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divers - Page 280

  • Kolinda, loin de Jupiter

    C’est à bord d’un simple vol commercial que Kolinda Grabar-Kitarović, (première) présidente de la République croate élue à la surprise générale contre le sortant Ivo Josipović, s’est rendue à Moscou pour la finale opposant les Vatreni au Onze tricolore. Pour le match Croatie-Angleterre, la blonde Kolinda, qui a pratiqué le foot dans sa jeunesse, avait partagé en toute simplicité le charter des supporters croates.

    https://present.fr/2018/07/16/kolinda-loin-de-jupiter/

  • L’Intelligence artificielle rappelle à l’homme la grandeur de son destin et l’urgence d’une immortalité qui ne soit pas purement matérielle

    6a00d83451619c69e2022ad35b5c77200c-250wi.jpgArnaud de Beauchef est professeur à Imperial College (Londres), où il enseigne les mathématiques. Par ailleurs, il dirige un groupe privé de recherche en Intelligence artificielle, avec des applications dans le domaine financier. Il a été interrogé dans le dernier numéro de Monde & Vie sur l'intelligence artificielle, qui est aussi au programme de la révision des lois de bioéthique :

    "[...] Si l’Intelligence artificielle fait peur, ce n’est pas en elle-même, c’est parce qu’elle peut conférer à certains hommes une puissance et un contrôle sur leurs semblables qui est sans précédent. En Chine, le système de reconnaissance faciale permet de reconnaître un homme en très peu de temps dans une foule dense. Une fois de plus, c’est l’hybris, c’est la démesure qui guette l’être humain. On a toujours tendance à se dire que la créativité va nous donner la Puissance. Mais quand on contemple les Personnes trinitaires, on retrouve à la source de chaque personne divine une tension entre humilité et puissance, qui représente la véritable perfection de l’être personnel. La gestion du désir et de l’union pour aller vers quelque chose de plus fondamental n’effleure pas la machine, parce qu’elle n’a pas de finalité. D’où la démesure toujours possible. Prenons l’exemple du corps: le corps humain n’est pas une machine, mais selon la perspective dite hylémorphique, il est indivisiblement un mélange de matérialité et d’esprit. Ainsi il n’a pas sa fin en lui-même mais dans ce que l’esprit comprend pour lui. Ce qu’apporte l’Intelligence artificielle au corps, est de l’ordre de la chirurgie esthétique. Elle peut donner l’illusion de la perfection physique, mais la perfection elle-même reste inaccessible. Ce que l’on appelle le cyborg, cet homme soi-disant augmenté et connecté, représente des réalisations comparables à ce que pourrait faire une chirurgie esthétique high-tech, rien de plus. Disons qu’en montrant les ressources de la machine, l’Intelligence artificielle rappelle à l’homme la grandeur de son destin et l’urgence d’une immortalité qui ne soit pas purement matérielle – comme l’est, nous l’avons dit en commençant, l’immortalité d’un programme informatique – mais qui soit vraiment vitale. On est aujourd’hui dans une phase d’émerveillement devant les ressources de la cybernétique. Mais leur pauvreté va apparaître très vite. Il n’y a qu’un seul dépassement qui est Dieu et la connaissance de l’Absolu.

    Nous vivons donc selon vous un moment crucial dans l’histoire de l’humanité?

    Il me semble qu’on entre dans la troisième phase de l’histoire de l’humanité. On a d’abord analysé les objets comme autant de situations dans lesquelles l’homme se trouve. Ainsi le philosophe présocratique Thalès de Milet se montre capable de prédire une éclipse, en montrant que l’univers n’est ni irrationnel ni terrible mais qu’il obéit aux lois de la raison: l’homme se trouve devant ce que les Grecs appellent un cosmos, un ordre. La modernité nous apprend ensuite à nous centrer sur le sujet humain. Les philosophies de Descartes et de Kant sont caractéristiques de cette réflexion sur le sujet humain, qui prend toujours plus conscience de ses pouvoirs. Aujourd’hui, on observe le système joint sujet-objet, le sujet étant devenu son propre objet, et l’objet étant fabriqué sur le modèle du sujet à travers des recherches biotechnologiques. Le sujet avait longtemps fait écran, cela a été le drame de la modernité. À travers les progrès des sciences, on a maintenant dépassé la fracture entre le sujet et l’objet, ce qui amène à la perspective ultime qui est, au-delà du sujet-objet, l’Esprit lui-même, le Créateur."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Coupe du monde : De la liesse à la guérilla – JT TVL 16 juillet 2018

    1) Coupe du monde : De la liesse à la guérilla

    La France a vibré au rythme des scènes de liesse après la victoire de l’équipe de football en finale de coupe du monde. Une “joie collective” qui a vite laissé place aux violences.

    2) Immigration / Russie : la fin de la tolérance pour les clandestins

    3) International / Premier tête à tête entre Poutine et Trump

    C’était une séquence diplomatique cruciale. Vladimir Poutine et Donald Trump se rencontraient ce lundi à Helsinki. Entre la Syrie, l’Iran, et l’Ukraine, les dossiers chauds ne manquaient pas…

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/16/24321/coupe-monde-de-liesse-a-guerilla-jt-tvl-16-juillet-2018

  • Football : une unité nationale en trompe-l’œil

     

    De Constance Prazel sur Liberté Politique, alors que la liesse d'hier soir a provoqué la mort de 2 personnes :

    "[...] Le problème, c’est que l’enthousiasme de la Coupe du Monde est un fusil à un coup.

    « On a gagné », mais on ne sait pas très bien ce que l’on a gagné. Aujourd’hui le cours de la vie reprend, avec les mêmes misères, les mêmes médiocrités, les problèmes non résolus, et la décharge d’adrénaline ne peut les masquer très longtemps. Les cloches sonnent faux, car il n’y a pas d’unité, et pas vraiment de communauté à célébrer. L’unanimisme est feint et faussé, car il n’est soutenu par aucun idéal, et l’enthousiasme débordant ne résout rien, car en dehors du foot, il n’a pas de relais social ni politique, chez des gens épuisés de vivre ensemble.

    « On a gagné », mais qui a gagné ? Une équipe de 23 joueurs, qui aiment à se dire fiers d’être Français, mais sur le mode de la répétition, de l’incantation. C’est quoi, être Français, au juste ?A l’issue de la coupe du monde, on ne le sait toujours pas, et il ne faudrait surtout pas s’aviser de donner du contenu à tout cela : terrain bien trop glissant. Le mythe du Black-Blanc-Beur ne convainc plus personne ; plus personne ne se risque à le convoquer ouvertement, mais l’on n’a rien trouvé à mettre à la place.

    Et puis l’on juge un arbre à ses fruits. Et quels sont-ils ? Hier soir, vandalisme, pillages, vols et destructions étaient au rendez-vous sur tout le territoire. Un cortège de maux qui accompagne un sport gangrené par l’argent, montant à la tête d’une jeunesse qui ne croit pas à grand-chose et qui serait bien en peine de dire ce que c’est que la France. Quelle image donnons-nous de nous-mêmes à l’étranger, incapables que nous sommes de fêter dignement une belle victoire sportive ?

    Une amie me confiait hier : j’aime la Coupe du Monde, car pour une fois les gens se parlent, se disent bonjour, s’interpellent dans le métro. Et elle ajoutait : la dernière fois que c’est arrivé, c’était pour le Bataclan. Curieux destin que celui de la France, dont le pouls bat à l’étroit entre les attentats et les pillages.

    On juge un arbre à ses fruits, et ceux de la coupe du monde sont malheureusement bien amers."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le crépuscule de leur monde

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    Georges Feltin-Tracol

    « Ce que nous devons redouter, s’inquiète Jean Daniel dans L’Obs du 7 juin 2018, c’est le renoncement de l’Europe. Son agonie serait la fin de notre monde. » L’éditorialiste de l’hebdomadaire officiel de la Deuxième Gauche a raison : la construction européenne décidée par les cénacles bancaires, atlantistes et cosmopolites a perdu toute valeur et se retrouve maintenant contestée par tous. Il faut s’en réjouir à la condition impérative d’exiger une autre Europe reconquérante.

    La crainte de Jean Daniel fait écho à l’alarme lancée dès avril 2016 par Anne Applebaum dans le Washington Post. « Nous sommes à deux ou trois mauvaises élections de la fin de l’OTAN, de la fin de l’Union européenne et, peut-être, de l’ordre libéral du monde tel que nous l’avons connu. » Oui, son désordre libéral mondial chéri fléchit enfin et emporte avec lui un Occident déclinant.

    Les résistances à cette mutation historique demeurent toujours vives. En dépit de récents et fréquents coups qui la bousculent, l’« Hyper-Classe » transnationale ne se rendra pas aussi facilement. Elle se trouve néanmoins sur la défensive et voit les nouvelles générations se détourner de ses lubies multiculturalistes. Le Figaro du 20 juin 2018 présente les résultats d’une étude prouvant que « les jeunes Européens tendent vers les valeurs conservatrices ». Plus de la moitié d’entre eux pensent que « pour certains crimes, la peine de mort est la condamnation la plus appropriée ». À peu près le même pourcentage (45 % en France) estime que leur pays « devrait être gouverné par un dirigeant fort qui n’aurait pas à se soucier du parlement ou des élections ». Le modèle illibéral inauguré en 1994 par le président bélarussien Alexandre Loukatchenka et repris depuis par Vladimir Poutine, Recep Tayyip Erdogan, Jaroslaw Kaczynski et Viktor Orban semble convaincre les électeurs ouest-européens de demain…

    Le responsable général de l’enquête, Séraphin Alava, conclut fort désabusé. « Cinquante ans après 1968, au lieu de dire “ ni dieu ni maître ”, la jeunesse clame tout le contraire. Elle dit qu’elle veut un Dieu, un maître, et même qu’il est permis d’interdire. » Le bourrage de crânes scolaire, gratuit et obligatoire ne serait finalement guère pertinent.

    Les médiacrates ont raison d’avoir peur. Gramsci expliquait que « la crise consiste justement dans le fait que le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ». Ces nouveaux « monstres » s’appellent la jeunesse d’Europe, qu’elle soit identitaire, islamiste ou néo-gauchiste. Exclue par les retraités soixante-huitards, elle trépigne plus que jamais de colère. « À mon avis, l’atmosphère aujourd’hui est très similaire à 1968 en Europe, déclarait au Monde du 18 juillet 2015 le président du Conseil européen Donald Tusk. Je sens un état d’esprit, peut-être pas révolutionnaire mais d’impatience. Mais quand l’impatience devient un sentiment collectif, elle peut conduire à une révolution. » Qu’il soit au plus vite entendu !

    Bonjour chez vous et excellentes vacances d’été !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°87, diffusée sur Radio-Libertés, le 13 juillet 2018.

  • I-Média n°209 – Les Bleus : équipe de France ou équipe africaine ?

    Les Bleus : équipe de France ou équipe africaine ?
    « Vive la France, la sixième équipe africaine du Mondial ». A l’occasion de la coupe du monde de football, la presse française et étrangère se réjouit des « origines migratoires » des joueurs de l’équipe de France.

    Le Zapping d’I-Média
    Russia Today répond au CSA : le gendarme français de l’audiovisuel reproche à la chaine d’information russe de ne pas avoir reflété avec fidélité dans sa traduction les propos de témoins syriens. La chaine d’information conteste tout traitement déséquilibré de l’information et reconnait une « erreur technique » : le texte prononcé par le doubleur avait bien été dit par les personnes interrogées mais ne correspondait pas au l’extrait passé en antenne.

    Bataille au parlement européen : droit d’auteur ou liberté d’expression ?
    La réforme du droit d’auteur au Parlement européen cristallise les tensions entre éditeurs de presse et de produits culturels d’un côté, partisans de la liberté sur internet de l’autre. Devinez quel camp a choisi la presse !

    Les tweets de la semaine
    « Devant quels programmes télés abandonner ses enfants cet été pour avoir la paix ». C’est le titre de l’article ubuesque publié par 20 minutes. Alors que toutes les études montrent les ravages causés par la télévision particulièrement chez les jeunes enfants, le journal gratuit insiste à « abandonner » ses enfants pour « avoir la paix ». Demain, peut-être, le journal titrera : « quel poison donner à ses enfants pour avoir la paix ? »

    Daphné Bürki reine de la boboïtude
    C’est une des animatrice les plus prisées du moment, enchainant les émissions et les plateaux bobos, portrait piquant de Daphné Bürki, la parisienne trentenaire tatouée et libérée.

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/13/24271/i-media-n209-bleus-equipe-de-france-equipe-africaine

  • La planète foot

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    Il y a semble-t-il une planète foot. Il y a vingt ans on nous avait fait le coup du « black, blanc, beur » censé venir à bout des problèmes de racisme et autres xénophobies sociales et nous faire accroire qu’on vivait en bonne harmonie dans une France multiraciale et multiculturelle. Que nenni ! Les chiffres de la délinquance ont rapidement mis en évidence le contraire et le Front national n’a pas baissé d’un iota aux élections. 

    La presse bourgeoise voudrait nous refaire le coup. Sauf que cette année, l’équipe de France est « black » de haut en bas avec une touche de Blancs qui finiront par se demander ce qu’ils foutent là.  On notera que cette équipe de France est la seule parmi les autres équipes européennes à afficher un tel taux de Noirs. Si le meilleur d’entre eux, Mbappé, est Guadeloupéen, les autres sont tous issus de familles subsahariennes immigrés.

    On remarquera par ailleurs, que tous ces amoureux du foot qui soutiennent cette équipe de France ont des tronches de prolétaires plus portés à voter facho que socialiste. Non pour les beaux yeux de Marine Le Pen, dont ils se foutent allègrement, mais parce qu’ils appartiennent à cette France d’en bas, périphérique qu’ignore la France d’en haut et qu’ils restent attachés aux valeurs ancestrales issues du terroir et de la longue mémoire. C’est d’ailleurs un curieux paradoxe de ces supporters patriotes qui vont applaudir une équipe qui n’est ni de leur race ni de leur culture. Il y a là un mystère qui s’appelle football. Ce qui ne les empêchera pas à la première occasion, de balancer des bananes et tenir des propos que condamnent les droits de l’homme !

    Au final ce sont moins les joueurs qui gagnent que le jeu lui-même. Et c’est le jeu qu’aiment nos supporters. Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse, telle est au final la devise de ce sport populaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Exclusif : 14 juillet 2018, l’armée au cœur

    En exclusivité, TV Libertés vous propose un reportage réalisé à l’invitation du Service d’Information et de Relations Publiques de l’Armée de Terre. Avec l’équipe de la chaîne, vous allez monter à bord d’un hélicoptère de combat. Vous allez assister, en direct, aux répétitions à la veille du défilé du 14 juillet à Paris. Vous allez partir de la base de Creil dans l’Oise pour découvrir un Paris… vu du ciel.

     https://www.tvlibertes.com/2018/07/13/24262/exclusif-14-juillet-2018-larmee-coeur

  • Cachez ces supportrices sexy que la FIFA ne saurait voir

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    La coupe du monde nous donne l’occasion d’apprendre que la FIFA, elle aussi, s’est dotée d’un garde-chiourme chargé de la surveillance du camp de la bien-pensance. Enclos magnifique, trop souvent sujet à incursions d’éléments perturbateurs, mal pensant, sales et tout à fait dégoutants. Il faut bien le dire.

    En langage novlandais, le cerbère en question est appelé « responsable du programme diversité ». « Gardien du phare de la pensée qui illumine » a été jugé trop long, « maton du politiquement correct » trop violent, bref, le mot passe-partout « diversité » a été choisi à l’unanimité du jury.

    Du haut de son mirador, l’homme veille au grain. Jumelles rivées sur les yeux, il scrute, observe… Et que ne découvre-t-il pas au détour d’une retransmission télévisée ? Vade retro satanas ! Des femmes jolies et sexy apparaissent régulièrement sur l’écran durant les matchs. Seigneur Jésus ! Les réalisateurs, tout plus machistes les uns que les autres, choisissent trop souvent de cadrer ces supportrices ! C’est épouvantable. Le préposé compulse son catalogue de « phobes » et de « ismes »… L’affaire est entendue, il est en présence d’un cas de sexisme caractérisé. Sirène, lâchers de pitbull et branle-bas de combat. Le plan « orange » est déclenché, les sommités de la FIFA se fendent d’un communiqué rageur invitant les chaînes de télé à moins montrer ces tentatrices impies, dévoyeuses de maris, stigmatisantes de toutes les autres femmes… Ach ! Gross malheur !

    La FIFA doit en convenir, il a manqué à cette coupe du monde un sélectionneur de spectateurs. Un Didier Deschamps chargé de constituer des groupes de supporters filmables. Des qui ne tombent pas sous le coup d’un « phobe ou d’un « isme » répertorié dans le catalogue du surveillant. Trouver 80.000 personnes dans ce cas est jouable. Éliminer les femmes enveloppées dont le cadrage relèverait de la grossophobie, des noirs trop enthousiastes qui feraient tomber le réalisateur pour racisme, des hommes peut-être un peu efféminés qui verrait la retransmission sombrer dans l’homophobie la plus atroce, etc. Ensuite se posera le problème du choix des joueurs qui peuvent apparaitre à l’image sans risque de froisser les pensionnaires du camp de la bienpensance.

    L’homme du mirador est la proie de questions existentielles. Dans le cas précis d’une action menée par deux ou trois joueurs blancs, n’est-il pas préférable d’envoyer un documentaire ? Ou de filmer les spectateurs sélectionnés, les guichetiers, les vendeurs de sandwichs ?

    Et enfin… Pourquoi ne pas jouer cette Coupe du monde à huis clos ? Avec des joueurs rigoureusement identiques attachés à des barres elles-mêmes manipulées par des représentants de la belle pensée qui sent bon. Comment dites-vous ? C’est du baby-foot ? Voilà, c’est le mot que je cherchais. Une Coupe du monde jouée sur un babyfoot dans le bar d’un village reculé… Le tout filmé au caméscope par le patron du café… La FIFA doit faire table rase du passé, repenser le projet et nommer un « conceptualiseur de diversité en milieu rural ». On ne sait jamais. Le réalisateur pourrait avoir la mauvaise idée de faire trop de plans sur son épouse.

    Jany Leroy

    http://www.bvoltaire.fr/cachez-ces-supportrices-sexy-que-la-fifa-ne-saurait-voir/