
Guillaume de Thieulloy et Paul-Marie Coüteaux l’annoncent dans l’éditorial du n°14, où l’on peut notamment lire cette conclusion:
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Guillaume de Thieulloy et Paul-Marie Coüteaux l’annoncent dans l’éditorial du n°14, où l’on peut notamment lire cette conclusion:
Dans les années 60, d’étranges recrues font leur apparition au sein de l’armée américaine, dans le secret le plus absolu : orques, otaries, globicéphales, bélugas et dauphins deviennent malgré eux les membres d’un bataillon très spécial de la puissante marine militaire américaine. Pendant ce temps, l’armée russe développe également un programme scientifique pour étudier les mammifères marins et les transformer en véritables machines de guerre.
Nous vous proposons aujourd’hui le cinquième chapitre de La politique naturelle, ce texte incontournable pour les royalistes d’Action française. Néanmoins, la question étant largement développée, nous la diffuserons en deux fois…
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Par Charles Maurras
À peu près du même âge que notre Révolution, la grande industrie avait apporté, en naissant, un énorme contingent de biens nouveaux, mais aussi un déséquilibre qui n’a pas été vu tout de suite.
Les capitaines d’industrie qui présidèrent à l’essor sans précédent de toute l’immense machinerie que renouvelait la vapeur, étaient de bons esprits, hardis et pratiques ; le fait est qu’ils n’ont pas senti quel renouvellement moral devait accompagner le changement matériel obtenu. On dit qu’ils étaient sans entrailles. Ils avaient des entrailles comme vous et moi. L’explication doit être ailleurs.
Les folkloristes Anatole Le Braz, Arnold Van Gennep et Bernard Rio font état dans leurs différents ouvrages de croyances relatives à la mort qui étaient encore très vivaces en Bretagne avant la Seconde Guerre mondiale.
Selon ces croyances, la vie terrestre n’est qu’un passage entre une vie éternelle antérieure et une vie éternelle ultérieure. La conséquence est une absence de séparation entre morts et vivants qui voisinent, au sein de deux sociétés impénétrables mais organisées de façon semblable.
1945 : La fin de la Seconde Guerre mondiale laisse place à un chaos où un nouvel ordre mondial se dessine. Au-delà des terrains militaires et économiques, une nouvelle guerre se prépare : l’Amérique de Truman et d’Eisenhower s’empare de l’arme culturelle à des fins de guerre idéologique contre l’URSS.
Notre récent article sur la dette d’Haïti et les commentaires qui ont suivi sont la triste illustration d’une incroyable dérive de nombreux pays en faillite permanente : la victimisation explicative.
En Algérie, si une conduite de gaz explose, faute d’entretien, dans une rue de Béjaïa, il y aura toujours un responsable local pour affirmer que « c’est la faute de la France ». Ou mieux : « c’est la faute de la France et d’Israël« , un peu de suivisme pro-palestinien et de jalousie maladive envers un état qui a réussi peut toujours rapporter localement quelques sympathies islamistes.
En 1933, Staline lance un plan brutal pour « purifier » Moscou et Leningrad de leurs « éléments socialement nuisibles ». « L’île aux cannibales » est un documentaire qui dévoile l’histoire méconnue de 6 000 déportés envoyés sur une île isolée au cœur d’un fleuve sibérien. Sans provisions ni outils, ces malheureux ont enduré l’horreur de la famine, ce qui les a conduits à des actes de cannibalisme pour survivre. Ce reportage plonge dans l’un des épisodes les plus sombres de l’ère stalinienne.
2006-2024 : Synthèse nationale a 18 ans…
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.
Cette année a été une année importante pour Synthèse nationale… Année im-portante car notre revue a fêté ses 18 ans. C’est en effet en 2006, au mois de mai, que nous avons créé le site d’information quotidien, et au mois de novembre, qu’a paru le premier numéro de la revue Synthèse nationale. Le lancement avait été mûrement réfléchi par le petit groupe de militants et de cadres que nous étions alors (et que nous sommes toujours), durant les mois précédents, à l’occasion de plusieurs réunions, en Bourgogne et en Bretagne.