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anti-national - Page 799

  • Gilles Lebreton dénonce la contre-attaque de l'UE contre le référendum hongrois

  • Le FMI redoute une montée du protectionnisme

    Le FMI prévoit une croissance mondiale de 3,1% cette année, de 1,7% dans la zone euro et de 1,3% en France, une croissance trop lente qui pourrait alimenter le protectionnisme. Les perspectives des pays émergents s’améliorent légèrement alors qu’elles tendent à s’essouffler dans les économies avancées.

    Les nouvelles prévisions de croissance économique pour l’ensemble des 191 pays membres du Fonds monétaire international ne sont guère enthousiasmantes. «Prise comme un tout, l’économie mondiale avance comme un crabe», estime Maurice Obstfeld qui a présenté ce mardi à Washington sa copie. Par cette expression imagée, l’économiste en chef du FMI exprime les déceptions à répétition de l’organisation financière internationale qui passe au peigne chaque semestre, au printemps et à l’automne, les perspectives économiques de la planète.

    Cette année le PIB mondial devrait progresser globalement de 3,1% , et de 3,4% en 2017. De tels rythmes peuvent sembler certes fort satisfaisants à l’aune des taux de croissance que connaît par exemple l’Europe depuis une dizaine d’années. Sauf qu’ils se rapportent à l’économie mondiale dans son ensemble. Or compte tenu du rattrapage des pays émergents et des besoins des économies en développement, les experts considèrent qu’en deçà d’un taux de 2,5%, l’économie mondiale est quasiment en récession.

    Il est donc essentiel de bien distinguer les 39 pays avancés (États-Unis, Europe, Japon, etc) qui devraient pour leur part progresser de 1,6% en 2016 (et de 1,8% en 2017), alors que les 151 autres économies, de la Chine à l’Afrique, afficheront cette année une augmentation globale de leur PIB de 4,2%. Le FMI rappelle par ailleurs que ce second groupe – les émergents ou «en développement» – pèse désormais 57,6% de l’économie mondiale, contre 42,4% seulement pour les pays avancés.

    Croissance du PIB américain revue à la baisse

    Or c’est principalement pour ces derniers que les perspectives ne cessent de décevoir, non seulement les experts, ce qui n’a guère importance en soi, mais surtout leurs populations. «Le spectre d’une stagnation persistante, particulièrement dans les économies avancées, pourrait nourrir les appels populistes et les restrictions des échanges sur le commerce et l’immigration», reconnaît Maurice Obstfeld.

    Le FMI a ainsi été amené à revoir en forte baisse, à 1,6%, la croissance du PIB américain en 2016, au lieu des 2,4% envisagés en avril dernier. La raison tient semble-t-il à la faiblesse des investissements des entreprises. Pour l’Europe la situation n’est guère plus souriante. La reprise qui avait atteint 2% dans la zone euro en 2015 tend à s’essouffler, retombant à 1,7% cette année et 1,5% l’an prochain. Au passage on remarque que la France se situe en deçà de la moyenne européenne, avec un taux de croissance d’à peine 1,3% pour les trois années 2015-2016 et 2017. Quant au Royaume-Uni, plutôt bien loti ces dernières années (2,2% de croissance en 2015), le FMI prévoit que le Brexit commencera réellement à mordre l’an prochain, ce qui l’a amené à diviser par deux sa prévision de croissance pour l’économie britannique en 2017 (1,1%).

    Pour les pays émergents ou en développement, l’horizon tend en revanche à s’éclaircir. «La croissance va s’accélérer pour la première fois depuis six ans, à 4,2% en 2016, et l’an prochain elle est attendue à 4,6%». La Chine continue d’enregistrer une légère baisse de régime du fait de son évolution délibérée d’une économie hyperindustrielle vers une société mieux orientée sur les services. Le PIB chinois qui avait progressé de 6,9% en 2015, devrait croître de 6,6% cette année et de 6,2% en 2017. L’Inde continue de caracoler en tête de tous les «grands pays» (terme du FMI) avec un taux de croissance de 7,6% pour les trois années sous revue.

    Le tableau reste fort contrasté sur les autres continents. La Russie sort péniblement de la récession (1,1% de croissance 2017), tout comme le Brésil (0,5%) . Mais le Nigeria voit son économie se contracter de 1,7% cette année , l’Afrique du Sud stagner (+0,1%), et le Venezuela s’enfonce dans la dépression , son PIB aura plongé de 10% en 2016 .

    Les pays pétroliers continuent de souffrir (1,1% de croissance à peine en Arabie Saoudite), même si la stabilisation des prix du pétrole laisse entrevoir des jours un peu meilleurs. De même le paysage est disparate dans l’Afrique saharienne pénalisée par la chute des matières premières. Quelques pays s’en tirent toutefois plutôt bien, l’Éthiopie, le Kenya et le Sénégal parvenant à croître de plus de 5% l’an.

    Huit ans après la grande récession de 2008-2009, «la reprise mondiale reste faible et précaire», estime le FMI. Il en appelle les gouvernements à mener «des politiques coordonnées», et surtout à ne pas fermer leurs frontières. «Il est vital de défendre les perspectives d’intégration dans le commerce mondial», recommande Maurice Obstfeld, l’économiste du FMI dont les bureaux se situent à quatre blocs de la Maison Blanche à Washington.

    Le Figaro

    http://www.voxnr.com/4163/fmi-redoute-montee-protectionnisme

  • 16 octobre : Manif Pour Tous de Porte Dauphine au Trocadéro

    6a00d83451619c69e201bb093ff67e970d-800wi.jpgRDV le 16 octobre à 13h à la Porte Dauphine ! 

    Nous rejoindrons le Trocadéro où un podium sera installé. Des écrans géants et une sonorisation permettront à chacun de suivre l'ensemble de l'animation. Pour des raisons de sécurité, pour favoriser la bonne gestion des flux et réduire le temps d'attente (nous serons nombreux !), l'accès à la manifestation se fera depuis la Porte Dauphine.

     

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    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/10/16-octobre-manif-pour-tous-de-porte-dauphine-au-trocad%C3%A9ro.html

  • Editorial de L’AF 2940 : CALAIS POUR TOUS

    Alors que la situation générale, économique (Alstom, notamment), sociale (le chômage qui n’en finit pas de grimper) et internationale (la Syrie, la Libye) s’aggrave chaque jour, c’est donc à l’heure des différentes primaires qu’il nous faut désormais vivre : « Républicaines », socialistes, écologistes...

    Comme si le pays pouvait perdre quasiment une année en la consacrant à la précampagne des élections présidentielle et législatives puis à la campagne elle-même début 2017. Chez les Républicains, Juppé, qui s’appuie sur le centre gauche, voire une partie de l’électorat socialiste (ainsi que, sur sa droite, sur Mariton qui a échangé ses électeurs virtuels contre un plat de lentilles tout aussi virtuelles) est donné vainqueur contre Sarkozy, tandis qu’au parti socialiste, c’est Montebourg qui devancerait Hollande, si celui-ci se représentait et acceptait de participer au pré-scrutin organisé par la rue de Solferino.

    Ce qui en dit long sur l’affaiblissement de la fonction présidentielle, qui s’est accéléré depuis 2012, mais auquel les mandats de Chirac et de Sarkozy avaient largement concouru du fait de l’incapacité des deux prédécesseurs d’Hollande d’habiter pleinement leur fonction — une fonction que Mitterrand, il est vrai, avait cyniquement déjà affaiblie par le traité de Maëstrichit. Mais comment en serait-il autrement, alors que les media de l’oligarchie nous présentent les primaires, du moins du côté de l’ex-UMP, comme devant désigner le futur président de la république s’il est vrai que le second tour de l’élection elle-même devrait se gagner, plus ou moins facilement, mais sûrement, contre Marine Le Pen ?

    LE CAS POISSON

    Alors que la gauche n’a jamais été aussi affaiblie dans le pays, à tel point qu’elle est donnée perdante dès le premier tour, le plus étrange est que nous ayons affaire à une droite toujours aussi dépourvue de personnalité et d’audace, qui ne cesse de surenchérir sur des principes qui ne sont pas les siens, ou qui ne devraient pas l’être si, du moins elle en avait encore, que ce soit en matière sociétale ou d’identité plus ou moins béatement heureuse. On dira que Sarkozy la joue, au contraire, encore plus « identitaire » qu’en 2007 ? Mais qui peut le croire alors qu’il n’a cessé, le plus souvent avec un cynisme éhonté, de trahir ceux qui avaient pris au sérieux par le passé ses rodomontades patriotiques, souverainistes ou sécuritaires ? Je ne perdrai ni mon temps, ni celui de mes lecteurs, à rappeler pourquoi il me sera de toute façon impossible, à aucun moment, d’appeler à voter Sarkozy au nom d’une politique du « moindre mal » qui, dans ce cas, serait celle du mensonge — ces mensonges qui nous ont déjà fait tant de mal dans notre histoire.

    Des primaires de l’UMP, l’Action française ne saurait être partie prenante, tout simplement parce qu’elle ignore ce que sont ces étranges « valeurs républicaines de la droite et du centre » qu’il faudrait partager pour choisir entre Jean-Frédéric Poisson et Nathalie Kosciusko-Morizet — auraient-ils donc des « valeurs » en commun ? Quant à « s’engager pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France », que cette « alternance » ne soit pas qualifiée en fait un OPNI — objet politique non identifié — du plus haut comique. Car passer de Hollande à Montebourg ou à Marine Le Pen représenterait une alternance bien plus significative que de passer de Hollande à Juppé, voire à Sarkozy. 

    Ce qui ne signifie pas que nous nous désintéressions du résultat de ces primaires, en raison même de leur impact sur la teneur du débat politique. Plus Jean-Frédéric Poisson fera de voix, plus les questions anthropologiques, qui ne sont pas les seules à être essentielles « pour le redressement de la France » mais le sont, elles aussi, seront au centre des préoccupations de tous les candidats à la présidentielle, y compris Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan. Toutes les voix sont bonnes à séduire. Autant que ce soit pour la bonne cause.

    LE GRAND REMPLACEMENT VALIDÉ PAR L’INSEE

    Une bonne cause que la gauche, avec son arrogance coutumière, continue a contrariode définir en diabolisant ses adversaires, ce qui en dit long sur la résilience du gène stalinien, même chez des socialistes qu’on dit passés au libéralisme. Pour Taubira, « le vote FN, chez les jeunes, c’est une déviance » (sic) (déclaration à Sciences-Po Nancy le 29 septembre dernier). La Croix, le quotidien des cathos de gauche, a, quant à lui, décidé d’inviter « les catholiques séduits par le FN » — qui sont de plus en plus nombreux — « à réfléchir ». Devront-ils aller à confess s’ils votent « mal » ? Et promettre de se rendre en pénitents à genoux rue de Solférino ? Car La Croix, en revanche, ne voit aucun mal à ce que des catholiques votent pour un PS qui, non seulement, a légalisé la parodie de mariage et la validation en France des GPA réalisées à l’étranger, mais s’apprête, de plus, par une proposition de loi après l’échec de Laurence Rossignol, ministre des familles (sic) sur le même sujet au Sénat, à créer un nouveau délit d’opinion, celui d’entrave numérique à l’infanticide, en vue d’interdire, sur la Toile, toute information politiquement incorrecte sur l’avortement.

    Quant à Cazeneuve, ce qu’il a décidé, lui, c’est d’interdire tout référendum local sur sa politique migratoire, qu’il veut imposer au pays contre la volonté des maires, pourtant seuls vrais élus d’un pays réel condamné à rester muet devant la submersion. Une politique qui ne manquera pas de disséminer partout en France les joies vécues par les Calésiens depuis tant d’années — merci Chirac, merci Sarkozy ! Car les faux réfugiés seront bientôt remplacés à Calais par d’autres, qu’il faudra, évidemment, de nouveau disséminer dans tout le pays. Cette « politique de peuplement », voulue par Valls, et reposant sur des appels d’air successifs, ne vise qu’à accélérer un grand remplacement dont l’INSEE, institut démographique d’ordinaire pourtant très docile, reconnaît dans son dernier rapport la terrifiante réalité [1] — un grand remplacement qui s’est accéléré selon l’institut, depuis 2011, consécutivement aux politiques migratoires de Sarkozy et de Hollande.

    LE SALUT DANS LE RÉFÉRENDUM ?

    Toutefois, ceux qui croient que le salut se trouverait dans un quelconque référendum national devrait méditer la leçon hongroise. Car seuls les thuriféraires de Viktor Orban crient à son triomphe parce que, dimanche 2 octobre, 98,5 % des Hongrois ont refusé le diktat européen sur les quotas de migrants. Certes, la légalité bruxelloise ne saurait prévaloir sur la légitimité du pays réel hongrois. Toutefois, au regard même de la constitution hongroise, ce référendum n’a aucune valeur, le quota... des électeurs (50%) n’ayant pas été atteint. Orban a péché par une trop grande assurance, entre ceux qui, croyant la victoire certaine, ne se sont pas déplacés, les abstentionnistes professionnels et les opposants qui savaient que s’abstenir était le seul moyen d’invalider un scrutin sinon perdu d’avance. Certes le peuple hongrois est majoritairement derrière son premier ministre pour défendre sa liberté et refuser, soixante ans après les « événements » de Budapest, que sa politique soit dictée par Bruxelles et Berlin comme hier par Moscou. Mais même si un tel quota n’existe pas en France — sinon ni le bradage programmé de la Nouvelle-Calédonie ni le quinquennat n’auraient été adoptés —, toutefois, jouer l’avenir de son pays, comme l’envisage certain, à la roulette référendaire, pourrait se révéler contre-productif. L’Europe est désormais morte dans les cœurs. Ne prenons pas le risque de la relégitimer par la voie des réflexes conditionnés.

    François Marcilhac - L’ACTION FRANÇAISE 2940

    [1] A lire ici : http://www.insee.fr/fr/themes/detai...

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-AF-2940-CALAIS-POUR

  • Contre l’école du "genre" : tous à Paris le 16 octobre !

    Communiqué des Enseignants pour l'enfance :

    6a00d83451619c69e201b7c89c7508970b-200wi.png"La polémique sur la présence de l’idéologie du genre à l’école française a mis chacun face à ses responsabilités. A ce titre, les « Enseignants pour l’Enfance » affirment, en dépit des réfutations de Madame Vallaud-Belkacem, que cette doctrine est présente à tous les niveaux de l’institution scolaire.

    Des ressources en ligne, à la disposition des enseignants, proposent des documents qui au nom de la déconstruction des stéréotypes incitent à la mise en question des identités. Des sites ouverts aux élèves offrent des supports fictionnels qui relèvent de la même démarche. Des syndicats enseignants proposent sur le sujet une prose éloquente. Des associations luttant contre l’ « homophobie » et la « transphobie » s’appuient sur le concept de genre pour entrer dans les établissements scolaires. La formation universitaire enfin, adressée à tous les étudiants et donc à de futurs enseignants, intègre ce paramètre dans certains modules. La présence du genre à l’école est donc incontestable, globale et permise par la passivité d’une institution complice.

    Or cette doctrine, qui se refuse elle-même le nom de théorie, n’a rien de scientifique et ne relève que de la conviction individuelle. A ce titre, le genre est contraire à l’article 11 de la « Charte de la laïcité » qui stipule que « les personnels ont un devoir de stricte neutralité » à l’école. De même, l’imposition de ce point de vue à de jeunes personnes est une entrave à la responsabilité des parents qui sont les premiers éducateurs de leurs enfants.

    Pour toutes ces raisons, les « Enseignants pour l’Enfance » appellent les professeurs, les parents et les étudiants à rejoindrela grande manifestation qui aura lieu à Paris, le 16 octobre 2016. Nous refusons l’éducation au genre et demandons l’abrogation de la loi Taubira, qui en est la caution institutionnelle. Nous ne voulons pas être les agents d’une propagande imposée. L’école ne peut devenir le lieu des idéologies inculquées. Les enfants ne sauraient être les cibles d’un endoctrinement institué.

    Cette école du genre ne sera jamais notre genre d’école. Nous réclamons la transparence d’un Ministère qui doit être capable de dire ce qu’il fait comme de faire ce qu’il dit. Oui aux partage des responsabilités, confiant aux parents l’éducation, aux maîtres l’instruction. Oui à une école du savoir, de la confiance et de l’exigence. Oui à une école au service des enfants. Oui à l’école des familles !"

    Michel Janva

  • Une figure du mouvement féministe et homosexuel contre le lobby LGBT

    Historienne, Marie-Josèphe Bonnet est une figure du mouvement féministe et homosexuel. Elle a milité dans le Mouvement de libération des femmes (MLF), dans les années 1970, a participé à la création du Front homosexuel d'action révolutionnaire (FHAH) et des Gouines rouges. Pas vraiment réactionnaire donc... Et pourtant : elle est hostile à la loi Taubira et estime que lobby LGBT fait le jeu du capitalisme :

    "Je suis contre le commerce des bébés, contre la marchandisation du corps des femmes. Ces pratiques supposent que certaines d'entre elles seraient un ventre à disponibilité pour faire un enfant et ensuite l'abandonner à un couple, qui lui achète.Je trouve ça très choquant. C'est une manière de nier la mère, de nier les mères. Et c'est le patriarcat dans toute sa splendeur. Et même pire. Maintenant, vous avez une filiation qui est masculine, ce que l'on appelle la filiation spermatique. La branche maternelle n'apparaît plus. Je trouve ça très grave. Un enfant a deux branches, deux lignes, c'est ça qui fait la diversité humaine, c'est cela qu'il faut respecter.

    Certains parlent cependant de « GPA éthique ». Est-ce une notion crédible, selon vous ? 

    Il n'y a pas d'éthique, dans ce domaine-là. D'une manière ou d'une autre, il y a de l'argent. Ce qu'ils appellent une « compensation financière ». Cela peut être une compensation symbolique, mais ce sont des cas très rares. On nous cite toujours l'exemple d'une femme qui veut faire un enfant pour sa sœur, mais même dans ces cas-là, je trouve que ce n'est pas une situation très très saine. Après, la sœur sera débitrice. C'est une illusion de croire qu'il peut y avoir de l'éthique dans un échange commercial. D'ailleurs, on s'aperçoit bien que les pays qui, comme la Belgique, essayent d'introduire un peu de règles, pratiquent très peu de maternité de substitution. Les gens vont acheter des bébés ailleurs. Quand on parle de GPA éthique, c'est une confusion volontaire. Le principe de l'éthique, c'est que la vie ne s'achète pas.

    Vous allez plus loin et vous vous opposez aussi à la Procréation médicalement assistée (PMA). Pour quelles raisons ? 

    Le don anonyme de sperme me choque, car, ainsi, on fabrique des enfants qui n'auront pas accès à la connaissance de leur origine. On n'a vraiment pas le droit de mettre un enfant au monde de la sorte, sachant que c'est important de savoir d'où l'on vient, pour se construire. Tous les enfants nés sont X deviennent, à un certain moment, obsédés par leur origine.

    Depuis l'aube des temps, ce n'est pas un problème de faire des enfants ! Et ça n'a jamais été non plus le choix des médecins. En réalité, dans la PMA, c'est le médecin qui, d'une certaine manière, va choisir le père. Donc les femmes acceptent que ce moment très important qu'est celui de faire un enfant leur échappe. C'est le pouvoir médical qui prend complètement la main sur la procréation et la maternité. Je trouve ça inquiétant, dans l'évolution de notre monde.

    Par le recours à la GPA par certains couples, vous écrivez que le mouvement homosexuel s'est en quelque sorte vendu au libéralisme...

    Tout à fait. Il faut, cela dit, faire la différence : ce n'est qu'une certaine partie du mouvement gay. Il y a une autre partie qui est encore prolétaire. Vous avez beaucoup, chez les gays, de garçons qui ne peuvent pas s'offrir un bébé aux Etats-Unis, ou bien en Chine, ou je ne sais où. Dans le mouvement homosexuel, il y a aussi des lesbiennes. Et les lesbiennes ne sont pas d'accord avec la GPA. C'est vraiment la frange riche des gays qui est en question, ceux qui sont très bien intégrés dans la société, qui gagnent beaucoup d'argent, et qui n'ont qu'une envie, celle de se normaliser, pour mieux se faire accepter. La seule chose qui leur manque, c'est de pouvoir faire un enfant. Autrement, ils ont tout. Et comme il ne peuvent pas faire un enfant, ils achètent les services d'une femme.

    L'enfant n'est pas un droit, l'enfant n'est pas une chose que l'on acquiert. C'est une personne. Ils veulent tout, le beurre, l'argent du beurre... Avec, par dessus le marché, la bénédiction de la loi. C'est une normalisation à outrance, oui, un embourgeoisement. Mais aujourd'hui l'embourgeoisement, on ne sait plus très bien ce que cela veut dire. Ils rentrent dans le moule hétérosexuel, dans le moule de la famille. On pourrait même dire de la famille napoléonienne. En faisant croire que c'est un droit. Et ça, pour moi, c'est de l'usurpation complète.

    Le mouvement homosexuel et le féminisme sont liés, à l'origine. Dans ces conditions, peuvent-ils toujours faire combat commun ?

    On peut dire qu'une partie du mouvement gay a trahi la cause féministe. Ils ont émergé grâce au femmes. Ce sont les lesbiennes qui ont créé le Front d'action révolutionnaire. C'est grâce à notre engagement que, justement, ils ont fait leur coming out et qu'ils ont pu sortir de la clandestinité. Ce sont les femmes qui leur ont ouvert la porte de la liberté. Et je trouve qu'ils ont abandonné le combat pour l'égalité entre les sexes au profit de l'égalité entre les sexualités. C'est ça que je critique dans l'évolution d'un certaine homocratie. L'égalité entre les sexes, ça ne les intéresse plus. Ils n'en ont plus besoin pour leur propre liberté. Mais c'est une erreur car leur liberté dépend de celle des femmes."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Ces villages qui grondent contre la répartition des migrants de Calais

    Allex, Saint-Denis-de Cabanne, Saint Brévin... Un peu partout dans le pays, des habitants protestent contre la répartition des migrants de Calais dans leurs communes et demandent à être consultés. Samedi, la justice a jugé « illégal » le référendum local proposé par le maire d’Allex dans la Drôme.

    Manifestations, demandes de référendum et parfois passage à l’acte violent : la répartition programmée des migrants de Calais dans le pays suscite de vives réactions, et la grogne monte contre un plan jugé arbitraire et imposé sans le consentement des habitants.

    Samedi, le maire d’Allex, un village de 2500 habitants de la Drôme, a dû annuler le référendum local qu’il comptait mettre en œuvre au sujet de l’accueil des migrants dans sa commune. Le tribunal administratif de Grenoble, saisi par les représentants de l’État, a en effet jugé cette consultation « illégale ». Motif ? L’hébergement d’urgence n’est pas une prérogative de la commune mais de l’État, et la mairie ne peut donc s’arroger le droit d’une consultation populaire sur ce sujet. Pourtant, depuis la rentrée, les habitants du village grondent contre l’accueil prochain de 50 personnes venues de Calais qui seraient installées dans un centre d’accueil et d’orientation (CAO) implanté dans le château Pergaud, situé à l’écart du village.

    A l’image d’Allex, de plus en plus de villages s’opposent à la répartition imposée des migrants de Calais.

    Samedi, 250 personnes ont manifesté à l’appel du FN devant l’église de Saint-Denis-de-Cabanne, un petit village de 1284 âmes situé dans la Loire. En novembre prochain, le village de vacances EDF accueillera plusieurs dizaines de migrants venus du bidonville calaisien. Présent, le secrétaire général du Front national Nicolas Bay, a dénoncé « ces accueils forcés au frais du contribuable ». [...]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Ces-villages-qui-grondent-contre

  • IVG : l’autre dossier tabou

    L’avortement est un sujet dont il est impossible de débattre. Ce qui tend d’ailleurs à démontrer qu’il s’agit de tout sauf d’un acte banal.

    La question de l’avortement est un sujet dont il est impossible de débattre. Ce qui tend, d’ailleurs, à démontrer qu’il s’agit de tout sauf d’un acte banal.

    Pour ses partisans, c’est un droit absolu : celui des femmes à disposer de leur corps. Ils ne peuvent même plus concevoir que d’autres soient d’un avis opposé dont l’expression est inacceptable. Or, force est de reconnaître que les associations pro-vie tiennent un discours qui tient en deux idées fortes : défense de la vie, respect des personnes.

    Mais lorsque l’idéologie prime sur le réel, les idéologues mettent en place tous les moyens utiles pour empêcher leurs adversaires d’exister. C’est le sinistre « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » dont on connaît les résultats depuis la Terreur. Et, en la matière, nos idéologues ne font pas dans la dentelle.

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  • Burkini, terrorisme et invasion, même combat – Par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Le ”burkini”, néologisme issu de ”burqa” et de ”bikini”, est donc un vêtement intégral pour les bains de mer des femmes musulmanes immigrées. Il est curieusement apparu sur les plages françaises du midi après la vague d’attentats musulmans (arrêtons de dire ”islamistes”) de l’été 2016. Ce n’est pas une coïncidence. (1)

    François d’Orcival a formulé l’analyse la plus lucide : « l’offensive des burkinis a commencé dès le lendemain de l’assassinat du père Jacques Hamel et moins de deux semaines après la tuerie de Nice. Qu’est–ce–que cela veut dire ? Ceci : si vous, Français mécréants, ne voulez pas être victimes de la barbarie, alors respectez la susceptibilité des musulmans, acceptez-les tels qu’ils veulent être, avec leurs coutumes et leurs pratiques, leurs tenues vestimentaires et règles alimentaires, oubliez votre satanée laïcité républicaine, méfiez–vous… » (Valeurs actuelles, 25–31/08/2016)

    Le Conseil d’État, agent objectif de l’islamisation

    Le Conseil d’État a donc invalidé la décision de maires de la Côte d’Azur d’interdire le burkini sur les plages. Au nom de la ”liberté” et des Droits de l’homme. Les partisans du djihad se frottent les mains. Selon le Conseil d’État, interdire le ”burkini ” est « une atteinte grave aux libertés fondamentales ».

    La Ligue des droits de l’homme (LDH) et le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), qui est un groupe de pression musulman radical d’islamisation agressive, sont à l’origine de la saisine du Conseil d’État. La LDH est dans son rôle traditionnel de déconstruction de l’identité française et européenne. (2) Le CCIF est le chef d’orchestre de l’affaire des burkinis. Cette association, proche des Frères musulmans, « envenime les situations, imposant sa grille de lecture d’une France raciste et antimusulmane » explique Mohamed Louizi, ancien membre des Frères musulmans qu’il a quittés. Le but offensif du CCIF, qui ne cesse de dénoncer la ”stigmatisation” dont seraient victimes les musulmans, est de faire abroger les lois sur le voile à l’école et sur la burqa, ainsi que de faire appliquer progressivement la loi coranique, la charia, en France.

    Interdire le burkini, comme d’ailleurs le voile noir intégral, reviendrait, selon l’opinion des New York Times et Washington Post, à commettre un attentat intolérable contre les libertés individuelles. Le Monde et Libération étaient évidemment sur la même ligne. Le Conseil d’État a suivi cette opinion. Qu’on ne raconte pas qu’il a légiféré selon le droit. Il a légiféré selon l’idéologie ; cette idéologie immigrationniste et islamophile qui vise la destruction du peuple français autochtone comme de ses voisins européens.

    L’ONU est une organisation qui a toujours été favorable à l’invasion migratoire de l’Europe et a toujours défendu les pays arabo-musulmans contre Israël. Son Haut-Commissariat a dénoncé les arrêtés municipaux anti burkini, les qualifiant de « réaction stupide ». La complicité avec l’invasion et l’islamisation de l’Europe est, là encore, évidente.

    Sous des arguties juridiques – absence de troubles à l’ordre public du fait du port du burkini et restriction illégale de la liberté de se vêtir – le Conseil d’ État, en cassant la décision du tribunal administratif de valider l’interdiction municipale de ce burkini, confirme ses positions idéologiques pro–islamisation et pro-immigration. Il est, tout comme bien d’autres institutions judiciaires ou constitutionnelles françaises et européenne, un agent objectif de l’invasion migratoire et de l’islamisation. Un des conseillers d’État cosignataires de l’arrêt, M. Thierry Tuot, est connu pour des positions militantes délirantes pro-immigration et islamophiles. Le Conseil d’État a été dans cette affaire l’ennemi du peuple français, au nom duquel il juge pourtant.

    Le Conseil d’État a donné un signe fort aux djihadistes : au nom des Droits de l’homme, vous avez le droit de nous envahir, d’occuper de plus en plus notre espace public et nous n’avons pas le droit de vous en empêcher.

    La stratégie de l’affaire du burkini : l’intimidation provocatrice

    Le diable se cache dans les détails. D’apparence insignifiante, l’affaire du burkini est de même nature que les revendications du voile partiel ou intégral, des menus halals, des salles de prière dans les lieux de travail, etc. En réalité, au même titre que les attentats ils font partie du djihad, cette guerre de conquête que mènent les musulmans.

    La défense de la ”laïcité” a été invoquée pour interdire le burkini ou le voile intégral. Mais en réalité, cela va bien plus loin que la laïcité ou le respect de l’égalité hommes-femmes. Il s’agit d’un défi lancé à notre identité. La multiplication dans l’espace public de femmes instrumentalisées, voilées dans les rues ou en ”burkini” sur les plages, relève d’un défi ethnique, d’une stratégie d’intimidation : s’afficher comme envahisseurs et occupants à travers une démonstration vestimentaire. D’ailleurs, on remarquera que les hommes font de même : Maghrébins et Africains s’exhibent de plus en plus dans des tenues ”traditionnelles” arabes ou sub-sahariennes. Ce n’est pas innocent.

    Cette ”opération burkini”, évidemment concoctée par les réseaux arabo-musulmans, dont au premier chef le CCIF, est une provocation pure ; car auparavant, les musulmanes voilées et pudibondes (sur ordre de leurs maris) ne fréquentaient pas les plages, et, pour les autres se baignaient en maillot.

    Les incidents de Corse, impliquant le burkini comme prétexte, sont le résultat d’agressions des Maghrébins, avec tentative de privatisation d’une plage, symbole de conquête territoriale avec violences racistes contre des Corses. L’offensive se pare toujours d’une posture défensive. L’agresseur se prétend victime, le raciste antiraciste.

    Il s’agit à la fois d’une menace et d’un test. Pour évaluer notre niveau de résistance. Provocation : comme pour le voile et la burqa, le message est : on est là, de plus en plus nombreux, visibles dans l’espace public. Le Conseil d’État ayant invalidé les arrêts anti–burkini, sa décision a été comprise comme une victoire : ”vous pouvez faire ce que vous voulez, on a peur de vous et on se réfugie derrière le prétexte des Droits de l‘homme et de la liberté”. L’envahisseur éclate de rire.

    Valérie Pécresse, présidente (LR) de la région Île–de–France a réagi : « ce n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, mais un projet politique, un projet de contre–société ». Elle évoque des « pratiques communautaires radicales ». Bonne analyse, mais il faut aller plus loin : l’affaire, en apparence anodine du burkini, participe d’un projet de guerre et d’invasion. Le message des envahisseurs est : ”chez vous, nous sommes chez nous et vous serez de moins en moins chez vous”. Mitterrand, ce collabo invétéré, (du vichysme au socialo–immigrationnisme) avait déclaré : « ils sont chez eux chez nous ». Les dirigeants français, surtout de gauche, ont toujours eu cette fibre pathologique de collaboration suicidaire avec les envahisseurs.

    Les musulmans font cette provocation afin de susciter une réponse répressive et d’obtenir à la fin une victoire, comme celle que leur a offerte sur un plateau les magistrats du Conseil d’État.

    Se revendiquer, s’afficher, intimider, montrer son omniprésence, faire sentir un processus d’invasion ethnique dans des domaines toujours nouveaux, tel est le rôle dévolu à cette stratégie du burkini.

    Le coup du burkini est très habile – et pervers – de la part des arabo-musulmans. Effectivement, ces femmes qui se baignent dans la mer complètement couvertes ne menacent pas la sécurité et, finalement, au nom de la liberté, cette provocation est un piège.

    Personne, par exemple, ne pourrait empêcher quelqu’un de se baigner habillé en costume cravate dans la mer – au nom de la liberté.

    Mais il est stupide, et très désagréable, franchement, de se baigner tout habillé. Ce qui prouve que les femmes musulmanes qui le font (sur ordre évidemment, puisqu’elles sont soumises) n’accomplissent ce geste que dans une visée de provocation et de défi, et non pas par soudain désir de batifoler dans l’eau salée.

    Les Droits de l’homme contre le peuple, instruments de l’invasion

    L’idéologie/religion séculière des Droits de l’homme – qui est un dévoiement de la déclaration des Droits de l’homme et du citoyen– mène à l’impuissance collective, à la paralysie du politique, et s’avère être l’instrument de ceux qui veulent détruire le germen des peuples européens au profit des envahisseurs. Antidémocratique, cette idéologie entérine le gouvernement dictatorial des juges ; notamment ceux de la Cour de Strasbourg. Les Droits de l’homme sont une aubaine pour les terroristes et les voyous musulmans. Le professeur Jean–Louis Harouel, dans son récent essai Les Droits de l’homme contre le peuple (Desclée de Brouwer), remarque que « la très vertueuse religion séculière des droits de l’homme trace aux Européens le devoir de disparaître en souriant pour faire place à d’autres peuples et d’autres civilisations ». Il précise : « l’application des droits individuels, jadis conçus pour protéger un peuple contre les excès d’autorité de ses gouvernants, devient dangereuse pour ce peuple quand se déversent sur son territoire d’autres peuples, surtout dans un climat de guerre entre civilisations ». Ces Droits de l’homme « exposent chaque peuple européen à voir des membres d’un autre peuple s’installer massivement chez lui ». On le voit avec la ”crise des migrants”, véritable invasion organisée des peuples européens sans leur consentement. Les immigrés, majoritairement musulmans, utilisent cette « religion séculière de nature millénariste obsédée par la non–discrimination », avec la complicité des institutions collaboratrices, dont la magistrature et le Conseil d’État, afin de « mettre à profit ces droits pour travailler à le détruire (le peuple de souche hôte malgré lui), pour faire prévaloir leur mode de vie et leurs valeurs, au détriment de ceux du pays d’accueil » ; et même si, paradoxe dialectique, leur culture musulmane est totalement contraire aux droits de l’homme : sexisme, discriminations, totalitarisme liberticide, etc.

    Les envahisseurs se repaissent de nos faiblesses, de nos lâchetés, des collaborations perverses de nos élites masochistes et nihilistes, de nos peurs et de leur impunité. Ils ne reculeront, ne reflueront que le jour où sera répudiée l’idéologie des Droits de l’homme. Le jour où, plutôt que des accommodements, des utopies d’ ”intégration” ou d’ ”assimilation” et de ”vivre ensemble” sera entendu et appliqué le souhait de la majorité du peuple de souche : on n’entre plus et pour ceux qui sont entrés, voici la sortie.

    Duplicité des musulmans et des gauchistes

    Remarquons que Manuel Valls a approuvé (au nom de la ”République”, de la ”laïcité” et surtout de la défense des droits des femmes) les interdictions du burkini par les mairies concernées, contre l’avis du Conseil d’État. Dans son gouvernement, Najat Vallaud–Belkacem, probablement soutenue par le glauque François Hollande, les a contestées. Incroyable rupture et désobéissance au sein d’un gouvernement. Ce désaccord est clairement ethnique. La militante ministre de l’Education nationale, qui est d’origine arabo-musulmane, s’emploie partout et surtout à l’école à défranciser, islamiser, arabiser, africaniser. Avec son sourire désarmant, elle fait son petit djihad soft.

    On remarquera aussi, face à toutes ces manifestations musulmanes de discrimination et d’infériorisation des femmes (coupables d’attirer les hommes si elles ne cachent pas leur corps) le silence complet des mouvements féministes de gauche, LGBT et autres. Leur militantisme gaucho–féministe s’arrête là où commence leur adoration xénophile pour l’immigré musulman et l‘islam, même si ce dernier est homophobe et misogyne par nature. Terrifiante contradiction à laquelle n’échappe pas Najat Vallaud–Belkacem : d’un côté elle introduit à l’école la théorie du genre qui nie les différences sexuées au nom de l ‘égalité hommes–femmes, de l’autre, elle s’oppose à l’interdiction du burkini, ce symbole de l’oppression des femmes ! En réalité, cette incohérence idéologique apparente s’explique par le fait que cette ministre d’origine maghrébine, est une militante offensive à la fois de l’affaiblissement du socle culturel français et de l’implantation invasive de ses coreligionnaires.

    La duplicité, la ruse et le mensonge sont des spécialités de qui l’on sait. Déclarations du président du CFCM (Conseil français du culte musulman), Anouar Kbibech, soulagé par la décision du Conseil d’État d’annuler les interdictions du burkini : « Il y a eu un sentiment général de stigmatisation (mot clé de la langue de bois) voire d’humiliation des musulmans de France, notamment après ce qui s’est passé pour deux femmes musulmanes sur les plages de Cannes et de Nice ». (Elles ont été verbalisées par la police municipale.) Bien que ses coreligionnaire les violent en permanence, il prétend défendre « la solidité des principes et des valeurs de la République ». Utiliser les Droits de l’homme et les principes républicains contre la France pour l’envahir est une constante. « Nous utilisons vos droits de l’homme pour vous envahir», a prévenu une revue musulmane proche de Dae’ch.

    Kbibech a précisé : « Ne nous trompons pas de priorité. Ce qui a tué sur la plage de Nice, c’est le terrorisme et non le burkini ». Terrorisme, mot valise pour ne pas désigner la réalité, le djihad musulman criminel. Autre mensonge du même personnage : « les musulmans de France ont toujours été respectueux des lois et des valeurs de la République ». Ah bon ? Plus c’est gros, plus ça passe…

    Islam de France tolérant et laïc : sinistre gag

    Le problème n’est pas l’assimilation, l’intégration, ni composer avec un ”islam de France”, utopie d’intellectuels hors sol. Impasse totale, ça ne marchera jamais. La création d’une ”Fondation pour l’islam de France”, dirigée par le dinosaure Chevènement, politicien en phase finale, débouchera sur un fiasco complet.

    Non seulement les burkinis vont maintenant se répandre sur les plages et dans les piscines, mais bientôt les Françaises de souche seront-elles interdites de bikini et de maillot de bain dans certains endroits à forte population immigrée, harcelées par des musulman(e)s jouant aux pudibond(e)s choqués ? Cette hypothèse n’est nullement impossible : récemment dans un jardin public, une jeune fille française qui se faisait bronzer en maillot de bain a été agressée et frappée par des femmes arabes voilées qui se considéraient déjà en territoire conquis. La charia risque de s’imposer progressivement, de fait, zone par zone, par la loi du nombre de l’invasion migratoire arabo–afro–musulmane.

    Faut-il une loi pour passer par dessus la tête du Conseil d’État comme le demandent la droite LR et le FN ? Mais elle se heurterait au barrage du Conseil constitutionnel et de la Cour européenne des Droits de l’homme, où siègent les juges collaborateurs et acteurs de l’invasion de l’Europe. Le burkini est donc définitivement autorisé. C’est un signal et un symptôme de plus, symbolique et médiatique.

    En soi, c’est cependant un problème secondaire, l’essentiel, pour aller à la source causale, étant l’arrêt total de l’immigration, la ”remigration” (retour au pays) et la désislamisation ; non pas sous la forme de la construction ridicule et utopique d’un ”islam laïc et tolérant”, – contradiction dans les termes et oxymore (3) – mais de la réduction de la population musulmane, par départs massifs, sous quelque forme que ce soit.

    Guillaume Larrivé, porte parole de LR, a déclaré, à propos de l’affaire du burkini : « les islamistes veulent faire reculer la République ; c’est la République qui doit faire reculer les islamistes ». Mauvaise formulation. Il faut en finir avec ces mentions répétitives de ”République”, faiblardes et purement idéologiques. Car il s’agit plutôt de la Nation, de la France, et d’autres pays voisins, au sens charnel et ethnique. Assez aussi avec ce terme ”islamiste”, alors qu’il s’agit de l’islam arabe coranique authentique. Il aurait fallu dire – mais la droite molle en est incapable – que ”l’islam afro-arabe veut faire reculer la Nation française mais que c’est elle qui doit le faire reculer ”. Quand on a peur de désigner l’ennemi et de se définir soi-même sans complexe, on perd.

    Vers l’affrontement inévitable

    Deux Américains, l’historien Bernard Lewis, auteur de l’essai Le Pouvoir et la Foi. Questions d’islam en Europe et au Moyen –Orient et le journaliste Christopher Caldwell, auteur de Réflexions sur une révolution européenne, ont pronostiqué, que pour des raisons d’immigration massive et de différence démographique de natalité, plusieurs pays d’Europe de l’Ouest, dont la France, deviendront en majorité musulmans avant le milieu du XXIe siècle. Ils ajoutent que pourrait se réaliser ainsi la conquête de l’Europe, un objectif constant de l’islam – arabe ou ottoman– depuis le haut Moyen–Âge. Et il ne s’agit pas uniquement d’un changement civilisationnel et religieux (comme à la fin de l’Antiquité) mais, fait absolument nouveau, d’un changement anthropologique, d’un remplacement de peuple.

    Car le plus grave de tout, j’allais dire pire que les attentats terroristes, c’est évidemment l’invasion migratoire (à 90% musulmane) maghrébine, africaine, moyen–orientale, qui détruit l’existence et l’avenir des peuples européens, qui signe leur disparition et qui est encouragée par les dirigeants français, allemands, européens, soit idiots naïfs, soit plus souvent traîtres nihilistes et collaborateurs. Depuis un an, 1,5 millions de migrants illégaux sont entrés en Europe, sans compter les entrées légales. Sans expulsions. Et ça continue. Pour que le déversement s’arrête et s’inverse, il ne faut pas compter sur les politiciens actuels des partis au pouvoir (pas pour très longtemps…) mais sur des événements sismiques qui sont inévitables et qui vont bouleverser toute la donne.

    1. Ce ”burkini” a été conçu en Australie par une Libanaise musulmane pour ses coreligionnaires.

    2. Le CCIF, tout comme le CRAN (Conseil représentatif des associations noires) sont des associations de combat ethnique, qui visent moins à défendre leurs communautés, qu’à combattre l’identité française de souche dans un but invasif, en prétextant toutes deux être victimes d’un racisme bidon. Or le CRAN, avec son intitulé, est la seule institution racialiste avouée à être autorisée. Ce scandale n’a jamais été relevé.

    3. Que dirait-on d’un nazisme philosémite, d’un catholicisme athée, d’un libéralisme collectiviste

    http://fr.novopress.info/200820/burkini-terrorisme-et-invasion-meme-combat-par-guillaume-faye/#more-200820

  • Snowden : Un traître à sa Nation pire qu’un terroriste ou…?

    Du 10 décembre 2012 au 8 janvier 2013, 70,3 millions d’enregistrements de données téléphoniques des Français ainsi que 200 millions de SMS par jour dans le monde, de manière non ciblée ont été effectués par la NSA.

    Tandis que  Amnesty International et l’American Civil Liberties Union réclame  le pardon d’Obama pour Snowden, le congrès américain publie un rapport sur deux ans d’enquête.

    Snowden a causé d’énormes dégâts à la sécurité nationale et la grande majorité des documents qu’il a volé n’avait rien à voir avec des programmes ayant une incidence sur la vie privée des utilisateurs. Ils concernaient plutôt des programmes militaires, de défense ou du renseignement avec un grand intérêt pour les adversaires de l’Amérique…

    http://intelligence.house.gov/uploadedfiles/hpsci_snowden_review_-_unclass_summary_-_final.pdf

    Notre raie publique, dirigée par les plus incapables, avait refusé l’asile politique à Edward Snowden en 2013. Préférant accueillir, des millions de lâches qui fuyant  leurs pays, venus imposer leurs guerre chez nous.

    Pourtant, ce lanceur d’alerte avait mis à la lumière, l’espionnage industriel de l’U.E. par nos « amis (sic) américains. 

    52 milliards par an de budget pour l’espionnage américain 

    Écoutes des téléphones, des mails,  messageries Facebook, ( En une seule journée en 2012, la NSA a par exemple intercepté 444 743 listes de contacts courriels de comptes Yahoo, 82 857 de comptes Facebook, 33 697 de comptes Gmail, et 22 881 d’autres fournisseurs internet, comme mentionné dans un document de l’agence divulgué par le journal. Extrapolés sur une année, ces chiffres correspondraient à la collecte de 250 millions de listes de carnets de contacts par an, grâce à des interceptions directement sur les câbles internationaux qui composent l’internet) mais ainsi et surtout toutes les connections internet, via des portes d’entrées laissé volontairement par les éditeurs de logiciels pour le FBI et la NSA.

    Non seulement les logiciels nous écoutent, mais également le matériel physique (routeurs réseau etc), ceci à une échelle mondiale. Le , le journal brésilien O Globo révèle que la NSA a surveillé les communications téléphoniques et électroniques de nombreuses entreprises et particuliers au cours de la dernière décennie (2,3 milliards d’appels téléphoniques et d’emails interceptés en janvier 2013 rien que pour le Brésil).

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