Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 985

  • Liberté pour un militant Beaunois d'AF !!

     

    Côte d'Or : de la prison ferme requise contre un opposant au mariage homo

    France 3 Bourgogne

    Le ministère public avait requis quatre mois d'emprisonnement, dont deux avec sursis, contre un Côte d'Orien de 20 ans. Il était jugé mercredi 10 juillet 2013 à Paris pour violences volontaires contre des policiers en marge d'une manifestation contre le mariage pour tous le 26 mai dernier.

    Une bouteille jetée en direction des policiers

    Jusqu'ici, un seul manifestant a été condamné à de la prison ferme avec mandat de dépôt. Condamné à une simple amende en appel, Nicolas Buss a été libéré mardi 9 juillet après presque trois semaines de détention.

    Selon les éléments de l'enquête cités mercredi 10 juillet devant le tribunal correctionnel de Paris, un jeune Bourguignon, masqué d'un foulard, aurait jeté une bouteille en direction des forces de police qui cherchaient à disperser les quelques centaines de manifestants refusant de quitter l'esplanade des Invalides.

    "Un mouvement de masse"

    Interrogé par la présidente, Isabelle Pulver, le jeune homme a nié en bloc. "Je n'ai jamais jeté d'objet", a déclaré le jeune élève d'une institution militaire, contestant les allégations de l'officier de police qui l'a interpellé.

    Pour justifier sa présence, ce soir-là, bien après l'ordre de dispersion, il a dit être resté "par curiosité". "Il y a eu un mouvement de masse, je m'y suis mêlé", a raconté le jeune homme au regard résolu, originaire de Beaune en Côte d'Or, qui comparaissait mercredi en même temps que sept autres manifestants interpellés le 26 mai.

    "Vous avez aujourd'hui à juger, non pas des manifestants qui venaient pour manifester", mais "ceux qui ont voulu en découdre avec les forces de l'ordre", a dit le procureur dans son réquisitoire qui a dénoncé des "faits d'une gravité certaine".

    "Pas un jour de prison en mai 68"

    "Je suis peiné par vos réquisitions", lui a répondu l'avocat du jeune homme, Me Jacques Trémolet-de Villers, qui a dressé un parallèle entre les manifestations contre le mariage pour tous et celles de mai 68. A cette époque, "j'ai vu de vraies manifestations. Il n'y avait plus un pavé à Saint-Michel. Je n'ai pas vu une poursuite, pas un jour de prison", a dit le conseil.

    "Quatre mois de prison ! Ce n'est pas sérieux", a-t-il ajouté, affirmant qu'il n'y avait aucune certitude concernant les faits reprochés à son client. "Depuis un mois, comparaissent devant vos tribunaux des jeunes gens qui n'ont rien à faire ici", a-t-il conclu.

    Le tribunal s'est montré clément

    Le tribunal correctionnel de Paris a fait preuve de clémence au terme d'une audience marathon de onze heures. Il a prononcé deux relaxes et six peines d'amende à l'encontre des jeunes gens.

    Les trois juges se sont situés, dans tous les cas, bien en-deçà des réquisitions du ministère public, qui avait ainsi requis des peines d'emprisonnement pour les huit prévenus, avec de la prison ferme pour sept d'entre eux (2 mois pour 6 et 4 mois pour un).

    "Il n'y a pas de volonté de voir ces personnes incarcérées. Il y a la volonté de délivrer un message", a expliqué, lors de ses réquisitions, le vice-procureur de la République, Abdel Mahi. Six des huit prévenus ont été condamnés chacun à une amende de 300 euros.
  • Répression politique : un délégué du Procureur d'Angoulême démissionne

    Communiqué de La Manif pour Tous :

    "Depuis plusieurs mois, les sympathisants de La Manif pour Tous font l'objet d'un nombre spectaculaire d'arrestation et de garde à vue alors qu'aucune atteinte aux biens ou aux personnes n'ont été recensé. Environ 1000 arrestations pour plus de 500 gardes à vue et 1 seule condamnation - qui vient d'être annulée -, c'est le décompte actuel et qui continue encore avec les Veilleurs.

    L'emprisonnement immédiat de Nicolas Bernard-Buss 23 jours à Fleury-Merogis avait suscité une vive émotion par l'utilisation du mandat de dépôt à caractère pourtant exceptionnel. Son procès, qui s'est déroulé hier, a confirmé l'absurdité de la peine car aucune des charges qui l'ont mené en prison n'ont été retenues.

    « La Cour d'Appel de Paris a examiné les faits reprochés à Nicolas avec une sérénité qui avait sans doute fait défaut à l'occasion de son passage en comparution immédiate. », a déclaré La Manif pour Tous dans un communiqué à l'issue du procès.

    Dans ce contexte, François Méhaud, expose dans une lettre au Procureur pourquoi, en conscience, il ne peut continuer à assumer les missions qui lui sont confiées par un système qui semble cautionner le « délit d'opinion ».

    « Allant jusqu’à interdire aux citoyens d’exercer librement leur devoir de conscience face à ce qu’ils considèrent comme étant une loi injuste et mensongère, la situation actuelle est particulièrement délétère et mène à considérer que l’on sanctionne un délit d’opinion. Cela n’est pas concevable dans une démocratie. », affirme-t-il. Concernant le jeune Nicolas Bernard-Buss, François Mehaud déclare : « Je suis intimement persuadé que dans cette affaire, le parquet n’a pas fait preuve d’indépendance d’esprit, mais a suivi des instructions à visées politiques et idéologiques, données par la chancellerie. »

    Une décision mûrement réfléchie qui prend en compte les imperfections d'un système, qui peut cependant faire vivre certaines valeurs comme l'objectivité, l'impartialité et la mesure.

    « Je reconnais la nécessité de consignes générales pour une application efficace de la politique pénale. Ces consignes ne doivent toutefois pas interférer, et encore moins de manière partisane, sur les facultés d’appréciation des magistrats fussent-ils du Parquet. » assure-t-il."
  • La possession d'un objet estampillé LMPT constitue une "incitation à l'émeute". Sic

    Témoignage de ce matin :

    "Ce matin sur les champs, au niveau du Grand Palais. Après avoir sifflé Hollande, je remets mon drapeau rose dans mon sac. Jusque là, tout va bien! Vers 11h00, le défilé a commencé. Une dame à coté de moi a un coup de chaud et tombe dans les pommes. Je me porte à son aide, la recule afin qu'elle ait un peu d'air, ce qui lui permet de retrouver rapidement ses esprits. Je propose alors de lui donner de l'eau que j'ai dans mon sac. C'est alors qu'une policière (en civil) aperçoit le fameux drapeau dans mon sac et commence à me l'arracher. Très surpris par cette reaction totalement inappropriée, je m'indigne de plus en plus vivement à mesure que la réaction policière se fait plus coercitive. Je suis emmené sans beaucoup de ménagement par trois ou quatre agents vers le commissariat du 8e tout proche pour un contrôle d'identité qui durera près d'une heure, le policier ayant manifestement des difficultés à écrire rapidement sa main courante. Si je suis inquiet pour mes deux enfants qui sont restés seuls à regarder le défilé et n'ont rien vu de la scène, ça me laisse du temps pour discuter avec les deux agents qui sont successivement chargés de me surveiller. J'apprends que les consignes sont strictes et que la psychose est prégnante. La possession d'un objet estampillé LMPT constitue une "incitation à l'émeute". Mon refus d'obtempérer immédiatement à la police qui me demande de lâcher mon drapeau justifie la vivacité de l'interpellation, mon opposition à ce qu'on m'arrache mes affaires des mains aurait pu me valoir une GAV pour rébellion, mes indignations, il est vrai ponctuées une fois des termes "répression policière" et "dictature socialiste" relèveraient d'outrage à agents, etc. A un moment, quelqu'un entre dans le commissariat et s'inquiète de la présence d'un OVNI au dessus de l'Elysée. 5 min plus tard, un collègue annonce tout sourire : "Ils ont réussi! Ce sont des ballons avec une banderole..." Bravo au Printemps Francais, honte à la dictature socialiste, et vive la France !

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Ils commencent à avoir des états d'âme ... Il serait temps !

    Mariage gay : le « malaise grandissant » des commissaires face à la répression

    INFO LE FIGARO - Dans le journal interne du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), des hauts fonctionnaires font part de leur refus d’être « une police d’opinion » face aux manifestants anti-mariage gay.

    Il y a quelques jours, les CRS s’indignaient, dans un tract du syndicat Alliance, de leur mission « ridicule » contre les « veilleurs debout ». Aujourd’hui, c’est chez les commissaires de police que la colère gronde. Dans le dernier numéro de la Tribune du commissaire, deux des trois « tribunes libres » sont consacrées au « malaise grandissant » de l’institution policière face à la répression des manifestations anti-mariage gay.« Du jamais vu ! », commente un membre de ce syndicat, qui représente 60 % des commissaires, et qui a toujours été très légitimiste. « Cela montre l’ampleur du mécontentement ».

    Signé « un collectif de commissaires de police », le premier article évoque « une vidéo ayant circulé sur Internet », « qui montre deux de nos collègues remettant en liberté des personnes portant un vêtement assorti du logo d’une association engagée dans un débat de société, après un simple contrôle d’identité ». « S’il apparaissait que des instructions ont été données à toute la chaîne hiérarchique policière d’interpeller des personnes sur ce seul motif, soulignent les auteurs, les commissaires de police qui ont décidé de les élargir honorent le Corps de Conception et de Direction ». Et de conclure : « il était temps de prouver que notre Institution n’est pas une police d’opinion ».

    Le deuxième texte - une tribune « poignante », juge le secrétaire général du SCPN, Emmanuel Roux - est une lettre d’« un commissaire de police attentif à l’actualité » à un « cher collègue ». Vraisemblablement pied-noir, il lui parle de sa grand-mère, Eugénie, qui « aimait beaucoup la France, bien qu’elle n’y soit jamais allée avant que le sens tragique de l’Histoire ne la contraigne (…) à quitter pour toujours notre terre natale il y a 51 ans ». Un jour, raconte-t-il, « elle commit l’acte fou de brandir un drapeau français à sa fenêtre ». Des uniformes « déboulèrent », « défoncèrent sa porte », à la recherche du drapeau.

    Un commissaire de police

    Aujourd’hui, le petit-fils d’Eugénie est commissaire divisionnaire. « Depuis plusieurs mois, le pays gronde, poursuit-il. Je vois des uniformes, de jeunes manifestants que l’on colle contre le mur. J’en ai vu qui tombaient, d’autres que l’on conduisait vers des fourgons, le regard perdu mais fier ». Avant d’asséner : « Je ne serai jamais l’un de ces officiers. J’aime trop ma grand-mère ».

    Emmanuel Roux admet avoir hésité avant de publier ces « collègues qui parlent avec leur tripes ». Mais il a reçu plusieurs appels dans le même sens, et a voulu jouer son « rôle de syndicat, lieu de parole ». « Je n’ai pas eu connaissance de pratiques policières qui auraient été différenciées selon les manifestants, tempère-t-il. Mais l’ordre public, c’est une alchimie complexe… »

    Au sein du SCPN, on affirme toutefois que « beaucoup ne se reconnaissent absolument pas dans les méthodes appliquées ». « C’est pas qu’on soit pro ou anti mariage gay, témoigne un commissaire signataire du premier article. On est simplement choqués. On voit une distorsion énorme entre ce qui se passe avec les voyous récidivistes et des gamins pacifiques qu’on met en garde-à-vue simplement parce qu’ils portent un tee-shirt ! Parfois, il faut avoir la force de dire « non ». Notre message, c’est que l’on refuse d’être une police politique, quel que soit le pouvoir ».

    Le Figaro  http://www.actionfrancaise.net

  • Le DAL installe des Roms dans la maison d’une octogénaire

     

    Le DAL installe des Roms dans la maison d’une octogénaire

    BORDEAUX (NOVOpress) – Après une intervention chirurgicale Odette Lagrenaudie, 84 ans, était partie se reposer chez son fils. Mardi dernier à son retour à Bordeaux, elle a trouvé sa maison occupée par des roms, logés là par le groupuscule d’extrême-gauche fondé par l’activiste maoïste Jean-Baptiste Eyraud.

    Le DAL avait fait changer les serrures de la maison qu’elle occupait depuis 55 ans. “Ca me rend malade de me dire qu’ils dorment dans mon lit” a-t-elle confié à notre confrère Sud-Ouest. En attendant elle est obligée de louer une chambre dans un hôtel.

     

    Il lui faut entamer une procédure d’expulsion des roms. Son avocat contacté par lefigaro.fr a déclaré «Cette brave femme se retrouve expulsée de son propre immeuble, avec une retraite de 900 euros par mois». L’assignation en justice pourrait coûter 1000 euros à sa cliente en frais d’huissier.  En outre il lui faudra “régler les factures d’eau et d’électricité.” Et rien n’assure que l’expulsion des squatters soit vite prononcée.

    http://fr.novopress.info/

  • France, la patrie du 2 poids, 2 mesures

     

    France, la patrie du 2 poids, 2 mesures
    Nombreux sont les Français qui s’indignent des scandales politiques à répétition, qu’ils se passent au sommet de l’État – de Stauss-Kahn à Cahuzac, de Woerth à Sarkozy, de Lagarde à Tapie – ou en région comme dans les Bouches-du-Rhone – d’Andrieux à Guérini, de Ciot à Medvedowsky – ou bien encore des médiocres crises d’ego au sein des partis de gouvernement : présidence de l’UMP, à droite ; limogeage de la Ministre Delphine Batho pour insurbordination budgétaire, à gauche.

    La cadence d’apparition sur la scène publique des affaires, scandales et autres joyeusetés judiciaires et/ou morales semble s’accélérer depuis l’élection de François Hollande à la Présidence de la Répu­blique… Sans compter les anciennes enquêtes toujours en cours, comme celle des rétrocommissions sur les ventes par la France de frégates à l’Arabie Saoudite et de sous-marins au Pakistan…

    Car une affaire médiatique en chassant une autre, constatons que chacune d’elle, après avoir défrayé la chronique et embarrassé plus ou moins longuement son ou ses protagoniste(s), aboutit rarement aux condamnations attendues…

    Il a suffit, outre-Alantique, à l’inculpé de viol Dominique Strauss-Kahn de payer pour que cessent les poursuites à son encontre… et en France, au même inculpé – cette fois pour des parties fines avec professionnelles rémunérées – de ne même pas attendre que soit prononcé le non-lieu requis par le Parquet de Lille, pour se rendre à une invitation à prendre la parole au Sénat.

    Tout comme sont également attendus les non-lieux en l’absence de charges requis par le parquet de Bordeaux dans l’affaire Betten­court, en faveur cette fois de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, de l’ex-ministre Éric Woerth, ainsi que de l’homme d’affaires Stéphane Courbit et de l’avocat Pascal Wilhelm…

    Quant à Jérôme Cahuzac, lui, rappelons qu’il n’est finalement mis en examen que pour blanchiment de fraude fiscale, mais comme il n’a pas menti à ce propos devant les juges chargés de la procédure, il risque tout au plus une amende, alors que pour son crime le plus grave – avoir ridiculisé par son mensonge les élus de la Nation alors qu’il occupait le poste prestigieux de Ministre du Budget, donc d’avoir bafoué une des plus hautes institutions de la République – aucune sanction n’est prévue.

    Et dans le même temps, sont jetés en prison des gosses à peine majeur, tel Nicolas de la Manif pour tous, coupable d’avoir manifesté contre François Hollande et refusé de se soumettre à un test de salive… ou Esteban, agressé avec sa compagne comme cela ne fait désormais plus aucun doute, par une bande de nervis gauchistes et dont le seul tord, pour s’être défendu, est d’avoir donné un coup de poing mortel dans la confusion de la bagarre…

    Et dans le même temps encore, la classe politique européenne vient de lever l’immunitée parlementaire de Marine Le Pen pour sa décla­ration comparant les prières de rues des islamistes en France à l’occupation allemande…

    Que craint-on ? Que des Français en arrivent à considérer que les défilés au pas de l’oie de la Whermacht étaient somme toute moins dérangeants – et peut-être plus esthétiques aussi – que les culs en l’air des barbus fanatiques au milieu des chaussées de leur pays ?

    Horresco referens ! Il serait à l’évidence citoyennement inadmissible que les avis soient de plus en plus partagés sur la question… plus de soixante-dix ans plus tard !

    Il est en ravanche moralement admissible que le Sénat français refuse, de son côté, la levée de l’immunité parlementaire de Serge Dassault dans le cadre d’une enquête sur une affaire d’achats de voix et une autre de tentatives d’homicides qui pourraient être liées.

    Tout un chacun peut ainsi juger de la gravité du crime de madame Le Pen, à l’évidence sans commune mesure avec les soupçons de facéties politiciennes pesant sur l’ancien maire de Corbeil-Essonnes… du moins pour la Justice française.

    L’indignation populaire va-t-elle rester indéfiniment un tonneau des Danaïdes que rien, ni personne, ne pourra décidément jamais fait déborder ou sommes-nous, tout de même, à la veille d’un bouleversement… à force de le craindre… ou de le souhaiter… suivant que l’on soit puissant élu ou misérable citoyen !
    Philippe Randa http://www.voxnr.com/
  • Pierre Hillard décortique les rouages du Nouvel Ordre Mondial

  • À Brétigny, la racaille caillasse le Samu et détrousse des sauveteurs

    Environ une heure après la catastrophe ferroviaire de Brétigny, des heurts ont eu lieu autour de la gare de Brétigny-sur-Orge, entre les forces de l'ordre et des racailles qui tentaient de passer le périmètre de sécurité mis en place après l'accident. Des membres du Samu ont même été caillassés et des victimes dépouillées.
    Ce samedi matin, en bon socialiste immigrationniste, le ministre des Transports a néanmoins osé minimiser les incidents, évoquant des «actes isolés», «une personne interpellée», «une tentative de vol de portable» au préjudice d'un secouriste, de «pompiers qui, par petits groupes, ont été accueillis de façon un peu rude». Mais de «véritables actes commis en bande, non», affirme-t-il. Ben voyons ! Le nez dedans, ce type-là dira encore que ça sent la rose !
    Vendredi vers 18h30, alors que les secours se déployaient en masse autour de la gare, près de 200 curieux avaient pris place autour du périmètre de sécurité établi par les forces de l’ordre. Une mesure de précaution destinée notamment à permettre aux huit hélicoptères des secours de se poser.
    Rapidement, une cinquantaine de racailles s’en sont pris à la police, tentant de forcer le barrage mis en place. Des Compagnies Républicaines de Sécurité sont alors intervenues, pour repousser d’une centaine de mètres le périmètre de sécurité.
    C’est à ce moment-là que des heurts ont eu lieu avec une partie des racailles, dont certains ont commencé à caillasser plusieurs véhicules du Samu qui n’avaient pas pu prendre place à l’intérieur du périmètre.
    Un secouriste s’est ainsi également fait voler son téléphone portable. Certaines sources policières affirment que des victimes de l’accident et une journaliste ont été elles aussi, dépouillées de leurs sacs à main ou téléphones.
    Les policiers ont procédé à uniquement six interpellations, dont deux seulement se sont soldées par une garde à vue. Les juges si sévères avec le jeune Nicolas vont-ils maintenant les faire relâcher ?
    Vers 19h30, repoussés par les CRS, curieux et racailles ont déserté la zone.
    Avec le Parisien http://www.francepresseinfos.com/

  • Le totalitarisme laïcard de Maître Collard !

    Lors d’un discours aussi peu médiatisé que rudement proclamé il y a déjà quelques semaines devant la commission des lois de l’Assemblée nationale, le député du Gard et secrétaire général du Rassemblement Bleu Marine, Gilbert Collard, s’est prononcé pour l’interdiction de tout signe religieux dans l’espace public :

    « Il faut interdire toute forme de manifestation religieuse […] peu importe la religion », a-t-il déclaré. Et de poursuivre, en prenant les exemples des « cornettes » (coiffe de tissu blanc portée par les religieuses chrétiennes), des « voiles » et des « croix » : « Il faut pacifier ce pays, et le seul moyen, c’est qu’on dise aux cornettes de ne plus apparaître, au voile de ne plus se montrer, aux croix de ne plus s’exhiber, de façon que l’on puisse vivre dans un pays pacifié. »

    Maître Collard est-il tombé sur la tête ? On ne sait ! En tout cas, le jeudi 6 juin 2013, il récidive au cours d’un débat à l’Assemblée en prêchant pour une laïcité plus radicale. Il parle de la fameuse « neutralité religieuse » qui, selon lui, doit s’exercer dans les « lieux publics et les lieux privés ». Est-ce un gag ? Non, il s’agit certainement d’un écart de langage car, sinon, cela reviendrait à proscrire la pratique de la religion en dehors des lieux de culte. Une nouvelle charia laïque ! [...]

    Arnaud Guyot-Jeannin - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Discrimination positive et « diversité » : le double racisme

    Au Brésil, une disposition législative récente oblige les universités à surévaluer de 5% les notes des Noirs et des Métis, au détriment des Blancs.  Aux USA, des pratiques semblables existent depuis longtemps dans les quotas universitaires, de plus en plus contestés d’ailleurs.

    Sous des prétextes ”sociaux”, la discrimination positive (affirmative action), notion née aux Etats-Unis, est en réalité un concept éminemment racial et raciste, dans les deux sens : qui considère implicitement les non-Blancs comme des êtres inférieurs, des handicapés mentaux qu’il faut aider artificiellement (sous le faux prétexte qu’ils sont socialement défavorisés) ; et qui discrimine objectivement les Blancs. Double racisme. Inventé par des Blancs culpabilisés, ethnomasochistes et inconscients de leurs contradictions.

    En France, pays où officiellement les ”races ” n’existent pas et où prévaut strictement la logique individualiste des Droits de l’Homme, la notion hypocrite de « diversité » sert  de faux nez  à la discrimination positive à caractère ethno-racial. Par une série de contrats et de règlements, les entreprises et les administrations sont, pour les postes pas ou moyennement qualifiés, tenues d’embaucher en priorité des postulants issus de l’immigration extra-européenne. Au détriment des Européens de souche, même plus compétents. C’est notamment le cas de la grande distribution.     

    Contrairement à ce qu’on prétend (théorie stupide de l’”exclusion”), une jeune Blanche ou un jeune Blanc sont actuellement défavorisés par cette préférence allogène à l’embauche. Ce qui limite un peu mais n’empêche pas le chômage supérieur des ”jeunes issus de l’immigration”, puisque ces derniers sont, disons-le par euphémisme, moins portés que d’autres à l’effort de décrocher un emploi et statistiquement moins compétents.

    Cette politique de la diversité et de l’égalité (ou préférence ethnique allogène), qui vaut aussi pour les emplois aidés, a donc pour objectif dissimulé de limiter le chômage de cette population au détriment des autochtones. Mais, d’un point de vue juridique, cette discrimination positive est anticonstitutionnelle, tout comme d’ailleurs les lois sur la parité hommes/femmes dans tous les domaines. (Je reviens sur ce point dans un autre article).  En effet, l’idéologie égalitaire et droit-de-l’hommiste est là en pleine contradiction avec ses principes. Ces derniers postulaient que seuls comptent, dans la méritocratie et l’égalité des chances, les individus et non pas les appartenances ethniques ou les sexes. Les quotas ou les privilèges en fonction de catégories ethniques ou sexuelles sont à la fois racistes et sexistes. La cible étant le mâle blanc qui est, paradoxe du masochisme, le premier instigateur de ces nouvelles règles absurdes.

    Mais cette politique mènera à l’impasse car on ne force pas la nature.  Refuser l’égalité des chances au profit de l’égalité des résultats, en fonction de quotas ethniques et sexuels, c’est enfoncer le niveau global de compétence d’une société, c’est truquer la sélection naturelle. Et c’est voué à l’échec : car, au final, les meilleurs gagnent.  Ou s’en vont voir ailleurs…

    http://www.gfaye.com