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  • Zoom – Alain Sanders : Le hussard fonce dans le tas

    Journaliste, grand reporter et écrivain, Alain Sanders est une des figures les plus connues et les plus appréciées de la droite nationale. Quittant quelques instants sa mission au sein du quotidien Présent, il publie un succulent roman policier. On nage dans le Paris d’Audiard et de Nimier, on pense à Holeindre ou aux grands auteurs de romans policiers : A.D.G, Peter Randa ou Guy des Cars. Bref, c’est le roman de vos vacances…

     https://www.tvlibertes.com/2018/07/10/24162/alain-sanders-hussard-fonce-tas

  • Le populisme alimentaire ne passera pas !

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    Ô rage, ô désespoir, l’équivalent de dix millions de bouteilles de rosé espagnol auraient été maquillées en vin français ! Des cellules de soutien gastro-entérologique vont-elles être mises en place dans les campings ? Des médecins seront-ils réquisitionnés sur leurs lieux de vacances ? Parce que c’est bien connu, dès que l’on franchit les frontières de l’Hexagone, toute la production alimentaire est ignoble. Le gruyère suisse ? Beurk… Le pata negra espagnol ou le bœuf argentin ? Pouah… Les bières trappistes belges ? À vomir… L’huile d’olive italienne ? À peine bonne à vidanger le tracteur… Et le bon rhum, il n’y a que nos Antilles à nous qui savent en faire !

    D’accord, tromper le consommateur sur l’origine du produit, c’est très vilain et mérite châtiment ; mais moi, je croyais que les frontières, les discriminations, les hiérarchies, tout ça… c’était à jeter aux poubelles de l’Histoire. Qu’il était révolu, le temps lointain où mon professeur de géographie ne voulait connaître de melons que de Cavaillon, de tomates que de Marmande et de raisins que de Moissac (ce à quoi le rigolo de la classe ajoutait à mi-voix « et de Béziers de violentes envies ») !

    Alors, toute cette histoire pour un coup de rosé espagnol… D’autant qu’avec la France de Macron, l’Espagne est le dernier pays à feindre de croire en une Union européenne vierge de chauvins nauséabonds et de salopards populistes nostalgiques des heures les plus sombres. C’est la pente savonneuse : depuis des semaines, on admet le nationalisme footballistique, aujourd’hui, on se dresse contre le vin étranger, et demain, ce sera quoi ? Le refus des migrants, peut-être ?

    Et puis, honnêtement, en matière de tromperie sur la marchandise, il y des décennies qu’on n’a plus besoin de vaseline. Avec une Éducation nationale qui fait plus de conformation que de formation, de purs militants planqués sous des robes de magistrat et des grands médias qui lavent les cerveaux plus qu’ils ne les informent ou les éclairent… ce ne sont pas quelques hectos de picrate qui nous intoxiqueront le plus. Et s’il n’y avait que les vins qui se maquillent en « français », ce ne serait pas trop inquiétant…

    Richard Hanlet

    http://www.bvoltaire.fr/le-populisme-alimentaire-ne-passera-pas/

  • Placer l’enfant au centre de nos discours est une nécessité pour combattre la gauche morale – Cyril Raul (Les Identitaires)

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    On se souvient des terribles photographies du corps d’Aylan étendu sur une plage. On se rappelle des réactions scandalisées aux positions de Marine Le Pen sur l’école gratuite pour les enfants de clandestins. On a vu, il y a quelques jours, la campagne médiatique dirigée contre Donald Trump accusé de séparer les enfants d’immigrés illégaux de leurs parents à la frontière avec le Mexique. Campagne durant laquelle les médias mainstream américains ont procédé à des manipulations grossières notamment en couverture du prestigieux Times.

    Tous ces faits ont été savamment relayés par une gauche pro-migrants dont la mort idéologique ne fait plus de doute. Une gauche zombie à qui il ne reste plus que le pathos comme arme politique. Et quoi de mieux que le sujet des enfants pour émouvoir l’opinion et tenter de la faire basculer ? Une posture efficace puisqu’elle fait appel aux sentiments : le recours au pathos a la force de transformer une idée bancale et mortifère en argument quasi-infaillible dans une époque où l’image et l’émotion guident bien souvent les opinions.

    Naturellement, il ne s’agit ici que d’une posture. Cette gauche qui se pose en défenseur des enfants ne défend en vérité froidement que ceux susceptibles de servir sa cause et lui permettre d’alimenter son idéologie sans-frontiériste, pourtant massivement rejetée par les peuples européens.

    Car cette même gauche médiatique néglige complètement d’autres enfants : les nôtres. Elle nie l’existence du racisme anti-blanc ou, a minima, le relativise ou le minimise. Elle défend la discrimination positive. Elle méprise la France périphérique blanche qu’elle laisse volontiers dépérir. Elle encourage la submersion migratoire en cours qui ne peut mener que vers le chaos.

    Toutes ces positions ne ciblent pas que les « mâles blancs de plus de 50 ans ». Elles visent d’abord les gamins « de souche », qui seront les premiers concernés par cette France de demain que le gouvernement Macron leur prépare : celui de la discrimination sur le marché de l’emploi, celui de la violence anti-française justifiée et (donc) excusée à leur encontre, celui de la relégation des territoires de la France périphérique (qui perd ses écoles, ses médecins, ses hôpitaux) au profit des zones REP+. Désavantagés sur le marché de l’emploi, attaqués pour leur couleur de peau, vivotant dans des territoires abandonnés… Ce sont d’abord les gamins français d’aujourd’hui qui paieront le prix politique de la repentance, de la haine de soi et de la négation du racisme-blancs.

    Sur le temps long, avec la submersion migratoire en cours, l’islamisation, le développement massif de « cités » en France (plus une seule ville moyenne sans son « quartier sensible » immigré), c’est potentiellement le chaos, le terrorisme et l’insécurité qui attendent cette génération d’enfants.

    Face à ce constat révoltant et de plus en plus partagé, le pathos sur les enfants de migrants est la dernière arme de la gauche, la seule qui lui reste mais une arme aujourd’hui implacable. C’est l’ultime coup d’un boxeur acculé dans les cordes, un coup en dessous de la ceinture, mais un coup encore gagnant.

    Un jour ou l’autre, il faudra pourtant bien dépasser et surmonter cette arme ultime de l’adversaire.

    Cela suppose d’abord de mettre parallèlement en avant l’avenir de nos propres enfants, de les défendre coûte que coûte, viscéralement, face au sort qui les attend et à cette « France d’après » qui les guette.

    Cela nécessite ensuite, face à l’hystérie entretenue par les médias et les politiques sur les enfants de migrants, d’adopter une attitude dépassionnée et apaisée en mettant en lumière la submersion migratoire en cours, qui passe d’abord par les naissances, et donc les enfants. Aujourd’hui, 40 % des Africains ont moins de 15 ans. Et selon le journaliste américain Stephen Smith, « d’ici à 2100, trois personnes sur quatre qui viendront au monde naîtront au sud du Sahara. » Des chiffres inquiétants à l’heure où nous ne sommes qu’au début d’une crise migratoire qui sera l’affaire du siècle. Mais la situation est aujourd’hui déjà critique. Selon un rapport officiel, les Blancs ne représentent par exemple plus que 40 % des enfants de Birmingham (personnes mineures), la deuxième plus grande ville du Royaume-Uni.

    Il faut enfin replacer l’enfant au cœur du discours politique, que cet enfant soit d’ici ou d’ailleurs, afin de le défendre réellement en combattant toute forme de manipulation de son sort à des fins idéologiques.
    À l’instar des questions bio-éthiques, où la gauche prétend qu’un enfant n’a pas besoin de père pour grandir, l’idéologie pro-migrants met, elle aussi, en danger les droits de l’enfant. Qui peut affirmer qu’un enfant peut décemment s’épanouir et grandir dans le chaos migratoire, au milieu des rancoeurs et des conflits latents ? Face au déracinement, chaque enfant doit se voir reconnaître, indépendamment des considérations des adultes, un droit à l’enracinement, c’est-à-dire le droit de vivre et grandir dans un cadre solide et apaisé, auprès de sa famille et sur la terre de ses ancêtres.

    Cyril Raul

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/211508/placer-lenfant-au-centre-de-nos-discours-est-une-necessite-pour-combattre-la-gauche-morale-cyril-raul-les-identitaires/

  • Les dessous de l’économie du 9 juillet 2018 avec Natasha Koenigsberg

     

  • Épouvantails par Xavier EMAN

    Chaque ministre de l’Intérieur se doit de déjouer son « complot terroriste d’extrême-droite » (mouvance rebaptisée « Ultra-droite radicale extrémiste paroxystique » dans les grands médias). C’est un passage obligé, presque un rituel, un rendez-vous à caser obligatoirement quelque part dans son agenda entre une décoration d’un migrant méritant et une rupture du jeûne en compagnie des musulmans « modérés et républicains ».

    Cette obligation professionnelle permet, grâce à l’aide empressée des domestiques journalistiques, de faire accroire que « la haine, le danger, la violence » viennent « de partout », de tous les « extrémismes » quels qu’ils soient et que la droite « radicale » ne vaut pas mieux que les assassins barbus qu’elle dénonce et prétend combattre. Pour accréditer se scénario, on trouve régulièrement, sans trop de peine, une petite bande de pieds nickelés, manipulés, paumés, exaltés, désespérés (rayez la mention inutile) à jeter en pâture à l’opinion publique et à embastiller pour le coup avec toute la célérité et la sévérité dont est capable le Système dès lors qu’il s’attaque à des individus se situant à l’extérieur du sacro-saint « camp du Bien ». Ce ne sont généralement que des collectionneurs d’armes historiques, des péroreurs de réseaux sociaux ou des gamins fourvoyés et excités par des vieilles ganaches irresponsables…

    Mais peu importe, ils doivent payer – et lourdement – afin de maintenir en vie l’illusion d’un « équilibre des terreurs », le fantasme (que parfois eux-mêmes nourrissent, il est vrai, mais sans en avoir les moyens) d’une « extrême droite violente, organisée, structurée, capable de “ passer à la lutte armée ” »… Personne d’un peu tant soit sérieux ne croit évidemment à cette thèse ridicule mais ni les médias ni les foules ne sont composés de gens sérieux. Donc cela fonctionne plus ou moins, malgré un très gros bémol qui est que le tas de cadavres qui grandit sur le sol français, lui, n’a qu’une seule origine, un seul responsable : la barbarie islamiste. Les égorgés, les poignardés, les mitraillés, les écrasés le sont exclusivement par des musulmans fanatiques, des allogènes haïssant la France… Du côté de « l’extrême droite », on se borne à des « projets d’action aux contours imprécis », à base de grenade à plâtre et de fusils de chasse… Car c’est là l’une des grandes spécificités du « terrorisme d’extrême droite » depuis 40 ans : c’est un terrorisme sans victime. On s’en félicite, bien sûr, mais c’est tout de même là un critère qui devrait faire relativiser le phénomène et décrédibiliser quelque peu ceux qui agitent frénétiquement ce chiffon rouge mité. Alors peut-être un jour devra-t-on laisser, pour les besoins du « story-telling », l’un ou l’autre de ces enfants perdus ou de ces têtes brûlées passer à l’acte. Fort heureusement, il y a peu de chance que cela soit pour demain, car, dans ce cas, il est fort probable que la ou les communautés visées ne réagiront pas seulement avec des bougies, des peluches, des pleurnicheries et des hymnes à la tolérance comme toute bonne victimefrancaoui qui se respecte…

    Et cette situation, le Système n’est sans doute pas encore prêt à l’assumer et à la gérer. Mais qui sait, s’il est un jour dos au mur, tout peut arriver. Et c’est bien pour cela qu’il convient de garder la tête froide, de se défier des agités, d’écarter les provocateurs, de ne pas romantiser ou glorifier la violence et de ne pas confondre radicalité et nihilisme… Nous devons travailler, construire, expliquer, créer, fonder, aimer, et non pas tomber dans les pièges les plus grossiers de ceux qui ne rêvent que de caricatures et de de tragi-comédies à exhiber au journal de 20 heures. Nous devons être des soldats politiques, pas des voyous, ni des apprentis assassins.

    Xavier Eman

    • D’abord mis en ligne sur moy que chault, le 2 juillet 2018.

    http://www.europemaxima.com/epouvantails-par-xavier-eman/

  • À PARTIR DE CETTE FIN DE SEMAINE, NOUS LANÇONS UN APPEL AUX DONS POUR SOUTENIR SYNTHÈSE NATIONALE

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    Les mois d'été sont toujours les plus difficiles à franchir pour une structure comme Synthèse nationale (ralentissement des ventes, démobilisation estivale compréhensible, éloignement de son lieu de résidence...). Or, c'est justement la période au cours de laquelle nous engageons les investissements pour la rentrée (entre autres, notre 12e journée nationale et identitaire du dimanche 14 octobre prochain).

    Pour palier à ce déficit conjoncturel, nous lançons un appel à nos lecteurs car, rappelons-le, nous sommes subventionnés par personne, ni stipendiés par un quelconque groupement d'intérêts. Nous ne pouvons compter que sur l'attachement de nos lecteurs au combat national.

    Par avance, nous remercions nos amis pour leur générosité et leur fidélité.

    PS : À ceux qui n'utilisent pas les moyens de règlements en ligne, nous vous invitons à utiliser ce bulletin cliquez ici 

  • La grande peur des députés LREM devant l’évaluation de leurs activités

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    En cette époque où l’on a la manie de tout évaluer – les ministres, les cadres, les fonctionnaires, les médecins, les policiers -, un site inquiète les députés : NosDeputés.fr, qui se présente comme un « observatoire citoyen de l’activité parlementaire ». On y trouve un graphique de leurs présences en commission et en Hémicycle au cours des douze derniers mois, leurs productions parlementaires, leurs questions au gouvernement… Leur activité parlementaire est passée au crible : tout citoyen peut savoir si son député est assidu ou non, s’ils dépose beaucoup d’amendements, bref, si c’est un « bon député », digne de les représenter dans un nouveau mandat.

    Les élus du groupe LREM seraient particulièrement inquiets : ils n’ont pour seule légitimité que d’être sortis vainqueurs d’un processus de sélection inédit et s’être engagés à voter à l’Assemblée les grands textes permettant de réaliser les objectifs d’Emmanuel Macron. Ce sont des godillots, choisis pour leurs compétences à suivre la marche forcée que leur impose le Président, secondé de ses sbires Richard Ferrand, Benjamin Griveaux, Christophe Castaner et quelques autres inconditionnels.

    « On a une pression de malade », conteste un élu, tandis qu’un autre, mal classé, dénonce cet espionnage permanent : « Les députés font la course aux amendements, certains en sont à une centaine de questions écrites pour être bien classés, d’autres veulent absolument intervenir en séance pour ne pas se faire cartonner en circonscription. Ce n’est pas révélateur de notre travail. »Peut-être veut-il excuser ses propres déficiences, même s’il n’a pas entièrement tort sur le fond.

    Des députés suggèrent de lancer un autre outil de mesure qui prenne vraiment en compte toutes les activités des députés : les réunions de travail, les rendez-vous dans les ministères, l’activité en circonscription, les amendements adoptés… Ils n’ont pas mentionné les passages à la buvette de l’Assemblée, qui serait très fréquentée. En octobre dernier, des députés LREM, pour se détendre de plusieurs heures de débat sur un projet de loi, y avaient organisé une fiesta : ils se firent sermonner par François de Rugy qui, s’il a des talents de girouette, n’en est pas moins ferme avec les principes.

    À quand des micros espions, des mouchards, des caméras miniatures pour détecter les moindres gestes ou les moments de somnolence des parlementaires ? On pourrait aussi faire des statistiques sur ceux qui écrivent leur courrier, envoient des SMS, lisent leur journal, jouent sur leur smartphone, mâchent du chewing-gum ou papotent avec leur voisin…

    Il n’est pourtant pas certain – c’est le moins qu’on puisse dire – que l’efficacité d’un élu se mesure à son temps de présence aux séances de l’Assemblée ni à son activisme pour figurer dans le livre des records. Tout comme ce n’est pas forcément le professeur qui fait de l’esbroufe, en multipliant ses activités extrascolaires, qui instruit le mieux ses élèves. Mais la culture de l’évaluation, devenue, sous couvert d’objectivité, un instrument de gestion, s’attache à ce qui est visible et privilégie souvent les faux-monnayeurs.

    Il faut dire que la réforme des institutions qui se prépare a aussi de quoi inquiéter les députés, issus notamment du groupe majoritaire. La réduction de 30 % du nombre de parlementaires va rendre les places plus chères. Il faut donc être bien noté, si l’on veut être de nouveau investi, et montrer qu’on est non seulement utile, mais indispensable… On comprend donc que les élus LREM, à peine élus, s’inquiètent déjà de leur réélection. Sans compter que Jupiter, qu’ils ont choisi d’idolâtrer, pourrait bien être détrôné.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/la-grande-peur-des-deputes-lrem-devant-levaluation-de-leurs-activites/