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anti-national - Page 950

  • En Seine-Saint-Denis, la charte de la laïcité peine à s’appliquer

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – La charte de la laïcité est une mesure cosmétique sans incidence concrète sur la réalité. Ainsi, Rachida est bien allée hier au château de Guédelon avec la classe de CM1 de sa fille, école située en Seine-Saint-Denis. Pourtant, jeudi dernier, l’institutrice avait expliqué à cette femme voilée qu’elle ne pourrait pas accompagner la sortie scolaire. Mais devant l’indignation et la mobilisation des parents d’élèves, la direction de l’établissement a fini par céder.

    Inadaptée, la charte de la laïcité semble donc condamner à rester lettre morte. Il est vrai que si l’on affirme que l’islam est compatible avec la République française, on voit assez mal pourquoi ceux qui le pratiquent devraient être mis à l’écart de certaines activités collectives.

    À force de ne pas vouloir trancher les questions de fond, on se condamne ainsi à la plus complète impuissance.

    http://fr.novopress.info/141869/en-seine-saint-denis-la-charte-de-la-laicite-peine-a-sappliquer/

  • Le « M. Contravention » du ministère de l’Intérieur fait payer les siennes par le Trésor public…

    Selon Mediapart, le haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, à la tête d’une agence chargée de traiter les infractions établies par les radars routiers, aurait « fait payer par son administration -c’est-à-dire par le Trésor public- les contraventions routières du dimanche dont son véhicule de fonction, une Peugeot 508, fait l’objet ».

    Devant l’énormité de l’affaire, le ministère de l’Intérieur a du se résigner à ouvrir une enquête sur les agissements du directeur de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai), Jean-Jacques Debacq.

    En poste depuis avril 2011, le préfet, titulaire de la légion d’honneur selon Direct Matin, est toutefois maintenu dans ses fonctions…

    Il aurait également échappé au retrait de points sur son permis de conduire que les infractions auraient dû entraîner. Mediapart dit avoir retracé « une douzaine de contraventions » attachées au véhicule de fonction du préfet, « soit près de 700 euros » qui auraient été réglées par mandats administratifs.

    Mais faut-il s’étonner que ces gens-là, dont le métier est de racketter les citoyens, n’aient aucune morale ?

    http://www.contre-info.com/

  • Mensonges et « malaise profond »

    Au-delà de leur euromondialisme militant,  quel  est le point commun entre Valérie Pécresse et Manuel Valls ? La sincérité bien sûr ! Qui peut ainsi douter de la bonne foi de l’ex ministre UMP lorsqu’elle  s’indigne des propos «contraires aux valeurs de respect de la personne humaine qui fondent tout mon combat politique » (sic) que lui prête  son  ex collègue  Rama Yade? Dans son «livre», cette dernière  rapporte qu’en 2010 la très antiraciste Mme Pécresse,  alors tête de liste UMP en Ile-de-France, lui aurait proposé d’être candidate dans le Val d’Oise « Parce qu’il y a beaucoup d’Africains là bas qui ont zéro degré de sens politique. Et toi tu sauras leur parler » (sic). Comment douter également  de la croyance de M. Valls dans la validité de sa réponse à la montée d’une délinquance en constante progression sous son règne  comme sous  celui de  ses prédécesseurs  place Beauvau ?

     Le ministre  de l’Intérieur ne s’est pas contenté de  sermonner  hier le buraliste marseillais des quartiers sud  qui, braqué pour la seconde fois en quelques semaines,   a tiré une  balle au caoutchouc contre un de ses trois  agresseurs, lequel a été légèrement blessé. « C’est à l’Etat d’assurer la sécurité » (on ne  lui fait pas dire…)  a  grondé Manuel  Valls,   lequel a été a contrario tout miel avec les policiers  lors son deuxième discours annuel aux forces de sécurité.

     Malgré les chiffres effrayants pointant  la montée des violences et d’une  insécurité multiforme, M. Valls a vanté les « résultats obtenus ». Or selon « le nouvel outil d’analyse de la délinquance » mis en  place par le ministère  de l’Intérieur et que Le Figaro détaillait dernièrement –voir notre article en date du 10 septembre- , « sur un an, d’août 2012 à juillet 2013, tout ou presque vire à l’écarlate: les atteintes à l’intégrité physique (+2,9%) et, parmi ­celles-ci, les violences sexuelles ­(+10,4%) ; les atteintes aux biens (+3,5%), parmi lesquels les cambriolages (+9,3%) ; enfin, les infractions économiques et financières (+5,9%).

     Les policiers ne sont  en fait pas dupes et sont  sans illusions sur  le  vœu du ministre socialiste  de créer de nouvelles ZSP  (zones de sécurité prioritaires) en 2014. A l’ entendre celles-ci auraient   permis  une baisse sensible (toute relative)  des violences  urbaines.

     Dans les faits  constatent les personnels des forces de l’ordre qui nous ont contacté,   les ZSP consistent   surtout à déshabiller Paul pour habiller Pierre. En dehors de ces zones où les forces de l’ordre sont invités à s’investir, la criminalité croît partout ailleurs, les voyous commettant leur forfait dans les zones  désertées par les force de sécurité faute d’effectifs et de moyens

     Cet échec à juguler la délinquance, qui s’ajoutent aux autres, est bien sûr  une des causes  des mauvais sondages pour l’exécutif socialiste. Certes,  selon une enquête   Ifop pour le Journal du dimanche, « seulement » un Français sur quatre (26%, dix points de plus tout de même qu’en janvier 2008)  envisage de sanctionner François Hollande lors des élections municipales de mars 2014Les considérations  localesle poids des clientélismes restent des paramètres souvent  décisifs, c’est pourquoi Marine Le Pen refuse de  crier victoire trop tôt car  « ces élections sont difficiles pour le Front National » qui a toujours eu quelques difficultés  «  à s’implanter localement » note-t-elle.

     Implantation locale qui est aussi tributaire du nombre des électeurs français. Or, comme le soulignait dernièrement Julien Sanchez, candidat du FN à Beaucaire (Gard), dans beaucoup de communes c’est une véritable course contre la montre qui est engagée.  « C’est la dernière fois que le Front National peut gagner Beaucaire a-t-il dit  car dans six ans, l’immigration sera majoritaire dans cette ville »…comme elle l’est déjà dans de nombreuses communes dirigées majoritairement par la gauche socialo-communiste constate Bruno Gollnisch…

     Pour autant, comme le  souligne (s’en inquiète)  Le Monde,  «le spectre du FN n’en finit pas de planer sur la rentrée politique. Un sentiment de panique semble envahir les partis de gouvernement, du PS à l’UMP». « Au sein des partis de gouvernement, on craint particulièrement que la séquence électorale en trois temps (Municipales, européennes, puis régionales en 2015, NDLR)  qui va s’ouvrir en 2014 profite largement à l’extrême droite. »

     « L’instabilité qui saisit la majorité s’explique surtout par le fait que, pour l’instant, personne n’a trouvé le moyen de stopper l’ascension frontiste. Chacun y va donc de son plan. Ainsi, le PS subit la cacophonie des courants, clubs et autres sensibilités (…). »

     «Parallèlement, les écologistes traversent une énième crise interne entre partisans d’une sortie du gouvernement et défenseurs du statu quo. Si l’on ajoute au tableau les radicaux,  vent debout contre la loi sur le non-cumul et un Front de Gauche en proie à une lutte entre le jusqu’au-boutiste Jean-Luc Mélenchon et le communiste Pierre Laurent, plus sensible que lui aux enjeux de pouvoir municipaux, le malaise est profond au sein des formations politiques de gauche (…). »

     « Le tableau n’est pas plus réjouissant à l’UMP constate encore  Le Monde, trop affaiblie pour attirer les électeurs tentés par le FN (…).  Sans boussole, minée par les ambitions présidentielles, la droite affiche ses divisions et peine à incarner une alternative. (…) Comme le PS, l’UMP n’a pas trouvé la recette pour résister à la poussée de l’extrême droite. Pire, le parti se divise sur la stratégie à adopter face au FN. »

     Dans ces conditions comment s’étonner là aussi de l’enquête BVA-Orange pour L’Express, la Presse Régionale et France Inter publié lundi. Elle  indique que 63% des « sympathisants de droite et des sympathisants UMP »  préfèrent Marine Le Pen à François Hollande (29%). Notons encore que pour la première fois, et tous Français confondus, Marion Maréchal-Le Pen est créditée dans ce même sondage  de 18% d’opinions favorables  ( +3 points ),  devançant Cécile Duflot 16 %, – 7 points) et  Harlem Désir (12 %, -2).

     Cette cote de sympathie  dont jouissent Marine et le FN est incontestablement une pierre dans le jardin des dirigeants  de l’UMP,  du  tandem Copé-Fillon.  Ce dernier s’est  encore signalé dimanche lors d’une réunion Saint-Just-Saint-Rambert (Loire) en réaffirmant  que « le programme du Front National est économiquement absurde et politiquement dangereux ». Au vu  de la politique souvent calamiteuse  qui fut la sienne à   Matignon, les sympathisants  de droite,  comme les autres Français assure Bruno Gollnisch,  sont en droit d’attendre un peu plus de modestie et de modération dans les jugements de l’ex Premier ministre…

    http://www.gollnisch.com/2013/10/01/mensonges-malaise-profond/

  • Pétition pour avoir le droit de tenir un autre discours sur l'avortement

    Aux ministres Touraine & Vallaud-Belkacem : après les affaires Médiator et pilules 3G, ne faites plus de négationnisme sur l’avortement et arrêtez de museler vos opposants !

    Les sites qui, comme ivg.net,  apportent des bémols sont, eux, qualifiés de « biaisés » parce qu’ils osent inciter les femmes à réfléchir aux conséquences psychologiques de cet acte. Curieusement, aucune voix politique ou médiatique ne se fait entendre pour protester contre cet abus de pouvoir scandaleux.

    Plus récemment, les gynécologues Israël Nisand et Brigitte Letombe ainsi que la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié en mars 2012 une tribune dans Libération pour  rappeler que bien qu’ils soient défenseurs de l’IVG dès la « première heure », ils ne voulaient pas laisser dire n’importe quoi ! Ils fustigent littéralement la tendance actuelle qui voudrait faire croire que le recours à l’IVG n’aurait aucune incidence sur la vie des femmes :

    "Nous ne pouvons pas laisser dire que les femmes qui y ont recours ne sont pas marquées, d’une façon ou d’une autre, par cette expérience. Nous voyons chaque jour dans nos consultations des femmes qui nous disent leur souffrance psychologique et leur mal-être parfois de nombreuses années après, alors qu’elles auraient pu «cocher» lors d’un sondage que «tout allait bien». La souffrance ne se coche pas, elle se parle ! Sauf à ne considérer les femmes que dans le registre physique, sauf à omettre leur vie psychique, on ne peut pas écrire que l’accouchement présente un plus grand risque que l’IVG.

    Cette posture, qui date de la médicalisation de l’IVG en France, revient à dire que l’avortement n’a aucune conséquence dans la vie d’une femme. Certes elles ne meurent plus ; certes les cases à cocher ne montrent plus de complications, mais tous les cliniciens qui rencontrent des femmes savent qu’il s’agit là d’un vrai négationnisme : il s’agit de dénier le fait qu’une IVG peut marquer douloureusement une vie. Nous n’avons jamais rencontré de femmes pour qui l’avortement a constitué «un événement fondateur de leur vie d’adulte» et nous ne voyons pas quelle étude statistique permet d’affirmer cette énormité. (…) La santé ne se réduit pas au corps mais concerne aussi la santé psychique qui échappe si souvent aux froides analyses statistiques.

    Nous, cliniciens favorables aux droits des femmes à interrompre une grossesse et à avoir une sexualité sans risque de grossesse non voulue, nous n’acceptons pas pour autant la banalisation de l’IVG. (…) Nous proposons de ne plus ignorer les difficultés psychiques des femmes qui ont subi une IVG et de tout faire pour prévenir cet événement d’autant plus indésirable qu’il se produit tôt dans la vie des femmes, épargnant toujours les garçons si peu initiés à leur vraie responsabilité.

    Demandons à Mmes Vallaud-Belkacem & Touraine:

    • D’avoir au moins une position neutre en matière d’IVG,
    • De prendre en compte  comme le demande le Pr Nisand, la « souffrance psychologique » des femmes  et ne plus «banaliser l’IVG »,
    • D’avoir une position responsable et volontariste dans la prévention de l’IVG,
    • D’arrêter de nier les dangers médicaux et psychologiques de l’IVG,
    • De promouvoir des enquêtes médicales sérieuses sur les conséquences de l’IVG.

    Pétition à signer ici.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • François Hollande accueilli à Cherbourg

    Ouest-France évoque quelques petits heurts avec les défenseurs de la famille. Sur son blog, Fikmonskov conteste ces "heurts" et publie quelques photos.

     

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    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La saga Baby Loup : comme un germe de guerre civile

    La crèche associative Baby Loup s’est fait connaître en 2008 après avoir licencié l’une de ses salariées voilée, en raison même du port de son voile. Le 19 mars 2013, la chambre sociale de la Cour de cassation avait jugé le licenciement de l’intéressée comme étant dépourvu de cause réelle sérieuse.

    L’affaire close, on pensait ne plus jamais entendre parler de Baby Loup. Mais voilà que la crèche revient sur le devant de la scène suite au refus de la région Île-de-France de subventionner son déménagement de Chanteloup-les-Vignes à Conflans-Sainte-Honorine.

    À une période où tous nos hommes politiques font du zèle en matière de laïcité, la décision a de quoi surprendre. Quel est donc le motif de ce refus ? Officiellement, la région ne subventionne que les investissements et non les simples financements d’association. Pourtant, si l’on en croit Le Figaro, la région aurait déjà financé la crèche dans le passé. Nous ne sondons pas les reins et les cœurs, mais il se pourrait bien qu’officieusement la cause de ce refus soit plus inquiétante. Dans un texte publié sur le site du Monde, la directrice de l’établissement nous révèle les difficultés qui furent les siennes depuis l’éclatement de l’affaire. Le moins que l’on puisse dire est qu’il y a matière à douter que la France soit encore la France : [...]

    Adrien Abauzit - La suite sur Boulevard Voltaire

     

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-saga-Baby-Loup-comme-un-germe

  • L'incroyable décision de l'UE concernant les allocations familiales...

  • Les verts « niquent Mamère » mais pas seulement – Un parti de moins en moins durable

    Noël Mamère a toujours été gauchiste, ce qui est son droit. Homme des médias, il a pensé que, quant à faire de la politique, la filière verte était la plus durable, politiquement présentable et la plus médiatique aussi. Et cela a été vrai. Analyse de journaliste politique qui s’est avérée fausse sur la durée. Il a sous-estimé les rivalités de personnalités politiques en permanence au bord de la crise de nerf et l’appétit pour le pouvoir des faux révoltés du système. “J’ai décidé de quitter EELV parce que je ne reconnais pas le parti que j’ai représenté à la présidentielle de 2002, explique-t-il. Notre parti ne produit plus rien : il est prisonnier de ses calculs et de ses clans. Nous sommes devenus un syndicat d’élus“.

     

    Remarquable retour de lucidité. Il n’a pas accepté les conditions dans lesquelles le secrétaire national d’EELV, Pascal Durand, a été poussé vers la sortie. Celui qui se voulait être le rassembleur entre les Verts et Europe Ecologie n’aura finalement pas tenu plus d’un an et dénonce aujourd’hui “le nombrilisme” de certains, accaparés par des “enjeux de pouvoirs”. “Les vrais patrons sont ceux qu’on appelle « la firme » : Cécile Duflot et ses amis. Même si elle est une bonne ministre, elle n’a pas lâché la direction des Verts“, accuse le député-maire de Bègles.

    Daniel Cohn-Bendit s’est joint aux critiques du député-maire de Bègles. “Je comprends la décision de Noël Mamère. Je partage le ras-le-bol sur le fonctionnement, le clanisme, les couples terrifiants qui règnent sur Europe Ecologie“, a déclaré sur Europe 1 le député européen, qui a pris ses distances avec le parti depuis longtemps.

    Denis Baupin, vice-président de l’Assemblée nationale n’est pas sur cette ligne. L’incompréhension anime l’élu parisien: « Je respecte beaucoup les combats qu’a menés Noël, mais là, il se trompe de combat. On participe au gouvernement, Noël dit que nos électeurs ne sont pas d’accord, mais dans tous les sondages 90 % assurent qu’ils veulent qu’on reste, qu’on pèse, qu’on ne parte pas en vacances », a-t-il asséné.

    Enfin Mamére n’aura pas de mal a se recaser. Anne Hidalgo, candidate socialiste à la mairie de Paris, a sauté sur l’occasion pour plébisciter l’« ancienne » figure d’EELV. « si Noël Mamère veut venir au PS, les portes lui sont grandes ouvertes », a-t-elle posté. Jean-Luc Mélenchon s’est empressé de twitter « Bienvenue à Noël Mamère au club des sans muselière ! ».

    Club des sans muselières peut-être… mais dans le cas de Mélenchon toujours prêt à mordre c’est peut-être imprudent. Mamère lui aboie depuis longtemps sans montrer vraiment les dents. Il peut cependant changer d’attitudes et il est assez habile dans l’expression et les formules assassines. Duflot devrait se méfier.

    Au ministère du logement de la rue de Varenne, on encaisse les coups. «Franchement, on ne s’attendait pas à une telle salve», glisse un conseiller. De son bureau, Cécile Duflot est-elle toujours aux manettes du parti dont elle a été la patronne? Son pouvoir d’influence est en tout cas réel. Au soir de l’éviction de la ministre de l’Ecologie, Delphine Batho, Duflot avait ainsi convoqué les dirigeants écolos par texto pour définir la marche à suivre. Selon certains cadres verts, l’éviction de Pascal Durand, qui a confirmé qu’il ne briguerait pas un nouveau mandat, est une façon pour la ministre de reprendre la main sur son parti qui se réunira en Congrès en novembre. La ministre serait fatiguée de voir certains critiquer l’alliance gouvernementale entre socialistes et écologistes. Durand n’a pas nommé directement l’ancienne secrétaire nationale mais estime avoir été victime de «cuisine interne».

    D’autres dirigeants écolo légitiment l’influence persistante de Duflot. «Après tout, c’est aussi elle qui a permis à ce parti d’avoir un groupe à l’Assemblée, un groupe dont fait d’ailleurs partie Noël Mamère. Elle est ministre, ce leadership est naturel».

    Mais chez les écolos cela fait longtemps que plus rien vraiment n’est hélas pour eux, naturel.

    Raoul Fougax http://fr.novopress.info

    Source : Metamag.

  • Travailler et consommer le dimanche : pourquoi ? Pour qui ?

    Un nouveau casse-tête pour  François Hollande et Jean-Marc  Ayrault : quatorze magasins de bricolage Castorama et Leroy Merlin  viennent de braver  l’interdiction d’ouvrir le dimanche prononcée  par la justice. Pour  « faire évoluer les choses »,  le Premier ministre réuni aujourd’hui  les  « (huit) ministres concernés » par  le dossier du travail dominical.  Dans les faits, des   groupes de la grande distribution (Décathlon, Galeries Lafayette, Boulanger,  Fnac…)  ont depuis longtemps obtenu là où c’est possible et/où dans les périodes données,   l’accord des salariés désirant travailler le jour du seigneur. Un sujet sur lequel la gauche  et ses représentants gouvernementaux sont incapables de parler d’une seule voix. 

     Les possibilités de travail  du dimanche et de travail de nuit ont  été étendues, sous certaines conditions et dans  certaines zones,    pour la première fois  par la  précédente majorité UMP.   Aussi, Sylvia Pinel (ministre délégué auprès du ministre du redressement productif, chargée de l’artisanat, du commerce et du tourisme)  et Bernard Cazeneuve (ministre délégué au Budget)   ont déclaré que  s’ils étaient opposés à une généralisation, ils  ne sont   pas hostiles à des discussions, comprendre à de nouveaux aménagements et dérogations. Bref à une généralisation qui ne dit pas son nom…

     « Il y a des salariés qui ont envie de travailler dimanche, des gens qui ont envie de faire leurs courses le dimanche » ;  « le précédent gouvernement a laissé s’empiler des règles, des lois, à l’arrivée, on n’y comprend plus grand-chose » ;  «  à l’évidence le statu quo n’est pas tenable » a affirmé hier sur France 5  le  ministre des Affaires sociales Marisol Touraine.

     La veille, Benoît Hamon et Christiane Taubira ont opposé une fin de non-recevoir catégorique  à un assouplissement de la législation sur le travail du dimanche. Une  position voisine de celle du ministre du Travail Michel Sapin, défavorable à toute évolution législative sur le travail dominical et le travail de nuit.

     Rappelons-le, la libéralisation du travail du dimanche -hors  les traditionnels commerces de bouche ouvert en général le dimanche matin-  était une promesse de campagne du candidat Sarkozy en 2007. Une promesse qui déboucha notamment sur la loi portant le nom du député UMP qui en était le rapporteur,  Richard Mallié,  qui ne clarifia pas la situation mais étendit  les ouvertures dominicales  dans les  zones à intérêt touristique et dans les zones urbaines, les périmètres urbains d’usage de consommation exceptionnelle (PUCE).

     A dire vrai, ce sujet est rarement appréhendé sous toutes ses facettes. A priori,  la position de principe du FN consiste à laisser la liberté de choix aux Français.  Une liberté qui ne doit pas être cependant celle du renard dans le poulailler, en ce qu’il s’agit de concilier cette liberté de travail avec les droits des salariés.

     Marine Le Pen  le relevait en janvier 2007,  «les Français  doivent avoir la liberté de travailler mais la contrepartie c’est qu’ils soient bien payés. Moi je veux bien entendre les arguments consistant à évoquer la vie de famille. Mais si la vie de famille c’est se regarder en chien de faïence pour partager un poulet divisé en douze je ne suis pas du tout sûre que ce soit ce que les Français attendent. Laissons dans ce domaine comme dans d’autres, la liberté aux Français ». Mais cette « liberté » notent  aussi Bruno Gollnisch et la présidente du FN,   ne doit pas être  instrumentalisée  par un  lobby  de la  grande distribution  qui sait se faire entendre dans les allées du pouvoir  et qui jouit de complicités au sein de nombreux exécutifs municipaux…

     Beaucoup de spécialistes soulignent que  l’ouverture sept jours sur sept des magasins  ne saurait avoir un impact sur la relance de la consommation, sachant que le salaire des consommateurs reste le même et que la somme d’argent qui est dépensée sur six jours  le  sera désormais simplement sur sept…

     Il est tout aussi  certain qu’une généralisation de l’ouverture le dimanche des grandes enseignes aurait surtout  pour effet de  poursuivre la destruction des dizaines de milliers  emplois dans le petit commerce. Sous le gouvernement du calamiteux Jean-Pierre Raffarin,   Patrick Devedjian, alors ministre  délégué  aux libertés locales (2002-2004)  puis ministre  délégué à l’économie (2004-2005),  avait lancé  une offensive en faveur du travail dominical. Il estimait que l’extension des dérogations  créerait « entre 10 000 et 15 000 emplois ».

      L’Union des professions artisanales, la fédération du commerce CFTC, avaient battu en brèche les arguments avancés,  relevant  que cette généralisation serait surtout catastrophique  pour les  petits commerçants et artisans qui n’ont pas  les moyens d’ouvrir sept jours sur sept, et de fragiliser des employés qui deviendront le dimanche des « volontaires forcés ».

     Commerçants et artisans victimes  des ouvertures illégales, des promotions mirobolantes des hypermarchés. Mais aussi   du « désintérêt d’une grande partie de la classe politique »,  de « l’insécurité juridique dans les banlieues où l’on ne pratique pas la tolérance zéro pour les délits économiques comme les ouvertures illégales le dimanche »…

     Aussi,  derrière les arguments   consistant paraît-il  à offrir « le choix » de leur mode de consommation aux Français, cette  prime offerte aux grandes chaînes  s’apparente  à une attaque en règle  contre les travailleurs indépendants, les  commerçants et artisans. Une offensive   d’autant plus illégitime  que les commerces de proximité, au-delà du rôle économique qui est le leur,  contribuent  notamment à maintenir de la vie, des échanges, une animation dans les villages comme dans les quartiers des grandes villes.

     Il y a quatre ans, le conseiller  régional FN de l’Isère, Maurice Faurobert avait apporté son soutien aux employés du magasin  Casino à Vézeronce contre le travail dominical.  « Mon dimanche c’est aussi ma famille, mon repos, ma liberté de vivre pour autre chose que pour l’utopie mercantile du toujours plus ! ».

    Marine Le Pen dénonçait ce matin sur France bleue  les comportements de prédateurs de la grande distribution,   cette  « idéologie ultra libérale » à  laquelle s’est ralliée également le PS  qui entend faire de nous « en tout temps en toute circonstance et en tout lieu »,  « des producteurs  et des consommateurs ».

    Soulignons que si le droit européen qui s’impose en France  prévoit un jour de repos hebdomadaire,  le dimanche n’est pas spécifiquement désigné comme étant ce jour  chômé. Cela n’a pas échappé  à Pierre Blanc, auteur il ya dix ans  d’un rapport favorable à l’ouverture des magasins le dimanche,  avec  le  soutien de la Chambre de commerce de Paris et de M Devedjian. Il expliquait que  « la légitimité du repos dominical se base sur la tradition chrétienne. Or pour les musulmans, c’est le vendredi et pour les juifs, le samedi. Pourquoi ne pas laisser le choix au commerçant ? »…

    On l’aura compris relevait Bruno Gollnisch,    au-delà de toute considération matérielle, c’est le symbole même du dimanche, sa résonance au sein de notre civilisation,  qui est menacé.   Encore un verrou à faire sauter pour les  personnes qui voient dans les traditions, les us et coutumes français, un frein insupportable à l’avènement  d’une société où les individus seraient réduits au simple rôle de consommateur déraciné et interchangeable.

    http://www.gollnisch.com/2013/09/30/travailler-consommer-dimanche/

  • Le milliardaire homosexualiste favorable à la commercialisation du ventre des femmes attaque Le Salon Beige !

    Pierre Bergé attaque Le Salon Beige

    " Nous avons reçu le courrier ci-dessous de l’avocat de Pierre Bergé.

    Après consultation de notre avocat, nous maintenons que ce post n’a rien de juridiquement répréhensible.

    Par conséquent, nous refusons de retirer cet article malgré les menaces contenues dans ce courrier. Si problème il y a, il est de nature idéologique et nous assumons sans difficulté le fait de ne pas partager l’idéologie de M. Bergé. En attendant des questions plus circonstanciées, nous ne commenterons pas davantage cette affaire (raison pour laquelle - à notre grand regret - nous avons dû bloquer aussi les commentaires à cet article), mais nous nous tenons à disposition de M. Bergé pour poursuivre cette conversation devant les tribunaux. J’ajoute qu’ayant appris à lire les maîtres à penser des soixante-huitards, je considère, comme le peu regretté Président Mao, qu’ "être attaqué par l’ennemi est une bonne et non une mauvaise chose".

    Cela étant, être attaqué exige aussi de préparer la défense et la riposte : j’ai tout lieu de penser que le Salon Beige a atteint une notoriété qui inquiète la nomenklatura. C’est une excellente nouvelle, mais cela exige aussi de nous d’être prêts à répondre aux attaques et surtout cela exige de développer notre site pour qu’il gêne encore davantage ladite nomenklatura - et prépare la renaissance de la France catholique. Pour cela, je vous propose trois actions :

    1) Tout d’abord, chacun des lecteurs pourrait réciter une neuvaine à Marie, Reine de France, du 4 au 13 octobre - date à laquelle le Pape consacrera à nouveau le monde au Coeur immaculé de la Sainte Vierge. Nous avons vu dans l’affaire syrienne à quel point le jeûne et la prière pouvaient être efficaces. Pourquoi ne pas intensifier l’usage des "armes de re-construction massives" ?!

    2) Ensuite, chacun d’entre nous pourrait signaler à une personne de sa connaissance l’existence du Salon Beige. Si nous agaçons quand nous sommes un million de visiteurs, on peut subodorer que nous serons plus "agaçants" à deux millions ! [...]"

    La suite sur Le Salon Beige

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-milliardaire-homosexualiste