennent parce que les grands médias, chaque jour, conditionnent leurs lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs en stipulant qu’il faut les aider, que ce sont de pauvres hères victimes de la guerre, ne montrant dans leurs reportages que des associations pro-migrants sans jamais révéler les 61 % de Français qui refusent leur venue.

    Ils viennent parce que beaucoup de juges ferment les yeux sur les passeurs, et refusent de voir dans leur geste une infraction manifeste ne retenant qu’un acte d’humanité.

    Ils viennent parce que des bobos les tolèrent car, par principe, ils privilégient les droits de l’homme au droit de la nation et des citoyens.

    Ils viennent parce que des bourgeois n’osent protester de peur d’être montrés du doigt et que, dans leurs luxueux quartiers, l’immigré signifie pour eux homme à tout faire ou femme de ménage.

    Ils viennent parce que des milliardaires comme Soros préfèrent avoir une économie mondialisée avec une main-d’œuvre servile, mal rémunérée, plutôt que de payer correctement des locaux.

    Ils viennent parce que artistes et comédiens pétitionnent constamment pour les accueillir tout en négligeant d’en héberger eux-mêmes et d’agir pour les SDF français.

    Ils viennent parce que tous les gouvernements successifs ont été incapables de résoudre le problème, parce que le courage n’est pas leur vertu première et qu’ils préfèrent édicter des lois favorables aux autres plutôt que de protéger les nôtres.

    Ils viennent parce que les milliers de mosquées et de lieux de prière en France sont des appels significatifs à un avenir majoritairement musulman.

    Ils viennent parce que nos clercs préfèrent tendre l’autre joue plutôt que d’affirmer la vérité intangible du christianisme.

    Ils viennent enfin parce que nous-mêmes sommes incapables d’organiser une immense manifestation semblable à celles de La Manif pour tous pour exprimer notre lassitude de voir notre pays défiguré et ainsi faire pression sur nos gouvernants.

    Alors, posons-nous la seule vraie question : est-ce que nous allons encore tolérer longtemps leurs entrées massives ?

    http://www.bvoltaire.fr/ils-viennent-parce-que/

  • CONSANGUINITÉ ENTRE MÉDIAS ET POLITIQUES : LA PREUVE PAR SÉBASTIEN PIETRASANTA

    sebastien_pietrasanta_pays_dr.jpg

    Lors de l’attentat contre des militaires de l’opération Sentinelle à Levallois-Perret, quelle n’a pas été ma surprise de découvrir Sébastien Pietrasanta, consultant « terrorisme » pour BFM TV ! L’ex-député et secrétaire national chargé des questions de sécurité au sein du Parti socialiste avait renoncé à se représenter aux législatives 2017, un peu « lassé par le jeu politique » selon ses propos. On ne peut pas lui reprocher de chercher à se recycler afin de profiter de son carnet d’adresses sans doutes bien rempli, mais de là à le voir rebaptisé consultant « terrorisme » dans un grand média populaire alors que son principal exploit aura été d’être le chantre de la création de centres de déradicalisation en France, avec les résultats que l’on sait, il faut le faire ! Car on peut douter à la fois de son objectivité et de ses réelles compétences sur la question du terrorisme islamiste.

    Concernant son objectivité, son parcours politique engagé et idéologique est éloquent. Vice-président du syndicat lycéen FIDL, bien connu de Julien Dray, puis militant à SOS Racisme et enfin au Parti socialiste. Engagé dans le milieu associatif de la ville de Clichy, il crée en 1998 une association pour lutter contre le racisme et les discriminations. Le décor est planté. Sébastien Pietrasanta fait partie de ceux qui dénient la réalité du phénomène qui nous mine et préfère y voir la faute de la société française qui n’a pas su intégrer une jeunesse qui se cherche ailleurs une raison de vivre… ou plutôt de mourir. Il a aussi été l’auteur, en 2014, d’un rapport sur le projet de loi renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme, là aussi avec les résultats que l’on connaît depuis, et il est donc un des leaders de la philosophie néfaste de notre politique de lutte contre le terrorisme.

    Sur le plan de ses compétences, en 2015, après six mois passés auprès du ministre de l’Intérieur, il publie un rapport intitulé « La déradicalisation, outil de lutte contre le terrorisme » dans lequel il veut persuader l’opinion que les djihadistes de tout poil sont des victimes du système qu’il est nécessaire de prendre en charge et de réinsérer, en ouvrant notamment des centres de déradicalisation. Il privilégie la réinsertion des djihadistes à la sécurité des Français. Il va même jusqu’à souligner que « la question religieuse est en réalité peu présente dans la radicalisation » et comparer l’engagement djihadiste à un « nouvel engagement politique d’une frange de notre jeunesse qui se traduit par la participation ou le soutien à ces groupes terroristes ». Il fallait oser. Quel angélisme, quelle perversion intellectuelle, mais surtout quelle erreur de diagnostic ! Comment voulez-vous qu’avec de tels raisonnements, on puisse mener une véritable lutte contre le terrorisme ? Alors, maintenant, la commenter dans les médias… 

    Il pousse même l’outrecuidance à s’en remettre à la Justice et aux services de renseignement pour rester particulièrement vigilants, ce qui est une belle façon de se défausser. Son rapport propose aussi la création d’une fondation pour le contre-discours afin de contrer la déferlante de vidéos de propagande, portée entre autres par des interlocuteurs du culte musulman avec arguments théologiques afin d’éviter la radicalisation et le départ djihadiste. Silence assourdissant du CFCM ! Et pour cause : aucun contre-discours n’a réussi au monde, y compris en pays musulman.

    Autre exemple d’incompétence, dans le rapport de la commission d’enquête sur les attentats de 2015, dont il a été le rapporteur, Sébastien Pietrasanta préconise, à terme, « la fusion des trois forces d’élite » (GIGN, RAID et BRI). Or, les spécialistes savent bien que, dans ce domaine, on a besoin de diversité des compétences et de complémentarité plutôt que d’uniformisation et de fusion des services.

    En résumé, un bilan désastreux de Sébastien Pietrasanta dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Cette cooptation politico-médiatique chez BFM TV relève bien d’une consanguinité congénitale néfaste à une information objective et éclairée due aux Français.

     Consultant en sécurité

    http://www.bvoltaire.fr/consanguinite-entre-medias-politiques-preuve-sebastien-pietrasanta/

  • Mosquée salafiste à Evreux avec la complicité du maire LR

    Lu sur l'Observatoire de l'islamisation :

    "Rachid Ayouchede nationalité algérienne et sans profession, est le président de l’ « Union Cultuelle Musulmane d’Evreux », association qui porte le projet de construction de la « grande mosquée » d’Evreux. Imam, il se déclare ouvertement salafiste et s’habille ostensiblement comme un membre de cette mouvance, tout en disant respecter les principes de la république française.

    Il organise fréquemment des rendez-vous avec les religieux salafistes des départements limitrophes sur le site de la future mosquée, notamment lors des dernières fêtes islamiques. La présence de ces personnes suscite l’inquiétude de certains fidèles. Depuis son arrivée à la tête de l’UCME,  Mme Zohra.H, par le passé ex vice-présidente de cette association et présidente de l’association de femmes « EL WAFFA » a pris la décision de quitter cette entité, reprochant à Ayouche sa condescendance envers les femmes. A terme, le bureau de l’UCME pourrait écarter son président, mais en attendant, le maire élu sous l’étiquette UMP-UDI, Guy Lefrand, avec le soutien de Bruno Lemaire, soutient ce projet de mosquée. Concernant  l’implication de la mairie, Mohamed Derrar, adjoint au maire d’Évreux en charge de la jeunesse, de l’animation des quartiers et des cultures urbaines, était présent à la journée de collecte de fond pour la construction, le 11 mars 2017. D’ailleurs, lors de ce « diner de Gala », les femmes devaient entrer par une porte séparée, et étaient regroupées dans une pièce séparée par un rideau."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • IMMIGRATION : LE SEUIL DE TOLÉRANCE EST DÉPASSÉ

    Des-dizaines-migrants-p-n-trent-dans-l-enclave-Ceuta-1010x660.jpg

    Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.

    Le « seuil de tolérance » théorisé par le sociologue, économiste et démographe Alfred Sauvy (et qui lui a valu d’être dénigré par sa propre famille politique : la gauche) signifie qu’au-delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.

    Plusieurs pays d’Europe sont concernés, en particulier l’Italie, qui est au bord de la guerre civile (aucun média n’en fait l’écho) et avec laquelle l’Autriche envisage de fermer ses frontières.

    En France, rien n’est fait pour stopper les vagues migratoires, qui de toute façon sont ingérables dans l’espace Schengen. Le pays n’est même plus en capacité de savoir qui se trouve sur son territoire. L’État est dépassé, la situation est clairement hors de contrôle.

    Par ailleurs, même si une solution visant à stopper toute nouvelle vague d’immigration vers l’Europe était mise en œuvre (l’Union européenne fait exactement le contraire, même si les autorités italiennes semblent vouloir responsabiliser les ONG pro-migrants vis-à-vis des passeurs en Libye), il est déjà trop tard. La cohabitation avec les populations locales des pays concernés est de plus en plus difficile, et tourne déjà à l’affrontement.

    Seul un retour des migrants vers leurs pays d’origine pourrait désamorcer le conflit général qui s’annonce. C’est, d’ailleurs, en ce sens que Gérard Collomb a annoncé le versement d’une prime d’aide au retour portée à 2.500 euros par personne : une mesure qui, toutefois, risque de produire l’effet inverse à celui escompté, en attirant plus nombreuses les populations concernées. De plus, il est peu probable que les étrangers présents sur le sol européen repartent d’eux-mêmes, puisque dans le seul cas de la France, 96 % des déboutés du droit d’asile se maintiennent sur le territoire, selon un rapport de la Cour des comptes publié en 2015.

    Si l’on ajoute à cette problématique alarmante le phénomène lié à l’islamisation grandissante de nos territoires, sur fond de menace terroriste, force est de constater que la poudrière est bien en place, et qu’il ne manque plus qu’une étincelle pour déclencher l’explosion.

    Les autorités s’y préparent et pourraient bien profiter de ces tensions pour justifier des mesures autoritaires leur permettant de garantir, sous couvert d’assurer la continuité de l’État et de ses institutions, la sécurité des citoyens, au détriment de nos libertés individuelles déjà largement mises à mal.

    Comme à chaque période trouble de notre histoire, ceux qui ont les moyens de se mettre à l’abri le feront. Pour les autres, ils n’auront plus qu’à remercier ceux qui sont responsables de cette situation (nos dirigeants successifs) et à prier pour l’avenir de leurs enfants.

    http://www.bvoltaire.fr/immigration-seuil-de-tolerance-depasse/

  • La Suède refuse l'asile politique à une iranienne convertie au christianisme

    Une actrice iranienne, Aideen Strandsson, convertie au christianisme secrètement, arrivée en Suède avec un visa de travail de trois ans, a demandé l’asile à la Suède... qui lui a été refusé. Pourtant, en raison de sa conversion au catholicisme, elle est passible de sanctions pouvant aller jusqu’à la peine de mort si elle retourne dans son pays.  

    « Tout le monde connaît la situation en Iran et en Islam. Dans la charia, la conversion à une autre religion n’est pas acceptable et elle est punie de mort.».

    La Suède vient pourtant de lui refuser l’asile, au motif que sa conversion relève « de son choix » et qu’elle n’aurait « qu’à affronter seulement six mois de prison en Iran » !

    La Suède est ce pays qui accueille des immigrés clandestins, et annule des festivals de musique pour éviter que les immigrés ne commettent des agressions sexuelles. La Suède a accueilli récemment 244 000 demandeurs d’asile (dont 34% de Syriens et 10% d’Irakiens).

    Les dirigeants hongrois ont publiquement fait savoir par la voix du vice-Premier ministre Zsolt Semjén que la Hongrie lui accorderait l’asile.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Immigration et manipulation en Allemagne

    Giampaolo-Rossi.jpgpar Giampaolo Rossi

    Journaliste italien ayant étudié l’archéologie, se défini lui-même ainsi : « D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. À leurs risques et périls.»

    LES MENTEURS DES REDACTIONS

    Ceci est un acte d’accusation sans précédent contre les médias allemands : en pleine urgence migratoire, entre 2015 et 2016, les principaux journaux d’Allemagne ont délibérément falsifié la réalité en publiant une information unilatérale et dénuée de toute critique du phénomène, embrassant exclusivement le point de vue d’Angela Merkel, de son gouvernement et des élites politiques et économiques qui voulaient imposer à l’opinion publique la « culture de l’accueil sans discrimination ». L’accusation ne vient pas des habituels polémistes réactionnaires, des blogueurs sans vergogne ou des xénophobes qui servent de prétexte pour empêcher toute opposition au délire du multiculturalisme idéologique. Non. L’accusation vient cette fois  d’une recherche de la Fondation Otto Brenner réalisée par un pool de chercheurs de l’Université de Leipzig et de la Hamburg Media School, recherche coordonnée par le prof. Michael Haller ; son titre : « La crise des réfugiés dans les médias ». C’est l’étude la plus complète et la plus élaborée méthodologiquement sur ce thème.

    UNE ÉTUDE RAVAGEUSE

    Cette recherche a analysé plus de 30.000 articles des principaux journaux nationaux et régionaux allemands entre 2015 et 2016. Plus de 200 pages de chiffres et de statistiques détaillés sur les articles des journaux Süddeutsche Zeitung, Frankfurter Allgemeine Zeitung, Die Welt, Bild, ainsi que sur des publications en ligne et 85 journaux régionaux.

    Lire la suite sur Eurolibertés

  • 225 000 IVG/an et le gouvernement crée un "délit d'entrave numérique" !

  • Immigration: thèse, antithèse, foutaise

    Le plan immigration présenté par Edouard Philippe confirme l’un des principaux aspects de la méthode Macron : sur la forme, on dit tout et son contraire, sur le fond, on se place dans la lignée de son prédécesseur.

    Cela donne un plan « ferme et solidaire » en clair, les vannes restent grandes ouvertes, mais avec fermeté. Tel un Valls expliquant que « les jeunes Français doivent s'habituer à vivre durablement avec la menace d'attentats », Edouard Philippe a ouvert la présentation de son plan immigration par un renoncement. « Compte tenu des causes qui l'explique [...] cette situation est amenée à durer ».

    Une résignation qui n'est pas le seul point commun entre l'action de Philippe et celle de son prédécesseur. Ce qui frappe pourtant d'emblée, c'est que le Premier ministre est bien la voix de son maître, Macron. Dans son discours, le même souci de ménager la chèvre et en même temps le chou. Il a ainsi multiplié l'utilisation du mot « solidarité », à destination de sa gauche, et en même temps les mesures de « fermeté » pour rassurer le Français moyen, du moins celui qui écoute d'une oreille distraite.

    Car au-delà du verbe, c'est le grand flou macronien. Le gouvernement affirme ainsi que « les personnes déboutées feront systématiquement l'objet d'une mesure d'éloignement dès le rejet de leur demande d'asile ». Comment ? Mystère. Pourtant, il admet l'ampleur du problème, reconnaissant que sur 91000 étrangers en situation irrégulière interpellés, moins de 25 000 ont quitté le territoire. Il n'a tout de même pas cité la Cour des comptes, qui a relevé que 96 % des personnes déboutées du droit d'asile restaient en France. Cela aurait été admettre que l'État organise une filière d'immigration clandestine.

    Fermeté verbale...

    En revanche, Edouard Philippe a. aussi insisté sur sa « volonté d'éviter la mise en place de nouveaux campements ».. Sans donner la moindre précision sur la manière d'y parvenir. À ce propos, celui de la porte de la Chapelle, évacué pour la... 34e fois à la veille de son annonce, se remplissait déjà au moment même où il donnait de la voix. Le gouvernement aurait voulu illustrer qu'il entendait vider la mer à la petite cuiller qu'il ne s'y serait pas pris autrement.

    Autre point non détaillé dans ce plan gouvernemental, la préservation des moyens liés à l'hébergement et à l'accompagnement d'urgence. Est-ce parce que la pilule des économies passe mal, notamment auprès des armées (cf. pp. 24-23) - que le Premier ministre n'a pas souhaité en chiffrer le coût ?

    Il a pourtant été plus précis sur d'autres éléments du volet « solidarité », quand il a annoncé la création de 12 500 places d'hébergement pour les clandestins d'ici à 2019 7 500 places pour les demandeurs d'asile et 5 000 autres pour aider les « réfugiés » à accéder au logement. Naturellement, penser que de telles mesures puissent créer un appel d'air, comme l'a démontré la même politique menée par Hollande, serait inconvenant.

    Laxisme factuel

    Inconvenant aussi de se dire que les mesures en faveur de « l'intégration », puis de cours de français, de dispositifs de formation, ne semblent pas à la hauteur des enjeux. L'intégration ne consiste-t-elle pas pour l'immigré à adopter les valeurs du pays d'accueil, et pas seulement sa langue et ses emplois ?

    Inconvenant enfin de constater que le « passeport-talent », repris mot pour mot d'une mesure annoncée par Hollande, ressemble à un gadget rive droite et que les mesures d'accélération des procédures d'octroi du droit d'asile s'enliseront dans le flot sans cesse croissant des clandestins, à l'instar de celles de son prédécesseur.

    Car le contrôle de l'immigration est largement resté au niveau des vœux pieux. Si le premier a affirmé vouloir « mieux maîtriser les flux migratoires en Europe et en France », cette maîtrise repose pour lui sur le contrôle aux frontières françaises jusqu'en novembre. Les niçois, qui voient passer chaque jour des dizaines de clandestins en provenance d'Italie, apprécieront l'ironie de la chose. Au-delà, ce sera la finalisation de la transformation de Frontex en agence européenne des garde-frontières qui devra permettre un meilleur contrôle des limes de l'UE. Quand on sait que cette dernière favorise l'immigration et que les navires de Frontex acheminent les clandestins sur nos rives, on mesure l'hypocrisie toute macronienne du propos d'Edouard Philippe.
    Richard Dalleau monde&vie  26 juillet 2017

  • Pologne : des manifestations manipulées depuis l'étranger

    Décryptage d'Olivier Bault sur Réinformation.tv :

    "Les manifestations « populaires » contre la réforme de la justice en Pologne au mois de juillet ne l’étaient peut-être pas autant qu’il a été dit. En Pologne, on accuse George Soros, l’Allemagne et la France d’avoir fomenté ces rassemblements d’opposition en définitive peu représentatifs de l’opinion polonaise.

    On sait ainsi qu’Akcja Demokracja (Action Démocratie), principale organisation derrière les manifestations de juillet contre la réforme de la justice en Pologne (partiellement bloquée par le président Andrzej Duda), est financée depuis deux ans par la Fondation européenne pour le climat dirigée par Laurence TubianaLaurence Tubiana, qui a donc indirectement contribué à défendre une institution judiciaire encore jamais décommunisée en Pologne, avait commencé sa carrière politique en France à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Elle a plus tard été, entre autres fonctions politiques, conseillère pour l’environnement du premier ministre Lionel Jospin puis ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique et représentante spéciale du gouvernement français pour la COP 21.

    On évooque également un autre dirigeant de la Fondation européenne pour le climat (European Climate Foundation, ECF) : il s’agit de son directeur exécutif pour les politiques mondiales Emmanuel Guérinancien conseiller spécial de Laurence Tubiana au ministère des Affaires étrangères.

    La Fondation européenne pour le climat, sous influence de la France, de l’Allemagne et de George Soros, finance les manifestations contre le PiS

    Mais il n’y a pas que les intérêts français qui soient représentés au sein des instances du principal bailleur de fonds d’Akcja Demokracja, puisque le président du Conseil de surveillance de l’EFC est un Allemand. Il s’agit de Caio Koch-Weser, qui était secrétaire d’Etat au ministère des Finances du gouvernement fédéral en Allemagne de 1999 à 2005, après avoir été vice-président de la Banque mondiale. D’après l’hebdomadaire polonais Gazeta Polska (proche du PiS) qui a dévoilé le premier les financements d’Akcja Demokracja, c’est justement Koch-Weser qui a signé, en tant que secrétaire d’Etat et homme de confiance du chancelier Gerard Schröder, la garantie de l’Etat allemand pour le crédit de la Deutsche Bank en faveur de Gazprom, aux fins de la construction du gazoduc Nord Stream qui relie la Russie à l’Allemagne par la mer Baltique. Koch-Weser est d’ailleurs au conseil d’administration de la Deutsche Bank depuis 2006.

    Quant au fondateur et premier président de l’EFC, George Polk, c’est un ami et collaborateur de l’omniprésent milliardaire américain George Soros.

    Autre « parrain » étranger d’Akcja Demokracja, c’est l’ONG allemande Campact !. Campact ! est membre du réseau international OPEN dirigé par l’organisation américaine MoveOn, qui est financée par George Soros et qui était derrière les manifestations violentes contre Donald Trump après sa victoire aux élections présidentielles. Ce n’est pas un hasard si les méthodes et les slogans de la gauche libertaire et immigrationniste se ressemblent tant en Pologne (depuis les élections législatives gagnées par le PiS en novembre 2015) et aux Etats-Unis (depuis l’élection de Trump en novembre 2016). [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • DEUX ANS DE PRISON FERME POUR S’ÊTRE DÉFENDU : À BEAUVAIS, LA JUSTICE EST ENCORE PASSÉE

    shutterstock_578421631-1000x660.jpg

    Ce qui s’est passé à Beauvais, le 25 juillet dernier, dépasse l’entendement. Sauf, peut-être, pour des magistrats nourris au lait de la repentance.

    La Justice est encore passée, et là où il se trouve actuellement, le buraliste de Lavaur doit se dire que, finalement, il n’est pas seul. Parce que ce qui s’est passé à Beauvais, le 25 juillet dernier, dépasse l’entendement. Sauf, peut-être, pour des magistrats nourris au lait de la repentance et de l’excuse.

    Un homme de cinquante ans se promène dans son quartier lorsqu’il est abordé par une bande de « jeunes » qui lui ont proposé de la drogue. Ayant décliné l’offre, il reçoit la bordée d’injures habituelle. L’altercation tourne mal et, agressé physiquement, l’homme sort un couteau dont il semble savoir se servir, puisqu’il poignarde l’un des assaillants à la gorge. Puis il prend la fuite, poursuivi par la horde à laquelle quelques congénères se joignent alors, jusqu’au hall de son immeuble où il est passé à tabac. Le procureur évoquera à l’audience une « chasse à courre ». Les images de la vidéosurveillance confirmeront ces propos. L’homme s’en tire avec 45 jours d’incapacité de travail, ce qui n’est pas rien.

    Jusque-là, il s’agit d’une scène banale dans certains quartiers. La suite l’est moins. Tout ce petit monde est cité à comparaître devant le tribunal correctionnel de Beauvais. Et, si les jeunes délinquants sont condamnés à des peines de 10 à 18 mois de prison ferme, l’agressé, lui, écope de deux ans de prison. Deux ans pour avoir osé se défendre face à une meute décidée à en découdre !

    Juridiquement, cette décision s’explique sans doute. Peut-être la victime, de même origine que ses agresseurs, était-elle connue pour des faits de violences, avait-elle un casier judiciaire ou provoquait-elle régulièrement les « jeunes ». Peut-être s’agissait-il d’une forme de règlement de comptes entre individus rivaux. En l’absence de tout communiqué du parquet, il est impossible de le savoir. À moins que le tribunal n’ait décidé, comme il l’a fait dans d’autres cas, de rappeler que la légitime défense n’est admissible que dans des conditions strictes, et doit être parfaitement proportionnée à l’agression. Dans ce cas, le fait de sortir un couteau aurait été considéré comme prématuré et excessif. En fait, l’homme aurait dû se laisser passer à tabac et, en l’absence d’arme dans les mains de ses adversaires, laisser son couteau dans sa poche…

    Quels que soient les motifs de ce jugement, son effet est déplorable. Une fois encore, la Justice donne l’image d’une institution qui ne comprend strictement rien à ce qui se passe dans de nombreux quartiers. Elle continue à raisonner comme s’il suffisait de demander poliment à une bande de jeunes de passer son chemin, de faire appel à son sens de l’honneur en quelque sorte : on ne frappe pas un homme sans défense, plus âgé et solitaire… Elle semble penser que la police est partout, prête à intervenir, un peu comme dans les bandes dessinées de notre enfance, où un îlotier était toujours à proximité avec sa pèlerine et son sifflet.

    Mais en rendant de telles décisions, nos juges minent chaque jour le sol de notre pays. Ils sèment des explosifs à retardement et seront les premiers à s’étonner le jour où ils péteront. Ils donnent aux bandes, aux cambrioleurs, aux agresseurs et aux criminels de tout poil un sentiment d’impunité. Confrontés à des individus pour qui l’autorité de la Justice ne signifie déjà pas grand-chose, ils leur délivrent un message clair : celui qui se défend contre vos entreprises sera condamné plus durement que vous. À Albi, à Beauvais, et partout en France.

    Ils veulent soumettre les victimes à leur propre idéologie. Ils ne réussiront qu’à les faire se révolter. En oubliant les leçons d’une Histoire qu’ils ne connaissent plus : les premières victimes de la Terreur ont été les magistrats qui avaient consciencieusement préparé la Révolution, des décennies durant. En France, l’injustice ne passe pas, jamais. Ils devraient s’en souvenir.

    http://www.bvoltaire.fr/deux-ans-de-prison-ferme-setre-defendu-a-beauvais-justice-passee/