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anti-national - Page 865

  • Les veilleurs de Cognac, prochaines victimes de la "jurisprudence Dieudonné" ?

    A la suite d'un nouvel article publié dans la Charente libre hier, relayant complaisamment de nouvelles hostilités contre les veilleurs de Cognac, ceux-ci battent le rappel pour leur 37e veillée, qui aura lieu mercredi prochain, comme d'habitude, place François Ier de 21h à 22h.

    L'article, dont vous pouvez retrouver l'intégralité sur le compte Facebook des veilleurs de Cognac, vaut son pesant de cacahuètes. Il débute ainsi :

    "Deux mois après le coup de gueule de 70 Cognaçais, signataires d'une pétition portée par le collectif "Poètes à vois haute", réclamant l'interdiction des rassemblements des veilleurs sur la place publique, les mêmes remettent ça. Michel Gourinchas, le maire de Cognac, a reçu un nouveau courrier. Deux pages aux arguments qui claquent pour lui demander de mettre fin à "ces comportements qui nuisent à l'image de Cognac".

    Pour le collectif, les veilleurs, qualifiés de "groupuscule dont l'homophobie est notoire [...], membres d'une extrême droite fière et décomplexée [...], mettent en danger le climat de tempérance dans notre ville en prêchant l'intolérance en place publique." C'est "l'obscurantisme qui se donne en spectacle place François Ier", un espace qui "n'est plus aux Cognaçais le mercredi soir." "La bête est bien là et les veilleurs sont l'un de ses nombreux tentacules" dit encore le courrier."

    Les signataires de la lettre, parmi lesquels un conseiller municipal Front de gauche, ancien adjoint du maire, font valoir des risques "de troubles à l'ordre public", comparant la situation à celle de Dieudonné. Le Conseil d'Etat a à peine ouvert la brèche qu'aussitôt, les apprentis révolutionnaires bailloneurs de liberté d'expression s'y engouffrent.

    Louise Tudy

  • {Après la polémique avec les Usa} ... Israël se chamaille avec l'UE sur la colonisation

    Sources : Afp via L'express
    Jérusalem - Israël a vertement répliqué vendredi aux condamnations européennes de la colonisation, s'engageant dans une rixe diplomatique avec son principal partenaire commercial, trois jours après celle qui a éclaté avec son allié stratégique américain.
    Israël se chamaille avec l'UE sur la colonisation
    Israël a vertement répliqué vendredi aux condamnations européennes de la colonisation, s'engageant dans une rixe diplomatique avec son principal partenaire commercial, trois jours après celle qui a éclaté avec son allié stratégique américain.
    Les ambassadeurs britannique, français, italien et espagnol ont été convoqués au ministère des Affaires étrangères, au lendemain de la convocation d'ambassadeurs israéliens dans ces mêmes pays en réponse à l'annonce il y a une semaine de plans de quelque 1.800 nouveaux logements dans les colonies.
    Le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman "a ordonné la convocation des ambassadeurs britannique, français, italien et espagnol", a indiqué son porte-parole.
    Ils se sont vu signifier que "leur position sans cesse partiale contre Israël et en faveur des Palestiniens était inacceptable" et mettait "en péril les possibilités de parvenir à un accord entre les deux camps", a précisé le porte-parole.
    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait déjà accusé l'Union européenne (UE) d"'hypocrisie" après la convocation de ses ambassadeurs "à cause de la construction de quelques maisons", lui reprochant de ne pas faire de même pour les "appels à la destruction d'Israël" de la part de personnalités palestiniennes.
    "Ce deux poids-deux mesures n'aide pas à la paix, je pense que cela la repousse", a-t-il déclaré jeudi soir lors de ses voeux à la presse étrangère.
    Cette passe d'armes avec l'UE se produit alors que la crise avec les Etats-Unis provoquée par la charge du ministre de la Défense Moshé Yaalon contre le secrétaire d'Etat John Kerry risque de laisser des traces, selon les commentateurs israéliens.
    Le chef de la diplomatie américaine, "animé par une obsession incompréhensible et une sorte de messianisme, ne peut rien m'apprendre sur le conflit avec les Palestiniens", avait lancé M. Yaalon dans des conversations privées citées par le Yediot Aharonot, des propos dont il s'est excusé mardi soir après une journée d'altercation publique entre les deux pays.
    Le plan Kerry 'se réduit comme peau de chagrin'
    Selon le correspondant militaire du Yediot, l'administration américaine a identifié depuis longtemps le ministre de la Défense comme un des obstacles aux efforts de M. Kerry, qui a réussi à relancer les négociations de paix fin juillet pour une durée de neuf mois.
    "Si la mission de Kerry échoue, les déclarations de Yaalon serviront de preuve au secrétaire d'Etat qu'Israël ne prenait pas au sérieux le processus de paix et l'a fait dérailler", écrit-il.
    L'éditorialiste vedette du journal souligne de son côté que le document que le secrétaire d'Etat américain veut faire approuver par les dirigeants israéliens et palestiniens "se réduit comme peau de chagrin et la date en est repoussée de semaine en semaine".
    Durant sa dernière navette au Proche-Orient, qui s'est achevée le 6 janvier, M. Kerry a présenté aux deux parties un projet d'"accord-cadre" traçant les grandes lignes d'un règlement définitif sur les frontières, la sécurité, le statut de Jérusalem et le sort des réfugiés palestiniens.
    Par ailleurs, le comité Al-Qods (Jérusalem, en arabe), présidé par le roi du Maroc et rassemblant une quinzaine de pays musulmans, qui se réunit vendredi et samedi à Marrakech (sud du Maroc) en présence du président palestinien Mahmoud Abbas, adressera un "message fort" contre la colonisation, selon le ministre marocain des Affaires étrangères Salaheddine Mezouar.
    Menahem Kahana
    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFApEulpFpzFYlRrjI.shtml

  • Les Femen, un étrange mélange de fréquentations communistes, néo-fascistes et néo-atlantistes

    Démonstration, photos à l’appui, par le journaliste indépendant Olivier Pechter. Cela démontre une fois de plus que ces militantes mangent à tous les râteliers. Reste à savoir dans quel but.

    http://www.ndf.fr/nos-breves/20-01-2014/les-femen-un-etrange-melange-de-frequentations-communistes-neo-fascistes-et-neo-atlantistes

  • La France redécouvre la répression

    Ce sont des Russes qui, venant en France pour quelques jours, lisant l’actualité française, regardant les journaux télévisés en France, nous parlent clairement de « fascisme inversé ».

    Pour ces observateurs venus d’un pays où le patriotisme et la famille, ont conservé leurs valeurs traditionnelles et qui font la solidité de la société russe, il est plus facile de mettre des mots sur ce qui se passe en France depuis les manifestations contre le mariage homosexuel et la loi Taubira. Les observateurs russes sont inquiets sur l’avenir de la France, le pays « des Lumières », un pays qu’ils aiment tant. L’arrestation de David Van Hemelryck ce dimanche 19 janvier semble confirmer les observations de nos alliés russes.

    « Le peuple n’est pas interrogé. Après avoir imposé le multiculturalisme comme enseignement, l’État oblige aux petits Français à apprendre la non différence entre une fille et un garçon et prône l’homosexualité et le changement de sexe chez les jeunes enfants. Toutes critiques ou pensées différentes envers ces nouveaux dogmes sont réprimées. »

    Valeurs de la famille. Les notions du LGBT sont devenues des lois qui sont enseignées dans les petites écoles. « Ils imposent le mariage homosexuel, interdisent les opposants au mariage pour tous de porter le tee-shirt représentant un papa, une maman avec un enfant ! C’est du fascisme à l’envers ! », dit un juriste russe francophone venu en France pour quelques jours en découvrant l’actualité française. Le même juriste s’est indigné de voir les Français interdits d’exprimer librement leurs pensées sur le changement de société. Pour le gouvernement, l’année 2013-2014 est une année de mobilisation à l’école. Le gouvernement veut s’attaquer aux inégalités dès le plus jeune âge, notamment aux inégalités entre les filles et les garçons. « Parmi les engagements pour faire progresser l’égalité filles-garçons, une expérimentation est prévue à la rentrée dans 275 écoles primaires et près de 700 classes de dix académies : l’ABCD de l’égalité. Cet ABCD, élaboré en partenariat avec le ministère des droits des femmes, est un projet destiné à être développé», peut-on lire sur le projet du gouvernement. Le projet ABCD est le projet du gender pour apprendre une sexualité qui n’est pas apprise dans la famille des enfants. L’enfant va apprendre à l’école qu’il peut changer de sexe et apprendre que les pratiques homosexuelles sont des actes normaux, que la famille ne repose pas sur une maman et sur un papa. Pour l’actuel gouvernement il faut lutter contre les préjugés et les stéréotypes sexistes. Une femme devenant une maman et une épouse et un homme devenant un papa et un mari sont devenus un préjugé et un stéréotype sexiste à bannir. Le site de l’observatoire de la théorie du genre, fondé pour informer les Français de la réécriture de la famille par l’école, dénonce la projection du film, Tomboy primé à la Berlinale en 2011, dans les écoles en France pour introduire le gender (Tomboy a obtenu le Prix du jury aux Teddy Awards, prix récompensant les films traitant de sujets LGBT). Dans un entretien donné en 2011 à TV5, Céline Sciamma avoue avoir réalisé un film militant pour servir la cause du gender en dénonçant le retard de la France dans cette éducation.

    Liberté d’expression. Les Veilleurs ou David Van Hemelryck, qui expriment leur position politique de manière pacifiste, sont arrêtés par la police. On découvre la répression. Le cas de David Van Hemelryck est révélateur. La première banderole « Hollande démission » qui a survolé nos plages et campagnes dans le ciel de France a été confisquée et aurait été brûlée. « Dans ce pays, on peut brandir n’importe quel drapeau étranger, mais gare ! Si le votre dérange le gouvernement, il le brûle ! », écrit hollande-demission. La voiture sur laquelle figurait « Hollande démission » a été retirée de la circulation par la police. « Il (Valls) a saisi la voiture Hollande Démission. Sur les ondes de la police iĺ a demande à toutes les unités d’intercepter ce véhicule pourtant inoffensif ! Le gouvernement agit contre la loi. Il brûle et il vole », peut-on aussi lire sur le même. Ce dimanche 19 janvier, David Van Hemelryck, qui s’apprêtait à prendre la parole dans une manifestation, a été arrêté par la police alors qu’il était en train de gonfler un ballon qui aurait eu la forme d’une quenelle. Selon Le Point, David Van Hemelryck, 34 ans, a ensuite été placé en garde à vue pour incitation à la haine raciale au commissariat du IIIe arrondissement. Après avoir appris la libération de David Van Hemelryck, le site hollande-demission invite les Français à la résistance, à obtenir un référendum pour demander au peuple s’il veut continuer avec François Hollande. Le site de David Van Hemelryck publie « Le discours que vous n’aurez pas eu car le gouvernement a décidé de priver de liberté d’expression ceux qui le dérangent trop ». Invité sur LCI le lundi 20 janvier à midi, David Van Hemelryck dit : « Je dénoncerai les dérives autoritaires du gouvernement Hollande, accroché à son luxe malgré les scandales, dans un mépris du peuple qui caractérise François Hollande. » N

  • La dictature de Najat Vallaud-Belkacem

     

    Excité, le ministre de l'Egalité et de la promotion du meurtre de l'enfant à naître, a prononcé un discours sidérant ce soir dans l'enceinte de l'Assemblée nationale :

     

    N"[...] Je commencerai donc par évoquer la loi de 1975. Je le dis avec fermeté : ce texte inscrivant la liberté des femmes à disposer de leur corps n’est ni à débattre ni à négocier.

    Nous n’accepterons aucun recul. Nous serons déterminés et même intransigeants. Toutes les entraves, toutes les tentatives de remise en cause de ce droit fondamental, toutes les régressions se heurteront à la poigne de l’État de droit."

     

    A ceux qui s'abritent derrière la loi Veil pour demander le maintien de la situation de détresse pour avorter, le ministre affirme que cet argument n'était alors que tactique :

     

     

    "Votre commission des lois a supprimé la référence dans notre législation à la « situation de détresse » qui conditionnait l’accès à l’IVG. C’est une actualisation bienvenue de notre droit et la suppression d’une disposition devenue obsolète et qui, du reste, n’avait été en 1974 qu’une concession accordée dans le cadre de la discussion. Simone Veil elle-même ne l’avait acceptée qu’à contrecœur."

     

     

    Puis elle menace l'opposition :

     

    "Je vous demande donc de rester dans ce consensus. Je le dis notamment aux quelques députés de l’opposition – je sais que tous ne partagent pas cette position – qui ont déposé des amendements pour que l’IVG ne soit plus remboursée par la Sécurité sociale. [...] Je le répète : restez dans le consensus républicain qui existe depuis 1975 sur ce droit essentiel. Le droit à l’IVG, nous l’avons construit ensemble ; il fait partie de notre patrimoine commun. Il nous faut le préserver, loin des passions inutiles, loin des manœuvres dilatoires. Envoyons un message clair aux femmes qui nous regardent. J’espère que nos débats en seront l’illustration."

     

    Le député Jean-Frédéric Poisson lui a répondu :

     

    P"Je pars d’un principe que je défends constamment dans cet hémicycle : celui du respect de la vie depuis la conception. J’observe, d’ailleurs, qu’il s’agit là de la formulation même du premier article de la loi de 1975 à laquelle beaucoup font référence ici depuis tout à l’heure, et sans doute avec juste raison. La majorité socialiste, en tout cas en commission des lois, a décidé de supprimer la notion de « détresse » de la loi actuelle s’agissant de l’accès à l’avortement, en prétendant – c’était d’ailleurs l’un des éléments de notre débat – qu’il ne s’agissait là que d’une modification anodine. En réalité, je ne crois pas du tout qu’elle le soit. [...] Cette suppression fait entrer de plain-pied dans notre législation le droit à l’avortement comme un droit plein et entier, lequel a été décrit tout à l’heure par un certain nombre de nos collègues comme « le droit des femmes à disposer de leur corps ». Cette formule est connue. Visiblement, madame la ministre, vous l’avez faite vôtre – ce qui est évidemment votre droit le plus strict – mais vous avez été aussi alertée, d’une certaine façon, sur un problème de concurrence vis-à-vis du texte concernant l’interdiction de la prostitution dont nous avons débattu voilà quelques semaines. Cette question a été posée dans vos propres rangs et il faut savoir s’il s’agit là d’un principe qui ne souffre pas d’exception ou s’il en souffre. En droit, tout cela n’est pas neutre.

     

    [...] Un rapport de l’IGAS consacré à l’IVG rappelait, en 2010, ce que disait la Haute autorité de santé : « L’IVG demeure un événement souvent difficile à vivre sur le plan psychologique. Cette dimension manque d’éclairage objectif et scientifique ». [...] Les enquêtes d’opinion nous renseignent, quant à elles, sur le fait que beaucoup de femmes éprouvent une souffrance réelle lors de la commission de cet acte, que ce soit par voie médicamenteuse ou chirurgicale. C’est là une réalité. Alors, soit on considère qu’elle ne doit pas être prise en compte et pas traitée, soit on essaie de la prendre en compte. [...]

    [...] Nous savons tous, car nous connaissons et rencontrons ces situations, que la pression exercée sur un certain nombre de femmes, parfois par leur employeur, parfois par leur conjoint, parfois par leur famille ou leurs amis – cela n’épargne aucun milieu ni aucun type de personnes ou de convictions, c’est très clair – [...] C’est pourquoi, madame la ministre, non seulement le rétablissement de cette référence fondamentale qu’est la « détresse » est essentiel à la législation en vigueur – même si elle ne me satisfait pas, et c’est pourquoi ce que vous vous apprêtez à faire voter au Parlement sur le délit d’entrave à l’information incluant même la simple information préalable sur les conséquences éventuelles d’un avortement ne relève pas, je crois, du respect de la liberté personnelle."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Christiane Taubira chez le juge

    La plainte déposée par Patrick Buisson le 13 novembre contre le garde des Sceaux pour 'prise illégale d'intérêt' vient d'être jugée recevable par la cour d'appel. Un juge d'instruction devrait donc être nommé dans les jours à venir.

    Mis en cause par plusieurs plaintes de l'association Anticor, en février et novembre 2010 pour «favoritisme», puis en octobre 2012 pour «détournement de fonds», Patrick Buisson a dénoncé le soutien publiquement apporté par la ministre de la Justice, à l'action judiciaire d'Anticor. L'avocat de Patrick Buisson, Gilles Goldnadel souligne :

    «C'est la première fois dans l'histoire de la République qu'un ministre a un pied dans une association partie civile et un pied place Vendôme, et, de surcroît, c'est la première fois qu'un garde des Sceaux affiche aussi ostensiblement son soutien à un plaignant, et son mépris pour un justiciable».

    Michel Janva

  • La Manif Pour Tous assigne en référé suspension le Préfet de Police

    Communiqué LMPT :

    "La Manif Pour Tous assigne en référé suspension le Préfet de Police de Paris qui refuse que la manifestation du dimanche 2 février contre la familiphobie se termine place de la Concorde

    La Manif Pour Tous invite ses sympathisants à assister à l'audience publique qui aura lieu vendredi 24 janvier à 10h.

    Une nouvelle illustration du « deux poids - deux mesure » et un nouveau bras de fer avec la Préfecture de Police.

    Le 15 janvier dernier, La Manif Pour Tous a assigné en référé suspension le Préfet de Police de Paris qui s’oppose en effet à l’arrivée de notre manifestation du 2 février sur la place de la Concorde.

    La Manif Pour Tous dénonce cette décision injuste. Des organisations syndicales ont pu à plusieurs reprises et encore récemment, en octobre et novembre 2013, dans le cadre de leurs manifestations, se réunir sur cette même place de la Concorde.

    Cette nouvelle prise de position destinée à nuire à La Manif Pour Tous s’oppose également aux dernières  déclarations du Président de la République qui lors de sa conférence de presse du 14 janvier dernier affirmait que : "la liberté de réunion, de création, d'expression ne sauraient être diminuées, sauf circonstances exceptionnelles !" Il a même précisé que lesdites circonstances exceptionnelles  concernaient "les atteintes à la dignité de la personne humaine". Il est donc évident que nous ne sommes pas concernés puisque notre mobilisation a pour objet la défense de la famille, la protection des enfants et la reconnaissance de la filiation père-mère-enfant.

    Les intimidations politiques doivent cesser. La Manif Pour Tous indique à ceux de ses sympathisants qui souhaiteraient y assister et la soutenir, que l’audience publique du Tribunal Administratif se tiendra : le vendredi 24 janvier 2014 à 10 heures  en salle n°3 du Tribunal Administratif de Paris 7 rue de Jouy - 75004  Paris (Métro : Pont Marie ou Saint Paul)"

    Pour cette manifestation du 2 février, LMPT recherche des bénévoles.

    Addendum :

    "La Manif Pour Tous précise qu'il ne s'agit nullement d'un appel à manifester mais d'une simple invitation pour ses sympathisants et le grand public à venir assister, respectueusement et silencieusement, à une audience publique du Tribunal Administratif de Paris durant laquelle sera examiné le recours formé à l'encontre du Préfet de Police."

    Michel Janva

  • Du 9/11 à Dieudonné: l’alignement parfait

    Tribune de Byblos

    Quel est le dénominateur commun entre les événements du 11 Septembre 2001, la liquidation de Kadhafi, la guerre en Syrie ou le lynchage de Dieudonné? Réponse : l’alignement parfait, uniforme et zélé des médias sur la narrative du pouvoir. En un peu plus d’une décennie, de Washington à Paris, nous avons ainsi assisté à l’incorporation, à l’assimilation complète des médias «qui font l’opinion» par la machinerie du Système. La servitude est totale, consentie, et les voix discordantes sont combattues avec une rage d’autant plus haineuse que les arguments et/ou la raison font défaut, que le mensonge à propager est gros. Avec l’affaire Dieudonné, on a pour la première fois invoqué «l’atteinte à la cohésion nationale» pour justifier la censure. C’est une étape significative dans l’avènement de cette société de l’obéissance en devenir, où «cohésion» rime avec nivellement, avec soumission.

    Du contrôle de l’opinion à celui de la contestation
    La machine à écraser les différences, à niveler les opinions, est désormais bien rôdée : mobilisation générale des serviteurs-en-chef de tous les JT et grands titres «qui font l’opinion»; uniformité parfaite du discours; dramatisation à outrance des événements; déformation des faits et mensonges; isolement et attaque en meute des éventuels contradicteurs. Plus la couleuvre à faire avaler est grosse, plus la mobilisation doit être bruyante, hystérique, assourdissante pour empêcher toute nuance, forcer l’alignement.

    Dans l’affaire Dieudonné, la machine a été saisissante d’efficacité. En quelques semaines, l’humoriste n’était plus qu’un simple «antisémite» déversant un «discours de haine» contraire «aux valeurs de la République», sa quenelle n’étant même, diagrammes et graphiques à l’appui, qu’un «salut nazi inversé». Du gros, du lourd donc, du définitivement incontestable.
    Dans son «arrêt Minority Report», le Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative française, a même puisé dans des cas vieux de 80 ans pour justifier la réintroduction de la censure et, surtout, a invoqué pour la première fois la notion «d’atteinte à la cohésion nationale».
    Peut-on imaginer concept plus dangereux juridiquement parlant que celui «d’atteinte à la cohésion nationale» pour justifier une interdiction? En faisant jurisprudence, cet arrêt éminemment politique du Conseil d’Etat ouvre désormais toutes les portes au pouvoir pour faire interdire ou censurer artistes, militants ou même partis, pourquoi pas, qui menaceraient donc la «cohésion nationale».
    Désormais, ce n’est plus seulement le contrôle de l’opinion que le Système vise, mais celui de la contestation avec, en ligne de mire notamment, la liberté encore offerte sur Internet.
    Le patron de l’Express, Christophe Barbier, a donné le ton : «Ca se régule, aussi, internet. Entre nous, les Chinois, ils y arrivent bien. Si les dictatures y arrivent, il faut que les démocraties fassent l’effort, aussi, de faire respecter la loi sur internet, sinon, ce sera dictature ou dictature
    L’argument fait froid dans le dos.

    De la critique d’Israël au conspirationnisme
    Comme nous l’avions relevé dans notre précédente brève, d’aucuns appellent déjà à l’interdiction de l’antisionisme radical, c’est-à-dire l’interdiction de la critique d’Israël, qui serait la source de l’antisémitisme moderne donc.

    Mais sur France2, l’écrivain Marc Edouard Nabe a déjà désigné la prochaine cible en estimant que le problème de fond, c’était finalement…. le «conspirationnisme».
    Ecoutons-le : «Le fléau aujourd’hui, le vrai fléau, c’est le conspirationnisme… C’est-à-dire la transformation de la vision du monde. C’est-à-dire la fausser à la base pour que les gens et les naïfs puissent s’y perdre et reconsidérer tous les évènements de la réalité. C’est un travail néfaste et satanique sur la vérité.»
    La boucle est bouclée.
    Remettre en cause la version officielle des évènements, la narrative, est en effet le dernier «fléau», le dernier «travail néfaste et satanique» que le Système devra tôt ou tard juguler pour préserver SA narrative, SA vérité sur les événements de SA réalité.

    L’essence totalitaire du Système
    La dérive se confirme et s’accélère donc.
    Pervertie jusqu’à la nausée, la démocratie libérale dans sa version ultime n’est plus qu’un faux-nez du Système dont l’essence est résolument totalitaire. Comme nous l’écrivions en citation dans notre essai «Pourquoi notre Hyper-Titanic va couler», «l’avènement de la société libérale interdit en effet l’alternative. Les divergences de pures formes, qui opposent ce que l’on nomme les «sensibilités politiques», se discutent à l’intérieur du statuquo qu’elle [la société libérale] impose. C’est à cela que se réduit l’opposition. Dans une société qui prétend pourvoir de manière satisfaisante aux besoins du plus grand nombre, l’opposition n’a en effet plus aucune raison d’être, elle est même une menace pour la collectivité
    Le débat peut donc être singé à l’intérieur du cadre fixé par le Système, par exemple dans l’opposition gauche-droite traditionnelle, étant entendu qu’en l’espèce, «la gauche» est devenue un sous-programme de la droite pour gruger les pauvres et endormir les idéalistes.
    Il n’y a désormais plus qu’un parti possible, celui du Système, une seule vérité, celle du Système, une seule vertu, celle du Système.
    Le Monde, Le Figaro, L’Express, Le Nouvel Obs ou Libé ne nous disent plus autre chose.

    PS : heureusement, il y a des discours de haine licites

    Les seules contestations que le Système tolère encore est celles qui, comme les «sensibilités politiques», s’inscrivent dans le cadre qu’il fixe. Vous pouvez donc déverser un discours de haine contre Dieudonné, en appelant même à son exécution physique, le Système vous regardera avec bienveillance.
    Le militantisme par le cul, type Femen, est aussi très tendance, et vous pouvez donc déverser votre discours de haine sans dommage sur la communauté catholique en profanant des lieux saints, le Système vous regardera avec bienveillance, car la déconstruction du message religieux sert ses objectifs nihilistes.
    Vous pouvez bien évidemment déverser votre discours de haine sur la communauté musulmane, le Système vous regardera avec bienveillance, car la déconstruction du message religieux sert ses objectifs nihilistes.
    Vous pouvez déverser votre discours de haine sur le judaïsme…, enfin…, non…, finalement ça…, ça va pas être possible.
    Mais vous pouvez déverser votre discours de haine sur les conspirationnistes, sur ceux qui incitent à «reconsidérer les évènements d’une réalité» tronquée, le Système vous regardera avec bienveillance puisque vous participerez à l’affirmation de SA narrative.

    http://www.entrefilets.com/de_911_a_dieudonne_l_alignement_parfait.html#sthash.1fUH0iRe.dpuf

    Source  http://reseauinternational.net/2014/01/20/du-911-a-dieudonne-lalignement-parfait/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Paternités à vendre pour régulariser des immigrés illégaux

    Belgique – C’est la nouvelle tendance pour obtenir un titre de séjour. Des jeunes femmes immigrées en situation illégale cherchent à faire reconnaître leur enfant par un homme belge, généralement âgé, afin de se procurer des papiers.

    Ces paternités dites « blanches » ou « de papier » sont en plein essor, permettant à des ressortissants étrangers d’obtenir frauduleusement un titre de séjour. « Tout le monde peut reconnaître un enfant qui n’est pas le sien, la seule condition pour ce faire étant que la mère soit d’accord », explique Els Cleemput, porte-parole de la secrétaire d’Etat à l’Asile et à l’Immigration. Il suffit de se rendre à l’état civil et de se déclarer père, quel que soit l’âge de l’enfant. Aucune preuve n’est réclamée à ce stade.

    Selon l’Office des étrangers, les cas les plus fréquents concernent de jeunes mères résidant dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile et qui savent qu’elles vont être rapatriées.  Elles achètent alors un papa belge (ou européen) à leur progéniture, explique un rapport du collège des procureurs généraux, qui ne précise pas d’où vient l’argent.

    Lire la suite ici

  • L’Europe de Hollande, Bartolone et Schulz: « le seul laboratoire concret d’une future gouvernance mondiale »

    Salués par   les bruxellois de droite qui ne cherchent pas à camoufler l’évidence, comme Alain Juppé  et le MEDEF, suscitant l’embarras des autres qui constatent  la poursuite assumée de la politique impulsée par Nicolas Sarkozy, à savoir l’alignement complet  sur l’idéologie euromondialiste, ultra-libérale et « austéritaire »,   la   conférence de presse mardi  de François Hollande aura un effet dévastateur sur l’électorat de gauche.   C’est en tout cas la conviction de nombreux pontes du PS. La sénatrice Marie-Noëlle Liennemann  le confesse: «pour l’instant ce n’est pas une politique de droite, mais il y a un risque que cela  le devienne (sic). C’est en tout cas très éloigné du programme sur lequel Français Hollande a été élu en 2012 ». Bravo pour l’euphémisme. Emmanuel Maurel, membre du bureau « national » du PS est plus direct : « je me demande comment nos électeurs de gauche vont s’y retrouver ».

     Cet effort de clarification opéré par M. Hollande rend perceptible au plus grand nombre la nature identique du logiciel de  l’UMP et du  PS. Elle rend clairement intelligible la grande alternative des mois et des années  à venir énoncée par Marine, Bruno Gollnisch, les dirigeants frontistes. D’un côté la poursuite dans la fuite en avant désastreuse d’une  coalition UMPS qui entend poursuivre la liquidation  de notre nation ; de l’autre le front des patriotes et  de souverainistes, les porteurs d’un projet solide, cohérent validé par un nombre croissant d’économistes prestigieux, (ceux là mêmes qui sont privés de tribunes dans « nos » médias…) pour affronter la mondialisation,  rétablir la  justice sociale ,restaurer notre prospérité, notre génie français, au sein d’une Europe des patries restaurée.  

     C’est dans ce contexte que lundi matin à Bondy (Seine-Saint-Denis), le social-démocrate allemand Martin Schulz, alias papa Schulz,  président du Parlement européen et candidat à la présidence de la Commission européenne, était invité par Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, au lycée Jean-Renoir.

     Il s’agissait  de vanter les bienfaits de l’Europe bruxelloise aux lycéens de cet établissement pluriel, dans un département où l’abstention à atteint 69% lors des précédentes  élections européennes de 2009.

     Ce débat était officiellement organisé à  l’initiative du laboratoire d’idée (« think-tank ») Europanova, en partenariat avec le  Parlement européen en France, l’association  Touteleurope,  Paris Match,  et le  Ministère des Affaires étrangères.

     D’inspiration mondialiste  et atlantiste,  Europanova  fut fondé en 2002 par Guillaume Klossa, ex conseiller de Jean-Pierre Jouyet pour la Présidence française de l’Union européenne, puis du groupe de réflexion sur l’avenir de l’Europe,  présidé par Felipe Gonzalez au Conseil européen.

     Il fut à l’initiative  en 2007 du bidule  intitulé les États Généraux de l’Europe puis en 2010  de l’opération baptisée (en bon français…)  « 40under40 ». En l’espèce le «premier programme continental de jeunes leaders européens » sur le modèle initié par les gouvernements  américains en Europe via leurs ambassades, visant à détecter des agents d’influence  et des relais de leur politique dans les jeunes générations, le programme « young leaders » que nous avons déjà  évoqué sur ce blog.

     Sur le site Slate, M. Klossa expliquait  son vœu de « lancer  un programme européen pilote de leadership ». En l’espèce les « programmes de leadership » « mis en place par les Etats-Unis dès 1941 visant à identifier en Europe des gens ayant (…)  une vocation à influencer l’opinion publique (…). L’objectif était de développer parmi ces  leaders potentiels une fibre proaméricaine en Europe en leur faisant découvrir  l’Amérique, sa culture, ses valeurs, son histoire, sa géographie et rencontrer  d’autres américains (…) . Nous pensons qu’il est temps d’initier des programmes au sein de l’Union européenne (UE) qui visent de  jeunes talents de tous les pays membres»…

     En se déplaçant à Bondy, notons aussi au  passage que M. Bartolone  a choisi un complice emblématique. Martin Schulz , alors président du groupe socialiste au Parlement européen avait suscité l’indignation  des défenseurs des libertés d’expression par son vœu exprimé en 2007  de mettre en  place  un « cordon sanitaire » autour des élus siégeant  au Parlement, attachés au maintien des identités et des souverainetés nationales.

     La même année, alors que  le Parlement européen avait proclamé la Charte des Droits Fondamentaux, (ancienne partie II de la Constitution européenne), faisant ainsi fi des contestations venant des bancs souverainistes qui réclamaient un référendum,   Martin Schulz avait  osé affirmer  que l’indignation exprimée par les députés nationaux lui rappelait les heures les plus sombres de l’histoire contemporaine allemande.

     Une obsession grotesque qui n’a pour effet que de banaliser les épisodes les plus épouvantables de la seconde guerre mondiale, conflit qui fut encore évoqué devant les lycéens du « 9-3 » par M. Schulz pour justifier le maintien en place de la très totalitaire Europe bruxelloise. L’article de Paris-Match consacré à ce déplacement indique d’ailleurs que les deux hommes « n’ont pas vraiment remporté la bataille des coeurs et des esprits pour l’Union européenne.»

     « La journaliste Rokhaya Diallo (présidente des Indivisibles, dont le talent  a été repéré par le gouvernement américain de M Obama, NDLR…), qui animait le débat, a demandé aux élèves qui se sentent européens de lever la main. A la fin, elle a posé de nouveau la même question. Moment d’embarras dans l’assistance: dans les deux cas, très peu de mains se sont levées. Les interventions passionnées des deux hommes pour défendre l’Europe n’ont pas retourné les élèves.»

     Quand  on connait la difficulté de très nombreux jeunes du 9-3 à s’appréhender comme Français et à se trouver  une identité française, le vœu des euromondialistes  à la sauce Bartolone et  Schulz  de les conforter dans leur identité européenne n’est certes pas gagné d’avance. Même si cette fameuse identité européenne pour les bruxellois militants ne saurait se confondre avec le vraie génie européen,  sa réelle identité  physique, culturelle, civilisationnelle  qu’ils rejettent, méprisent et craignent tout à la fois.  

     Non c’est à une Europe désincarnée, élevée sur les ruines des Etats-nations,  qu’il faudrait que les jeunes, tous les jeunes  adhérent  constate Bruno Gollnisch, et le think tank Europanova, cher au coeur du PS, en fait d’ailleurs l’aveu de manière plus directe sur son site  que MM. Hollande,  Bartolone,  et Schulz : « Malgré une dynamique chaotique, l’Europe demeure le seul laboratoire concret d’une future gouvernance mondiale… ».

    http://gollnisch.com/2014/01/16/leurope-de-hollande-bartolone-schulz-le-seul-laboratoire-concret-dune-future-gouvernance-mondiale/